« Avant de mourir je voudrais… », le projet participatif de Candy Chang enfin décliné en France

Candy Chang écrit au pochoir la petite phrase "Before I die I want to..." © Candy Chang

Un groupe d’étudiants de l’université d’Avignon s’est inspiré de l’idée lancée par Candy Chang, une artiste américaine qui avait invité les passants de la Nouvelle Orléans à écrire ce qu’ils souhaitaient faire avant de mourir. Cette initiative avait suscité un grand engouement avant de se répandre à travers le monde. Elle arrive en France pour la première fois grâce à des étudiants en géographie.

« Before I die », (« Avant de mourir »), c’est le nom du projet imaginé en 2012 par une jeune artiste américaine, Candy Chang. Elle avait investi une maison abandonnée de La Nouvelle-Orléans en installant des plaques d’ardoise sur les murs de la bâtisse. Avec des craies de couleurs, les passants étaient invités à compléter librement cette phrase : « Before I Die, I want to… » pour dire quel serait leur rêve, leur espoir ou leur souhait avant de quitter ce monde.

Loin d’être triste, ce projet a connu un succès immédiat et d’autres murs ont vu le jour à Brooklin, Montréal, au Mexique, à Amsterdam, Lisbonne, Londres et jusqu’au Kazakhstan ! En France, c’est donc l’association des étudiants en géographie de l’Université d’Avignon qui est la première à déployer un mur « Before I die ». Les étudiants de la Cité des Papes ont photographié les tableaux recouverts de vœux et devraient les recenser sur le site officiel du projet pour donner une visibilité internationale à leur action.

Candy Chang, la jeune femme par qui tout a commencé, est d’origine taïwanaise mais elle a grandit dans l’Ohio. Diplômée en architecture, graphisme et urbanisme, elle part travailler en Europe après un bref passge au New York Times en tant que graphiste. En 2009 alors qu’elle travaille dans la recherche en design pour la multinationale Nokia, le décès d’une personne chère la bouleverse et la pousse à réfléchir sur la mort et sur la nécessité de profiter de l’instant présent. Elle démissionne et part s’installer à la Nouvelle-Orléans pour travailler sur l’urbanisme (elle a d’ailleurs créé une agence de design urbain, Civic Center).

Candy Chang veut alors trouver des projets pour améliorer le cadre de vie des gens en les faisant participer à cette réflexion. A La Nouvelle-Orléans, Candy est frappée par le nombre de magasins abandonnés. Elle invite alors les habitants à inscrire sur les murs lézardés le lieu qu’ils rêveraient de voir à la place de ces locaux désaffectés. Les devantures se remplissent  alors de papiers et de messages, allant de souhaits réalistes à d’autres carrément utopiques. Candy décide alors faire la même chose mais en donnant aux passants la possibilité de dire ce qu’ils aimeraient faire avant de mourir.

Face à l’engouement suscité par cette possibilité donner aux anonymes de s’exprimer, Candy Chang a décliné son idée. Elle a notamment proposé à la P3 galerie de Las Vegas, une exposition interactive. Les visiteurs passaient dans un isoloir avec du papier, un stylo, et notaient anonymement une confession, une peur, une envie, une faiblesse, un rêve. Candy  récupèrait ces papiers et constituaient des « murs de confessions »,  agrandissant certaines sur de belles toiles rouges.

Peu de temps avant Candy Chang, deux artistes avaient déjà eu l’idée de s’intéresser aux rêves des gens. Il s’agit de Nicole Kenney et KS Rives. Avec un Polaroïd, elles demandent à des gens croisés au hasard de poser pour elles et de noter dans la marge ce qu’ils aimeraint faire avant de mourir. Puis dans quelques années, les artistes reprendront contact avec eux pour savoir s’ils ont pu accomplir leurs rêves.

Et vous, que répondriez-vous à la question de Candy?

source : http://culturebox.francetvinfo.fr

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TRAITER LES CONFLITS

Les conflits au travail peuvent être destructeurs pour le fonctionnement des équipes.
En effet, mal gérées, les différences légitimes et « humaines » entre les personnels peuvent échapper à tout contrôle et générer des situations de blocage dues à une « non-collaboration » par absence de communication au niveau des interfaces entre processus, et menacer ainsi la mission des équipes.
Il s’agit donc de prendre un soin tout particulier à la gestion et à la résolution des conflits entre personnes.
Pour faire baisser les tensions rapidement il faut impérativement avoir une approche positive afin de pouvoir régler au mieux les conflits en privilégiant les discussions et analyses courtoises.
Un conflit dans une organisation n’est d’ailleurs en soi pas une mauvaise chose, il peut, à condition d’être bien géré et résolu, conduire au développement personnel et /ou professionnel.
En tout état de cause, l’accent doit être mis sur les faits, sur les interrogations, sur les incompréhensions plutôt que sur les individus.

