Comment les aliments peuvent-ils affecter votre sommeil

traitement insomnie

Ce sont les personnes préoccupées par leur travail qui ont le plus de mal à trouver le sommeil. L’épuisement et l’emploi du temps chargé auquel elles sont obligées de faire face les empêchent de bien dormir au quotidien. Si vous êtes l’une de ces personnes, il est impératif que vous trouviez une solution à votre insomnie, car celle-ci peut se révéler un jour ou l’autre une cause de mal-être et finalement de maladie.

Ce qui peut représenter un facteur essentiel dans les troubles du sommeil est parfois lié à l’alimentation. Certains aliments peuvent contenir des ingrédients qui perturbent l’équilibre hormonal de la personne. Si vous pensez que vos troubles du sommeil sont liés à votre alimentation, essayez d’en parler à un nutritionniste ou à votre médecin. Mais vous pouvez aussi commencer par noter sur une ou plusieurs journées ce que vous mangez et les heures auxquelles vous mangez.

Faites une liste de tous les aliments que vous avez l’habitude de consommer, y compris les boissons. De cette façon, vous pourrez trouver ceux qui sont responsables de votre manque de sommeil. Voici une liste de quelques-uns de ces aliments :

1. Manger de trop, surtout le soir, peut suffire à empêcher le sommeil.En effet, la cause principale de l’insomnie provient le plus souvent d’une mauvaise alimentation. Ajouté à la surconsommation de nourriture, particulièrement le soir avant de se coucher n’arrange rien. La digestion étant active, elle empêche l’organisme de se mettre au repos. Les spécialistes disent que lorsqu’une personne a trop mangé, son estomac subira une digestion très lente. Trop de nourriture bouscule le système digestif et peut occasionner des ulcères.

2. Éviter les aliments qui contiennent trop de matières grasses. Les spécialistes sont formels, une alimentation grasse provoque de sérieux problèmes d’estomac et ne facilite en rien la digestion. Quand on veut bien dormir, manger en petite quantité le soir reste la solution la plus efficace.

3. Trop d’aliments épicés ou acides provoquent l’insomnie. En effet, vous risquez de souffrir de brûlures d’estomac et de ne pas supporter la position allongée. De ce fait, vous ne parviendrez pas à dormir et reculerez votre sommeil jusqu’à la fin de votre digestion. Cela peut donc retarder votre nuit de 2 à 8 heures.

4. Trop d’alcool tue le sommeil. Certaines personnes disent que l’alcool les aide à mieux dormir, mais c’est bien le contraire qui risque de se produire à long terme, donc vaut mieux éviter  l’alcool.

5. Les aliments qui contiennent de la caféine sont évidemment à proscrire avant la nuit. Si vous êtes enclin à l’insomnie, évitez les aliments et les boissons qui contiennent de la caféine. Le café, les chocolats, les sodas et certains thés peuvent perturber votre sommeil. Les remèdes simples, comme ceux que l’on vous préconise vous empêcheront d’en venir à des médicaments. Si vous n’arrivez pas à réduire l’alcool, les excitants, les nourritures abondantes et grasses, il y a de fortes probabilités pour que vous ayez un jour ou l’autre recours à des somnifères.

3 techniques simples pour vous calmer rapidement lorsque vous êtes nerveux

Quels sont vos premiers souvenirs d’un moment assez désagréable ? Désagréables puisque vous étiez nerveux.

Un match de football important, à la fin de l’année, pour désigner le premier du championnat ? Un exposé à faire devant un amphithéâtre bondé ? Le jour de l’examen pour votre permis ? Votre premier entretien pour obtenir un travail ?

Les exemples sont nombreux et dans chacune de ces situations, connaître les astuces afin de se détendre n’aurait pas été du luxe.

Bien que le fait d’être nerveux ne soit jamais très agréable, c’est quelque chose de tout à fait naturel qu’il faut apprendre à maîtriser pour que cela ne devienne pas un handicap.

Etre paralysé par la peur arrive à de nombreuses personnes et dans ce cas, il est important d’avoir en tête quelques astuces pour faire retomber la pression.

Ne laissez pas vos nerfs prendre le contrôle

En voici quelques-unes.

