froissé

Prend une feuille de papier et froisse-la ! ça y est ? Maintenant essaie de remettre la feuille de papier comme avant, bien lisse.. tu n’y arrives pas ? le cœur d’une personne est comme cette feuille de papier : une fois que tu lui a fait du mal, il est difficile de Le retrouver comme tu l’as connu …

Comment aider une personne déprimée

Comment aider une personne déprimée

Tristesse persistante, irritabilité, fatigue, perte de confiance en soi… l’un de vos proches, membre de la famille ou ami est dépressif. Quelle attitude adopter face à ce malaise? Nos conseils pour le comprendre au mieux et l’aider à s’en sortir.

La dépression touche plus de 3 millions de personnes et affecte des personnes de tous âges, de tous milieux sociaux, avec des styles de vie très variés. Les raisons d’un état dépressif sont multiples mais se traduisent toujours de la même manière : morosité, anxiété, fatigue, dévalorisation de soi et sentiment de culpabilité, difficulté de sommeil, isolement, désintérêt global, pensées morbides voire envies suicidaires…

Le rôle de l’entourage
La dépression est une maladie qui se guérit. D’où l’intérêt d’identifier les causes du mal-être au plus tôt pour stopper la période de crise. Généralement, la dépression se soigne en faisant appel à un spécialiste de la santé mentale tel qu’un psychologue. Cependant il faut également faire appel à son médecin si une prescription d’antidépresseurs est nécessaire. Hormis cela, l’entourage du malade a aussi une fonction prépondérante dans le processus de guérison. Il aide le dépressif à accepter sa maladie et l’épaule au quotidien. Le plus difficile reste à le comprendre, le soutenir et lui apporter du réconfort sans toutefois le brusquer.

Les attitudes à adopter

• La souffrance doit être prise au sérieux : si un proche se confie à vous, ne banalisez pas sa souffrance. Bannissez les phrases telles que « ça passera, ce n’est qu’un cap difficile ». Se sentant incompris, il aura davantage tendance alors à s’isoler et à se dire que personne ne peut l’aider, ni vous, ni un médecin.

• L’encourager à se faire suivre médicalement : vous pouvez être utile en lui conseillant ou en l’aidant à trouver un spécialiste. Si votre proche a du mal à franchir le pas, vous pouvez aussi lui proposer de l’accompagner lors du premier rendez-vous.

• Apprenez à ne pas juger : Il est également impératif d’apprendre à ne pas porter de jugement et à ne pas le culpabiliser, même si vous ne comprenez pas les raisons de son malaise. Oubliez aussi toute forme de reproches, du genre. Et bien sûr, évitez les conseils et les leçons de morales sur ce qu’il devrait faire pour reprendre sa vie en main.

• Une écoute attentive : apprenez à faire preuve de douceur, de patience et d’écoute. Laissez la personne dépressive parler à cœur ouvert même s’il ressasse et ne semble pas vous écouter. Votre soutien sera d’un réconfort infini. Par contre, mettez un point d’honneur à ne pas trop l’infantiliser, au risque de le voir devenir totalement dépendant de vous.

• Restez positive : pour la personne dépressive, l’avenir est sombre. C’est à vous de lui changer les idées même si elle ne se montre pas réceptive. Parlez-lui de votre vie, de vos occupations, faites-lui partager vos moments de joie et montrez-lui le côté positif des choses. Et surtout, encouragez-le à garder espoir en lui disant que ça ira mieux demain…

• Poussez-le à entretenir une vie sociale : il est fréquent pour un dépressif de s’isoler totalement  et de bannir tout vie sociale. C’est donc à vous de l’encourager à sortir avec vous. Sans être trop directive, proposez-lui une balade, un ciné, un resto… S’il ne faut pas être trop autoritaire, sachez néanmoins vous montrer ferme. A la place de  « préfères-tu te promener ou rester à la maison ? », dites plutôt « allez, je t’emmène faire une balade ». Si le dépressif peut se montrer récalcitrant au début, il vous remerciera certainement plus tard.

