« Exprimer ses émotions, c’est comme d’enlever les nuages noirs devant le soleil pour laisser pousser les fleurs. »
Tanya Sénécal
« Exprimer ses émotions, c’est comme d’enlever les nuages noirs devant le soleil pour laisser pousser les fleurs. »
Tanya Sénécal
« Mon Dieu donne moi le courage de changer les choses que je peux changer, la sérénité d’accepter celles que je ne peux pas changer et la sagesse de distinguer entre les deux. »
Marc Aurèle
Risquer
Rire, c’est risquer de paraître idiot.
Pleurer, c’est risquer de paraître sentimental.
Aller vers quelqu’un, c’est risquer d’exposer son moi profond.
Présenter ses idées, ses rêves à la foule, c’est risquer de les perdre.
Aimer, c’est risquer de ne pas être aimé en retour.
Vivre, c’est risquer de mourir.
Espérer, c’est risquer de désespérer.
Essayer, c’est risquer d’échouer.
Mais il faut prendre des risques car le plus grand danger dans la vie,
c’est de ne rien risquer du tout.
Celui qui ne risque rien, n’a rien, n’est rien.
Il peut éviter la souffrance et la tristesse
mais il n’apprend rien, ne ressent rien,
ne peut ni changer ni se développer, ne peut ni aimer ni vivre.
Enchaîné par sa certitude, il devient esclave, il abandonne sa liberté.
Seuls ceux qui risquent sont libres.
Il est amusant de constater que lorsque nous voulons nous lancer dans un quelconque projet, il y a toujours des gens dans notre entourage qui essaient de nous décourager.
Ce n’est pas forcément intentionnel, mais des petites remarques du genre :
– « Tu sais, sans vouloir te démoraliser, il y a beaucoup d’appelés, peu d’élus » ou encore « Tu crois vraiment que tu peux y arriver ? » – peuvent devenir à la fin, franchement agaçantes.
Les propos de ces « briseurs de rêves » sont très insidieux parce qu’ils peuvent nous inciter à renoncer.
Or, si nous avons suffisamment confiance en nous et surtout si nous croyons en nos capacités, nous pouvons réaliser ce qui nous tient vraiment à cœur.
Le meilleur antidote est de passer à l’action, sans se soucier du « quand dira-t-on ».
Ce fut justement le cas d’un célèbre inventeur du XIX siècle.
Il était tellement obsédé par son travail qu’il vivait carrément dans son laboratoire.
Il avait l’intuition qu’il détenait une piste, quelque chose de révolutionnaire.
En fait, il avait découvert les moyens grâce auxquels une machine pouvait enregistrer et reproduire une voix humaine.
Très excité à l’idée de matérialiser son idée, il alla trouver un fabricant d’appareil.
Il lui donna les plans et divers croquis de son invention pour fabriquer un premier prototype prêt à l’emploi.
Le fabricant regarda les plans pendant un long moment puis dubitatif, il se risqua à dire :
– Ce que vous voulez est impossible à concevoir. Vous ne pourrez jamais faire fonctionner une telle chose.
L’inventeur lui demanda, perplexe :
– Qu’est-ce qui vous fait penser que ça ne fonctionnera pas ?
Le fabricant sûr de lui s’exclama :
– Parce que… Parce que personne n’a jamais fabriqué une machine qui peut parler. Vous semblez pourtant quelqu’un d’intelligent. Vous risquez d’aller au-devant d’une grande désillusion.
L’inventeur aurait pu accepter le verdict et abandonner cette idée apparemment saugrenue « d’une machine parlante ».
Mais ce n’est pas ainsi que l’esprit de notre homme fonctionnait.
Puis, il persista malgré les tentatives de découragement de son interlocuteur.
– Nous verrons bien. Allez-y et construisez l’appareil exactement selon mes indications sur le plan.
Si en effet, il s’avère que c’est un échec, laissez-moi endosser le costume du perdant, lança l’inventeur sur un air de défi.
Le fabricant s’exécuta et lorsque l’appareil fut achevé, à sa grande surprise, il fonctionna au premier essai.
– C’est… C’est incroyable, s’écria-t-il, bluffé par le résultat obtenu de l’invention.
L’inventeur en question se nommait Thomas Edison.
Il venait de créer le premier phonographe, l’ancêtre de nos baladeurs MP3.
