« Alors que nous essayons d’enseigner la vie à nos enfants, nos enfants nous montrent ce qu’est la vie. »
Angela Schwindt
« Alors que nous essayons d’enseigner la vie à nos enfants, nos enfants nous montrent ce qu’est la vie. »
Angela Schwindt
« Si le problème a une solution, il ne sert à rien de s’inquiéter. Mais s’il n’en a pas, alors s’inquiéter ne change rien. »
Proverbe tibétain.
Un jour, le père d’une très riche famille amène son fils à la campagne pour lui montrer comment les gens pauvres vivent.
Ils y passent quelques jours sur la ferme d’une famille qui n’a pas beaucoup à leur offrir.
Au retour, le père demande à son fils :
– » as-tu aimé ton séjour? »
– » C’était fantastique, papa ! »
– « As-tu vu comment les gens pauvres vivent? » demande encore le père.
– « Ah oui! » Répond le fils
– » Alors qu’as-tu appris? »
Le fils lui répond » J’ai vu que nous n’avions qu’un chien alors qu’ils en ont quatre.
Nous avons une piscine qui fait la moitié du jardin et ils ont une grande crique.
Nous avons des lanternes dans notre jardin et eux ont des étoiles partout dans le ciel.
Nous avons une immense galerie à l’avant et eux ont l’horizon.
Nous avons un domaine mais eux ont des champs à perte de vue.
Nous avons des serviteurs alors qu’eux servent les autres.
Nous achetons nos denrées et eux les cultivent.
Nous avons des murs autour de la propriété pour nous protéger. Eux ont des amis qui les protègent. »
Le père en resta muet.
Le fils rajouta:
– » Merci Papa de m’avoir montrer tout ce que nous n’avons pas « .
Trop souvent nous oublions ce qui nous est acquis pour nous morfondre sur ce que nous n’avons pas.
Ce qui est un objet sans valeur pour un peut très bien être un trésor pour un autre.
Ce n’est qu’une question de perspective.
C’est à se demander ce qui arriverait si nous avions de la gratitude pour tout ce que nous avons au lieu d’en vouloir toujours plus.
Apprenez à apprécier ce que vous « avez ».
Retrouvez vos yeux et votre cœur d’enfant et voyez combien il est important d’apprécier ce que vous avez plutôt que de vous soucier de ce que vous ne possédez pas.
Jongler avec la vie
Imaginez la vie comme un jeu dans lequel vous jonglez avec cinq balles.
Vous pouvez les appeler : Travail – Famille – Santé- Amis – Esprit .
Vous jonglez avec ces balles. Vous comprendrez vite que le travail est une balle en caoutchouc ; si vous la laissez tomber, elle rebondit. Mais les quatre autres balles, Santé – Famille – Amis – Esprit, sont en verre. Si vous en laissez tomber une elle va, à coup sûr, rester par terre, à vos pieds, se fendre, s’abîmer ou même être brisée, fracassée, détruite. Elle ne sera plus jamais la même.
Vous devez comprendre cela et être vigilant pour maintenir un équilibre entre chaque domaine de votre vie.
Comment ?
La vie n’est pas une course mais un voyage à savourer pas à pas.
Hier c’est de l’histoire.
Demain est un mystère.
Je me sentirais mieux….
1. Si je cherche ce qu’il y a de mieux en toute situation, en toute chose
2. Si je tourne résolument le dos au passé, bon ou mauvais et si je vis seulement dans le présent qui prépare l’avenir
3. Si je pardonne à tous , le mal qu’on a pu me faire et si je ME pardonne A MOI-MEME de tout mon cœur
4. Si je prends toutes les mesures pour « démontrer» un corps sain et une ambiance harmonieuse autour de moi.
5. Si je m’abstiens strictement de toute critique personnelle, et si je ne répands ni écoute les médisances
6. Si je m’habitue à donner dès mon réveil un sourire a l’univers.
7. Si JE METS EN PRATIQUE : « Tout ce que vous voulez que les gens fassent pour vous, faites-le de même pour eux. »
8. Si je comprends que tout ce que je vois n’est qu’une image qui peut être transformée et devenir parfaite grâce à la Prière Scientifique*.
Si vous voulez réussir vos démonstrations, demandez-vous à vous-même une fois par semaine dans quelle mesure vous observez ces points dans votre vie
*La prière scientifique c’est la manière de penser en harmonie avec les principes Divins qui nous régissent.
Qui a dit que le sourire est symbole de la joie ?
Qui a dit qu’une larme est symbole de tristesse ? Parfois, nous montrons notre grande joie avec une larme & nous montrons notre profonde tristesse avec un sourire…
Bryan roulait sur une route quasi déserte lorsqu’il vit une Mercedes en panne sur le côté de la route. Malgré la faible lumière du jour, il aperçut la conductrice, une vieille dame qui avait l’air complètement affolée.