Sachez aussi vous protéger
Épauler une personne déprimée, c’est aussi se protéger de lui-même. Le dépressif a tendance à s’emparer de l’attitude positive de la personne qui le réconforte, risquant alors de le détruire « psychiquement ». Il convient donc d’apprendre à se protéger de cette « contagion ». Aider une personne déprimée est souvent fatiguant moralement et physiquement. Pensez donc à prendre soin de vous et à vous offrir quelques moments de répit et de détente.

toutefois n’oubliez pas de conseiller la personne déprimée de se rapprocher de dieu à travers la prière et la patience qui constituent la vie et la perfection du cœur, car sur le plan psychologique, les bienfaits de la prière sont innombrables; en priant, l’être humain se soumet à Dieu qui est capable de faire toute chose et toute chose ne peut se passer de Lui, et arrive conformément à ce qu’il a prescrit et à sa volonté. Ce sentiment enveloppe la vie de l’être humain dans un climat de sérénité psychique l’aidant à vivre en bonne santé physique, avec un bien être mental et avec une quiétude sensorielle.

le Prophète (pbsl) demandait souvent à Dieu de le protéger contre les soucis et la tristesse et disait : « O mon seigneur, je cherche refuge auprès de Toi contre les soucis et la tristesse, l’impuissance et la paresse, la lâcheté et l’avarice ».

 

Allah swt dit : « Ô les croyants ! Cherchez secours dans l’endurance et la Salat. Car Allah est avec ceux qui sont endurants. ».153) puis « Nous vous éprouverons par un peu de peur, de faim et de diminution de biens, de personnes et de fruits. Et fais la bonne annonce aux endurants »

La hutte en feu

La hutte en feu

Le seul survivant d’un naufrage a été emporté par les vagues sur une petite île déserte. Tous les jours, il priait pour que quelqu’un vienne le sauver, et tous les jours il scrutait l’horizon pour entrevoir le moindre signe d’aide, mais personne ne venait jamais.

Il a donc décidé de se bâtir une petite hutte avec des arbres morts et des feuilles de palmier afin de se protéger contre les intempéries, les animaux, ainsi que pour mettre à l’abri les quelques possessions qu’il avait sauvées du naufrage.
Après une semaine de travail assidu, sa hutte était complétée finie et il en était très fier. Citadin de nature, notre homme n’était pas habitué de travailler de ses mains.

À la tombée du jour, quelques jours plus tard, alors qu’il revenait de chasser pour se procurer de la nourriture, il a trouvé sa petite hutte en feu. Déjà qu’il se sentait terriblement malchanceux de se retrouver seul, égaré sur une île déserte, encore fallait-il que le pire lui arrive. Il avait tout perdu dans cet incendie. Après le choc initial, le chagrin et bientôt la colère l’ont habité. Il s’est mis à genoux sur la plage et a crié : « Mon Dieu, comment peux-tu me faire ça ? » Complètement découragé et fatigué, il s’est mis à pleurer à chaudes larmes, et il s’est endormi ainsi sur la plage.

Très tôt, le lendemain matin, il a été réveillé par le bruit d’un bateau qui approchait de son île. Il était ainsi sauvé.

Arrivé sur le bateau, il a demandé au capitaine : « Comment saviez-vous que je me trouvais ici ? »
Le capitaine de lui répondre : « Nous avons vu votre signal de fumée. »

Ne change pas ta nature si quelqu’un te fait mal ; prends juste des précautions. Les uns poursuivent le bonheur, les autres le créent. Quand la vie te présente mille raisons de pleurer, montre-lui que tu as mille raisons pour sourire. Préoccupe-toi plus de ta conscience que de ta réputation. Parce que ta conscience est ce que tu es, et ta réputation c’est ce que les autres pensent de toi…

Et ce que les autres pensent de toi… c’est leur problème.

    A l’ccasion de l’anniversaire de la naissance du Prophète Mohammad (pbsl), un petit rappel de ce que des grands savants on dit sur lui !

