Une attitude positive… c’est contagieux!

Comment pouvez-vous améliorer votre attitude?

De la part d’experts, voici quelques tuyaux méritant d’être considérés.

  1. Donnez à votre apparence l’attention qu’elle mérite. Une image personnelle négative peut mener à une attitude négative alors qu’une toilette soignée et une tenue vestimentaire seyante peut vous remonter le moral et accroître votre confiance.
  2. Contrôlez votre dialogue intérieur. Êtes-vous conscient du dialogue intérieur que vous poursuivez avec vous-même durant vos heures d’éveil? Est-ce que vous vous dites des choses négatives telles que : « Je fais toujours des erreurs » ou « C’est bien ma chance »
    ou « Je ne suis pas bon en maths ». Plus vous répétez ces pensées négatives, plus elles deviennent fortes. Le premier pas pour surmonter ces pensées négatives est d’en prendre conscience. Le pas suivant consiste à remplacer ces pensées défaitistes par des pensées positives et productives.
  3. Alimentez votre esprit de pensées positives. Décidez de lire un livre par mois sur la croissance ou le développement personnel ou, si vous préférez, écoutez des cassettes transmettant un message positif. Vous pouvez trouver que cela vous aide d’écrire sur des petites cartes des pensées positives que vous trouvez encourageantes. Apportez ces cartes avec vous chaque jour et lisez-les plusieurs fois par jour.
  4. Changez votre vocabulaire. Dans son dernier livre à succès Éveillez le géant en vous, Anthony Robbins mentionne comment nous sommes en mesure de diminuer l’intensité de nos émotions négatives, mais également d’intensifier nos émotions positives. Par exemple, lorsque quelqu’un vous demande comment ça va, plutôt que de dire « Ça va », répondez « Superbe! ». Monsieur Robbins suggère de remarquer les mots que vous utilisez habituellement et de les remplacer par des mots qui vous dynamisent.
  5. Notez les éléments positifs de votre vie. Si vous aimez tenir un journal intime, vous pouvez trouver utile de noter les éléments positifs do votre vie. Bien que vous voudrez noter les éléments majeurs, il est aussi important de mettre l’emphase sur les petites choses de chaque jour qui vous apportent du plaisir – partager un repas avec un ami, écouter votre chanson favorite ou prendre une marche pour le plaisir de la chose. Autrement dit, utilisez votre journal pour reconnaître les bienfaits de la vie à votre égard.
  6. Laissez la nature réapprovisionner vos ressources internes. Même quelques courts moments passés à profiter de la beauté d’un coucher ou d’un lever de soleil peuvent procurer à votre moral l’élan dont il a besoin.
  7. Partagez votre attitude positive en encourageant les autres. Ne manquez jamais une occasion de complimenter les gens sur leurs réalisations, leur travail ou leur apparence.
  8. Variez votre routine. La meilleure façon d’ajouter de la variété à sa vie est de prendre des vacances. Mais pour la plupart d’entre nous, les vacances représentent un événement annuel. Or, nos attitudes auraient certainement besoin d’être rechargées plus d’une fois par année. Souvent, des petits changements tels qu’emprunter une nouvelle route pour se rendre au travail, fréquenter un nouveau restaurant ou magasiner dans un nouvel endroit peut faire une différence. Si vous avez toujours voulu suivre des cours d’espagnol ou de golf ou devenir un expert en informatique, décidez maintenant de le faire.
  9. Soyez à l’écoute. Recherchez une comédie comme prochain film, pièce ou émission de télé. Demandez à votre bibliothèque locale de vous aider à compiler une liste de lectures humoristiques ou regardez dans la section humour de votre librairie favorite. Vous pouvez aussi trouver amusant de conserver un album de découpures de bandes dessinées ou de propos humoristiques.
  10. Réservez-vous du temps les fins de semaines. Gardez à l’esprit la suggestion du psychologue et auteur Theodore R. Rubin : Un jour consacré à soi, sans contrainte, peut être sans pareil pour remonter le moral. Ce n’est pas de l’égoïsme mais uniquement de la bonne santé mentale.

LES CROYANCES LIMITANTES Séminaire de Robert DILTS

LES CROYANCES LIMITANTES
Séminaire de Robert DILTS

Les 3 domaines les plus courants de croyances limitantes sont ceux qui concernent le manque d’espoir (ce n’est pas possible), le manque de confiance en ses capacités (je ne suis pas capable) et le manque de mérite (je ne suis pas digne de…).