Il s’arrêta devant la Mercedes, sortit de sa vieille Pontiac et se dirigea vers la pauvre dame désespérée. Malgré le sourire qui se dessinait sur son visage, il sentit combien elle était effrayée. Depuis le temps qu’elle attendait, personne ne s’était arrêté. Est- ce que ce jeune homme, allait-il lui faire du mal?
Il pouvait voir qu’elle était effrayée, debout dans le froid, près de sa voiture. Elle grelottait, la peur tout autant que le froid lui donnaient la chair de poule . Bryan perçut sa peur.
«Je vais vous aider Madame, dit-il, allez-vous asseoir dans la voiture où il fait un peu plus chaud… Mon nom est Bryan Anderson».
Il constata qu’elle avait une crevaison; mais en raison de son âge avancé, elle ne pouvait rien faire toute seule.
Bryan s’accroupit, regarda sous la voiture pour voir comment placer le cric, frotta ses mains pour se réchauffer les doigts et se mit au travail. Elle vit qu’en remplaçant le pneu, il s’était sali et blessé à une main.
Pendant qu’ il resserrait les écrous, elle abaissa sa vitre et commença à lui adresser la parole. Elle lui expliqua qu’elle était de St Louis et était juste de passage. Elle ne pouvait pas assez le remercier pour son aide.
Bryan souriait en refermant le coffre. La dame lui demanda combien elle lui devait. Elle lui dit que son prix n’avait pas d’importance tellement avait eu peur, s’étant imaginée des choses affreuses auxquelles elle avait été exposée s’il ne s’était pas arrêté.
Bryan lui répondit qu’il n’avait pas à être payé. Ceci n’était pas un travail pour lui. Il n’avait fait qu’aider quelqu’un dans le besoin. Dieu seul savait combien de fois des gens l’avaient aidé dans le passé. Il menait son existence de cette manière et il ne lui venait pas à l’esprit d’agir autrement. Il lui dit que si elle voulait vraiment le payer de retour, la prochaine fois qu’elle verrait quelqu’un dans le besoin, elle devrait donner à cette personne l’assistance nécessaire; et il conclut, ‘ Souvenez-vous de moi’
Il attendit qu’elle démarrât son véhicule pour s’en aller. C’était une belle journée froide, la vie n’était pas facile pour lui en ce moment, mais il se sentait bien en prenant le chemin de la maison.
A quelques kilomètres de là, la vieille dame trouva un restaurant. Elle y entra pour se réchauffer et prendre une bouchée avant de continuer sa route.
C’était un restaurant modeste devant lequel se trouvaient deux vieilles pompes à essence .La serveuse l’accueillit et lui offrit une serviette propre pour assécher ses cheveux mouillés.
Elle avait un gentil sourire malgré le fait qu’elle était debout toute la journée. La vieille dame remarqua que la serveuse était enceinte d’environ huit mois mais que ni l’effort ni le travail ne lui enlevaient sa bonne humeur !
La vieille se demanda comment une personne avec si peu pouvait être si généreuse envers une étrangère.
Aussitôt, elle se souvint de Bryan. Quand elle finit son repas, elle paya avec un billet de 100$ . La serveuse alla vite chercher la monnaie. Mais la dame se faufila dehors, quittant avant que la serveuse ne soit de retour. Lorsque la serveuse revint, elle se demanda où la cliente pouvait bien se trouver.
Elle remarqua alors une note sur la serviette de table. Des larmes coulèrent de ses yeux quand elle lut ce que la vieille lui avait écrit : « Vous ne me devez rien. Je suis aussi passée par là. Quelqu’un m’a aidée à m’en sortir comme je le fais pour vous. Si vous voulez réellement me payer de retour, voici ce qu’il faut faire : ne permettez pas à cette chaîne d’amour de prendre fin avec vous.»
Et sous la serviette de table, il y avait quatre autres billets de 100 $. He bien ! Même s’ il y avait des tables à nettoyer, des boîtes de sucre à remplir , la serveuse décida de le faire un autre jour. Elle rentra chez elle, et en se mettant au lit , elle pensa à l’argent et à ce que la vieille lui avait écrit. Comment la dame aurait–elle pu savoir qu’ elle et son mari en avaient besoin ? Avec un bébé le mois suivant, cela s’annonçait très dur. Elle savait combien son mari était inquiet et en se glissant près de lui, elle lui donna un doux baiser et chuchota doucement à son oreille : « Tout ira bien. Je t ‘aime, Bryan Anderson. »
Il y a un vieux dicton qui dit « UN BIENFAIT N’EST JAMAIS PERDU », les mains ouvertes finissent par attraper quelque chose.