Environ 600 années après le départ du prophète Issa (Jésus), comme Dieu n’avait envoyé aucun autre Messager sur terre, les gens étaient plongés dans l’obscurité. Ils avaient oublié Dieu. Ils avaient oublié les bonnes paroles prêchées par les Prophètes.

Ils fabriquaient des idoles et les adoraient. Ils adoraient aussi les arbres, la mer, le soleil, la lune etc…  Ils enterraient leurs filles vivantes et brûlaient vives les veuves. Bref, le monde était dans le plus grand égarement et dans la plus grande perdition.

On avait cessé d’adorer le Dieu Unique. Il était alors nécessaire qu’un Messager vienne de la part de dieu pour guider à nouveau l’humanité vers le chemin de la Vérité.

Voici quelques témoignages des grands savants du monde sur le Prophète Mohammad (Pbsl) :

« J’ai étudié cet homme merveilleux qui, à mon avis, est loin d’être un Antéchrist, et qui devrait être appelé le Sauveur de l’humanité. J’estime que si un homme comme lui devait exercer une hégémonie sur le monde moderne, il réussirait à résoudre ses problèmes de façon à lui apporter le bonheur et la paix. En parlant de la foi de Mohammad, j’ai prédit que cette dernière serait acceptée par l’Europe de demain comme elle est déjà acceptable par l’Europe d’aujourd’hui. »
(Georges Bernard Shaw Prix Nobel de Littérature en 1925 -The Guenuine Islam, Vol. 1, N° 8, 1936)

« Le Prophète Mohammad avait établi un document qui stipulait entre autres : les juifs et les chrétiens seront protégés de toutes insultes ou vexations, ils auront les mêmes droits que les musulmans à notre protection et services, en plus, ils pratiqueront leur religion aussi librement que les musulmans. »
(Huston Smith – Citations de son livre The World’s Religions – Ed. Harper Collins, 1991, p.256)

« Il était César et le Pape réunis en un seul être ; mais il était le Pape sans avoir les prétentions du Pape, et César sans avoir les légions de César : sans armée, sans garde du corps, sans palais, et sans revenu fixe ; s’il y a un homme qui a le droit de dire qu’il règne par la volonté divine, ce serait Mohammad, puisqu’il a tout le pouvoir sans en avoir les instruments ni les supports.» (Bosworth Smith Mohammad and Mohammadanism, Londres, 1874 ; p. 92).

« La façon dont il accepta les persécutions dues à ses croyances, la haute moralité des hommes qui vécurent à ses côtés et qui le prirent pour guide, la grandeur de son œuvre ultime, tout cela ne fait que démontrer son intégrité fondamentale. La supposition selon laquelle Mohammad serait un imposteur soulève plus de problèmes qu’elle n’en résout. Cependant, aucune des grandes figures de l’histoire n’est si peu appréciée en Occident que le Prophète Mohammad » (W. Montgomery, Mohammad at Mecca, Oxford, 1953 ; p. 52).

« Certains lecteurs seront peut-être surpris de me voir placer Mohammad en tête des personnalités ayant exercé le plus d’influence dans le monde, et d’autres contesteront probablement mon choix. Cependant, Mohammad est le seul homme au monde qui ait réussi par excellence sur les deux plans : religieux et séculier. »
(Michael H., Hart The 100 : A Ranking of the Most Influential Persons in History, New York : Hart Publishing Company, Inc. 1978, p. 33).

« Et c’est une oeuvre immense, que Mohammad a accomplie, par le seul concept de l’Unique, il a soumis l’univers entier. »(Goethe, philosophe, Divan ouest oriental)

« Mohammad est réellement un personnage historique… Mohammad nous apparaît comme un homme doux, sensible, fidèle, exempt de haine. Ses affections étaient sincères, son caractère, en général, porte à la bienveillance » (Ernest Renan, écrivain, Etudes d’histoires religieuses)

« Quiconque ayant étudié la vie et la personnalité du grand prophète d’Arabie ne peut que ressentir de la vénération pour cet éminent prophète » (Annie Besant, historienne, La vie et les enseignements de Mahomet, 1932)

Ghandi a dit :  « beaucoup de gens ont embrassé l’Islam dans ces temps modernes, grâce à la simplicité du Prophète, son attachement vers les autres, son regard attentif envers sa promesse, sa dévotion intense, son intrépidité et sa confiance absolue et foi envers Dieu et sa propre mission. »

 

humour

Un prof. mange tout seul dans la cantine lorsqu’un étudiant s’assoit à sa table.