Il avait surtout compris une chose essentielle :
La personne qui mise sur ses idées et ses projets en ayant confiance en elle-même possède une longueur d’avance par rapport à ceux qui renoncent et baissent les bras aux premiers obstacles.
Il n’existe pas de formule magique, mais nous pouvons certainement affirmer que le succès ne vient pas récompenser la personne qui se sous-estime par manque de confiance en soi.
Il favorise vraiment la personne qui sait ce qu’elle veut, qui est déterminée à l’obtenir et qui bannit de son vocabulaire le mot « impossible ».
Ainsi Thomas Edison fut reconnu comme l’un des inventeurs américains les plus importants et les plus prolifiques, revendiquant le nombre record de 1 093 brevets dont celui entre-autre de l’ampoule électrique et du téléphone.
Pionnier de l’électricité, il fut également le fondateur du premier empire industriel mondial connu encore aujourd’hui sous le nom de General Electric.
À l’instar d’un Thomas Edison, nous pouvons choisir d’avoir confiance en nous.
Parce que nos seules limitations sont celles que nous avons nous-mêmes mises en place dans notre esprit.
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Nous avons tous eu un moment donné, peur de tenter de nouvelles choses, peur de mal faire ou encore peur de faire simplement un choix…
Mais qu’est-ce que la peur ?
Paralysante en cas de panique, c’est une émotion destinée à préserver nos vies en nous alertant du danger.
Mais elle peut aussi se révéler un puissant moteur quand elle est domptée.
Alors, commençons par l’accepter plutôt que de la redouter.
Et considérons la comme un signal de prudence.
C’est l’occasion de marquer un temps d’arrêt afin d’étudier la situation avant de prendre une décision ou de passer à l’action.
Dépassez-la pour faire les bons choix
Réflex primaire de survie, la peur est censée nous donner l’énergie de fuir devant un danger ou de lutter contre un adversaire.
Mais quand elle s’exprime de manière trop intense, qu’elle vire à la panique, cette émotion nous paralyse.
Nous devons pourtant la contrôler avant de la laisser nous contrôler.
Toutefois, la peur n’est pas toujours mauvaise conseillère.
Elle peut aussi, pour peu qu’on sache s’en faire une alliée, se révéler un puissant moteur pour l’action.
À condition d’apprendre à la reconnaître, puis de l’apprivoiser.
Comment pouvons-nous surmonter nos peurs ?
En lui faisant fermement face et en se demandant : « peur de quoi ? ».
Par cette seule question, nous commençons par analyser la situation que nous affrontons.
C’est un procédé qui semble pourtant simple mais réellement efficace.
En choisissant de l’exprimer, nous sommes ainsi sur le chemin de la raison qui nous fera contourner l’obstacle émotionnel qu’est la peur.
Nous éviterons surtout de se laisser submerger par l’angoisse, plus diffuse et difficile à combattre.
Analysez vos inquiétudes avec sincérité et authenticité
L’étape suivante consiste à considérer le problème sous tous les angles.
Quels sont les risques ?
Peut-il y avoir une autre façon d’agir ?
Quels sont les problèmes que nous pouvons rencontrer ?
Possédons-nous toutes les informations, tous les chiffres et tous les faits nécessaires ?
Quelles ont été les réactions d’autres personnes en de pareilles situations et quelles furent leurs résultats ?
Vous l’aurez compris, gérer sa peur, c’est d’abord prendre du recul plutôt que de céder à la panique.
Ensuite, agir immédiatement car la procrastination mène à un plus grand doute et à une plus grande inquiétude.
Franklin D. Roosevelt dû gérer de nombreuses crises durant ses quatre mandats dont celle de la deuxième guerre mondiale.
Lorsque des décisions importantes s’imposaient, il faisait face à son appréhension avec l’attitude suivante :
« Rien n’est autant à craindre que la crainte elle-même. »
Sachez reconnaître vos peurs
Selon Napoléon Hill, il existe six peurs essentielles :
la peur de la pauvreté, de la critique, de la maladie, peur de perdre l’amour, peur de la vieillesse et de la mort.
Les trois premières peurs sont à l’origine de presque tous les tourments.
Toutes ces angoisses ne sont certainement pas une fatalité.
Au contraire, la peur est un état d’esprit qui peut se contrôler et se diriger.