  • Apprendre à bien respirer. Cela peut paraître « bête » comme conseil, mais de nombreuses personnes ne le font pas. Le simple fait de se concentrer sur votre respiration vous permet d’oublier tout le reste et dans votre cas c’est une grande aide pour chasser vos mauvaises pensées. Ce n’est pas pour rien que la méditation est conseillée pour se relaxer avec notamment de nombreux exercices de respiration.
  • Si on prend l’exemple d’un discours à prononcer devant une assemblée ou un compte-rendu devant ses supérieurs. En général, le stress monte doucement jusqu’à atteindre son paroxysme quelques minutes avant de prendre la parole. Qu’est-ce qui se passe ensuite lorsque vous commencez votre discours ? La pression retombe d’un coup et vous êtes de nouveau dans votre état « normal ». Vous savez que cela va se passer ainsi alors, pourquoi stressez-vous quelques minutes avant ? Ne pensez pas aux quelques minutes qui restent avant votre discours, mais plutôt à ce que vous allez dire.
  • N’hésitez pas à vous encourager pour vous donner confiance. Si vous savez que votre travail est bon, si vous savez que vous avez mis toutes les chances de votre côté pour réussir ce qui vous attend dans quelques minutes, alors vous pouvez avoir confiance en vous. Vous ne devez pas douter de vos capacités.

Etre sûr de soi, être sûr de son travail accompli permet déjà d’améliorer la confiance que l’on peut avoir. Ajouter à cela un travail respiratoire afin de se vider l’esprit quelques minutes avant le grand saut vous permettra d’être le plus serein possible.

Comment faire pour que votre attitude devienne votre alliée ?

Attitude positive

Afin d’obtenir tout le bénéfice d’une attitude positive, vous devez d’abord apprendre à faire en sorte que votre attitude devienne votre principale alliée.

Votre attitude affecte votre vie et ce qui vous arrive. Si vous êtes plutôt une personne pessimiste, alors la première étape à réaliser est de modifier votre façon de penser.

Vous devez avoir confiance dans l’idée que cette attitude positive vous permet d’obtenir des résultats positifs et pour cela il suffit d’en rechercher des preuves.

Le plus simple est de faire une petite expérience : essayez, durant une journée entière, d’avoir une attitude positive et notez les réactions des autres personnes à votre égard.

Sont-elles plus conviviales ? Les personnes semblent-elles vous parler ou vous aider plus que d’habitude ? Quelles autres choses se produisent pendant cette journée ?

Adoptez une attitude positive

Vous pourrez remarquer que ce simple changement d’attitude a un impact positif sur votre entourage et que cette attitude peut réellement influencer votre vie.

Modifier votre attitude a un impact sur vos idées, votre façon de penser, vos gestes, le langage corporel et même sur vos objectifs.

Vous devrez faire un effort pour modifier toutes vos pensées et vos idées en des pensées et idées positives. Commencez par chasser vos mauvaises pensées de votre tête et laissez-vous guider par des pensées positives.

Votre langage corporel en dit beaucoup sur vous, votre attitude, votre personnalité… C’est pourquoi il est extrêmement important de s’assurer que votre langage corporel soit également positif.

Les mouvements de votre corps, la façon dont vous vous tenez, vos expressions faciales trahissent vos pensées et ce que vous ressentez. Dans certaines circonstances, le langage de votre corps peut même contredire vos paroles.

Avoir un langage corporel positif signifie être ouvert aux autres. Par exemple, vous ne devez pas croiser les bras, comme si vous vous protégiez des autres personnes. Lorsque vous parlez avec quelqu’un, regardez-le droit dans les yeux afin de montrer que vous êtes sûr de vous. Peut-être que le meilleur exemple pour le langage corporel reste encore le sourire. C’est un message positif que vous adressez directement à votre entourage et cela vous permet de vous détendre et de vous sentir bien dans votre peau.

Les objectifs sont importants dans tous les aspects de votre vie, car ils peuvent vous aider à faire avancer les choses. Se fixer des objectifs et réussir à les atteindre vous aidera à maintenir une attitude positive.