Mais juste avant qu’il n’arrive à la limite du village, IL croisa des jeunes voyous qui se mirent à Le critiquer. Quelque peu surpris de cette réception, IL s’arrêta, s’assit sur un rocher et leur dit : « Et bien, messieurs, quel plaisir obtenez-vous en Me critiquant ainsi ? » Sans donner aucune raison, ils redoublèrent leurs critiques. Bouddha leur dit : « Poursuivez donc aussi longtemps qu‘il vous plaira. » Ils critiquèrent et critiquèrent de plus belle jusqu’au moment où, fatigués de leurs propres invectives, ils décidèrent finalement de s’en aller.
Avant qu‘ils ne s’en aillent, Bouddha leur dit : « Enfants ! Voici une vérité que Je souhaite que vous sachiez. Dans le village où Je me rends, les gens M’aiment beaucoup. S’ils apprenaient que vous M’avez critiqué de manière aussi vile, ils vous tailleraient en pièces. Pour vous sauver de ce danger, Je suis resté assis ici sur ce rocher et Je vous ai permis de Me critiquer. Je vous ai donc fait un grand cadeau. D’ordinaire, quand on veut donner de la joie aux gens on doit dépenser beaucoup d’argent et faire toutes sortes de préparatifs. Cependant, sans aucun effort, sans dépenser le moindre centime, Je vous ai permis de vous réjouir en Me critiquant. Puisque vous semblez retirer tant de joie des critiques que vous M’adressez, Je suis responsable de votre joie. Sans en avoir eu l’intention, J’ai pu donner satisfaction à beaucoup de gens. Vous voyez, au lieu d’être malheureux à cause de vos critiques, Je suis vraiment heureux parce que J’ai pu vous donner du bonheur. »
Ensuite, Bouddha leur expliqua une chose très importante. Il le fit d’une manière telle que cela laissa une impression indélébile en leur coeur. « Supposons qu’un mendiant frappe à votre porte pour demander l’aumône et que vous lui apportez de la nourriture. Supposons aussi que cette nourriture n’est pas le genre d’aumône qu‘il attend et admettons qu’il ne l’accepte pas. Que ferez-vous ? Vous direz, « Si tu ne veux pas ce que je te donne, je le reprends et le garde pour moi.
De même, vous m’offrez vos critiques, c’est l’aumône que vous Me faites. Vous pensez sûrement que J’ai besoin de votre avis et Me l’offrez gratuitement, mais Je ne l’accepte pas. Alors, à qui va-t-il ? Et bien, il vous est retourné, il vous reste et vous appartient. Vous voyez, vous vous êtes réellement critiqués vous-mêmes, vous ne M’avez pas critiqué du tout. »
On peut envoyer une lettre recommandée à un ami. S’il n’accepte pas cet envoi recommandé que fera l’Administration de la Poste avec la lettre. Elle la renverra à l’expéditeur. Si vous critiquez ou dénigrez quelqu’un et si cette personne n’accepte pas vos critiques, elles vous reviennent inévitablement.
Ceci est une histoire pour comprendre la richesse et la liberté que pardonner peut apporter dans nos vies.
Un professeur de méditation a demandé à ses étudiants de venir au prochain cours avec un sac de patates et un sac de plastique vide.
Tout au long du cours de méditation, le professeur a demandé à ses étudiants de méditer sur ceux et celles envers qui ils entretenaient des ressentiments, des envies, des jalousies, des rancoeurs, bref, envers ceux et celles qu’ils n’avaient pas pardonnés pour un geste du passé.
Puis, à la fin du cours, le professeur a demandé à chaque étudiant d’écrire le nom de ces personnes sur une patate et de transférer ces patates dans le sac vide.
Ensuite, ils devaient se faire la promesse que pour les 7 prochains jours, 24 heures sur 24, de ne jamais se séparer, peu importe les circonstances, de leur sac de patates.
Certaines personnes sont parties avec plus de 30 livres de patates !
Peu importe le poids, jour et nuit, le sac de patates devait faire partie de leur vie. Au coucher, ils devaient le déposer sur la table de chevet, puis, le matin venu, le sac de patates devait être déposé à la porte de la douche, sur l’évier pendant qu’ils se brossaient les dents, ils devaient l’apporter au déjeuner, dans le métro, l’autobus, au bureau, sur l’heure du lunch, à des réunions, etc.
Après quelques jours, certaines patates étaient pourries tandis que d’autres avaient des racines longues de plusieurs pouces. Juste trainer une patate dans sa bourse rendait certaines participantes totalement folles d’impatience de s’en débarrasser !
Au bout de 7 jours, les étudiants sont tous arrivés au cours de méditation plus tôt qu’à l’habitude dans l’espoir de remettre rapidement leur sac de patates au professeur dans les plus brefs délais.
Pour chaque participant, cette expérience avait eu le même résultat : ils venaient tous de réaliser que de pardonner, ce n’est pas d’excuser l’autre mais, c’est se libérer soi-même !
Bonne méditation et que la vie vous soit douce.
« La chance, c’est ce qui arrive quand la préparation coïncide avec l’opportunité.»
Sénèque