Ces 3 domaines peuvent avoir une influence déterminante sur la santé physique et mentale d’une personne.

1. Le manque d’espoir : la personne croit que, quelles que soient ses capacités, ce but est impossible à atteindre.
2. Le manque de capacité : la personne croit qu’elle n’est pas capable d’atteindre le but.
3. Le manque de mérite : la personne croit qu’elle ne mérite pas d’atteindre le but parce qu’elle a fait (ou qu’elle n’a pas fait) quelque chose d’important.

On parle de manque d’espoir lorsqu’une personne pense que le but concerné n’est pas atteignable. Il est caractérisé par l’impression que « quoi que je puisse faire, ça ne fait pas de différence. Ce que je veux n’est pas possible à atteindre. C’est hors de mon contrôle. Je suis une victime ».

On parle de manque de confiance en ses capacités lorsqu’une personne pense que, même si le but est possible à atteindre, elle-même n’est pas capable d’y arriver. La personne a donc l’impression que « c’est possible pour les autres d’atteindre ce but mais pas pour moi. Je ne suis pas assez bon ou pas assez capable ».

On parle de manque de mérite lorsque la personne croit que, bien que le but soit possible à atteindre et bien qu’elle en ait les capacités, elle ne mérite pas d’obtenir ce qu’elle veut.
Cette croyance est souvent caractérisée par une impression comme « je suis un imposteur ou je ne mérite pas d’être heureux ou en bonne santé. Il y a quelque chose chez moi qui est basiquement, fondamentalement mauvais et je mérite la souffrance et la douleur que je ressens ».

Pour réussir les personnes doivent changer ces croyances limitantes et en particulier retrouver l’espoir pour le futur, la confiance en leurs capacités, le sens de leur responsabilité et de leur valeur personnelle ainsi que l’impression qu’elles « font partie » (de leur famille ou de tout autre groupe important pour elle

A l’évidence, les croyances les plus fortes sont celles qui concernent notre identité, voici quelques unes des croyances limitantes qui concernent l’identité :

« Je suis incapable et indigne, je suis une victime ».
« Je ne mérite pas de réussir ».
« Si j’obtenais ce que je veux, je perdrais quelque chose d’important ».
« Je n’ai pas la permission de réussir ».

Les croyances limitantes fonctionnent parfois comme des « virus de la pensée » qui ont le même pouvoir destructeur que les virus d’ordinateur ou les virus biologiques. Un virus de la pensée est une croyance limitante qui devient une « prophétie qui se réalise » et interfère avec les capacités et les efforts pour guérir ou s’améliorer. Les virus de la pensée contiennent des implications inconscientes et des présuppositions qui les rendent difficiles à identifier et à remettre en question.

Les croyances limitantes et les virus de la pensée ressemblent parfois à des « impasses » insurmontables, impossibles à changer. Devant une telle impasse, une personne ressentira : «J’ai tout essayé pour changer ceci et rien ne marche ». Traiter efficacement les impasses suppose que l’on traite la croyance qui est au centre et qui la maintient en place.

Quels sont les problèmes pour identifier les croyances limitantes.

La plus grande difficulté avec les croyances limitantes est que celles qui ont le plus d’impact sur nous sont celles qui sont le moins conscientes.
Les problèmes les plus courants pour trouver les croyances limitantes sont les suivants :

1. « L’écran de fumé » : lorsqu’une personne devient très vague on ne sait plus quoi dire pour se protéger des sentiments négatifs qu’elle pourrait ressentir.

2. « Le hareng rouge » : lorsque la personne présente une piste erronée ou confusante et/ou que nous la poursuivons.

3. « Le poisson dans les rêves » : lorsque nous projetons nos propres croyances sur le comportement d’une autre personne.

4. « La masse critique » : lorsque nous passons à côté du fait que, dans un système de croyances, il y a souvent de multiples causes et de multiples croyances.

Trouver et changer les croyances limitantes

Pour éviter de se perdre dans les « écrans de fumée », de poursuivre des « harengs rouges » ou de se laisser prendre par un « poisson dans les rêves », un praticien de PNL peut demander un exemple concret et actuel de la croyance limitante en utilisant la « procédure d’installation d’une croyance ». En déroulant cette procédure, le praticien et le client doivent chercher l’impasse ou le moment où une forte résistance se produit.

