Si tu as une pomme, que j’ai une pomme, et que l’on échange nos pommes, nous aurons chacun une pomme. Mais si tu as une idée, que j’ai une idée et que l’on échange nos idées, nous aurons chacun deux idées.
George Bernard Shaw
Si tu as une pomme, que j’ai une pomme, et que l’on échange nos pommes, nous aurons chacun une pomme. Mais si tu as une idée, que j’ai une idée et que l’on échange nos idées, nous aurons chacun deux idées.
George Bernard Shaw
Il existe 3 solutions pour surmonter la peur de parler en public et l’utiliser à des fins positives :
C’est un élément naturel que vous pouvez utiliser à votre avantage.
Reconnaissez la peur. Nous avons tous peur de certaines choses, que ce soit la crainte d’être seul devant un public de plus de 100 personnes ou le simple fait de s’imaginer en train de monter sur scène. La peur est une réaction normale à ce genre de situation.
Les athlètes sont nerveux avant une compétition importante, les musiciens tremblent avant un concert, les acteurs ont souvent le trac.
Les présentateurs expérimentés ne perdent jamais cette appréhension et ils ne veulent pas la perdre.
Un acteur professionnel a dit : “J’ai l’habitude de sentir des papillons dans mon estomac chaque fois que je suis debout devant un auditoire. Maintenant que je sais comment les faire travailler pour moi, ils volent en formation.”
Pour vous aider à dépasser vos peurs, considérez toujours le fait que vous êtes une personne normale.
Les psychologues nous apprennent que la peur n’est pas le vrai obstacle. Nous réagissons mal parce que nous pensons que la peur n’est pas une émotion normale.
Ce n’est pas la peur elle-même qui pose problème mais plutôt votre réaction par rapport à votre peur.
Comme disait Franklin Roosevelt : “La seule chose que nous devons craindre c’est la peur elle-même.”
Une fois que vous aurez compris cela, vous pourrez contrôler vos réactions face à la peur.
La peur est un moyen naturel de vous acclimater au danger. Lorsque vous faites face à une situation nouvelle ou différente, ou lorsque beaucoup de gens vous regardent et que vous ne voulez pas paraître ridicule, la nature vous fait cadeau de la peur.
La nature ajoute de l’adrénaline à votre sang, elle accélère votre rythme cardiaque et vos réactions.
Elle vous donne l’énergie supplémentaire pour exceller. Identifiez la peur comme un ami et utilisez-la.
Cette étape ne nécessite pas d’efforts de votre part.
Analysez votre peur. La peur est un outil de protection. Que protégez-vous ? Vous n’avez pas confiance en vous… dans la prise de parole en public.
Il existe 3 dangers liés au manque de confiance :
– La peur de soi-même : peur de faire une mauvaise prestation.
– La peur de l’auditoire : peur qu’on puisse se moquer de vous.
– La peur de votre contenu : peur de ne rien avoir d’intéressant à dire.
La peur de soi-même et de l’auditoire sont liées. Il est possible de se faire plaisir sans pour autant faire plaisir à l’auditoire.
Le fait de viser l’approbation du public est toujours une meilleure stratégie car si vous y arrivez, vous serez vous-même heureux. Mais en essayant de plaire au public, vous ne devez jamais modifier le message que vous souhaitez transmettre.
Parfois, il faudra vous adresser à des gens qui ne sont pas d’accord avec vous sur certaines idées. Cela demande du courage. Ne craignez pas le désaccord : de très bons orateurs peuvent exposer librement leurs idées, quelles que soient les opinions du public, et sortir victorieux, car ils ont eu le courage et l’aisance pour exprimer leurs idées.
Vous savez maintenant que la peur, arme secrète de la nature, peut en fait vous aider.
Vous avez découvert que vous n’aviez pas vraiment peur de la “peur” mais plutôt de vous-même, de l’auditoire et de l’impact de vos idées.
Utilisez maintenant vos connaissances :
*Cachez vos émotions négatives. Si vous n’avez pas confiance en vous, cachez-le. Le fait que l’auditoire soit au courant ne vous aidera nullement. N’en parlez pas ! Agissez comme si vous aviez confiance et vous finirez par avoir confiance. Imaginez un garçon qui marche devant un cimetière la nuit. S’il marche tranquillement, en sifflotant, il n’aura pas peur. Par contre s’il commence à presser le pas, il commencera à courir et c’est alors que la peur l’envahira. Ne cédez pas à la peur.
*Repensez aux raisons pour lesquelles vous allez parler devant un public. Ceux qui vous ont choisi ont confiance en vous et en vos connaissances. Vous êtes donc le meilleur expert en la matière qui était directement disponible. Vous connaissez votre sujet, et vous le connaissez mieux que ceux qui vous écoutent. Une fois que vous aurez compris que votre compétence et votre capacité à exprimer vos connaissances sont les raisons pour lesquelles vous vous apprêtez à parler devant un auditoire, vous aurez davantage confiance en vous.