5 petites règles à respecter pour apprendre à écouter

Il y a des règles dans la communication, comme dans tout autre jeu. Je vais vous donner immédiatement quelques-unes de ces règles pour qui veut devenir un spécialiste de l’écoute :

-Soyez toujours attentifs. Nous avons trop tendance à n’écouter que d’une oreille, trop préoccupés par nos propres pensées et à préparer ce que nous allons dire ou faire. Écoutez vraiment, soyez attentifs, oubliez-vous un peu !

-Ne coupez jamais la parole. Vous n’avez pas remarqué ? Il y a des gens qui ont le chic pour couper les gens en pleine conversation afin de faire entendre leur propre point de vue. Rien n’est plus horripilant que cette attitude, et si vous faites partie de “ces gens-là”,amendez-vous rapidement ! Si votre interlocuteur ne cesse de pérorer à l’infini et qu’il vous agace fortement, vous pouvez très bien le lui faire comprendre… gentiment.

-Ne vous précipitez pas pour donner votre avis, un conseil, une opinion… Les gens parlent pour qu’on les écoute et non pour trouver un guide spirituel ou une aide pratique. Vous devez laisser l’autre s’exprimer librement et n’intervenir que s’il le souhaite et vous le fait comprendre.

-Si vous souhaitez que l’on vous écoute… apprenez d’abord à écouter ! Cela paraît évident, mais, il faut croire que ça ne l’est pas tant que ça en fin de compte !

-Intéressez-vous vraiment à ce que l’on vous dit, prenez-le en compte. Les gens sont toujours focalisés sur eux-mêmes, c’est une particularité humaine à laquelle personne n’échappe !

« Le commencement de bien vivre, c’est de bien écouter. » (Plutarque)

Pour être efficace et performant, vous devez vous sentir valorisé

Pour être efficace et performant, vous devez vous sentir valorisé

La confiance en soi est un ingrédient essentiel à toute réussite. En fait, plus votre confiance et votre estime de vous-même sont fortes, plus vous êtes motivé, performant et efficace, et ce, dans tous les aspects de votre vie, tant au niveau professionnel que personnel. C’est votre estime de soi qui vous permet d’oser sortir de votre zone de confort, de faire les choses différemment, de persévérer et de chercher à vous dépasser, autrement dit, à vous propulser vers l’avant dans la réalisation de vos rêves et de vos objectifs.

Pour avoir une solide estime de soi et une grande confiance en soi, vous devez vous sentir valorisé, c’est-à-dire percevoir que vous êtes quelqu’un d’important, qui a beaucoup de valeur et qui est aimé et apprécié. Il faut être prudent avec la confiance, car elle peut devenir de l’arrogance : la ligne est mince. Autant la confiance peut vous propulser vers les plus hauts sommets, autant l’arrogance peut vous couler profondément.
Se sentir valorisé ne se mesure pas par un oui ou par un non, c’est plutôt une notion relative, c’est-à-dire que la valorisation peut être augmentée ou diminuée en tout temps. Quand vous étiez jeune, vos parents ont certainement eu une grande influence sur votre niveau de valorisation, mais maintenant, il est de votre responsabilité de voir à ce que cette valorisation continue de progresser.

Alors, quelles sont les actions à entreprendre pour améliorer votre propre valeur et ainsi augmenter vos chances de réaliser vos rêves et atteindre les objectifs que vous visez? Votre valorisation provient de trois éléments : de l’intérieur de vous-même, des autres envers vous et de vous-même envers les autres. Analysons ces trois sources de valorisation.

De l’intérieur de vous-même : Votre valeur grandit quand vous accomplissez des travaux qui vous passionnent, qui vous stimulent et que vous trouvez intéressants. Pourquoi est-ce ainsi? C’est parce qu’en travaillant dans des activités qui vous passionnent, vous n’avez pas l’impression de travailler aussi fort, les tâches sont moins fatigantes, vos sacrifices sont plus acceptables et, comme résultat, vos efforts vous poussent à vous dépasser. Étant donné le niveau de concentration et d’intensité que vous y mettez, il vous est beaucoup plus facile de persévérer pendant des heures dans ce que vous entreprenez. En conséquence, vous obtenez des résultats beaucoup plus percutants et vous êtes ainsi beaucoup plus fier de vous.
Du comportement des gens envers vous : L’opinion favorable des personnes que vous côtoyez contribue grandement à faire grandir votre estime de vous-même, et ce, que ce soit au travail (patrons, employés, collègues, clients, fournisseurs, etc.) ou à la maison (famille, amis, voisins, etc.). Est-ce que votre entourage vous fait confiance, vous motive, vous remercie et vous soutient dans vos actions? Plus les gens qui vous entourent vous expriment leur considération par de bons mots, par des remarques constructives et par une attitude positive, plus cela contribue à vous sentir valorisé.
Lorsqu’une personne :