Les croyances aidantes comme les croyances limitantes ont souvent été construites et renforcées à partir de l’attitude des personnes importantes de notre vie. Par exemple, le sens que nous avons de notre identité et de notre mission, est en général définit par rapport aux personnes qui nous servent de référence au sein du système plus large dont nous estimons que nous faisons partie. Dans la mesure où notre identité et notre mission constituent le cadre plus large qui entoure nos croyances et nos valeurs, le fait d’établir des relations significatives nouvelles peut exercer une forte influence sur nos croyances. Ainsi, clarifier ou modifier des relations importantes ou les messages échangés dans le contexte de ces relations facilite souvent un changement spontané de croyance. De plus, établir de nouvelles relations joue souvent un rôle important pour promouvoir des changements de croyances durables, particulièrement les relations qui procurent un soutien positif au niveau de l’identité (ceci est l’un des principes de base de la technique de changement de croyance qu’est le Reimprinting).

En résumé, on peut dire que les croyances limitantes peuvent être révisées et transformées de la façon suivante :

· En identifiant et en reconnaissant l’intention positive sous-jacente.

· En identifiant toute présupposition inconsciente et/ou non-verbalisée à la base de la croyance.

· En élargissant la perception des chaînes de causes/effets ou « d’équivalents complexes » liées aux croyances.

· En procurant les informations nécessaires pour savoir comment mettre en place les alternatives destinées à satisfaire l’intention positive ou le but de la croyance limitante.

· En clarifiant ou en révisant les relations clés qui influencent les motivations profondes ou le sens que la personne a de sa mission et en lui donnant un soutien positif au niveau de l’identité.

Changez vos croyances pour changer votre vie !

Changez vos croyances pour changer votre vie !

Vos croyances fondamentales concernant votre personne et votre univers sont les principaux facteurs déterminants de votre réussite dans la vie.

En fait, c’est à vos croyances que vous devez l’univers dans lequel vous vivez.

Les croyances que vous entretenez résultent directement de vos pensées et aussi de celles que vous n’avez pas.

Les croyances sont des forces latentes, mais puissantes, dissimulées dans les profondeurs de votre esprit. A leur tour, ces croyances génèrent vos attentes quant à vos résultats futurs. Ces attentes sont des forces actives, à l’œuvre dans votre esprit.

Vos attentes déterminent votre attitude. Lorsqu’elle s’exprime, cette attitude modèle votre comportement. Examinez la relation de cause à effet qui suit afin de voir combien les croyances personnelles représentent le fondement de votre vie :

* Lorsque vous changez votre façon de penser, vous changez vos croyances.

* Lorsque vous changez vos croyances, vous changez vos attentes.

Lorsque vous changez vos attentes, vous changez votre attitude.

* Lorsque vous changez votre attitude vous changez votre comportement.

* Lorsque vous changez votre comportement vous changez votre performance.

* Lorsque vous changez votre performance vous changez votre vie !

* Notez que vous ne pouvez changer votre vie en essayant de changer votre vie.

* Vous ne pouvez modifier votre performance en essayant de modifier votre performance.

* Vous ne pouvez changer votre comportement en essayant de changer votre comportement.

* Vous ne pouvez changer votre attitude en essayant de changer votre attitude.

* Vous ne pouvez changer vos attentes en essayant de changer vos attentes.

* Vous ne pouvez changer vos croyances en essayant de changer vos croyances.

Mais vous pouvez changer les images que vous entretenez dans votre esprit et qui représentent votre façon de penser. Cela provoquera des changements dans tous les autres secteurs de votre vie qui ont de l’importance à vos yeux.

Dr Walter Doyle Staples

Décoder le langage du corps

Le saviez-vous ?

70% de la communication passe par la communication non-verbale, c’est à dire, par l’attitude, la gestuelle, les mimiques, le regard

Pour cette raison, il est extrêmement important d’être attentif à l’attitude de la personne en face de vous. En effet, son langage du corps peut vous donner de très précieuses indications sur l’état d’esprit dans lequel elle se trouve.

En apprenant à observer la façon dont se tient et bouge une personne à qui vous parlez, vous saurez ce qu’elle pense et comment elle se sent. Le langage du corps, ou « communication non verbale », peut ainsi vous indiquer si une personne à qui vous parlez s’ennuie, ou au contraire, si elle est intéressée.

D’une manière générale, une personne intéressée ne vous perdra pas des yeux. En revanche, si elle regarde ailleurs ou dans le vide pendant que vous lui parlez, ou qu’elle renifle, qu’elle se tourne vers une autre direction que votre corps, ou garde les bras croisés, ce genre de choses… il y’a de fortes chances pour qu’elle s’ennuie, et essaie de trouver un moyen de vous échapper.

