Si tu rencontres un homme de valeur, cherche à lui ressembler. Si tu rencontres un homme médiocre, cherche ses défauts en toi-même.

Connaître la vertu sans la cultiver, accumuler les connaissances sans les approfondir, entendre parler du juste sans le pratiquer, voir ses propres défauts sans y remédier, c’est bien là ce qui me préoccupe.

Confucius

 

Tu te questionnes, tu te cherches, tu cherches à comprendre. Quand tu voudras la réponse à tes questions, arrête de chercher des réponses. Laisse la réponse venir à toi. Elle t’apparaîtra du plus profond de toi, quand tu auras fait le vide Et que tu arrêteras de t’inventer des réponses. Ne cherche pas les conseils d’un sage. Arrête-toi un instant, prends ton souffle et fais le vide. Écoute Mon silence, Celui qui est en toi. De là émergeront toutes les réponses que tu cherchais. C’est en t’arrêtant de chercher que l’on se trouve. Regarde en toi. Pas avec les yeux de l’aveugle, avec les yeux de ton coeur. Sans préjugé. Tu verras les messages que Je t’ai envoyés. Tous ces messages. Je t’aime bien, mais Je ne te forcerai pas à t’aimer. Je t’envoie des messages, mais Je ne te forcerai pas à les écouter, ni même à les entendre. C’est en écoutant attentivement ton silence intérieur que tu finiras par entendre cette douce mélodie qui se cache en toi depuis si longtemps Pourquoi chercher si loin, ce qui se cache en toi ? Raymond Viger,le silence.v.v

Le maître dit:
« Si vous devez pleurer, pleurez comme un enfant. Vous avez été enfant autrefois, et pleurer est l’une des premières choses que vous avez apprises. Et puis, cela fait partie de la vie. N’oubliez jamais que vous êtes libre et qu’il n’est pas honteux de manifester vos émotions. Criez, sanglotez, aussi bruyamment que vous le souhaitez, car c’est ainsi que pleurent les enfants, et ils savent comment soulager rapidement leur coeur.
Avez-vous déjà remarqué comment les enfants s’arrêtent de pleurer? Quelque chose les distrait, attire leur attention vers une nouvelle aventure. Les enfants cessent de pleurer rapidement.
Et c’est ce qui vous arrivera, mais seulement si vous pleurez comme pleure un enfant. »

Paulo Coelho

Thomas Edison : 8 mots-clés ou attitudes pour innover

Avec 1093 inventions à son actif et quelque 200 brevets représentatifs, Thomas Edison (1847-1931) est l’archétype de l’innovateur. Innovateur et entrepreneur : l’entreprise qu’il créa en 1889 – General Electric – figure encore aujourd’hui parmi les ténors de l’innovation.

Quels conseils voudrait-il nous donner ?

1. Courage

La première invention et le premier brevet (1868) d’Edison – un système d’enregistrement électrique de votes – était techniquement abouti mais fut un échec commercial. Mais il croyait en l’électricité, continua ses recherches, essaya différentes choses – beaucoup de choses – et finit par mettre au point sa plus grande invention: l’ampoule électrique.

2. Prototypage

La meilleure façon de connaître la valeur réelle d’une idée est de la tester, de la transformer en prototype. Le prototype permet de passer rapidement de l’imagination au plus ou moins concret tout en limitant les coûts et les risques.

3. Essais – Erreurs

Indépendamment de son issue – heureuse ou malheureuse – une expérience a toujours un résultat positif à savoir un apport de connaissances. Connaissances qui ne sont pleinement utiles que si elles sont analysées, mémorisées, utilisées, etc.

En d’autres mots, il ne faut surtout pas se détourner des erreurs quitte à emboîter le pas à Edison en entretenant une véritable culture de l’erreur.

4. Problèmes

Si les erreurs mises à jour lors des expériences sont des enseignements, les problèmes en sont autant d’autres. Pour Edison, la créativité ne démarre pas en formulant des solutions mais en identifiant des problèmes. Par exemple, il portait grand intérêt aux griefs formulés par les clients et s’en servait pour procéder à des améliorations (innovation incrémentale).

5. Imperfections = Opportunités

Une des équations préférées d’Edison : problème = opportunité.

Sa principale stratégie consistait à rebondir sur des solutions ou technologies existantes en identifiant leurs points faibles et en tentant d’y apporter des réponses innovantes. Deux cas parmi les plus connus : Edison n’a inventé ni le téléphone, ni le télégraphe ; il a par contre fortement amélioré ces deux technologies.

6. Mémoire (et notes)

Une bonne mémoire, de l’avis d’Edison, est nécessaire pour innover ; elle permet notamment de croiser des idées. Cependant, il ne faisait que partiellement confiance à sa mémoire. La recette d’Edison : des dizaines de carnets de notes disséminés dans son atelier, son bureau, etc ; tous ses collaborateurs étant priés de faire de même.