– vous encourage,

– passe une remarque d’appréciation sur vos bons coups,

– vous félicite non seulement pour vos exploits, mais aussi pour les petits gestes que vous faites,

– vous écoute avec empathie,

– vous estime et vous aime avec sincérité,

– etc.,

alors, votre valorisation s’accentue et vous êtes prédisposé à vous dépasser dans tout ce que vous osez entreprendre.

Votre propre comportement envers les autres : Si l’approche qui est citée précédemment est bonne pour les autres, elle est également bonne pour vous, en ce sens qu’il est important que vous agissiez de la même façon envers les gens. Plus vous valorisez les autres, plus vous vous sentez vous-même valorisé, car vous contribuez à aider quelqu’un à devenir meilleur et plus heureux. Prenez comme bonne habitude d’encourager ceux qui vous côtoient et faites-vous un devoir de toujours leur exprimer votre appréciation.
Il est rare de rencontrer des gens qui ont développé l’habitude d’encourager et de féliciter régulièrement les autres avec sincérité parce que l’être humain est plus enclin à critiquer négativement, provoquant ainsi un effet contraire à la valorisation. Quand une telle situation se présente, vous devez vous questionner, procéder à une sérieuse prise de conscience et à une profonde réflexion afin d’évaluer l’impact négatif causé par ces critiques à répétition, surtout si vous êtes en position d’autorité.

Donc, voici un plan d’action qui vous permettra d’augmenter votre valorisation et assurer la réalisation des projets qui vous tiennent à cœur :

Faites ce qui vous passionne, ce qui vous stimule et vous excite;
Chaque fois que vous en avez l’occasion, faites-vous un devoir de contribuer à augmenter la confiance de quelqu’un de votre entourage. Écoutez-le, encouragez-le et aidez-le à travers votre expertise;
Diminuez le nombre de vos interactions avec les gens qui sont négatifs ou n’acceptez plus de commentaires négatifs qui détruisent votre existence, car ces gens vous soutirent votre énergie.
Étant donné que vous avez pris le temps de lire ce texte en entier, vous faites partie des gens qui ont un désir de s’améliorer. Mais ce qui fera vraiment la grande différence dans votre vie et dans celle des gens qui vous entoure, c’est de passer à l’action maintenant.

La meilleure façon de réagir aux critiques

Vous n’avez jamais reçu de critiques ?
On nous critique tout le temps, en mal comme en bien. Pourtant, ce n’est pas souvent que nous acceptions les critiques négatives. Certes, cela peut sembler normal, mais il faut se rappeler qu’il y a un temps entre un évènement et notre réaction.

Cet instant, nous sommes libres de l’utiliser de la manière dont nous le souhaitons. En général, c’est le mépris qui nous vient directement. Mais à quoi bon?

Demandez-vous à quoi vous servira votre colère dans une situation pareille. Trop souvent nous nous laissons emporter par nos émotions, et ce sont elles qui guident notre réaction. Je souhaiterais appuyer sur ce point.
Si vous utilisez l’instant entre l’évènement (ici la critique) et votre réaction correctement, vous aurez fait un grand pas. Ce sera votre cerveau et non vos émotions qui vous dictera votre agissement. C’est ainsi que l’on avance. Les relations aux autres sont très importantes, et donc un point crucial de notre developpement personnel.

Deux moyen de critiquer.

Dans le domaine des critiques négatives, qui remettent en question une de vos actions ou comportements, il existe deux type de critiques :
– La critique méchante, celle qui est dite pour vous rabaisser. Elle peut occasionner de gros dommages puisque chez certaines personnes cela va entrainer une baisse de l’estime de soi et de la confiance en soi. Ce type de critique est inutile et ne fait avancer ni la personne qui critique, ni la personne qui la subit. Pourtant, cela arrive régulièrement. C’est de l’antipathie gratuite, pour une raison X ou Y.