En revanche, si son regard est plongé dans le vôtre, que son corps est tourné vers vous, qu’elle adopte des positions « détendues », alors il y’a fort à parier pour que vous l’ayez accroché, et que vous puissiez faire évoluer la discussion vers une conversation plus profonde.

De même, soyez attentif à la façon dont elle se « touche ».
Si elle se gratte sans arrêt, ça peut traduire une certaine nervosité, à vous d’interpréter ça en fonction du contexte. Ca peut être bon, comme ça peut être mauvais signe.

Une fille à qui vous faites de l’effet aura tendance à s’humidifier les lèvres, à battre des cils, à se caresser négligemment le bras ou la jambe, sans même y prêter attention… Elle jouera avec ses cheveux, etc. C’est le résultat d’une élévation de son rythme cardiaque, qui provoque une sensation d’envie d’être effleurée chez les filles.

Evidemment, interpréter TEL geste par TEL sentiment ou état d’esprit serait ridicule. En matière de comportement humain, croire que chaque geste veut systématiquement dire la même chose chez tout le monde est une erreur : croiser les bras peut avoir deux significations parfaitement différentes chez deux personnes distinctes.

De même, il serait vain de lister toutes les attitudes et les gestes, pour les traduire et ainsi les classer en « bon / pas bon ».
En revanche, vous pouvez développer votre feeling, qui n’est ni plus ni moins que l’interprétation inconscience de la communication non verbale de votre interlocuteur.C’est une question de feeling, donc ne cherchez pas à savoir ce que ça veut dire quand elle fait « [quelque chose]« .
Avec un peu d’expérience, vous saurez interpréter son attitude sans même y réfléchir, et vous pourrez ainsi sentir si vous progressez ou si elle vous échappe.

Retenez donc qu’il est primordial d’être vigilant quant à son langage corporel, sinon vous jouerez en aveugle et vous verrez vos chances de succès diminuer dramatiquement, la communication étant biaisée par votre incapacité (ou votre négligence) à en observer tous les canaux.

10 Bonnes raisons de faire du Sport

L’activité physique pratiquée régulièrement est une source inépuisable de bienfaits, à condition de respecter ses propres limites. Si le commun des mortels sait que le sport est bon pour le coeur etpour la maîtrise de son poids en brûlant les calories, il faut savoir que le sport apporte également ses bienfaits dans de nombreux domaines. Le sport :

1) Brûle les calories et aide à stabiliser le poids

2) Permet de réduire le taux de cholestérol

3) Régule la tension artérielle

4) diminue les accidents cardio vasculaires (infarctus – accidents vasculaires)

5) permet aux diabétiques de réguler plus efficacement leur traitement et leur régime

6) Entretient la musculature. Cela a un effet très positif sur l’équilibre et la stature générale du corps

7) Renforce les os. Il est recommandé de faire régulièrement du sport pour réduire le risque de fracture osseuse. En effet, lors d’exercice physique, le renouvellement osseux est activé et donc les os renforcés

8) A un effet déstressant important, très utile pour les personnes anxieuses

9) Oxygène le cerveau. Les capacités cognitives sont améliorées.

10) le sommeil est également amélioré si vous évitez de faire du sport le soir.

Bien entendu ces bonnes raisons nécessitent quelques précautions :

  • Aller à son rythme et cela selon ses capacités

• Car il ne faut pas vouloir battre des records tout de suite sous peine d’accident

•Il faut adapter son sport à ses problèmes de santé et à son âge

  • Il faut également veiller à se réhydrater régulièrement en buvant de l’eau

L’idéal est de faire 30 minutes de sport par jour

Au quotidien le temps peut manquer.

Pas de problèmes, le jardinage, la montée d’escalier (au lieu de l’ascenseur), le ménage, la marche à pieds peuvent apporter les mêmes effets bénéfiques.

 

Comment avoir plus d’énergie en 10 minutes ? Quelques méthodes simples

avoir plus d'énergie en 10 minutes

Si vous avez besoin d’un petit remontant naturel et sain pour faire face à un besoin d’énergie ou à un petit coup de fatigue, profitez de quelques méthodes simples à appliquer et à l’efficacité indubitable.

 

Faites une sieste de 10 minutes

Il s’agit bien de faire une véritable sieste et non de tenter de vous reposer. En 10 minutes, votre corps n’aura pas le temps de basculer vers le sommeil mais vous aurez pu refaire le plein d’énergie. Ne vous installez pas trop confortablement, mettez un réveil pour être sûr de ne pas dormir plus et laissez-vous aller durant ces 10 minutes dont vous avez besoin.