Le prof:
« Un oiseau et un cochon ne peuvent pas rester côte-à-côte »!
L’étudiant: « D’accord, alors moi je m’envole »

Le prof s’est trop énervé et a décidé de lui donner 0/20 au contrôle.
Le jour du contrôle, l’étudiant répond parfaitement à toutes les questions. Le prof lui demande:
– Imagine que t’es entrain de marcher sur un chemin et tu trouves 2 sacs: l’un est plein d’argent, et l’autre plein d’intelligence. Lequel prendras-tu ?

– L’étudiant: Le sac avec l’argent.

– Le prof: A ta place j’aurais pris le sac avec l’intelligence.

– L’étudiant: Les gens prennent ce qu’ils n’ont pas !

Le prof s’est encore beaucoup trop énervé et a pris la feuille de contrôle de l’étudiant et y écrit « connard ».

L’étudiant prend sa feuille, 2 minutes plus tard il revient vers le prof et lui dit:

– Monsieur, vous avez juste mis votre signature, mais vous n’avez pas mis de note.

L’écho

L’écho

Un père et son fils se promenaient en montagne. Soudain, le fils tombe, se fait mal et crie: “AAAhhhhhhhhhhh!!!”
A sa grande surprise, il entend une voix qui répète, dans la montagne : “AAAhhhhhhhhhhh!!!”

Curieux, il demande: “Qui es-tu?”
Il reçoit pour toute réponse: “Qui es-tu?”
Agacé par cette réponse, il crie: “Peureux!”
Et entend: “Peureux!”
Alors il regarde son père et demande:
“Qu’est-ce qui se passe, papa?”

Le père sourit et répond:

“Mon fils, écoute bien, maintenant.”
Et il crie vers la montagne: “Je t’admire!”
La voix répond: “Je t’admire!”
Il crie encore: “Tu es un champion!”
La voix répond: “Tu es un champion!”
Le garçon est surpris mais ne comprends toujours pas.

Alors le père explique :

“Les gens le nomment ECHO, mais c’est en fait la VIE. Cela te renvoie tout ce que tu dis ou fais. Notre vie est simplement le reflet de nos actions. Si tu veux plus d’amour dans le monde, commence par en avoir plus dans ton coeur. Si tu veux que ton équipe soit plus performante, commence par être plus performant. Cela marche pour tout dans notre vie. La vie te rendra tout ce que tu lui donneras.”

Votre vie n’est pas une coincidence : c’est le reflet de ce que vous pensez et faites !

Les 4 femmes

 

Il était une fois un riche commerçant qui avait 4 femmes.

La 4ème femme, C’est celle qu’il aimait le plus. Il l’ornait avec de luxueuses robes et la traitait avec délicatesse. Il prenait grand soin d’elle et ne lui offrait que le meilleur.

La 3ème femme, elle aussi il l’aimait beaucoup Il était très fier d’elle et voulait toujours la mettre en valeur auprès de ses amis. Cependant, le commerçant craignait toujours le fait qu’elle puisse partir avec un autre homme.

Il aimait aussi sa 2ème femme. C’était une personne très prévenante, toujours patiente et elle était la confidente du commerçant. Chaque fois qu’il rencontrait des problèmes, il se tournait vers elle et elle l’aidait toujours à s’en sortir.

La 1ère femme était une partenaire très loyale, elle avait aussi bien contribuée à maintenir ses richesses qu’à prendre grand soin de sa maison. Pourtant, le commerçant ne l’aimait pas beaucoup alors qu’elle, l’aimait profondément. Il lui prêtait à peine attention.