La meilleure réaction face à ce type de critique est l’ignorance. Vous avez confiance en vous, inutile de dépenser de l’énergie. Ce que vous faites, vous SAVEZ que c’est bien. Il est inutile de tergiverser et d’entrer dans un débat stérile qui n’aurait qu’une seule utilité : vous drainer votre énergie et vous rendre négatif.
Il est impératif de prendre du recul quand vous recevez ce genre de critique, et l’ignorer. Oubliez aussi vite que c’est sorti.
– La critique argumentée : ce genre de critique est dite pour vous faire grandir. Celui qui la donne n’a pas pour but de vous descendre mais au contraire à vous faire évoluer.  Ce qui est essentiel en developpement personnel!

Ce n’est pas chose facile de prendre du recul, mais c’est nécessaire pourtant. Plutôt que de partir et de vous emporter, il est préférable de chercher à comprendre. Vous devez saisir ce que votre interlocuteur n’aime pas, ce qu’il critique. Vous n’êtes pas obligé de répondre tout de suite, prenez le temps de réfléchir. Demandez précisément ce qu’il vous reproche.

Si vous demandez correctement, il y a de grandes chances qu’il devienne aimable s’il ne l’était pas auparavant. Si vous réagissez à chaud, et négativement, le débat ne pourra que s’agraver. C’est à vous de calmer la situation, et de trouver la bonne réponse.

On peut vous faire des reproches, mais on ne peut plus vous en faire lorsque vous cherchez à comprendre. Une fois que vous aurez compris, vous aurez des angles sur lesquels travailler. Les critiques et avis ne pourront que vous rendre meilleur.

Imaginez un client mécontent qui vient vous parler pour vous exprimer son mécontentement. Quelle réaction pensez-vous la plus rentable : lui renvoyer la balle en vous énervant, ou lui demander quel est le soucis et trouver une solution ensemble ?  Si vous trouvez une solution ensemble et êtes resté aimable alors je serai prêt à parier ma main que le client partira satisfait et que vos chances de le fidéliser seront drastiquement plus élevées. Et vous vous serez amélioré !

Vous devez y penser dès lors qu’une situation de ce genre s’ammorce. Prenez tout de suite du recul. A quoi bon vous énerver ? A rien hormis à drainer son énergie !

Enfin vous pouvez aussi prendre certaines critiques pour un défi. Cela ne pourra que vous améliorer. Si on vous traite de gros, ou on vous croit incapable de courir 20 km, prouvez le contraire. Si vous avez le temps, et l’envie, cela ne pourra que vous améliorer. Peu importe ce que pensent les autres, l’essentiel, c’est VOUS.

La bonne façon de critiquer est d’encourager

Ne vous imaginez pas pouvoir améliorer les autres en soulignant sans cesse leurs imperfections.
Pourquoi est-ce qu’une personne serait motivée de s’améliorer puisque vous la critiquez? Si vous avez déjà une si piètre opinion d’elle, pourquoi ferait-elle des efforts?
Si vous critiquez régulièrement quelqu’un, il devient complètement démotivé. Et vous obtenez l’effet contraire de vos critiques. C’est-à-dire que plus vous critiquez et moins la personne veut s’améliorer.Critiquer est une mauvaise méthode dans la grande majorité des cas.
Pour obtenir quelque chose des autres, il faut les encourager même si la réalité n’est pas tellement fameuse. Il ne faut pas adopter envers les gens une attitude critique, car à ce moment-là vous les paralysez. Il est très souvent préférable de garder ses opinions négatives pour soi. 
Cela ne signifie pas qu’on doit fermer les yeux et ne pas voir que quelqu’un est en train de vous faire du tort. Si vous devez absolument souligner certains points négatifs du comportement de quelqu’un, faites-le avec une grande diplomatie. Faites-le en mentionnant également les qualités de la personne. Et mettez l’accent sur ces qualités, car si vous soulignez certains points négatifs de quelqu’un et que cette personne réagit en devenant défensive; alors celle-ci ne sera pas motivée à se corriger. 
En général, plutôt que de critiquer, il faut chercher à découvrir chez les autres des vertus et des qualités. Ces éléments positifs sont parfois cachés, et quelquefois la personne elle-même ne les connaît même pas. Il faut prendre l’habitude de regarder profondément dans les êtres au lieu de se limiter aux apparences. Celles-ci sont souvent trompeuses. Il est facile et peu noble de trouver les défauts. Mais pour trouver les qualités, il faut parfois une grandeur d’âme. Une fois les qualités de l’autre identifiées, il faut focaliser sur ces dernières. Ces bonnes pensées modifieront votre attitude face aux autres. 
“La meilleure façon d’avoir de bonnes relations avec les autres est de se concentrer sur leurs qualités. Et ensuite de les aider à exprimer le mieux possible celles-ci.”  Allen J. Boone