Vous serez étonné par le résultat !

Mangez les bons aliments

Certains aliments sont des pièges et vous condamnent à une chute d’énergie après un regain de courte durée. Évitez ainsi le sucre, les glucides simples présents en trop grandes quantités dans les soda, plats préparés, etc. Des aliments naturels, frais et entiers vous permettent au contraire de disposer d’une énergie à plus long terme, en évitant l’effet yo-yo.

Sachez écouter votre corps

Votre corps a un rythme particulier, il subit des fluctuations d’énergie que vous devez apprendre à connaître pour les prévoir et les utiliser par la suite. Vous tirerez plus d’un travail lors d’un pic d’énergie que d’une longue rumination durant une phase creuse. Tenez compte de votre nature : êtes-vous plutôt du matin ou du soir ? C’est en le sachant que vous pourrez utiliser au mieux votre propre énergie plutôt que la laisser se consumer en vain et causer des distractions, des rêvasseries.

Restez hydraté

La déshydratation épaissit votre sang, forçant votre cœur à plus de travail. Il en résulte des performances physiques et mentales inférieures à ce dont vous êtes réellement capable. L’eau est aussi nécessaire au bon fonctionnement de votre cerveau, à l’activité chimique de celui-ci. La déshydratation, au contraire, cause des migraines, un mauvais fonctionnement cérébral et une fatigue chronique. Veillez donc à boire suffisamment, mais évitez les sodas et les boissons à la caféine. L’eau reste la seule boisson dont vous avez besoin.

Fréquentez des gens optimistes, positifs

Évitez les personnes qui voient toujours tout en noir, celles qui vous tirent vers le bas, qui font un drame du moindre petit pépin. Préférez les personnes avec qui vous riez, avec qui vous passez de bons moments, dont la fréquentation vous recharge.

Offrez-vous 10 minutes de repos dans la journée

Rafraîchissez-vous l’esprit et le corps en profitant d’une petite marche de 10 minutes. Profitez du beau temps, oxygénez-vous, pensez à autre chose qu’à votre travail. La marche rapide peut même vous permettre de travailler le physique sans y penser.

Méditez

Méditer régénère le corps en lui ôtant le stress qui le fatigue. Offrez-vous 10 minutes par jour pour méditer, bouleversez votre emploi du temps s’il le faut, vous avez tout à y gagner.

LES BIENFAITS DE LA BANANE

Les bananes contiennent 3 sucres naturels: sucrose, fructose et glucose combiné avec des fibres, une banane donne instantanément un gain d’énergie substantiel. Les recherches ont prouvé que juste 2 bananes fournissent assez d’énergie pour un entraînement rigoureux de 90 minutes. Pas étonnant que la banane soit le fruit numéro 1 du monde des athlètes. Toutefois l’énergie n’est pas la seule façon dont la banane peut vous aider à garder la forme. Elle peut également aider à guérir ou prévenir un nombre incalculable de maladies, intégrez-la à votre régime alimentaire quotidien.

Dépression:

Selon un récent sondage produit par MIND auprès de gens souffrant de dépression, plusieurs se sentent beaucoup mieux après avoir mangé une banane. Cela parce que la banane contient du tryptophane, un genre de protéine que le corps converti en sérotonine, connu comme relaxant, améliore votre état émotionnel et vous fait généralement sentir plus heureux. Oubliez les pilules — mangez une banane. La vitamine B6 qu’elle contient régularise le niveau de glucose dans le sang, lequel peut affecter votre état émotionnel.

Anémie:

Élevée en fer, la banane peut stimuler la production d’hémoglobine dans le sang aidant à diminuer l’anémie.

Pression:

Ce fruit tropical unique est extrêmement élevé en potassium toutefois faible en sel, le rendant parfait pour combattre la pression. Tellement, que l’administration « US Food and Drug » vient tout juste d’accorder à l’industrie de la banane le droit de déclarer la propriété qu’a ce fruit de réduire le risque de pression et de crise cardiaque.

Pouvoir de concentration :

La recherche démontre que le fruit élevé en potassium peut aider à l’apprentissage en rendant les pupilles plus alertes.

Constipation:

Élevée en fibres, inclure la banane dans votre alimentation quotidienne peut aider la régularité, sans avoir besoin de laxatifs.