 

Un jour, le commerçant tomba malade. Il avait le pressentiment qu’il allait mourir bientôt. Il pensa à sa luxueuse vie et se disait, « maintenant j’ai 4 femmes, mais quand je mourrais, je serai seul, quel solitaire je serai ! »

Il demanda donc à sa 4ème femme : « Je t’aime le plus, je t’ai doté des plus fins habits et pris grand soin de toi. Maintenant que je meurs, voudras-tu me suivre pour me tenir compagnie ? »    –  « Nulle part ! »    Répondit la 4ème femme. Et elle s’en alla sans un autre mot. La réponse coupa le coeur du commerçant comme un couteau tranchant.

Le triste commerçant demanda alors à sa 3ème femme : « Je t’ai beaucoup aimé toute ma vie. Maintenant que je meurs, voudras-tu me suivre et me tenir compagnie? »   –   « Non ! »    Répondit la 3ème femme. « La vie est si belle ici ! Je me remarierais quand tu mourras ! » Le coeur du commerçant se brisa.

Alors il demanda à sa 2ème femme : « Je me suis toujours tourné vers toi et tu m’as toujours aidé. Maintenant j’ai à nouveau besoin de ton aide. Quand je mourrais, est ce que tu me suivras et tu me tiendras compagnie? »  – « Je suis désolée, je ne peux pas t’aider ! » Répondit la 2ème femme. « Dans le meilleur des cas, je ne peux que t’accompagner vers la tombe » La réponse tomba comme du tonnerre et le commerçant fût dévasté.

Alors appela une voix : « J’irai avec toi, je te suivrai là où tu iras ».

Le commerçant leva les yeux, ce fut sa 1ère femme. Elle était si maigre, comme si elle souffrait de malnutrition. Très touché, le commerçant disait : « J’aurais du prendre beaucoup mieux soin de toi pendant que je pouvais! » …

 

Réellement « nous avons tous 4 femmes » dans notre vie !

La 4ème femme, c’est « notre corps », nous nous donnons tant de mal pour prendre soin de lui, il sera detruit quand nous mourrons.

Notre 3ème femme c’est nos biens et nos richesses. Quand nous mourrons, Ils iront à d’autres.

La 2ème femme, c’est notre famille et nos amis. Très proche de nous comme ils l’avaient été durant notre vie, le mieux qu’ils puissent pour nous c’est de nous accompagner à la tombe.

La 1ère femme, quelque chose que nous ne pouvons pas voir, c’est notre âme.

Souvent négligée, oubliée,  dans notre quête de biens matériels et de plaisirs insatiables.

Parfumé, embellis par le bien et les bonnes actions, ou laide et nauséabonde par les péchés et mauvaises actions, c’est la seule qui nous suivra réellement là où nous irons.

C’est peut-être une bonne idée de l’éduquer, la cultiver et la fortifier maintenant, plutôt que d’attendre jusqu’à ce que nous soyons sur notre lit de mort pour le regretter. Non ?

Réaliser l’Amour

Fonds D'écran Couple

« Quand je suis rentré ce soir-là, et que ma femme a servi le dîner, je lui tenais la main et dit: J’ai quelque chose à vous dire. Elle s’assit et mangea tranquillement. Encore une fois j’ai observé la douleur dans ses yeux.

Tout à coup, je ne savais pas comment ouvrir ma bouche. Mais je devais lui dire ce que je pensais. « Je veux divorcer ». J’ai soulevé le sujet calmement. Elle ne semblait pas être ennuyé par mes paroles, bien au contraire elle me demanda doucement : pourquoi?

J’ai évité la question. Cela la mit en colère. Elle a jeté les couverts et me cria : tu n’es pas un homme! Cette nuit-là, on ne s’est pas parlé l’un l’autre. Elle pleurait. Je savais qu’elle voulait savoir ce qui était arrivé à notre mariage. Mais je ne pouvais lui donner une réponse satisfaisante, elle avait perdu mon cœur, car il s’était tourné vers Jane. Je ne l’aimais pas du tout, j’avais juste pitié d’elle!

