OBSTACLE SUR LA ROUTE

Il y a très longtemps, un roi fit placer un gros rocher sur une route. Puis, il se cacha et attendit pour voir si quelqu’un enlèverait l’énorme rocher. Quelques-uns des marchands et courtisans les plus riches du royaume passèrent par-là et firent tout simplement le tour du rocher. Plusieurs d’entre eux en profitèrent pour accuser le roi de négliger les routes, mais aucun ne fit quoi que ce soit pour enlever le rocher du chemin. Puis, un paysan passa par-là avec une grosse caisse de légumes. En approchant du rocher, le paysan déposa son fardeau et essaya de pousser le rocher vers le fossé. Après beaucoup d’efforts, il finit par réussir. Lorsqu’il se pencha pour reprendre sa caisse de légumes, il aperçut une bourse par terre, à l’endroit même où était le rocher. La bourse contenait plusieurs pièces d’or et une note écrite par le roi, dans laquelle il disait que l’or appartenait à la personne qui avait enlevé le rocher. Le paysan venait d’apprendre ce que beaucoup de gens ne comprennent jamais : chaque obstacle nous donne l’occasion d’améliorer notre sort.

«Quand vous pressez une orange, du jus d’orange en sort parce que c’est ce qu’il ya dedans. Le même principe est applicable pour vous. Quand quelqu’un vous presse telle une orange, ce qui en sort est ce qu’il ya dedans. Si vous n’aimez pas ce qu’il ya dedans alors vous pouvez le modifier en changeant vos pensées intérieures « .

Wayne Dyer

Traite chaque personne que tu rencontres comme si elle était la personne la plus importante que tu rencontreras ce jour-là

Roger Dawson

Trop souvent, nous sous-estimons souvent le pouvoir d’un contact, d’un sourire, d’un mot gentil, d’une oreille attentive, d’un compliment sincère, ou d’une moindre attention ; ils ont tous le pouvoir de changer une vie.

trop souvent, nous sous-estimons le pouvoir d’un sourire, d’une parole, d’une parole d’encouragement, d’une oreille attentive, d’un compliment ou d’un petit coup de main. ces gestes ont en effet le pouvoir de transformer le monde entier, une vie à la fois

La fête du sacrifice ou Aïd al-Adhâ, un acte spirituel et social

 

Chaque acte d’adoration, en islam, possède deux aspects indissociables. Le premier, spirituel, contribue à affermir le croyant dans sa relation à Dieu, et le second, social, permet de concrétiser l’unité des croyants à laquelle aspirent les musulmans. On retrouve ainsi ces deux aspects aussi bien dans l’accomplissement de la prière quotidienne en groupe, que dans la pratique du jeûne ou encore de l’aumône. Il en va même pour le sacrifice de Aïd-el-Adha, qui représente la Grande Fête des musulmans, point culminant du pèlerinage à la Mecque, et qui symbolise la soumission totale d’Abraham et, par extension, de tout croyant à Dieu.

La fête du sacrifice a lieu le 10ème jour du mois de Dhou al Hijja, dernier mois du calendrier musulman, et marque la fin du pèlerinage à La Mecque.

Les musulmans doivent égorger un mouton pour commémorer le sacrifice d’Abraham, dans les années 2000 avant JC. Les juifs commémorent le sacrifice d’Abraham lors du nouvel an.

Selon le Coran, Abraham, envoyé de Dieu, obéissant à un commandement divin, s’apprêtait à sacrifier son fils unique Ismaël, né de son épouse Agar (Hajar en arabe), ex-servante de sa première épouse Sarah, lorsque l’archange Gabriel remplaça Ismaël par un mouton. L’événement se situerait à proximité de La Mecque et, par sa soumission à Dieu, Abraham est considéré comme le premier des musulmans.

Selon la Bible, Abraham est un descendant de Noé. Obéissant à Dieu, il s’apprêtait à sacrifier son fils Isaac, né de sa vieille épouse Sarah, ainsi que trois anges le leur avaient annoncé. Abraham avait alors chassé dans le désert sa servante Agar et leur fils unique Ismaël. L’intervention de Dieu avait sauvé Isaac et l’événement se situerait à Jérusalem.

La bête à sacrifier ne doit pas être tuée, ni même assommée, avant la saignée, qui doit se faire avec un couteau parfaitement effilé et sans exercer la moindre pression, en coupant la trachée-artère et œsophage.

Selon la loi islamique, c’est au chef de famille, qui peut déléguer à un sacrificateur reconnu, d’accomplir la tâche sacrificielle, le mouton couché sur le flanc gauche, la tête tournée vers La Mecque. Il ne peut opérer qu’après la prière de l’Aïd, qui se déroule environ vingt minutes après le lever du soleil, suivie d’un prêche de l’imam.

