Qui nous accorde notre subsistance?
Qui fait tomber l’eau du ciel?
Qui maintient le soleil et les astres ?
Qui veille sur l’alternance du jour et de la nuit ?

Qui, si ce n’est Le Créateur des Cieux et de la Terre?

Il est dit que celui qui fait de son principal soucis, celui de l’au-delà, Dieu s’occupe de ses soucis d’ici bas.

Nous craignons la pauvreté… alors que c’est Dieu Le Riche !

Nous craignons la maladie… alors que c’est Dieu Le Guérisseur !

Nous craignons le mal … alors que c’est Dieu Le Protecteur !

Nous craignons les épreuves… alors que c’est Dieu Le Secoureur !

Alors … quand allons-nous placer notre confiance en Dieu ?

Quelques Secrets du Coran 

– Le mot  » Jour  » est écrit 365 fois. Il y a 365 jours dans l’année .
– Le mot  » mois  » est écrit 12 fois. Il y a 12 mois dans l’année.
– Le mot  » terre  » est écrit 32 fois.
Le mot « mer  » est écrit 13 fois
32 + 13 = 45.

(32/45) x 100= 71,1% pour la mer (13/45) x 100 = 28,9 % pour la Terre .

Ces résultats représentent exactement les superficies de la mer & de la terre recouvrant le globe terrestre !

– Le mot  » vie  » et le mot  » mort « sont écris 145 fois.
– Les mots  » monde d’ici bas  » et les mots  » monde de l’au delà  » sont écrit 115 fois.
– Le mot « homme » et le mot  » femme  » sont cités 24 fois.
– Le mot  » foi  » et le mot  » mécréance  » sont cités 25 fois.
– Le mot  » châtiment  » est écrit 117 fois .
Tandis que le mot pardon est répété 234 fois .
Son double !

Les treize commandements de la vie

Le plus grand handicap… la peur.

Le plus beau jour …aujourd’hui.

La chose la plus facile… se tromper.

La plus grande erreur… abandonner.

Le plus grand défaut… l’égoïsme.

La plus grande distraction… le travail.

La pire banqueroute… le découragement.

Les meilleurs professeurs… les enfants.

Le plus grand besoin …le bon sens.

Le plus bas sentiment …la jalousie.

Le plus beau présent… le pardon.

La plus grande connaissance… Dieu.

La plus belle chose au monde… l’amour.

UN SOURIRE Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup. Il enrichit ceux qui le reçoivent Sans appauvrir ceux qui le donnent. Il ne dure qu’un instant Mais son souvenir est parfois éternel. Personne n’est assez riche pour s’en passer, Personne n’est assez pauvre pour ne pas le mériter. Il crée le bonheur au foyer, soutient les affaires, Il est le signe sensible de l’amitié. Un sourire donne du repos à l’être fatigué, Rend du courage aux plus découragés. Il ne peut ni s’acheter, ni se prêter, ni se voler Car c’est une chose qui n’a de valeur Qu’à partir du moment où il se donne. Et si quelquefois vous rencontrez une personne Qui ne sait plus avoir le sourire, Soyez généreux, donnez-lui le vôtre. Car nul n’a autant besoin d’un sourire Que celui qui ne peut en donner aux autres.

« Selon le Psychological Bulletin, dépenser une partie de son argent pour faire plaisir aux gens que l’on aime nous rendrait plus heureux. Ceux qui font des dons à des œuvres caritatives sont également plus épanouis et ce, quel que soit leur niveau de revenus. Les chercheurs expliquent, en effet, que l’on se sentira plus heureux après avoir offert quelque chose à un proche ou à un organisme, car on aura le sentiment d’avoir fait plaisir à l’autre et par conséquent, cela nous réjouira. »

OBSTACLE SUR LA ROUTE

Il y a très longtemps, un roi fit placer un gros rocher sur une route. Puis, il se cacha et attendit pour voir si quelqu’un enlèverait l’énorme rocher. Quelques-uns des marchands et courtisans les plus riches du royaume passèrent par-là et firent tout simplement le tour du rocher. Plusieurs d’entre eux en profitèrent pour accuser le roi de négliger les routes, mais aucun ne fit quoi que ce soit pour enlever le rocher du chemin. Puis, un paysan passa par-là avec une grosse caisse de légumes. En approchant du rocher, le paysan déposa son fardeau et essaya de pousser le rocher vers le fossé. Après beaucoup d’efforts, il finit par réussir. Lorsqu’il se pencha pour reprendre sa caisse de légumes, il aperçut une bourse par terre, à l’endroit même où était le rocher. La bourse contenait plusieurs pièces d’or et une note écrite par le roi, dans laquelle il disait que l’or appartenait à la personne qui avait enlevé le rocher. Le paysan venait d’apprendre ce que beaucoup de gens ne comprennent jamais : chaque obstacle nous donne l’occasion d’améliorer notre sort.

«Quand vous pressez une orange, du jus d’orange en sort parce que c’est ce qu’il ya dedans. Le même principe est applicable pour vous. Quand quelqu’un vous presse telle une orange, ce qui en sort est ce qu’il ya dedans. Si vous n’aimez pas ce qu’il ya dedans alors vous pouvez le modifier en changeant vos pensées intérieures « .