Ceci précisé, il préférait de loin les images et les schémas aux mots qu’il qualifiait parfois de « hiéroglyphes » (ndr : sans doute en raison de sa dyslexie).

7. Standardisation

Parmi les nombreux facteurs ou vecteurs de succès d’Edison : la standardisation.

Il fut un pionnier en la matière en instaurant un « bureau des standards » dans son entreprise. Ce bureau avait pour mission d’imposer des normes aux départements (internes) et de collecter les avis, les attentes des autres parties prenantes pour définir les meilleures pratiques.

8. Travail

C’est maintenant démontré : la créativité découle de la productivité. Edison confirma pleinement la règle au moins de deux manières. Par une citation célèbre : « le génie c’est 1% d’inspiration et 99% de transpiration » (« Genius is 1 percent inspiration and 99 percent perspiration« ) et par un travail sans relâche (sur différents projets simultanés).

Suis ta route

Allez, suis ta route, et surtout ne regarde pas en arrière..
Suis ton intuition et ton cœur, ils te permettront d’avancer..

Tu y trouveras des obstacles tout au long, tu trébucheras,
Tu tomberas, mais relève-toi,
et surtout ne regarde pas en arrière..

Tu dois te construire une base solide,
tu te tireras d’affaire..
Ne fais rien dans la colère, tu retomberais à nouveau..

Et pendant ton parcours fais-toi des amis,
Et chaque jour deviendra extraordinaire,
puisque cet ami te tiendra la main…
t’ouvrira son coeur

Si tu lâches prise, reprends courage,
mais surtout ne regarde pas en arrière..
Le chemin que tu laisses derrière toi est sûrement parsemé de chagrins et de désespoir,
Devant toi se trouve le soleil, le bonheur, mais surtout la Vie..

Chaque pierre que tu auras contournée dans ce chemin,
Deviendra une magnifique fleur,
Qui s’épanouira sur le bord de la route
Et dégagera le parfum de la fraternité et la douceur humaine

Sois tolérant et compréhensif, tu ne perdras pas l’équilibre..
Accepte-toi tel que tu es, ne te sous-estime pas…
Aime-toi…

Un pas de plus, suis ta route
mais surtout ne regarde pas en arrière
Essuie tes larmes, fais chanter ton cœur, souris à la Vie…
Ta rancœur disparaîtra et ton esprit s’apaisera,
Reprends courage , mais surtout poursuis ta route..

Ne te retourne pas et dis-toi que pour toi
et pour le monde entier,
ces moments difficiles et inévitables restent derrière,
que cette route devient le chemin du bonheur..

Que tu sèmeras à ton tour…
Regarde ces magnifiques rayons de soleil,
Ils sont pour toi !

Poursuis ta route…

Auteur inconnu

8 règles pour apprendre à dire non

8 règles pour apprendre à dire non

Dire non, ça s’apprend. Parce que votre handicap n’est pas insurmontable, voici huit conseils pour vous aider à vous affirmer progressivement.

Ecoutez-vous
Votre ami qui ne rend jamais ce qu’on lui prête vient encore vous demander s’il peut vous emprunter un DVD. Vous sentez alors monter en vous l’angoisse et la contrariété, car vous savez que si vous acceptez, vous ne récupérerez pas votre bien. Soyez donc attentive à ces sentiments qui vous envahissent, ils vous permettront de prendre la bonne décision. Si vous avez l’impression de vous sacrifier, d’aller contre votre volonté, vous devez refuser. De même, sachez quelles sont vos priorités et vos limites, et tenez-en compte avant d’accepter de rendre un service qui vous coûte.

Prenez votre temps
Ne vous précipitez pas pour répondre à votre interlocuteur. N’hésitez pas à prendre le temps de la réflexion. C’est un bon moyen de lui signifier que ce n’est pas gagné d’avance, que sa requête vous pose problème. Vous ne répondrez pas sous la pression et vous pourrez ainsi réfléchir calmement à votre réponse, au lieu d’accepter sur le champ parce que vous ne savez pas comment lui dire non.

Cessez de vous justifier
« Non, désolée, je ne peux pas venir dîner chez toi samedi, je crois que je couve une mauvaise grippe » : qui n’a jamais inventé une telle excuse pour éviter une soirée à laquelle on n’a pas envie d’aller ? Au risque de se mettre dans une situation délicate. Par peur de blesser l’autre, vous avez souvent tendance à vouloir justifier votre refus, comme si vous n’étiez pas convaincu de sa légitimité. C’est en quelque sorte une façon de plaider coupable, alors que vous êtes tout à fait en droit de dire non. Au lieu de mentir, ou de vous lancer dans des longs discours et de sombres explications, contentez-vous d’un simple « Non, je ne peux pas ».