Avec un profond sentiment de culpabilité, j’ai rédigé une lettre de divorce, qui stipulait qu’elle pouvait avoir notre maison, notre voiture, et 30% du capital de ma société. Elle la regarda, puis la déchira en mille morceaux. La femme qui avait passé dix ans de sa vie avec moi était devenue une étrangère. J’étais désolé pour elle et pour la perte de temps, de ressources et d’énergie, mais je ne pouvais pas reprendre ce que j’avais dit car j’aimais Jane chèrement. Enfin, elle a crié haut et fort en face de moi, et c’est ce que je m’attendais à voir. Pour moi son cri était en fait une sorte de libération. L’idée d’un divorce qui m’avait obsédée pendant plusieurs semaines semblait être plus ferme et plus clair maintenant.

Le lendemain, je suis rentré très tard et l’ai trouvée entrain d’écrire quelque chose à la table. Je n’ai pas pris le souper, mais je suis allé directement au lit et m’endormi très vite parce que j’étais fatigué après une journée bien remplie avec Jane. Lorsque je me suis réveillé, elle était toujours là au bureau. Je n’y ai pas prêté attention, je me suis retourné et ai encore dormi.

Dans la matinée, elle a présenté ses conditions de divorce: elle ne voulait rien de moi, mais elle avait besoin d’un mois de préavis avant le divorce. Elle a demandé que, dans cette période d’un mois nous aurons tous deux à lutter pour vivre une vie aussi normale que possible. Ses raisons sont simples: notre fils aura ses examens dans un mois, et elle ne voulait pas lui perturber le morale par notre mariage brisé.

Ce fut agréable pour moi. Mais elle avait quelque chose de plus, elle m’a demandé de me rappeler comment je l’avais transporté dans la chambre nuptiale le jour de notre mariage. Elle a demandé que tous les jours pendant la durée du mois, je l’emmène hors de notre chambre à la porte chaque matin. Je croyais qu’elle devenait folle. Afin de rendre nos derniers jours d’ensemble agréables, j’ai accepté sa demande bizarre.

J’ai parlé à Jane des conditions de divorce de ma femme. . Elle éclata de rire, et trouva cela absurde : « Peu importe les méthodes qu’elle appliquera, elle doit faire face au divorce », dit-elle avec mépris.

Ma femme et moi n’avions pas eu de contact de corps depuis que mon intention de divorce a été explicitement exprimée. Donc quand je l’ai portée le premier jour, nous avons tous deux paru maladroits. Notre fils applaudit derrière nous disant : « papa tient maman dans ses bras. » Ses paroles m’ont apporté un sentiment de douleur. De la chambre au salon, puis à la porte, j’ai marché plus de dix mètres avec elle dans mes bras. Elle ferma les yeux et dit doucement, ne dis rien à notre fils au sujet du divorce. J’ai hoché la tête, me sentant quelque peu bouleversé. Je l’ai posée devant la porte. Elle est allée à attendre le bus pour aller au travail. J’ai conduit seul et partis au bureau.

Le deuxième jour, nous l’avons fait beaucoup plus facilement. Elle se pencha sur ma poitrine. Je pouvais sentir le parfum de son chemisier. J’ai réalisé que je n’avais pas regardé cette femme attentivement pendant une longue période. J’ai réalisé qu’elle n’était pas jeune non plus. Il y avait des fines rides sur son visage, ses cheveux grisonnaient! Notre mariage avait fait des ravages sur elle. Pendant une minute, je me suis demandé ce que j’avais fait d’elle.

Le quatrième jour, quand je l’ai soulevée, j’ai senti au retour un sentiment d’intimité. Ce fut la femme qui avait donné dix ans de sa vie pour moi. Le cinquième jour, et le sixième, j’ai compris que notre sentiment d’intimité renoué était croissant. Je n’ai rien dit à Jane à ce sujet. Il est devenu plus facile de la porter au fur et mesure que le mois s’écoulait. Peut-être que la séance d’entraînement quotidienne m’a rendu plus fort.