Cinq bonnes raisons de pardonner

Pardonner

Que l’on pardonne une petite trahison ou un événement traumatisant, les situations ne sont pas comparables et les dégâts non plus. A chacun de déterminer si et quand le pardon doit venir, mais voici ce qu’il peut vous apporter :

*Pardonner n’est pas excuser
Pardonner ne signifie pas que l’on accepte sans broncher, que l’on  » tend l’autre joue  » ou que l’on cautionne ce que l’autre nous a fait.
La démarche est avant tout un cheminement intérieur que l’on fait pour soi et non pour soulager la conscience de celui ou celle qui nous a blessé. Simplement on ne donne plus prise à cet autre sur notre être.

*Pardonner apaise la colère
La rancœur, la haine, l’aigreur… autant de sentiments négatifs que l’on  » traîne  » lorsqu’une histoire n’est pas digérée. Or on le sait « la colère est mauvaise conseillère ». Plutôt que de se ronger intérieurement, il est parfois utile de regarder cette colère en face. Accepter qu’elle existe permet de passer à l’étape suivante.

*Pardonner nous rend plus fort
Imaginez une personne qui vous a fait du mal et à qui vous décidez de pardonner. Sans sombrer dans le grandiloquent, vous en ressortirez grandi par la force et la volonté qu’il vous aura fallu pour en arriver là. Vous quitterez alors votre peau de victime.
Et à votre avis, qui de vous ou de votre « bourreau » aura ensuite le plus de mal ensuite à se regarder dans le miroir ?

*Pardonner pour ne pas oublier
Accorder son pardon, c’est le contraire de l’oubli. On n’enfouit pas sa blessure et on ne joue pas les amnésiques : petite mesquinerie ou faute hautement répréhensible, une fois pardonné cet acte restera ce qu’il a été. En reconnaissant que « cela a bien eu lieu », il prendra sa place dans notre histoire personnelle.

*Pardonner pour avancer
On a tous ressassé une situation désagréable. Cela peut aller plus loin en prenant la forme de blocages dans sa vie d’adulte (impossibilité de trouver sa place, de s’épanouir…) ou de maux physiques à répétition.
Pardonner permet de passer à autre chose et donc d’avancer. De faire en sorte que sa vie ne soit pas réduite à un événement négatif mais qu’elle puisse se poursuivre.

Connaissez-vous la méthode : Kaizen ?

Cette méthode nous vient du japon. Elle vous offre de véritables perspectives de changement dans votre vie, elle agit lentement, sûrement, et en douceur. elle ne demande pas d’efforts surhumains, seulement un peu de persévérance.

Elle s’applique à tous les domaines de la vie. la méthode Kaïzen  est classé comme une excellente méthode de développement personnel. Elle peut changer radicalement et positivement votre vie.

Son principe est simple L’amélioration constante

Sa base : Un « petit » changement supplémentaire chaque jour !

Comme le précise Bill Marchesin :

« La méthode japonaise Kaïzen qui se résume à faire de petites actions pour se rapprocher de son but. Pourquoi de petites actions ? Parce qu’il est plus facile d’y arriver et que l’être humain et moins porté à se décourager. »

 

*Un changement très doux et progressif

Supposons que vous êtes désordonné. Si vous essayez en quelques jours de vous changer en un as du rangement et de l’ordre, vous aurez du mal ! Vous abandonnerez très vite et la confiance en vous risque d’en souffrir. Maintenant, si vous appliquez la méthode Kaizen, vous modifierez juste un tout petit comportement chaque jour.