De même, l’islam a instauré le rite du sacrifice pour que le musulman en dépense pour sa famille, ses proches, et les nécessiteux. C’est ainsi qu’est distribué le sacrifice : un tiers pour la consommation personnelle, un tiers pour se le partager entre voisins et proches et un tiers pour les pauvres. Plus la part des pauvres est grande, plus cela est méritoire. Dieu dit : « Mangez-en vous-même et faites-en manger le pauvre » (Sourate 22 : verset 27).

Cette largesse n’est pas limitée aux pauvres musulmans mais englobe les nécessiteux parmi les non-musulmans.

La dimension humaniste de cette fête se manifeste également à travers les vœux que les musulmans s’adressent mutuellement, mettant ainsi fin aux disputes et aux rancunes, réformant, à l’occasion, les liens de fraternité.

elle doit être un moment de pardon et de réconciliation. Le musulman se doit, ce jour-là, de rechercher ses proches, ses parents, ses frères et sœurs, ses voisins afin de rétablir les liens avec ceux qui les ont rompus, de faire acte de charité envers ceux qui ont refusé de la lui accorder, de faire preuve de pardon à l’égard de ceux qui ont fait preuve d’injustice à son encontre. Telles sont les nobles caractères que le Prophète (PBSL) est venu accomplir : « Je n’ai été envoyé qu’afin d’accomplir les nobles caractères » (Rapporté par Malik).

il s’agit donc d’une commémoration, afin que l’histoire des Prophètes ne tombe pas dans l’oubli. Une revivification, de la relation au Créateur par la célébration de la prière et le geste du sacrifice. De la joie, et de la bonne humeur pour que l’amour fraternel garde son intensité… et peut-être avant tout, une réflexion sur le sens de notre existence et sur la nécessaire solidarité qui confère à l’humanité toute sa spécificité et sa noblesse.

Tire bénéfice de cinq choses avant cinq choses : – ta vie avant ta mort, ta santé avant ta maladie, ton temps libre avant ton activité, ta jeunesse avant ta vieillesse, ta richesse avant ta pauvreté.

« Il est deux bienfaits que beaucoup de gens n’apprécient pas à leur juste valeur : La santé et le temps libre »

Le prophete Mohammad

 

la santé est une couronne posée sur la tête des bien-portants que seuls les malades voient, et le temps libre est un trésor pour qui le détient, chose que ne voient que les personnes débordées d’activités…

Il était une fois une course de grenouilles…

L’objectif était d’arriver tout en haut d’une grande tour.

Beaucoup se rassemblèrent pour les voir et les soutenir…
Et la course commença.

En fait, les gens ne croyaient pas possible que les grenouilles atteignent la cime et toutes les phrases que l’on entendirent furent : « Impossible !!! » …« Elles n’y arriveront jamais… !!! »

Les grenouilles commencèrent peu à peu à se décourager…

Toutes, sauf une qui continua de grimper et les gens de poursuivre : « Vraiment pas la peine !!! » « Elles n’y arriveront jamais !!! »

Toutes les grenouilles s’avouèrent vaincues sauf une, toujours la même, qui continua à grimper envers et contre tout. Toutes abandonnèrent donc sauf cette grenouille qui, seule et au prix d’un énorme effort, atteint la cime.

Les autres, stupéfaites, voulurent savoir comment elle, elle, y était arrivée. L’une d’entre elle s’approcha pour lui demander comment elle avait terminé l’épreuve et découvrit… qu’elle était sourde !!!

Moralité :

N’écoutez jamais les personnes qui ont l’habitude d’être négative, car elles enlèvent les meilleurs espoirs de votre cœur !

Rappelez-vous du pouvoir qu’ont les mots que vous entendez ou que vous lisez !

Soyez toujours positif !