Pour être efficace, la résolution d’un conflit doit passer par 3 étapes :

ETAPE 1 : PRÉPARER LA RÉSOLUTION
Admettre, reconnaître et faire reconnaître le conflit.
Une tendance naturelle des responsables est d’ignorer les conflits au risque de les laisser «pourrir » et dégénérer rapidement. Il faut donc commencer par admettre soi-même le conflit puis le faire admettre aux personnels, groupes concernés.
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Une fois le conflit admis, il s’agit de faire comprendre et admettre à toutes les parties concernées que seule la coopération peut permettre la résolution. L’équipe d’abord, l’intérêt personnel ou particulier en retrait. En procédant de cette façon, on met de côté les opinions, les buts particuliers. Attention si la coopération est impossible, on peut se trouver dans une impasse et/ou perdre son temps.

Certains pourraient être tentés par une « méthode » plus autoritaire. Cette approche ne ferait qu’aggraver les tensions et diviser encore plus les parties concernées. De plus chacun resterait sur ces positions et tenterait de faire passer ses solutions.

Il s’agit donc de mettre l’accent sur les questions, plutôt que sur les individus, de pratiquer l’ECOUTE ACTIVE pour bien assimiler les différentes prises de positions.

ETAPE 2 : COMPRENDRE LA SITUATION.
Il faut ici prendre le temps d’écouter et d’entendre la position de chacun des membres de l’équipe pour arriver à la vraie nature du conflit en mettant de côté « l’affectif » qui, dans ce genre de situation, est exacerbé.
Dans un premier temps, il faut clarifier les positions des différentes parties, « clans » en listant les différents les faits, les hypothèses, les idées qui sous-tendent chaque position.
Une fois ce « listing » établi, il faut analyser les résultats obtenus en travaillant en petits groupes ( en prenant soin de casser les différents clans), et se poser les questions suivantes :
· Les hypothèses, les idées, les faits sont-ils fondés ?
· Quels sont ceux qui sont les plus importants ?
· Des informations peuvent-elles être apportées pour dissiper les points de discorde ou les incertitudes ?
· Est-il nécessaire d’analyser, de mesurer certains points ?

Des outils d’aide à la décision, d’analyse des forces et faiblesses peuvent être utilisés.

Une fois ce travail de clarification réalisé, le retour en équipe est propice pour trouver un terrain d’entente, des points d’accord qui débouchent sur la résolution du conflit car la perception des choses a changé pour les membres et ainsi de nouvelles voies de solutions basées sur l’intérêt commun peuvent voir le jour.. Le rationnel peut enfin prendre le pas sur l’affectif, chacun comprend maintenant la position des autres.

ETAPE 3 : ÉTABLIR UN PLAN D’ACTIONS COMMUN
Maintenant que toutes les parties prenantes comprennent la position des autres, il s’agit de décider de manière consensuelle de l’action à mener. Une nouvelle fois et si besoin, les outils d’aide à la décision peuvent être utilisés. La négociation « gagnant-gagnant » peut également être utilisée.
Une fois une solution trouvée en consensus, il faut absolument s’assurer que chacun est prêt à la mettre en œuvre, à travailler de concert, et qu’aucune rancœur ne subsiste dans un « camp » comme dans l’autre.

LA PRÉVENTION DES CONFLITS
Traiter les conflits c’est bien mais les prévenir c’est mieux.
Les équipes doivent « s’armer » pour prévenir les conflits qui peuvent pourrir la vie quotidienne et avoir des répercussions non négligeables sur la qualité du travail fourni. Il est important de donner aux personnels la capacité de prévenir les conflits, notamment en adaptant leur comportement, à partir des quelques pistes par exemple énumérées ci-dessous :
* Gérer les conflits immédiatement, ne pas céder à la tentation de les ignorer.
* Être ouvert, les personnels doivent pouvoir exprimer leurs problèmes, leurs soucis, leurs difficultés, il faut même les inciter en en parler dès leur apparition.
* Pratiquer une communication audible et claire pour tout le monde, notamment en ce qui concerne la stratégie. – pensées et des idées clairement articulées.
* Pratiquer l’écoute active (Apprendre à écouter)
* Ne pas laisser les conflits personnels basés sur l’affectif dégénérer, s’en tenir aux faits, ne pas cibler les personnes..
* Se concentrer sur des solutions réalistes et applicables, ne pas tenter de refaire le monde tel qu’on voudrait qu’il soit, et donc ne pas essayer de changer ce qui ne peut pas l’être.
* Encourager les points de vue différents, favoriser le dialogue « honnête », laisser s’exprimer les sentiments.
* Ne pas jouer au petit chef, ne pas blâmer, encourager l’appropriation du problème et de la solution.
* Respecter les individus, accepter qu’on puisse avoir des idées différentes, si la situation dégénère laisser retomber la pression en faisant un break.
* Garder les problèmes d’équipe au sein de l’équipe, ne pas les colporter à l’extérieur pour éviter que les choses s’enveniment. Les autres sont trop contents d’apprendre les petits problèmes de l’équipe d’en face…

En conclusion, on peut dire qu’un conflit peut être constructif, bénéfique s’il est géré comme il se doit et dans des délais assez brefs en :
respectant les personnes,
acceptant les différences de point de vue,
possédant les bases de la résolution des conflits,
mettant tout en œuvre pour les prévenir.