Aussi, pour la dépasser, rappelons-nous le but à atteindre et concentrons-nous sur les étapes pour y parvenir.
Un chirurgien racontait le poids d’une terrible pression avant une opération délicate.
Et pour cause, il avait la vie de son patient entre ses mains.
Il procéda en se focalisant sur les actions concrètes à mener : arrêter l’hémorragie, nettoyer la plaie et mettre la personne à l’abri…
La peur est le plus grand des obstacles qui barre la route à la réussite.
Or la personne qui a du succès est disposée à prendre des risques quand une logique inébranlable montre qu’ils sont nécessaires.
Malheureusement, les gens laissent bien souvent la peur gouverner leurs décisions et toutes leurs actions.
Ils n’aspirent qu’à une seule chose, la sécurité.
Bridant ainsi leur créativité, ils n’osent pas révéler leur véritable talent, rongés par l’incertitude.
La meilleure façon de gérer nos incertitudes ?
Aller de l’avant !
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Prenez soin de vos Parents, prenez soin d’eux qu’ils soient jeunes ou vieux !
“Mon Cher Fils . . . . . .
Il viendras un jour où je serais vieux … Je t’en prie , sois patient avec moi, essaye de me comprendre
Si mes vêtements sont sales quand je mange, si je peux pas m’habiller tout seul,
souviens toi de ces heures que j’ai passé à t’apprendre ces choses, et aide moi.
Si je te parle et je répète les mots et les même paroles milles fois,
ne t’ennuies pas, ne m’interromps pas, écoute moi et supporte ma répétition,
quand tu était petit mon fils, tu répétais toujours tes questions et je te répondais avec un grand cœur jusqu’à ce que tu comprenais tous.
Quand je veux pas prendre ma douche, ne sois pas dur avec moi,
souviens toi quand je courais derrière toi et je te donnais mille excuses pour te ramener et prendre ta douche.
Quand tu me vois nul dans la technologie, donne moi le temps pour l’apprendre aussi, et ne me regarde pas avec ce regard qui me tue.
Souviens toi, c’est moi qui t’as appris comment faire les choses de la vie, comment manger, comment t’habiller, comment prendre ta douche, comment faire face à la vie et pleins d’autres choses.
Quand je perds ma mémoire, oui je mélange les choses , donne moi le temps,
et si je peux pas me souvenir , ne perds pas tes nerfs même si mes mots n’ont aucun sens tu dois m’écouter.
Si je n’ai pas envie de manger, ne m’oblige pas, je mangerais quand j’aurais faim.
Quand je peux pas marcher, donne moi ta main, avec le même amour et la façon que j’ai fais avec toi quand tu as appris tes premiers pas.
Quand je dis : j’aime voir ALLAH, ne sois pas triste, ne pleure pas.
Un jour tu comprendras.
Un jour, malgré mes erreurs , tu comprendras que je voulais que ton bien,
aide moi à passer le reste de ma vie comme j’ai toujours fait avec toi,
aide moi à arriver à ma fin avec paix .
Et souviens toi toujours : je t’aime mon fils”
il est dit qu’ un roi a affamé 10 chiens pour leurs offrir un ministre a manger si ce ministre commis une erreur de gestion
après 10 ans de service un de ses ministres a commis une faute et le roi n’a pas pardonné cette faute alors il ordonna ses gardiens de jeter le ministre aux chiens afin de le manger mais ce dernier a demandé aux gardiens un dernier souhait de servir les chiens seulement 10 jours avant l’exécution
, le ministre s’occupe des chiens, les nourrir et leur fournir tous les moyens de confort
Après 10 jours le roi demande l’exécution du ministre mais la scène était bizarre car les chiens se sont mis aux pieds du ministre sans le mordre
Le roi lui dit: Qu’as-tu fait avec les chiens?!
Le ministre a dit: je me suis occupé de ces chiens seulement pendant 10 jours et ils sont reconnaissant de mon bien mais vous en parallèle je t’es servi pendant 10 ans et tu as tout oublié et nié
Un soir, un vieil homme parlait à son petit-fils du combat qui se livre à l’intérieur de chacun de nous.