Le roi d’un pays lointain reçut un jour comme offrande deux jeunes faucons qu’il remit sans tarder au fauconnier pour qu’il les dresse.
Au bout de quelques mois, le roi demanda au maître fauconnier des nouvelles concernant le dressage des deux précieux oiseaux.
Celui-ci l’informa qu’un des deux faucons répondait parfaitement au dressage, mais que l’autre n’avait pas bougé de la branche où il l’avait posé le premier jour.
Le roi fit venir des guérisseurs de toutes sortes pour qu’ils voient le faucon, mais personne n’arriva à faire voler l’oiseau. Il confia alors la mission aux membres de la cour, mais rien de plus ne se passa…
Désespérer, le roi décida de faire savoir à son peuple qu’il donnerait une juteuse récompense à la personne qui arriverait à faire voler le faucon. Et dès le lendemain matin, il vit le faucon en train de voler élégamment devant les fenêtres du palais.
Le roi dit à sa cour : « Amenez-moi l’auteur de ce miracle ! ». Et un modeste paysan se retrouva alors devant lui.
Le roi lui demanda : « C’est toi qui as fait voler le faucon ? Comment as-tu fait ? Est-ce que tu es magicien ?
Intimidé, le paysan dit au roi : « Ce n’est pas de la magie ni de la science, Majesté, j’ai juste coupé la branche et le faucon a volé. Il s’est rendu compte qu’il avait des ailes et il a commencé à voler. »
La légende raconte que depuis ce jour, le faucon vola librement et sans restriction aucune et le roi simplement prenait plaisir à le regarder…
Et vous les Amis à quoi êtes-vous accroché ? Qui vous empêche de voler ? De quoi ne pouvez-vous pas vous détacher ? Nous sommes installés dans une zone de confort à l’intérieur de laquelle nous vivons et nous croyons que c’est la seule chose qui existe.
À l’intérieur de cette zone se trouve tout ce que nous savons et croyons… Nous cohabitons avec nos valeurs, nos peurs, et nos limites. Nous avons des rêves, nous voulons de résultats, nous cherchons des opportunités, mais nous ne sommes pas toujours prêts à prendre de risques et à emprunter des chemins difficiles.
Arrêtez de vous accrocher à votre propre branche et prenez le risque de voler plus haut.

 »J’ai été violée à l’âge de 9 ans « – OPRAH WINFREY

« Je n’ai même pas terminer mes études universitaires» – BILL GATES

« J’avais l’habitude de servir le thé dans un magasin afin de soutenir ma formation de football » – LIONEL MESSI

« J’avais l’habitude de dormir sur le sol de la chambre chez des amis et recycler des bouteilles de Coca pour la nourriture, l’argent, et d’obtenir des repas gratuits chaque semaine dans un temple local » – STEVE JOBS

« Mes professeurs avaient pour habitude de m’appeler  » échec » » – TONY BLAIR

« J’étais en prison pendant 27 ans » – Retraité Président NELSON MANDELA

 

La vie n’est pas ce que vous avez fait jusqu’à aujourd’hui mais c’est ce que vous pouvez encore en faire ! A partir d’aujourd’hui ! Peu importe le point de départ et le chemin emprunté, seul l’arrivée comptera. N’abandonnez jamais !!!

« La gentillesse est un signe de foi, et quiconque ne sait pas faire preuve de gentillesse n’a pas de foi » [ Rapporté par Muslim ]

« Tu seras aimé le jour où tu pourras montrer tes failblesses sans que l’autre s’en serve pour augmenter sa force  »

Cesare Paves, tirée de « la fille de papier » de G.Musso

 

<<Rien n’est impossible,seules les limites de nos esprits définissent certaines choses comme inconcevables.Il faut souvent résoudre plusieurs équations pour admettre un nouveau raisonnement.C’est une question de temps et des limites de nos cerveaux.Greffer un coeur,faire voler un avion de trois cent cinquante tonnes,marcher sur la lune a dû demander beaucoup de travail,mais surtout de l’imagination. Alors quand nos savant si savants déclarent impossible de greffer un cerveau,de voyager à la vitesse de la lumière, de cloner un être humain, je me dis que finalement ils n’ont rien appris de leurs propres limites, celles d’envisager que tout est possible et que c’est une question de temps, le temps de comprendre comment c’est possible.>>

Marc Levy

 

La vie est un peu à l’image de ce couloir d’hôpital. Derrière chaque porte se niche une
existence. Nous avançons à la recherche des êtres qui nous aideront à construire notre vie : notre amour, nos amis. Certains, chanceux ou avertis, connaissent les chambres dans lesquelles les
découvrir. D’autres ne savent pas et restent éternellement à errer sans oser toquer ici ou là.Et s’ils ouvrent l’une d’entre elles, ils se montrent
incapables de questionner, de s’intéresser vraiment à celles et ceux qui leur font face et repartent dériver vers d’improbables rencontres.
Pourquoi ? Parce qu’ils ne savent pas ce qu’ils cherchent. Parce qu’ils ne savent plus qui ils sont.
Selon moi, chaque porte ouverte, chaque rencontre, est suscitée par le destin et doit nous apprendre quelque chose..
Si un jour la vie t’arrache à moi – Thierry Cohen