C’est ainsi qu’un climat de travail propice à la production et à la créativité pourra être maintenu en restant ouvert aux idées des autres et en comprenant mieux les difficultés des collègues, ce qui immanquablement engendrera de nouvelles façons de penser bénéfiques à l’ensemble de l’entreprise.

http://www.qualitadmin.com/2012/01/traiter-les-conflits.html

Les bienfaits du don de sang

Chaque année, le 14 juin, les pays du monde entier célèbrent la Journée mondiale du donneur de sang. Cette manifestation sert à sensibiliser à la nécessité de disposer de sang et de produits sanguins sécurisés et elle est surtout une occasion de célébrer et de remercier les donneurs. La transfusion de sang et de produits sanguins aide à sauver des millions de vies chaque année. Elle peut permettre de rallonger la vie de patients souffrant de maladies mortelles et d’améliorer leur qualité de vie, et est utilisée lors d’actes médicaux et chirurgicaux complexes. Elle joue également un rôle essentiel et salvateur en santé maternelle et périnatale.

Donner du sang c’est donner de la vie, Cet acte de générosité est tout aussi bénéfique pour le receveur que pour le donneur :

*Un check-up gratuit
La visite médicale de sélection pré-don que nous devons passer est très importante car non
seulement, elle permet de mieux protéger le futur receveur mais fournit également des
informations intéressantes sur notre état de santé en général. Elle nous indiquera par
exemple le taux de certains éléments présents dans le sang : globules rouges, plaquettes,
plasma, des données qui peuvent être très bien interprétées par notre médecin personnel si
nous le souhaitons.

*Un sang plus propre :
Une personne en bonne santé et qui répond à toutes les conditions requises peut donner du
sang tous les quatre mois. Elle devient ainsi un donneur régulier et aura de grande chance
d’être mieux protéger contre certaines maladies car son sang est renouvelé fréquemment.
Durant l’acte médicale, un individu perd en moyenne 250mg de fer, raison pour laquelle les anémiés ne peuvent pas donner leur sang. Si le donneur présente donc des réserves trop
excessives en fer, l’expérience peut réduire ce taux anormal et le protéger des maladies
cardiaques et de certains types de cancer comme la leucémie.
Pour ceux qui ont un problème de tension artérielle, des observations médicales peuvent
déterminer s’ils sont aptes à donner leur sang ou non. Si les résultats sont favorables, l’acte
pourrait être bénéfique pour eux et les protéger même des AVC (Accident vasculaire cérébral).

Autre avantage qui n’est pas négligeable, donner son sang réduit le risque de diabète de type 2, celui qui est lié à la sédentarité car l’opération augmente la résistance à l’insuline.

Enfin, le plus beau des services que peuvent rendre la famille ou les amis d’un malade est de lui donner de leur sang si celui-ci en a besoin lors d’un acte chirurgical ou d’une transfusion consécutive à une hémorragie. Il s’agit là d’un don inestimable et d’un acte hautement charitable, car donner de son sang dans ces circonstances revient à sauver une vie humaine.

sachez que les conditions ci-après doivent être réunies si vous souhaitez être un
donneur :
– Agé de plus de 18ans et pesant pas moins de 50kg
– Avoir une bonne hygiène de vie : pas d’alcool ni de drogue, alimentation saine, sommeil
suffisant (pas moins de 6h/nuit)
– Ne pas être enceinte
– N’ayant pas pratiqué des relations sexuelles non protégées ou subit des extractions
dentaires au cours des six derniers mois…
Maintenant que vous savez tous les effets bénéfiques d’être un donneur, tentez l’expérience !

L’impression de « déjà-vu »

Qui n’a jamais ressenti, au moins une fois, le sentiment d’avoir déjà-vu un endroit jusqu’alors inconnu, déjà rencontré une personne que l’on ne connaît pourtant pas, ou encore déjà vécu un évènement totalement nouveau ? Avec Doctissimo, les pistes pour mieux comprendre ce phénomène étrange, l’illusion de « déjà-vu ».

« C’est étrange, j’ai le sentiment d’avoir déjà vécu cette situation ». Cette illusion de déjà-vu, nous sommes nombreux à l’avoir ressentie au moins une fois. Quelle est l’origine de ce phénomène curieux ? Zoom sur cette impression étrange, avec des spécialistes du cerveau et de la mémoire.

« déjà-vu », un sentiment largement partagé

L’impression de déjà-vu se manifeste lorsque l’on a le sentiment d’avoir déjà rencontré une personne pourtant inconnue, ou encore quand on a l’impression d’avoir déjà vécu une situation pourtant inédite. Selon une étude américaine, ce sentiment étrange est très répandu, puisque près de 6 personnes sur 10 ont connu au moins un épisode de ce genre au cours de leur vie.