Et un matin, elle se mit à chercher quoi porter. Elle a essayé pas mal quelques robes mais ne pouvait pas trouver une qui la convienne. Puis elle soupira : « toutes mes robes ont grandi ». J’ai soudain réalisé qu’elle avait tellement maigri, c’était la raison pour laquelle je pouvais la porter plus facilement.

Tout à coup, cela m’a frappé … elle avait enduré tant de douleur et d’amertume dans son cœur. Inconsciemment, j’ai tendu la main et toucha sa tête.

Notre fils est venu en ce moment et dit: Papa, il est temps de porter maman. Pour lui, voyant son père portant sa mère était devenue une partie essentielle de sa vie. Ma femme fit un geste à notre fils de venir plus près et le serra étroitement. Je tournais mon visage parce que j’avais peur, je pourrais changer d’avis à la dernière minute. Je l’ai alors prise dans mes bras, marchant de la chambre, à travers le salon, dans le couloir. Elle mit doucement et naturellement ses mains autour de mon cou. Je l’ai serrée contre moi. C’était comme le jour de notre mariage.

Mais son poids beaucoup plus léger m’a rendu triste. Le dernier jour, lorsque je l’ai tenue dans mes bras, je pouvais à peine bouger d’un pas. Notre fils était allé à l’école. Je l’ai tenue fermement et lui dit: Je n’avais pas remarqué que notre vie manquait d’intimité. J’ai conduit et suis allé au bureau …. J’ai sauté de la voiture rapidement sans verrouiller la porte. J’avais peur qu’il soit tard pour moi de changer d’avis … Je pris les escaliers. Jane ouvrit la porte et je lui ai dit, Désolé, Jane, je ne veux plus de divorce.

Elle me regarda, étonnée, puis toucha mon front : « As-tu de la fièvre? » Dit-elle. J’ai enlevé sa main de ma tête : « Désolé, Jane », je dis, « je ne vais pas divorcer. Ma vie conjugale était ennuyeuse sans doute parce qu’elle et moi n’avions pas valorisé les détails de nos vies, et non parce que nous ne nous aimions plus. Maintenant je me rends compte que depuis que je l’ai amenée à mon domicile le jour de notre mariage, je suis censé la garder jusqu’à ce que la mort nous sépare ». Jane semblait soudainement se réveiller. Elle m’a donné une claque forte puis claqua la porte et fondit en larmes. Je descendis et m’en allais. À la boutique de fleurs sur le chemin, j’ai commandé un bouquet de fleurs pour ma femme. La vendeuse m’a demandé ce qu’elle pouvait écrire sur la carte. J’ai souri et j’ai écrit : Je te porterais chaque matin jusqu’à ce que la mort nous sépare.

Ce soir je suis arrivé à la maison, des fleurs dans mes mains, un sourire sur mon visage. Je montais les escaliers, mais seulement, hélas, pour trouver ma femme dans le lit, morte. Ma femme avait été lutté contre le cancer depuis des mois et j’ai été tellement occupé avec Jane, que je n’ai même pas remarqué. Elle savait qu’elle allait mourir bientôt et elle a voulu me sauver de la réaction négative de notre fils, au cas où nous aurions divorcé. Du moins, aux yeux de notre fils – je suis un mari aimant … .

Les petits détails de votre vie sont ce qui importe vraiment dans une relation. Ce n’est pas la maison, la voiture, la propriété, l’argent à la banque. Ceux-ci créent un environnement propice pour le bonheur mais ne peut pas donner le bonheur en eux-mêmes.

Donc, trouver du temps pour être l’ami de votre conjoint et de faire ces petites choses pour l’autre qui construisent l’intimité. Faire un vrai mariage heureux!

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Si vous le faites, vous venez peut-être de sauver un mariage. Beaucoup d’échecs de la vie sont dus au fait que les gens ne se rendent pas compte à quel point ils étaient près du succès au moment où ils ont abandonné. ♥

La personne qui envoie des pensées positives agit positivement sur le monde autour d’elle, et attire vers elle des résultats positifs.
Norman Vincent Peale