*Analysez votre auditoire. Ils veulent que vous fassiez une bonne prestation. Les auditeurs souffrent autant que le présentateur lorsque la présentation est mauvaise. Concentrez-vous sur le message que vous souhaitez faire passer, si vous arrivez à transmettre le message, le public sera satisfait, et vous aussi.
*Approfondissez vos connaissances sur le sujet. La solution ici est d’avoir des connaissances pertinentes et d’être bien préparé. Être bien préparé et avoir les connaissances appropriées permettent de supprimer la peur, mais cela ne garantit pas encore la qualité de la présentation.
Un bon début est de vous rendre compte que vous n’avez aucune raison de vous inquiéter de vous-même, de votre auditoire et de vos connaissances.
Et des expériences positives, vous pourrez dire “je peux le faire car je l’ai déjà fait dans le passé”.
Un homme captura un jour un serin. L’oiseau, si petit qu’il tenait dans la paume de sa main, tenta de négocier sa liberté en ces termes : Qu’attends-tu donc de moi ? dit-il. Je suis si petit, si maigre, je n’ai que la peau sur les os ! Rends-moi la liberté ! En échange, je te dirai trois vérités très utiles.
Soit, dit l’homme. Mais comment pourrai-je savoir si tes vérités sont utiles pour moi ?
D’accord, dit l’homme. Dis-moi la première vérité. La voici dit le serin : si tu perds quelque chose, s’agirait-il de ta propre vie, tu ne dois pas le regretter.
Voilà une vérité profonde, pensa l’homme : le non attachement aux formes extérieures, en effet, est le secret de la vraie liberté. Et il ouvrit la main. L’oiseau s’envola sur la branche, d’où il proféra sa deuxième vérité : Si on te raconte une absurdité, n’y crois sous aucun prétexte avant d’en avoir eu la preuve !
Très bien, dit l’homme, tu es beaucoup plus sage que ne le laissait prévoir ton minuscule crâne d’oiseau : l’être humain, en effet, est naturellement attiré par le mensonge et l’illusion, nés de sa convoitise ! Mais quelle est donc la troisième vérité ?
C’est, lui répondit le serin qui planait désormais dans les hauteurs du ciel, que j’ai dans l’estomac, deux diamants gros chacun comme un de tes poings. Si tu m’avais tué, ta fortune était faite !
Fou de rage, l’homme tenta de jeter des pierres au serin. Puis, s’accusant, maudissant sa stupidité, il se mit à pleurer sur son sort.
Imbécile ! s’exclama l’oiseau. Je t’ai dit de ne jamais regretter aucune chose, et tu regrettes déjà de m’avoir libéré ! Je t’ai dit de ne jamais croire une absurdité, et tu m’as cru lorsque j’ai prétendu, moi qui tiens dans la paume de ta main, avoir avalé deux diamants gros comme tes poings ! En raison de ta convoitise et de ton aveuglement, tu ne pourras jamais voler dans le ciel comme moi !
Etre sage nécessite de développer son niveau de conscience, un effort de tous les instants. La conscience n’est pas une destination finale mais un chemin difficile avec une vigilance permanente, car les obstacles de l’inconscience sont prêts à surgir à tout moment.
Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d’hôpital.
L’un d’eux devait s’assoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d’évacuer les sécrétions de ses poumons, son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L’autre devait passer ses journées, couché sur le dos.
Les deux compagnons d’infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits où ils avaient été en vacances.
Et chaque après-midi, quand l’homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s’assoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu’il voyait dehors. L’homme dans l’autre lit commença à vivre pour ces périodes d’une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.
De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac, les canards et les cygnes jouaient sur l’eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l’arc-en-ciel, de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait percevoir au loin la ville se dessiner. Pendant que l’homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l’homme de l’autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque. Lors d’un bel après-midi, l’homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par-là. Bien que l’autre homme n’ait pu entendre l’orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.
Les jours et les semaines passèrent.
Un matin, à l’heure du bain, l’infirmière trouva le corps sans vie de l’homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu’ils viennent prendre le corps.
Dès qu’il sentit que le temps était approprié, l’autre homme demanda s’il pouvait être déplacé à coté de la fenêtre. L’infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s’assura de son confort, puis elle le laissa seul.
Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s’appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d’oeil dehors. Enfin, il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s’étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or, tout ce qu’il vit, fut un mur !
L’homme demanda à l’infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité. L’infirmière répondit que l’homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur.
« Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager », commenta-t-elle.
Epilogue :
Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d’autres heureux, en dépit de nos propres épreuves. La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s’en trouve double. Si vous voulez vous sentir riche, vous n’avez qu’à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l’argent ne peut acheter.
« La gentillesse est le langage qu’un sourd peut entendre et qu’un aveugle peut voir. »
Mark Twain
Un certain homme planta une rose et l’arrosa fidèlement,
et avant qu’elle ne fleurisse Il l’examina.
Il vit le bouton qui fleurirait bientôt et aussi les épines.