Wayne Dyer

Traite chaque personne que tu rencontres comme si elle était la personne la plus importante que tu rencontreras ce jour-là

Roger Dawson

Trop souvent, nous sous-estimons souvent le pouvoir d’un contact, d’un sourire, d’un mot gentil, d’une oreille attentive, d’un compliment sincère, ou d’une moindre attention ; ils ont tous le pouvoir de changer une vie.

trop souvent, nous sous-estimons le pouvoir d’un sourire, d’une parole, d’une parole d’encouragement, d’une oreille attentive, d’un compliment ou d’un petit coup de main. ces gestes ont en effet le pouvoir de transformer le monde entier, une vie à la fois

La fête du sacrifice ou Aïd al-Adhâ, un acte spirituel et social

 

Chaque acte d’adoration, en islam, possède deux aspects indissociables. Le premier, spirituel, contribue à affermir le croyant dans sa relation à Dieu, et le second, social, permet de concrétiser l’unité des croyants à laquelle aspirent les musulmans. On retrouve ainsi ces deux aspects aussi bien dans l’accomplissement de la prière quotidienne en groupe, que dans la pratique du jeûne ou encore de l’aumône. Il en va même pour le sacrifice de Aïd-el-Adha, qui représente la Grande Fête des musulmans, point culminant du pèlerinage à la Mecque, et qui symbolise la soumission totale d’Abraham et, par extension, de tout croyant à Dieu.

La fête du sacrifice a lieu le 10ème jour du mois de Dhou al Hijja, dernier mois du calendrier musulman, et marque la fin du pèlerinage à La Mecque.

Les musulmans doivent égorger un mouton pour commémorer le sacrifice d’Abraham, dans les années 2000 avant JC. Les juifs commémorent le sacrifice d’Abraham lors du nouvel an.

Selon le Coran, Abraham, envoyé de Dieu, obéissant à un commandement divin, s’apprêtait à sacrifier son fils unique Ismaël, né de son épouse Agar (Hajar en arabe), ex-servante de sa première épouse Sarah, lorsque l’archange Gabriel remplaça Ismaël par un mouton. L’événement se situerait à proximité de La Mecque et, par sa soumission à Dieu, Abraham est considéré comme le premier des musulmans.

Selon la Bible, Abraham est un descendant de Noé. Obéissant à Dieu, il s’apprêtait à sacrifier son fils Isaac, né de sa vieille épouse Sarah, ainsi que trois anges le leur avaient annoncé. Abraham avait alors chassé dans le désert sa servante Agar et leur fils unique Ismaël. L’intervention de Dieu avait sauvé Isaac et l’événement se situerait à Jérusalem.

La bête à sacrifier ne doit pas être tuée, ni même assommée, avant la saignée, qui doit se faire avec un couteau parfaitement effilé et sans exercer la moindre pression, en coupant la trachée-artère et œsophage.

Selon la loi islamique, c’est au chef de famille, qui peut déléguer à un sacrificateur reconnu, d’accomplir la tâche sacrificielle, le mouton couché sur le flanc gauche, la tête tournée vers La Mecque. Il ne peut opérer qu’après la prière de l’Aïd, qui se déroule environ vingt minutes après le lever du soleil, suivie d’un prêche de l’imam.

De même, l’islam a instauré le rite du sacrifice pour que le musulman en dépense pour sa famille, ses proches, et les nécessiteux. C’est ainsi qu’est distribué le sacrifice : un tiers pour la consommation personnelle, un tiers pour se le partager entre voisins et proches et un tiers pour les pauvres. Plus la part des pauvres est grande, plus cela est méritoire. Dieu dit : « Mangez-en vous-même et faites-en manger le pauvre » (Sourate 22 : verset 27).

Cette largesse n’est pas limitée aux pauvres musulmans mais englobe les nécessiteux parmi les non-musulmans.

La dimension humaniste de cette fête se manifeste également à travers les vœux que les musulmans s’adressent mutuellement, mettant ainsi fin aux disputes et aux rancunes, réformant, à l’occasion, les liens de fraternité.

elle doit être un moment de pardon et de réconciliation. Le musulman se doit, ce jour-là, de rechercher ses proches, ses parents, ses frères et sœurs, ses voisins afin de rétablir les liens avec ceux qui les ont rompus, de faire acte de charité envers ceux qui ont refusé de la lui accorder, de faire preuve de pardon à l’égard de ceux qui ont fait preuve d’injustice à son encontre. Telles sont les nobles caractères que le Prophète (PBSL) est venu accomplir : « Je n’ai été envoyé qu’afin d’accomplir les nobles caractères » (Rapporté par Malik).

il s’agit donc d’une commémoration, afin que l’histoire des Prophètes ne tombe pas dans l’oubli. Une revivification, de la relation au Créateur par la célébration de la prière et le geste du sacrifice. De la joie, et de la bonne humeur pour que l’amour fraternel garde son intensité… et peut-être avant tout, une réflexion sur le sens de notre existence et sur la nécessaire solidarité qui confère à l’humanité toute sa spécificité et sa noblesse.

Tire bénéfice de cinq choses avant cinq choses : – ta vie avant ta mort, ta santé avant ta maladie, ton temps libre avant ton activité, ta jeunesse avant ta vieillesse, ta richesse avant ta pauvreté.

« Il est deux bienfaits que beaucoup de gens n’apprécient pas à leur juste valeur : La santé et le temps libre »

Le prophete Mohammad

 

la santé est une couronne posée sur la tête des bien-portants que seuls les malades voient, et le temps libre est un trésor pour qui le détient, chose que ne voient que les personnes débordées d’activités…