Gueule de bois :

Une des façons les plus rapides de guérir une gueule de bois est de se faire une barbotine à la banane, sucrée au miel. La banane calme l’estomac et avec l’aide du miel, fait grimper le niveau de sucre dans le sang, pendant que le lait calme et hydrate votre système.

Brûlement d’estomac :

La banane contient un antiacide naturel, donc si vous souffrez de brûlements d’estomac, essayez de manger une banane pour calmer la douleur.

Nausées matinales :

Prendre une banane comme collation entre les repas aide à garder et stabiliser le niveau de sucre dans le sang et ainsi éviter les nausées matinales.

Piqûres de maringouin :

Avant d’attraper la bombonne d’insecticide, commencez par frictionner la région affectée avec l’intérieur d’une pelure de banane. Plusieurs personnes ont été étonnées par le succès de cette méthode à réduire l’enflure et l’irritation. Nervosité :Élevée en vitamines B, la banane aide à calmer le système nerveux.

Obésité :

Études effectuées par l’Institut de Psychologie en Autriche ont démontré que le stress au travail amène les gens à se gaver de chocolat, bonbons et croustilles. Après vérification auprès de 5,000 patients d’hôpitaux, les chercheurs en sont venus à la conclusion que les gens obèses avaient un emploi plus stressant. Le rapport conclu que, pour éviter des rages de sucré / salé, nous devons contrôler notre niveau de sucre dans le sang et en prenant des collations élevées en hydrates de carbones toutes les 2 heures permet de le garder stable.

Ulcères :

La banane est utilisée dans les diètes pour combattre les problèmes intestinaux. C’est le seul fruit cru qui peut être mangé sans inconfort pour ces genres de cas. Elle protège également l’estomac en neutralisant l’hyperacidité et réduisant l’irritation.

Contrôle la température :

Plusieurs cultures voient la banane comme un fruit rafraîchissant pouvant baisser autant la température physique qu’émotionnelle des femmes enceintes. En Thaïlande, par exemple, les femmes enceintes mangent des bananes pour s’assurer que leur bébé naisse avec une faible température.

Désordre Affectif Saisonnier (DAS):

La banane peut aider les gens souffrant de DAS car elle contient du tryptophane, qui est un relaxant
émotionnel naturel.

Fumeur :

La banane peut également aider les gens voulant arrêter de fumer. Le B6, B12 qu’elle contient, de même que le potassium et magnésium s’y retrouvant, aide le corps à récupérer des effets de manque de nicotine.

Stress:

Le potassium est un minéral vital, lequel aide à normaliser le pouls, envoie de l’oxygène au cerveau et régularise la rétention d’eau. Lorsque vous êtes stressé, votre métabolisme augmente, réduisant votre niveau de potassium. Ceci peut être calibré avec l’aide d’une collation élevée en potassium telle qu’une banane.

Crise cardiaque :

Selon une recherche effectuée par « The New England Journal of Médicine, » manger des bananes régulièrement peut réduire le risque de décès par crise cardiaque d’environ 40%!

Verrues :

Ceux qui n’utilisent que la médecine naturelle jurent que si vous voulez vous débarrasser d’une verrue, prenez un morceau de peau de banane et placez-la sur la verrue, le côté jaune vers le haut. Maintenez la peau en place avec un « plaster » ou un ruban chirurgical!

Donc, la banane est vraiment un remède naturel pour beaucoup de maladies.Lorsque vous la comparez à une pomme, elle contient 4 fois plus de protéines, 2 fois la quantité d’hydrate de carbone, 3 fois plus de phosphore, 5 fois plus de vitamine A et fer, et 2 fois des autres vitamines et minéraux. Elle est également riche en potassium et est l’un des aliments les plus nutritifs.

Alors il serait peut être temps de changer la célèbre phrase pour ce qui
suit : »une banane par jour nous 
Garde en santé »?

Le train de la vie

La vie est comme un voyage dans un train:

on monte et on descend, il y a des accidents,
à certains arrêts, il y a des surprises
et à d’autres, il y a une profonde tristesse.

Quand on naît et qu’on monte dans le train,
nous rencontrons des personnes et nous croyons
qu’elles resteront avec nous pendant toute le voyage:
ce sont nos parents!

Malheureusement la vérité est toute autre.

Eux ils descendent dans une gare
et ils nous laissent sans leur amour et leur affection,
sans leur amitié et leur compagnie.

En tous cas, il y a d’autres personnes qui montent dans le train
et qui seront pour nous très importantes

Ce sont nos frères et nos soeurs,
nos amis et toutes les personnes merveilleuses que nous aimons.