Et il pensa, « Comment est-il possible qu’une fleur si magnifique provienne
d’une plante chargée d’autant d’épines pointues ? »
Attristé par cette pensée, il négligea d’arroser la rose
et avant, qu’elle ne fût prête à fleurir, elle mourut.
Il en est ainsi pour beaucoup.
A l’intérieur de chaque âme il y a une rose.
Les qualités divines plantées en nous à la naissance grandissent
parmi les épines de nos erreurs.
Beaucoup d’entre nous se regardent eux-mêmes et
voient seulement leurs épines leurs défauts.
Nous désespérons, en pensant peut-être
que rien de bon ne peut sortir de nous.
Nous négligeons d’arroser le bien qui est en nous,
et finalement, il meurt.
Nous ne réalisons jamais notre potentiel.
Quelques personnes ne voient pas la rose à l’intérieur d’elles-mêmes
quelqu’un d’autre doit la leur montrer.
Un des dons les plus extraordinaires qu’une personne puisse posséder
est d’être capable de passer à travers les épines
et de trouver la rose à l’intérieur des autres.
C’est la caractéristique de l’amour, de regarder une personne
et connaissant ses erreurs, de reconnaître la noblesse dans son âme.
Et de l’aider à réaliser qu’elle peut dépasser ses erreurs.
Si nous lui montrons la rose, elle fera la conquête des épines.
Alors elle fleurira, et plus loin fleuriront trente, soixante
une centaine de plants comme celui qui lui a été donné.
Notre devoir en ce monde est d’aider les autres
en leur montrant leurs roses et non leurs épines.
Alors seulement nous atteindrons l’amour
que nous devrions ressentir pour chacun
alors seulement nous fleurirons dans notre propre jardin.
Un roi africain avait un ami d’enfance qui était très proche de lui. Cet ami avait une habitude curieuse : quel que soit l’évènement qui lui arrivait dans la vie, positif ou négatif, il disait « C’est génial ! »
Un jour le roi et son ami partirent à la chasse. Son ami prépara les fusils pour le roi. Mais il fit sans doute une bétise, car un des fusils explosa dans les mains du roi et le priva de son pouce.
Au moment où cet accident arriva, l’ami dit, comme d’habitude, « C’est génial ! »
A cela le roi, qui était vraiment en colère, lui dit « Non, ce n’est pas génial du tout » et en donna la preuve à son ami en le jetant en prison.
Un an plus tard, le roi chassait hors de son royaume et des cannibales le capturèrent et le firent prisonnier dans leur village. Ils l’attachèrent à un tronc, mirent du bois autour de lui, et s’apprêtèrent à le faire griller vif pour le manger.
Mais, au moment où ils allaient mettre le feu, ils s’aperçurent qu’il lui manquait un pouce. Une de leurs croyances étant qu’en le mangeant ils leur arriverait la même chose, ils détachèrent le roi et le laissèrent partir.
Sur le chemin du retour, exténué, choqué, il se souvint des circonstances dans lesquelles il avait perdu son pouce.
A peine arrivé, il se fit conduire à la prison pour parler avec son ami.
« Tu avais raison, mon ami, dit-il, c’était génial que je perde mon pouce. »
Et il raconta ce qui lui était arrivé à son ami. « Je te supplie de me pardonner de t’avoir laissé croupir en prison si longtemps. C’était mal de ma part de t’avoir fait cela. »
Son ami lui répondit : « Mais non, c’était génial au contraire ! »
« Qu’est-ce que tu veux dire ? Comment le fait de te jeter en prison, toi, mon ami, pourrait-il être génial ? »
« Si je n’avais pas été en prison, j’aurais été avec toi. Et ils m’auraient mangé. »
Ce qui nous arrive dans la vie ne semble pas toujours avoir de sens. Mais en gardant une attitude positive, vous lui trouverez un sens. Et vous transformerez le mal en bon, en « génial », même.
Il suffit de chercher le génial et vous le trouverez.
La vie n’est qu’un écho
ce que tu envoies te revient
Ce que tu sèmes, tu le récoltes
Ce que tu donnes t’es rendu
Ce que tu vois chez les autres, existe en toi-même
ce qui arrive dans la vie n’est pas une coïncidence, mais le miroir de tes propres actions…
Aujourd’hui avant de dire un mot cruel, rappelle-toi de celui ou celle qui ne peut pas parler.
Avant de te plaindre du goût de la nourriture, pense à celui ou celle qui n’a rien à manger.
Avant de te plaindre de ton mari ou de ta femme, pense à celui ou celle qui implore Dieu pour un compagnon ou compagne.
Et quand tu es fatigué(e) et tu te plains de ton travail, pense à celui ou celle qui n’a pas d’emploi, la personne handicapée et ceux et celles qui aimeraient avoir un travail.
Et quand les pensées déprimantes semblent t’abattre, mets un sourire sur ton visage et pense que tu es en vie et tu es encore là!
« Le fort n’est pas celui qui terrasse les gens dans la lutte, mais le fort est celui qui reste maître de lui-même dans la colère. »
le prophète mohammad