-Vous commencerez par le stylo que vous ne rebouchez pas après son utilisation. Demain, vous vous efforcerez de ranger les crayons. Puis, le surlendemain, vous classerez quelques feuillets. Ensuite, vous passerez à un dossier. Puis, deux, etc.… En un trimestre, votre pièce de travail est rangée au carrée. Vous êtes devenu ordonné – sans effort !

-Si vous fumez, vous supprimez une cigarette par jour. Rien de plus facile. En tout cas, rien à voir avec la suppression totale. Le sevrage se fera en douceur.

 

*Vous voulez être plus performant au travail ?

-Essayez de gagner « quelques secondes » sur votre emploi du temps. Oui quelques secondes, pas plus ! Demain, vous essayerez de gagner encore une dizaine de secondes. Imaginez le changement à la fin du trimestre.

-Vous avez un projet ! Bravo ! Mais vous « voyez » mentalement l’ampleur de la tâche. Cela peut vous décourager rapidement. Vous abandonnez. Oui mais, vous appliquez maintenant la méthode Kaizen Pour votre plus grande réussite. Et oui, vous vous fixez de faire une toute petite action NOUVELLE chaque jour.

Ces petites initiatives, qui ne vous demandent pas beaucoup d’énergie,représentent une masse de travail colossal sur plusieurs mois. Votre projet avance et vous le voyez ainsi se construire de jour en jour.

-Par exemple, vous rêvez d’écrire un livre. Ouahaaaa, 350 pages ! Vous avez des idées, mais… 350 pages, non vraiment, c’est trop. Appliquez la méthode Kaizen. Une page par jour. C’est l’objectif ! Pas plus. A la fin de l’année (c’est court une année) vous avez presque réalisé votre rêve – Écrire un livre -.

-Vous souhaitez augmenter votre culture ! Ces piles de livres dans la bibliothèque ne vous encouragent guère à commencer. C’est vrai, mais 2 pages consultées chaque jour vous demandent 2 minutes. Que représente pour vous 2 minutes d’études ? Rien ! Et pourtant, en un mois, c’est un « stock » de connaissances nouvelles supplémentaires. Faites le calcul sur 3 ans…

 

*Un tout petit changement à peine perceptible chaque jour !

-Vous constatez que vous avez des habitudes alimenaires que vous devez changer. Mais, vous pensez que vous n’aurez pas le courage d’opérer des changements radicaux dans vos repas. Là encore, la méthode kaizen vient à votre secours. Changez chaque jour votre façon de vous alimenter en changeant de façon quasi imperceptible. Supposez que vous ne consommez pas assez de fruit dans votre équilibre alimentaire. Décidez de consommer une toute petite portion de fruit. Puis, augmentez-là – très progressivement  jour après jour.

Les Japonais utilisent cette technique pour leurs plus grands profits.

En effet, il est difficile de changer rapidement. Mais de toutes petites améliorations journalières sont à votre portée. Dans tous les domaines de votre vie. De petits changements journaliers, même infimes, représentent des évolutions considérables sur une année par exemple. Et que dire sur 3 ans.

Lao-Tseu disait : « Même un voyage de mille kilomètres commence par un premier pas. »

L’échec est le fondement de la réussite

Dans un monde en perpétuel changement, où l’épanouissement personnel est devenu le nouveau graal, chacun aspire à se construire une vie heureuse, tant sur le plan personnel que professionnel. Or ce chemin est souvent semé d’embuches.

Tout le monde connaît des échecs dans sa vie. Pourquoi certains sont très à l’aise avec leurs mésaventures alors que d’autres sont tétanisés à l’idée d’échouer ?

Si cette crainte est plus que légitime, elle ne doit pour autant pas être un obstacle. Il est rare que des personnes réussissent toujours ce qu’elles entreprennent du premier coup.

Avant de vous présenter quelques principes de gestion de l’échec, explorons les parcours de certains protagonistes.

Commençons par vous ! Savez-vous que vous êtes tombé en moyenne 2.000 fois avant de savoir marcher ? Sauf si vous vous déplacez en rampant, l’échec vous est donc familier.