D’après cette même étude, l’impression de déjà-vu décroit avec l’âge et serait favorisée par le stress et la fatigue. Par ailleurs, il semblerait que ce phénomène soit plus fréquent chez les personnes ayant un niveau socioculturel élevé, ainsi que chez ceux qui ont beaucoup voyagé.

Un phénomène difficile à expliquer

Depuis deux siècles, l’impression de déjà-vu fascine. Elle a d’ailleurs fait l’objet de pas moins d’une trentaine d’explications. Celles qui ont été proposées vont des plus farfelues, comme des phénomènes paranormaux, aux plus sérieuses, issues de la neuropsychologie. « C’est un phénomène très difficile à expliquer », confirme Francis Eustache, Directeur de l’Unité de recherche neuropsychologie cognitive et neuroanatomie fonctionnelle de la mémoire humaine (Inserm, Université de Caen).

Selon ce spécialiste de la neuropsychologie de la mémoire, on peut néanmoins proposer certaines hypothèses. Dans le cas de l’illusion de déjà-vu, « le chemin qui conduit à un souvenir est erroné ». Ce serait donc notre mémoire qui nous jouerait un tour. La situation vécue provoquerait un stimulus, qui activerait dans notre mémoire, des connaissances en rapport avec l’événement. Cela va induire alors un sentiment de familiarité exacerbé, comme si l’on se rappelait un souvenir qui n’existe pas.

« On peut ainsi ranger l’impression de déjà-vu dans la catégorie des faux souvenirs », explique Francis Eustache. Selon lui, c’est un peu « le prix à payer du fonctionnement complexe de notre mémoire ». En effet, celle-ci est sans cesse en reconstruction, afin de sélectionner ou non les informations et souvenirs pertinents. « Ce phénomène, bien que complexe, est tout à fait normal. En revanche, il ne doit pas être confondu avec certains symptômes de maladies neurologiques », précise le chercheur.

La sensation étrange de déjà-vu, trouverait donc son origine dans les mécanismes complexes de notre cerveau. Si les processus en jeu font encore aujourd’hui l’objet de différentes hypothèses, on peut néanmoins affirmer que l’explication est cachée dans le fonctionnement de nos systèmes neuronaux. Exit donc les phénomènes paranormaux et autres interprétations mystiques.

5 Aliments qui peuvent remplacer les somnifères

Un sommeil sain pour certaines personnes est un luxe.En fait, le sommeil est un temps pour les cellules du corps y compris les cellules du cerveau pour obtenir la récupération.C’est pourquoi le manque de sommeil ou de ne pas obtenir la qualité du sommeil peut vous rendre faible, étourdi, et se concentrer pas le lendemain matin.

Selon healthmeupafin que vous puissiez dormir plus profondément, plutôt que de prendre des somnifères, il est préférable de manger les aliments suivants avant de dormir :

Amandes: Noix fraîches, surtout les amandes, sont considérées comme un « aliment de puissance » pour vous aider à dormir plus profondément.La teneur en magnésium dans les noix vous empêche d’avoir des troubles de sommeil et déclenche la relaxation musculaire.La teneur en protéines contribue également à stabiliser les niveaux de sucre dans le sang durant le sommeil.Il est conseillé de manger des amandes au moins 2-3 heures avant d’aller dormir.

Céréales: Des études récentes ont montré que les céréales à faible teneur en sucre peuvent également vous aider à dormir plus profondément.L’un est le mélange de céréales avec du yogourt.La combinaison des deux peut aider à activer la sérotonine dans le cerveau qui est responsable de la stabilisation de l’humeur et de créer une meilleure qualité de sommeil. Lorsque les niveaux de sérotonine dans le corps sont très élevés, alors vous aurez envie de dormir.
Oeufs à la coque: Si vous vous réveillez et sentir de la faim, vous pourriez avoir à manger un certain aliment.La meilleure option est un oeuf poché.La haute teneur en protéines dans les oeufs contribue à améliorer le sommeil et maintenir la condition physique du corps, afin qu’elle vous donne une protection complète.Cependant, si vous avez des problèmes de cholestérol élevé, il est recommandé de consommer les blancs d’oeufs seulement.

Miel: Ajouter lemiel pour le thé ou tout en profitant de votre pain préféré.Le miel peut faire une grande différence dans l’amélioration de la qualité du sommeil.La nature de «stimuler le sommeil» dans le miel pourrait être une solution pour les insomniaques.

Pop-corn sans beurre ou sucre: Pop-corn contient suffisamment de glucides pour aider à assurer un apport adéquat en tryptophane (acide aminé) pour le cerveau. Cet acide aminé est utilisé pour produire de la sérotonine, ce qui vous stimule à dormir.Donc, il n’y a aucun problème à manger du pop-corn avant de se coucher, tant qu’il n’y a pas de beurre ou de sucre supplémentaire.