Prenez du recul
Ne culpabilisez pas ! Ce n’est pas parce que vous déclinez une invitation que votre ami sera blessé. Peut-être un peu déçu à la rigueur. Tâchez donc de comprendre et d’analyser ce qui est réellement en jeu dans votre relation, au lieu de dramatiser et d’imaginer le pire. Prenez conscience que votre entourage ne va pas vous rejeter et vous critiquer parce que vous n’êtes pas à leur service. Sachez d’ailleurs que les personnes qui ne savent pas dire non ne sont pas mieux perçues que les autres, bien au contraire.

Usez de tact
Dire non, c’est bien, à condition de trouver le ton et la forme adaptée. Un non sec, brutal, énoncé avec agressivité sera forcément mal pris par votre interlocuteur. Exprimez-vous avec diplomatie et empathie : « je désolée, mais je n’ai pas le choix ». Votre refus s’en trouvera ainsi adouci.

Tenez bon
Suite à votre refus, votre interlocuteur risque d’insister, de trouver mille et une bonnes raisons pour vous d’accepter. Ne vous laissez pas déstabiliser et influencer par ses contre-arguments. Soyez claire et ferme. Répétez votre refus aussi longtemps que nécessaire, sans chercher de nouvelles justifications. Il s’agit là de montrer que vous savez ce que vous voulez, et que vous êtes vous même convaincue de votre non.
Proposez une alternative
Si vous ne pouvez vous résoudre à dire non, cherchez une solution de substitution. Cela vous coûte d’emmener votre voisine chez le coiffeur mardi, alors que vous pourriez le faire sans problème mercredi ? Proposez-lui de décaler son rendez-vous au lendemain. Vous ne voulez pas passer votre samedi soir chez vos parents ? Invitez les plutôt à déjeuner le dimanche midi. Vous faites ainsi preuve de bonne volonté, cela vous épargnera les cas de conscience et autres scrupules.

N’abusez pas du non
Trop de non tue le non ! N’opposez pas systématiquement un refus sous prétexte que vous devez affirmer votre personnalité. Distinguez les situations où vous êtes en droit de dire non, et celles où refuser serait malvenu : par exemple lorsque votre collègue en instance de divorce vous demande de terminer son dossier en cours. Vous risqueriez de passer pour un individu égoïste et peu sympathique

Un homme avait vu une photo de rose sur un catalogue, il commanda le rosier et l’arrosa régulièrement.
Un jour, alors qu’il l’examinait, il vit qu’un beau bourgeon allait fleurir sous peu, mais il se piqua aux épines sur la tige.
« Comment une si belle fleur peut elle provenir d’un plant si mauvais et épineux? »
Attristé par cette pensée et en colère, il arrêta d’arroser la rose et avant qu’elle ne soit éclose, elle mourut.

Ainsi en est-il de beaucoup de gens.
A l’intérieur de chaque âme il y a une rose.
Les qualités implantées en chacun à la naissance croissent parmi les épines des erreurs.
Nous regardons et ne voyons bien souvent que les épines, les défauts.
Nous désespérons, pensant que rien de bon ne peut sortir de nous ou des autres.
Nous négligeons d’arroser ce qu’il y a de bon en nous ou en eux, par la foi, les compliments, la gentillesse, le temps passé…et les résultats ne sont jamais atteints.
Beaucoup avortent leurs talents avant qu’ils ne soient éclos parce qu’ils se croient imparfaits en se comparant à ceux qui sont déjà fleuris.

Certaines personnes ne voient pas la rose à l’intérieur d’elles et d’autres jardiniers d’amour peuvent leur expliquer et leur montrer.

Un des plus grands dons qu’une personne possède est d’être capable de passer par- dessus les épines et de trouver la rose en elle et chez l’autre.

S’accepter imparfait et accepter les erreurs des autres, tout en reconnaissant la noblesse de l’âme.
Séparer l’amour indéfectible de l’être (la rose) et la vision de leurs actions.

Si nous montrons la rose, chacun peut conquérir les épines.
Alors seulement nous fleurirons plusieurs fois.

Prendre soin de soi

Prendre soin de soi,

C’est établir un lien étroit avec la source de vie en moi.

C’est travailller à mon amélioration, et développer mon appréciation!

C’est cultiver l’acceptation et faire confiance à mes intuitions.

Prendre soin de moi, c’est m’offrir une place de choix.

C’est bouger et me reposer, c’est me gater et me dorloter.

C’est me sortir et bien me nourrir, c’est d’avoir du plaisir et d’en rire!

Par dessus tout,

Prendre soin de soi, c’est etre « moi » et non etre ce que les autres voudraient que je sois!