Certaines considèrent le voyage comme une petite promenade.
D’autres ne trouvent que de la tristesse pendant leur voyage.
Il y a d’autres personnes toujours présentes
et toujours prêtes à aider ceux qui en ont besoin.

Certains quand ils descendent laissent une nostalgie pour toujours
D’autres montent et descendent tout de suite
et nous avons tout juste le temps de les croiser

Nous sommes surpris que certains passagers
que nous aimons, s’assoient dans un autre wagon
et que pendant ce temps nous laissent voyager seul.

Naturellement, personne peut nous empêcher
de les chercher partout dans le train.

Parfois malheureusement nous ne pouvons pas
nous asseoir à côte d’eux car la place est déjà prise.

Ce n’est pas grave le voyage est comme ça:
plein de défis de rêves, d’espoirs, d’adieux.mais sans retour.

Essayons de faire le voyage de la meilleure façon possible.

Essayons de comprendre nos voisins de voyage
et cherchons le meilleur en chacun d’entre eux.

Rappelons nous qu’à chaque moment du voyage
un de nos compagnons peut vaciller
et peut avoir besoin de notre compréhension.

Nous aussi pouvons vaciller et il y aura toujours
quelqu’un pour nous comprendre.

Le grand mystère du voyage est que nous ne savons pas
quand on descendra du train pour toujours,
Nous ne savons pas non plus
quand nos compagnons de voyage feront la même chose.
Même pas celui qui est assis juste à côte de nous.

Moi je pense que je serai triste de quitter le train.j’en suis sûr!

La séparation avec tous les amis que j’ai rencontrés dans le train
sera douloureuse, laisser mes proches seuls sera très triste.
Mais je suis sûr qu’un jour ou l’autre j’arriverai à la gare centrale
et je les reverrai tous arriver avec un bagage
qu’ils n’avaient pas quand il sont montés dans le train.

Par contre je serai heureux d’avoir contribué
a augmenter et enrichir leur bagage

Nous tous mes amis, faisons tout le possible
pour faire un bon voyage et essayons de laisser
un bon souvenir de nous au moment
où nous descendrons du train.

A ceux qui font partie de mon train, je souhaite un

BON VOYAGE!

7 CONSEILS POUR CHANGER VOS HABITUDES?

Lorsque l’on souhaite passer à l’action ou opérer un changement dans sa vie professionnelle ou personnelle, il est nécessaire de comprendre en quoi vos habitudes peuvent vous aider ou vous ralentir dans votre démarche.

Saviez-vous qu’environ 80% de ce que vous faites au quotidien est de l’ordre d’une habitude? Il est donc tout à fait normal que vous ayez des habitudes. Les habitudes sont, pour la plupart d’entre nous, rassurantes et utiles. Chacune des routines que vous avez installées met en place un processus qui libère un résultat. Elles vous évitent de réfléchir à vos moindres gestes quotidiens, ce qui vous permet d’agir d’une manière plus ou moins mécanique et inconsciente. Par exemple, en se lavant automatiquement les dents après les repas, on maintient une bonne hygiène buccale et on réduit les risques de caries. Grâce à votre cerveau et à sa tendance à aller au plus facile, vous êtes ainsi en mode «pilote automatique» pour différentes tâches routinières.

C’est vrai tant pour vos gestes de tous les jours que pour vos schémas de pensées et vos microdécisions quotidiennes. Une grande partie de ce que vous possédez aujourd’hui et de ce que vous êtes provient de décisions que vous avez prises (ou que vous n’avez pas prises) et d’actes que vous avez posés (ou que vous n’avez pas posés) dans le passé. Plusieurs de ces décisions ou de ces actions ont été guidées ou orchestrées par une habitude. Nous avons également des habitudes dans notre manière de réfléchir; par exemple, certaines personnes pensent tout de suite au pire, alors que d’autres voient le bon côté des choses. Ces habitudes conditionnent l’ensemble de nos comportements et de nos attitudes.

Puisque ces mécanismes en place allègent notre vie et nous permettent de concentrer nos énergies ailleurs, dès que nous essayons d’aller contre une habitude, c’est comme si nous essayions de remonter le courant d’une rivière. C’est une des raisons pour laquelle il est quelquefois difficile de changer, car nous sommes prisonniers de nos habitudes.

Dans le cas où vous souhaiteriez modifier une habitude, voici quelques conseils pour faciliter votre travail.