Source : www.ventre-Plat-Tip.blogspot.com

11 conseils pour mieux dormir

l’Institut national du sommeil et de la vigilance (INVS) en france recommande de réunir certaines conditions pour « préparer un sommeil de qualité :

Adopter des horaires de sommeil réguliers

  • Eviter des heures de coucher et de lever trop variables facilite le sommeil.
  • Se lever tous les jours à la même heure, même le week-end, permet de garder le même rythme de veille et de sommeil.

Se réveiller à son rythme

Le réveil doit être dynamique pour bien éveiller son corps : lumière forte, exercices d’étirement, petit déjeuner complet.

Pratiquer un exercice physique en journée

  • Pratiquer un exercice physique régulier dans la journée favorise l’endormissement.
  • Mieux vaut éviter de pratiquer un exercice physique en soirée, en particulier avant d’aller dormir.

Faire une courte sieste en début d’après-midi

  • En fermant les yeux 5 à 20 minutes en relâchant le corps, le sommeil vient rapidement si le besoin est là.
  • Une sieste permet de maintenir la vigilance le reste de la journée.

Eviter les excitants après 15 heures

  • Café, thé, cola, et vitamine C retardent l’endormissement et augmentent les réveils nocturnes.
  • Eviter l’alcool et le tabac le soir. La nicotine retarde l’endormissement, augmente les réveils nocturnes et rend le sommeil plus léger.
  • L’alcool favorise l’instabilité du sommeil avec des éveils nocturnes fréquents. De plus, c’est un facteur aggravant des problèmes respiratoires nocturnes, comme l’apnée ou les ronflements.

Eviter les somnifères

Ils sont à prendre sur avis médical uniquement.

Faire un dîner léger, au moins 2 heures avant le coucher

  • Privilégier les aliments à base de glucides lents (pommes de terre, riz, pain, pâtes), qui favorisent le sommeil car ils permettent une meilleure régulation des apports tout au long de la nuit.

Les produits laitiers sont égale ment conseillés le soir.

  • Eviter les fritures et les graisses cuites.
  • Ne pas sauter le repas du soir sous peine de risquer une fringale en seconde moitié de nuit.

Se ménager un environnement favorable au sommeil

  • Maintenir une température dans la chambre aux alentours 18°C et bien l’aérer.
  • Faire l’obscurité dans la chambre, qui favorise le sommeil profond.
  • L’hormone du sommeil, la mélatonine, est secrétée dans l’obscurité.
  • Prendre soin de sa literie et la changer régulièrement.
  • Le lit doit être un espace exclusivement réservé au sommeil, à l’exception de l’activité sexuelle.

Favoriser les activités calmes et la relaxation en fin de journée

  • Eviter un travail intellectuel juste avant le sommeil.
  • La lumière vive, le travail ou les jeux sur ordinateur entraînent des difficultés d’endormissement.
  • Au moins 30 minutes avant le sommeil, réserver une période de calme et de relaxation.
  • Instaurer son propre rituel d’endormissement permet de s’endormir en douceur, naturellement.

Se coucher dès les premiers signaux de sommeil

  • Bâillements, paupières lourdes, yeux qui piquent, clignements des yeux sont signes qu’il est temps d’aller dormir.
  • Inutile de les anticiper, mais une fois ces signaux ressentis, il ne faut pas tarder à se coucher, sinon l’envie de dormir passe au bout d’une quinzaine de minutes et ne reviendra qu’au prochain cycle, 90 minutes plus tard.

Les formes d’intelligence de Gardner

Le Dr. Howard Gardner, professeur en éducation à l’Université Harvard, fait depuis de nombreuses années de la recherche sur le développement des capacités cognitives de l’être humain. Il est en rupture avec la théorie commune traditionnelle qui repose sur deux croyances fondamentales : la capacité de connaissance est déterminée et l’intelligence des individus peut être décrite adéquatement en la quantifiant (QI).

La définition de Gardner de l’intelligence humaine fait ressortir la nature multiculturelle de sa théorie. Voici les huit formes de l’intelligence qu’il propose (pour le moment)…

1. L’intelligence logico-mathématique

On la reconnaît par : une force dans les habiletés en résolution de problèmes et en mathématiques. Celui ou celle qui la possède pose les questions «pourquoi» et «comment», veut raisonner sur les choses, veut savoir «ce qui arrivera ensuite» et pense de façon «séquentielle». 

Pistes pour en favoriser l’expression : travailler à l’ordinateur, programmer, classer des objets, pratiquer les sciences et la lecture, aimer les discussions et l’exploration, résoudre des mystères, jouer avec des mots, déchiffrer des codes, visiter des musées, résoudre des énigmes, proposer des problèmes qui nécessitent la réflexion et des activités de calcul.

Hubert Reeves est un bon exemple de ce type d’intelligence.