Le chauffeur de taxi et la grand-mère

Un chauffeur de taxi new yorkais raconte :

Je suis arrivé à l’adresse et j’ai klaxonné. Après avoir attendu quelques minutes, je klaxonne à nouveau. Comme il s’agissait de ma dernière course de la journée, je pensais partir, mais finalement je me suis stationné et puis je me suis dirigé vers la porte et j’ai toqué.

« Juste une minute », a répondu une voix de personne âgée. Je pouvais entendre quelque chose qui traînait sur le plancher.

Après une longue pause, la porte s’ouvrit. Une petite femme de 90 ans se tenait devant moi. Elle portait une robe imprimée et un chapeau à voilette, ressemblant à un personnage de film des années 1940.

À côté d’elle il y avait une petite valise en nylon. L’appartement semblait comme si personne n’avait vécu dedans depuis des années. Tout le mobilier était recouvert de draps.

Il n’y avait pas d’horloge sur les murs, pas de bibelot ni aucun ustensile sur les comptoirs. Dans un coin il y avait une boîte en carton remplie de photos et de verrerie.

« Pourriez-vous porter mon bagage jusqu’à la voiture? » dit-elle. J’ai porté la valise jusqu’à mon véhicule, puis suis retourné aider la femme.

Elle prit mon bras et nous avons marché lentement vers le bord du trottoir.

Elle n’arrêtait pas de me remercier pour ma gentillesse. « Ce n’est rien », je lui ai dit « J’essaie simplement de traiter mes passagers de la façon dont je voudrais que ma mère soit traitée. »

« Oh, tu es un bon garçon », dit-elle. Quand nous sommes arrivés dans la voiture, elle m’a donné une adresse, puis demanda: « Pouvez-vous passer par le centre-ville? »,

« Ce n’est pas le plus court chemin », répondis-je.

« Oh, cela ne me dérange pas », dit-elle. « Je ne suis pas pressé. Je me rends au centre de soins palliatifs. »

J’ai regardé dans le rétroviseur. Ses yeux scintillaient. « Je n’ai pas de famille » reprit-elle d’une voix douce. « Le docteur dit que je n’en ai plus pour très longtemps. » J’ai discrètement arrêté le compteur.

« Quelle route voudriez-vous que je prenne? » Demandai-je.

Pendant les deux heures qui ont suivi, nous avons roulé à travers la ville. Elle m’a montré le bâtiment où elle avait travaillé comme opérateur d’ascenseur.

Nous avons traversé le quartier où elle et son mari avaient vécu quand ils étaient jeunes mariés. Elle m’a fait arrêter devant d’un entrepôt de meubles qui était à l’époque une salle de bal où elle était allée danser lorsqu’elle était jeune fille.

Parfois, elle me demandait de ralentir en face d’un bâtiment particulier ou dans un coin et s’asseyait le regard perdu dans l’obscurité, sans rien dire.

Lorsque le soleil commença à rejoindre l’horizon, elle dit soudain: « Je suis fatiguée j’aimerai que nous y allions maintenant ».

Nous avons roulé en silence à l’adresse qu’elle m’avait donnée. C’était un petit édifice, comme une petite maison de convalescence, avec un portique pour rentrer dans une allée.

Deux infirmiers sont sortis et se sont dirigés vers le taxi. Ils étaient très attentionnés et surveillaient tous les mouvements de la vieille dame. Visiblement ils attendaient son arrivée.

J’ai ouvert le coffre et porté la petite valise jusqu’à la porte. La femme était déjà assise dans un fauteuil roulant.

« Combien vous dois-je? » M’a-t-elle demandé, en ouvrant son sac.

« Rien » lui dis-je.

« Vous devez gagner votre vie », répondit-elle.

« Il y aura d’autres passagers, » ai-je répondu.

Presque sans y penser, je me suis penché et lui ai donné une accolade. Elle me serra fort.

« Vous avez donné un petit moment de joie à une vieille dame », dit-elle. « Je vous remercie. »

Je lui serrai la main, et me retournai. Derrière moi, une porte a claqué, c’était le bruit d’une vie qui se termine.

Je n’ai pris aucun passager le reste de ma course. J’ai conduit sans but perdu dans mes pensées.

Je n’ai pratiquement pas parlé le reste de la soirée. Que se serait-il passé si cette femme avait eu à faire à un chauffeur en colère, ou à quelqu’un d’impatient et pressé ? Et si j’avais refusé de prendre la course, ou avais klaxonné plusieurs fois, puis parti sans attendre ?

Après réflexion, je ne pense pas avoir fait quelque chose de plus important dans ma vie.

Nous sommes conditionnés à penser que nos vies tournent autour de grands moments. Mais les grands moments sont souvent des jolis petits instants auxquels nous ne prêtons pas assez attention.»