Fixez-vous une période de 30 jours

Certaines études ont montré qu’il fallait 21 jours pour installer une nouvelle habitude. Se donner une date butoir est toujours nécessaire lorsque l’on se fixe un objectif.

Évaluez les bénéfices que vous allez gagner

Changer une habitude demande de déployer des efforts et de l’énergie, il est donc indispensable de contrebalancer par des avantages. Pensez à ce que vous allez gagner, à la satisfaction personnelle que vous allez en tirer, rédigez une liste sur une feuille de papier que vous garderez près de vous, si nécessaire.

Récompensez-vous

Puisque des efforts vont être nécessaires, il est important que vous récompensiez votre travail. L’être humain n’est pas fait pour souffrir, le fait de vous récompenser lorsque vous atteignez un objectif est un très bon moyen d’attiser la motivation et d’engranger de la confiance en vous.

Visualisez vos résultats

Le cerveau utilise le même processus lorsque nous exécutons une tâche ou que nous la visualisons. Le simple fait de visualiser stimule la puissance créatrice du cerveau. L’entraînement virtuel permet de développer une confiance en soi nécessaire lorsque l’on essaye de changer une habitude.

Utilisez des « déclencheurs » d’actions

Quand le « pilote automatique » est en marche, il est difficile de le stopper. Aussi pour faciliter les nouveaux comportements ou actions souhaités, il faut mettre des obstacles sur son chemin: « des déclencheurs d’actions ».

Voici quelques exemples:

Faire plus de sport:  vos habits de sport au pied de votre lit

Manger plus de fruits: des fruits achetés à l’avance en évidence sur votre lieu de travail

Appeler plus souvent certaines personnes: les numéros de téléphone à portée de main

Participer à certaines activités : des rendez-vous planifiés dans l’agenda

Etc..

Soyez déterminé

Il ne s’agit pas seulement d’être motivé à changer une habitude, mais d’en avoir vraiment la volonté. On ne change pas pour le plaisir de changer, il est donc indispensable de mettre toute son énergie pour atteindre son but sans relâche.

Choisissez un environnement propice à votre nouvelle habitude

L’environnement conditionne le changement. Nous mangeons 35% plus lorsque nous sommes 2 que tout seul; 75% lorsque nous sommes 4 et 96% lorsque nous sommes 7.

Assurez-vous de vous entourer de personnes qui vont vous aider dans votre démarche. Sélectionnez un lieu adéquat à votre nouveau défi. N’êtes-vous plus enclin à acheter de fruits et légumes frais lorsque vous allez au marché plutôt qu’au dépanneur du coin?

rappelez-vous que vous possédez toutes les ressources intérieures, et vous êtes capable de faire beaucoup plus que ce que vous vous en croyez capable! Alors, c’est parti…

COMMENT SURVIVRE A UNE CRISE CARDAQUE LORSQU’ON EST TOUT SEUL ?

Disons qu’il est 18:15 et vous rentrez chez vous (seul bien sûr) … après une journée de travail particulièrement difficile. Vous êtes vraiment fatigué, énervé et frustré. Vous commencez soudainement à ressentir une forte douleur à la poitrine qui s’étend à votre bras et vers votre machoire. Vous êtes à peu près à 8 km de l’hôpital le plus proche. Malheureusement vous ne savez pas si vous arriverez à aller jusque là. On vous formé au massage cardiaque, mais le formateur ne vous a bien sûr pas montré comment le faire sur soi-même…!! …ALORS COMMENT SURIVRE A UNE CRISE CARDIAQUE QUAND ON EST SEUL..?

Comme beaucoup de personnes sont seules lorsqu’elles souffrent de crise cardiaque, sans aide, la personne dont le coeur bat de manière anormale et qui commence à s’évanouir, a seulement 10 secondes avant de perdre conscience. Malgré tout, ces victimes peuvent se secourrir elles-même en toussant de manière répétée et très vigoureusement. Une profonde inspiration doit être prise avant chaque toux, et la toux doit être intense et longue, comme si vous faisiez un gros crachat depuis le bas de votre poitrine. Une inspiration et une toux doivent être alternée toutes les 2 secondes sans arrêt jusqu’à ce que de l’aide arrive, ou jusqu’à ce que l’on sent que le coeur a repris un battement normal. De profondes inspirations apportent l’oxygène aux poumons et les mouvements du toussotement masse le coeur et continue à faire circuler le sang. Les mouvements de toussotement sur le coeur contribue aussi à ce qu’il reprenne un rythme normal. De cette manière, les victimes de crises cardiaques peuvent arriver à l’hôpital.