2. L’intelligence spatiale

On la reconnaît par : une puissante imagination. Celui ou celle qui la possède aime : concevoir, dessiner, lire des graphiques, élaborer des affiches, faire des casse-têtes représentant des images ainsi que des labyrinthes, organiser l’espace, les objets et les surfaces. Il/elle a besoin d’images pour comprendre. 

Pistes pour en favoriser l’expression : pratiquer l’art et les sports, créer des diagrammes d’organisation d’idées, monter des vidéos et des films, construire des cartes et des chartes, faire du théâtre, pratiquer la planche à voile, la sculpture, le patin à roulettes, la danse, la bicyclette, la conduite et la peinture.

Leonard de Vinci est un bon exemple de ce type d’intelligence.

3. L’intelligence interpersonnelle

On la reconnaît par : de grandes habiletés dans les relations interpersonnelles. Celui ou celle qui la possède aime parler et influencer, est habituellement le/la leader d’un groupe ou l’organisateur/organisatrice, communique bien, est habile en résolution de conflits, a une bonne écoute, est habile à négocier et est persuasif/persuasive. 

Pistes pour en favoriser l’expression : se faire des amis facilement, préférer les situations gagnant/gagnant, mener les discussions, pratiquer l’enseignement par les pairs et la collaboration, diriger les projets, conseiller les amis, comprendre les préoccupations des autres, manifester de l’empathie.

René Lévesque est un bon exemple de ce type d’intelligence.

4. L’intelligence corporelle-kinesthésique

On la reconnaît par : le désir de bouger, la tendance à être en mouvement constant ou à s’impliquée activement pour être bien. Celui ou celle qui la possède a besoin de se lever, de bouger, de toucher et de prendre les choses dans ses mains. 

Pistes pour en favoriser l’expression : s’étirer, faire des jeux de rôles et des jeux dramatiques, faire de l’exercice, du théâtre, faire de l’artisanat, planifier des événements extérieurs, danser, jouer et faire du sport.

Margie Gillis est un bon exemple de ce type d’intelligence.

5. L’intelligence verbo-linguistique

On la reconnaît par : l’amour du langage et de la parole. Celui ou celle qui la possède parle constamment, a une bonne mémoire des dates et des noms, aime raconter des histoires, aime écouter des histoires, aime la diversité des voix et se rappelle des histoires drôles. 

Pistes pour en favoriser l’expression : faire des présentations, aimer argumenter et persuader, faire des discours, jouer des rôles, dialoguer, écrire, faire des comptes-rendus, amorcer la conversation, écouter des enregistrements, lire des livres où il y a des dialogues.

Gilles Vigneault est un bon exemple de ce type d’intelligence.

6. L’intelligence intrapersonnelle

On la reconnaît par : l’amour de la solitude. Celui ou celle qui la possède aime réfléchir, a une bonne compréhension de ses forces et de ses faiblesses, est habile dans la définition d’objectifs et se sent bien lorsqu’il/elle est seul(e). 

Pistes pour en favoriser l’expression : écrire un journal, relaxer, apprendre sur soi-même, pratiquer des exercices de concentration, réfléchir, méditer, se réserver des temps de solitude.

Gandhi est un bon exemple de ce type d’intelligence.

7. L’intelligence musicale-rythmique

On la reconnaît par : le plaisir de faire de la musique, des sons ou des rythmes. Celui ou celle qui la possède aime fredonner, battre le rythme et parfois chanter. 

Pistes pour en favoriser l’expression : garder le rythme, assister à des concerts, utiliser une musique de fond lors de la pratique de d’autres activités, chanter, faire de la musique, écrire des chansons, se donner des slogans d’équipe, utiliser et jouer d’instruments de musique.

Paul McCartney est un bon exemple de ce type d’intelligence.

8. L’intelligence naturaliste

On la reconnaît par : l’habileté à organiser, sélectionner, regrouper, lister. 

Pistes pour en favoriser l’expression : concevoir des systèmes, structurer des idées, poser des questions, mettre les choses en ordre, regrouper les gens (selon les styles d’apprentissage, les intelligences multiples), jardiner, concevoir des décorations intérieures, faire de la recherche scientifique, enseigner, administrer, enquêter, entraîner, faire un travail d’enquête, explorer et faire des remue-méninges.

Charles Darwin est un bon exemple de ce type d’intelligence.

Attiser le désir de réussir

Tout le monde sait qu’il faut un fort désir pour atteindre nos buts ou le succès. Mais si on ne l’a pas, comment l’acquérir ?

Avant tout, qu’entend-on par  » désir brûlant” ? Ce conte vous le fera comprendre :   il était une fois un jeune homme qui voulait savoir comment avoir un fort désir d’atteindre ses buts. Il alla donc consulter un vieux sage en Chine à ce sujet. Le vieux sage ne fit que l’attraper par le cou et lui plonger la tête 30 secondes dans un grand bol d’eau.  Le jeune home tenta de se libérer, mais sans succès, puis, désespéré, fit un dernier effort et y parvint.