Voici l’histoire d’un homme qui :

–       Fit faillite à l’âge de 31 ans
–       Fut battu aux élections législatives à 32 ans
–       Fit de nouveau faillite à 34 ans
–       Vit mourir son amie à 35 ans
–       Eut une dépression nerveuse à 36 ans
–       Fut battu aux élections locales à 38 ans
–       Fu battu aux élections du congrès à 43 ans, 46 ans puis 48 ans
–       Fut battu aux élections du sénat à 55 ans et à 58 ans
–       Fut élu Président des Etats-Unis à 60 ans
 
L’avez-vous reconnu ? Il s’agit d’Abraham Lincoln
 

Marc Simoncini, fondateur Meetic, explique dans une interview menée pour LEntreprise.com en 2002 : « Je n’ai eu que des échecs avant de réussir (à vendre iFrance au groupe Vivendi et créer Meetic) ».

Tristan Lecomte, fondateur d’Alter Eco, avoue « Il m’a fallu quatre ans pour retrouver le salaire que j’avais chez l’Oréal. Parfois, je ne pouvais pas tirer 15 euros avec ma carte bleue. J’ai même du vendre mon studio pour éviter la faillite ». En 2010, « Time Magazine » a reconnu en lui l’une des 100 personnalités les plus influentes du monde.

Claude Oneta, entraineur de l’équipe de France de Hand-Ball, avouait en 2005 que « l’échec des Jeux Olympiques d’Athènes en 2004 a été notre carburant. Comme nous avons tous soufferts de cet échec, nous avons fait en sorte que ça n’arrive pas de nouveau« . Rappelons que cette équipe sportive Française a été la plus primée (Championne du Monde en 2009 et 2011, Olympique en 2008 et d’Europe en 2006 et 2010).

Ces exemples mettent en évidence que les échecs, les erreurs font partie du processus de réussite et que ce qui fera la différence repose avant tout sur la manière dont la personne perçoit l’échec.
 
Il n’y a pas d’échec, juste du feed-back

Après avoir essayé à 9.999 reprises de créer l’ampoule électrique, Thomas Edison est interviewé par un journaliste, qui lui demande « Envisagez-vous un 10.000ème échec ? ». Il lui répondit « Je n’ai jamais échoué, j’ai seulement découvert une nouvelle façon de ne pas inventer l’ampoule électrique ».

Remplacez « j‘ai échoué » par « j’ai appris ce qui ne marchait pas et je ne compte pas le reproduire« . Explorez les raisons de votre échec, tirez-en les leçons puis retentez autre-chose, de différent, car « toujours plus de la même chose produit les mêmes effets », c’est ce qui différencie la persévérance (ok) de l’opiniâtreté (pas ok).
 
L’échec peut être une source d’opportunité

De grandes innovations sont souvent le fruit d’erreurs de parcours ou d’échecs. C’est ainsi que sont nés la pénicilline, le Téflon, les corn flakes ou encore le carambar.

Si vous n’avez pas atteint votre résultat, peut-être avez-vous découvert quelque chose de nouveau.

 
Se libérer des préjugés et stéréotypes communément admis

Comme se plait à souligner Alain Afflelou « Mon conseil aux entrepreneurs ? ne jamais demander de conseil » . Faites confiance à votre intuition.

Vous pensez qu’il faut avoir fait une grande école pour réussir ? 33% des créateurs d’entreprise n’ont aucun diplôme, Pierre Bérégovoy avait un CAP.

 
Avoir peur de l’échec mène à l’échec

C’est ce que l’on appelle « l’effet pygmalion ». Si vous craignez de ne pas atteindre votre objectif, vous augmentez la probabilité d’échouer.

Apprenez à vous mettre dans un « état interne positif » en vous construisant, par exemple, une image mentale de vous-même après avoir réussit votre projet.
 
 
La peur de l’échec est votre amie

D’une part, cette peur vous renseigne sur ce que vous devez faire pour réduire les risques d’échecs (mieux planifier, demander l’avis de personnes sur votre projet…) et, d’autre part, si les échecs se reproduisent c’est qu’il y a fort à parier qu’il y a une faille dans votre stratégie personnelle que vous devez trouver.

 
L’échec est bien souvent le chemin qui mène à la réussite.