Le vieux Chinois lui indiqua la leçon à en tirer : au début, dit-il, tu as tenté de te libérer, mais sans succès, parce que ton désir n’était pas assez fort. Mais ensuite, ton désir est devenu très puissant, alors seulement tu as pu sortir ta tête de l’eau.  Voilà exactement le genre de désir nécessaire pour atteindre ses buts !”

Et vous : votre désir de réussir est-il aussi fort que cela ? Avez-vous un désir brûlant de vous lever le matin et de faire tout ce qu’il faut pour réaliser vos buts ?  Si oui, il n’y a qu’une chose à faire pour vous lancer à la conquête de vos rêves.

Comprenez pourquoi vous voulez ce but :

Pouvoir répondre à cette question est primordial, car sinon, notre motivation disparaît rapidement. Savoir la vraie raison pour laquelle on veut ce but-là ; vous donnera-t-il la liberté, la stabilité, la sérénité, la sécurité ? Le savoir aide à maintenir ardent ce désir de réussir que vous avez en vous et donc, à agir dans ce sens.

Le meilleur moment pour programmer votre inconscient est juste avant de dormir ; à ce moment, chaque soir, songez à votre objectif et aux raisons pour lesquelles vous voulez l’atteindre. Et, comme les émotions sont de l’énergie, ressentez-en un désir brûlant.

Programmez votre esprit au succès

Etes-vous programmé pour le succès ou l’échec ? Quelles pensées (positives ou négatives) accueillez-vous dans votre esprit ?

Toute tristesse, dépression,  frustration, ou manque d’enthousiasme en vous, résulte de votre programme interne.

Les émotions que vous ressentez maintenant sont basées sur celle-ci.

Si, donc, votre programmation est négative, vous devez en comprendre les causes, et y remédier.

Voici comment éliminer les pensées négatives et programmer votre esprit au succès :

1. Pensez à votre but et concentrez-vous sur lui :

A) Notez votre objectif principal dans la vie,

B) Planifiez vos journées avec ce but en vue (sinon, d’autres planifieront votre vie à votre place),

C) Avant de vous coucher, visualisez-vous ayant atteint votre but. Attention : durant cette visualisation, vos émotions doivent être pleines d’optimisme et de bonheur.

2. Rappel d’émotions positives :

A) Installez-vous dans un lieu tranquille et relaxez-vous,

B) Pensez à une expérience positive que vous avez vécue,

C) Restez concentré sur cette expérience positive durant plusieurs minutes,

Les acteurs font cet exercice de rappel émotionnel pour se rappeler des émotions comme la joie, le bonheur, la peur ou la tristesse. Si vous le faites juste avant de vous endormir, vous avez des chances de vous éveiller le lendemain avec des sentiments positifs.

http://bonheuretamour.wordpress.com

« Lorsque vous pensez positivement vous faites élever vos vibrations.

Vous émettez des ondes positives qui font élever vos vibrations ainsi que les vibrations de tous ceux qui vous entourent.

Votre projection de pensée positive peut être ressentie sur les êtres qui vous entourent aussi sûrement que sur vous-même.

C’est pour cela qu’il est très important d’avoir le plus souvent possible des pensées positives.

C’est la plus grande puissance.

A quoi pensez-vous en ce moment ?

Pensez-vous constamment à vos ennuis ?

Alors, ils se multiplieront.

Vous devriez plutôt penser à vos buts.

Votre cerveau ne peut retenir qu’une seule pensée à la fois.

Alors, habituez-vous donc à remplacer toutes vos pensées négatives par des pensées positives.

Voilà la raison pour laquelle avoir des buts dans la vie est si important.

Cela vous donne la possibilité de concentrer votre esprit sur des pensées positives.

Lorsque vous pensez constamment aux buts que vous désirez atteindre, votre cerveau est saturé, il n’y a donc plus d’espace pour y loger des pensées négatives.

La visualition positive peut être d’une grande efficacité dans le processus de guérison.Portez votre conscience ou votre pensée vers l’endroit que vous désirez guérir et visualisez cette partie complètement restaurée.

La pensée subconsciente ne possède pas la faculté de juger.

Elle exécute simplement les ordres qu’elle reçoit par la pensée consciente.

Si vous concentrez votre pensée sur les situations positives que vous désirez vivre, et que vous les visualiser en détail régulièrement, vous transmettrez un commandement à votre subconscient.

Une fois que vous lui avez indiqué une direction précise, votre subconscient se chargera de trouver une façon de vous faire vivre ces situations positives dans votre vie ».

Comment communiquer avec votre subconscient dans son langage ?

Un concept appuyé sur une histoire, est le meilleur moyen d’imprégner son enseignement dans l’esprit.

Je vous raconte d’abord l’histoire puis nous l’étudions ensuite.
Elle se nomme : Le Sultan qui avait perdu toutes ces dents :

Un jour, le sultan rêva qu’il avait perdu toutes ses dents.
Il se réveilla, effrayé, et fit venir un homme sage pour interpréter son rêve.
« Quel malheur ! dit le sage. Chaque dent perdue représente la perte d’un proche parent de Votre Majesté.
– Insolent ! s’écria le sultan. Comment oses-tu dire une chose pareille ? »
Le sultan appela les gardes et ordonna qu’on lui donne cent coups de fouet. Puis, il exigea qu’on appelle un autre sage, afin d’interpréter son rêve.
L’autre sage lui dit :
« Majesté, un grand bonheur vous est réservé ! Le rêve indique que vous allez survivre à tous vos proches ! »
Le visage du sultan s’éclaira et il fit donner au sage une centaine de pièces d’or.
Quand celui-ci sortit du palais, un courtisan lui demanda :
« Comment est-ce possible ? L’interprétation que tu as faite est la même que celle de ton collègue et pourtant, il a reçu des coups, alors qu’on te donne des pièces d’or !
– Rappelle-toi toujours, l’ami, dit le sage, que tout dépend de la manière dont on dit les choses.

 

Comme nous le voyons ici, le premier sage a interprété d’une façon négative le rêve,  « quel malheur », le deuxième l’ a interprété d’une façon positive: « quel bonheur ».
Comment utiliser cet enseignement dans votre quotidien et pourquoi ?

Votre subconscient est votre plus dévoué serviteur mais il ne comprend pas la négation.
Il faut vraiment que vous gardiez cette vérité à l’esprit TOUT LE  TEMPS.
Votre subconscient, EST le sultan.

Une chose est sûre, vous pouvez vous adaptez à son fonctionnement et obtenir ainsi des résultats qui vous satisfont, mais pas le contraire.
Votre subconscient ne changera pas son fonctionnement.
C’est comme votre ordinateur, il a un mode de programmation et vous devez apprendre son mode de fonctionnement pour en tirer le meilleur parti.
Vous avez dû déjà constater qu’il a toujours raison.
Mais que dés que vous l’utilisez comme il faut, il fait ce que vous voulez.

1er utilisation :  Lorsque vous utilisez les techniques de base du pouvoir de l’attraction par la répétition de phrase par exemple, vous devez définir positivement votre objectif et vos phrases doivent être tournées positivement.
Des exemples concrets:

NON :

  • Je ne veux plus de dettes
  • Je veux arrêter ce travail
  • Je ne veux pas que mon nouveau compagnon fume
  • Je ne veux plus entendre de bruit

OUI :

  • Je règle avec plaisir et facilité mes factures
  • Je trouve un emploi idéal pour moi, dans lequel je trouve épanouissement personnel et aisance financière
  • Je rencontre la personne idéale pour moi, en harmonie avec mes valeurs et ma qualité de vie
  • Je suis entouré de paix et d’harmonie et de nature

Lorsque vous parlez avec votre subconscient, c’est un appel à l’univers qui met tout en œuvre pour vous satisfaire.

Si vous êtes français et que vous voulez parler à un espagnol, vous aurez plus de chance de vous faire comprendre si vous avez appris l’espagnol et que vous lui parler en espagnol.
Si vous voulez parler à un chat, vous auriez plus de chance de vous faire comprendre en lui parlant en chat. Hormis les câlinous qui sont un langage universel.

Si vous voulez parler à l’univers, parlez son langage pour qu’il vous comprenne dans le sens que vous souhaitez et non son contraire.

Je vous redonne le secret : Il ne comprend pas la négation.

Il entend dette, il vous donne des dettes, il entend bruit, il vous donne du bruit.

Il faut bien comprendre que de toute façon, en permanence, vous êtes en conversation avec l’univers. C’est un échange permanent. Chaque micro instant de votre vie est une demande qui met en place votre instant futur. L’instant que vous vivez est déjà du passé car il est la résultante de votre demande précédente.

C’est cela qui constitue le quotidien qui vous entoure.

Donc, non seulement vous devez dire « je paye avec plaisir et facilité mes factures », mais évidemment ne pas ressentir le manque en même temps car c’est lui qui prédominera.

Si vous dites « je trouve l’emploi idéal », mais que vous ressentez l’énervement de votre emploi actuel ou l’angoisse d’être sans emploi, c’est cela qui prédominera.

Il faut une cohérence et dans vos paroles, dans vos ressentis et dans vos actions.
Chacun de ces éléments sont les vibrations de demande que vous émettez vers l’univers.

Lorsque ces 3 éléments sont en alignement, vous êtes également en alignement avec votre subconscient et l’univers et les résultats dépasseront vos espérances.

2ème utilisation : Bien sûr dans votre relationnel quotidien. Vous aurez toujours de meilleurs résultats en tournant votre communication positivement.

Exemple :

  • NON : Tu veux pas aller chercher le pain ?
  • OUI : Tu voudras bien ramener un gâteau en allant chercher le pain

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