« En chacun de nous, il y a un combat intérieur » dit-il au jeune garçon. « C’est un combat jusqu’à la mort et il se tient entre deux loups. »
« Le premier est ténébreux. Il est la colère, l’envie, le chagrin, le regret, l’avidité, l’arrogance, l’apitoiement sur soi-même, la culpabilité, le ressentiment, l’infériorité, la supériorité, les mensonges, la fausse fierté et l’égo. »
« Le second est lumineux. Il est la joie, la paix, l’amour, l’espoir, la sérénité, l’humilité, la gentillesse, la bienveillance, l’empathie, la générosité, la vérité, la compassion et la foi. »
Le petit-fils réfléchit pendant un long moment. Puis, il demande à son grand-père : « Quel est le loup qui gagne ? »
Le vieil homme sourit et lui répond : « Celui que tu nourris. »
Il est tellement important de laisser certaines choses disparaître.De s’en défaire, de s’en libérer. Il faut comprendre que personne ne joue avec des cartes truquées. Parfois on gagne, parfois on perd. N’attendez pas que l’on vous rende quelque chose, n’attendez pas que l’on comprenne votre amour. Vous devez clore des cycles, non par fierté, par orgueil ou par incapacité, mais simplement parce que ce qui précède n’a plus sa place dans votre vie. Faites le ménage, secouez la Poussière, fermez la porte, changez de disque. Cessez d’être ce que vous étiez et devenez ce que vous êtes.
Le Zahir de Paulo Coelho
Mon coeur craint de souffrir, dit le jeune homme à l’alchimiste, une nuit qu’ils regardaient le ciel sans lune.
Dis-lui que la crainte de la souffrance est pire que la souffrance elle-même.
Et qu’aucun n’a jamais souffert alors qu’il était à la poursuite de ses rêves.
L’alchimiste de Paulo Coelho
Ce n’est pas la peine d’expliquer que dans la vengeance, le maximum qui puisse nous arriver est de nous mettre à égalité avec nos ennemis, alors que dans le pardon nous montrons plus de sagesse et d’intelligence.
Aleph de Paulo Coelho
«Faire pleurer quelqu’un en lui disant la vérité est mieux que de le faire sourire en lui racontant un mensonge»
Paulo Coelho (photo dev new)
UN SORCIER AFRICAIN conduit son apprenti dans la forêt. En dépit de son âge, il marche avec agilité, tandis que l’apprenti glisse et tombe à tout instant. Celui-ci blasphème, se relève, crache sur le sol qui le trahit, mais continue à suivre son maître.
Après avoir longtemps marché, ils arrivent dans un lieu sacré. Sans même s’arrêter, le sorcier fait demi-tour et reprend la route en sens inverse. « Vous ne m’avez rien enseigné, aujourd’hui, objecte l’apprenti, après une nouvelle chute.
– Je vous ai enseigné quelque chose, mais on dirait que vous n’apprenez rien, réplique le sorcier. J’essaie de vous enseigner comment on traite les erreurs de la vie.
– Et comment les traite-t-on ?
– De la façon dont vous auriez dû traiter les chutes que vous avez faites. Au lieu de maudire l’endroit où vous êtes tombé, vous auriez dû chercher ce qui vous avait fait glisser. »
Exercice en PNL : Se concentrer sur ce que vous voulez
Vous pouvez obtenir très rapidement des résultats positifs en vous concentrant sur ce que vous voulez…
Définir ce que vous voulez, façonnez vous un avenir irrésistiblement attirant et allez de l’avant pour obtenir vos objectifs.
Avoir une idée très précise de ce que vous voulez vous aidera à ne pas rester prisonnier de ce que vous ne voulez pas.
1) Penser SMART :
Il est TRÈS IMPORTANT de bien formuler vos objectifs. Ils doivent être Spécifique, mesurable, approprié, réalisable, temporel. Pour cela, il faut penser SMART :
Énoncez votre objectif de façon positive : L’objectif ne doit pas être flou (Exemple : “Je veux plus d’argent”. Si vous trouvez un billet de 10€ par terre, vous aurez réalisé votre objectif. Il vaux mieux se dire “Je veux gagner 5.000 € par mois”). L’objectif ne doit pas être négatif (Exemple : Je ne veux pas rester dans mon entreprise). Au lieu de penser “Je ne veux pas ça…”, demandez vous plutôt “Qu’est-ce que je veux à la place ?”.
Votre Objectif émane-t-il d’une initiative personnelle ? Est-il bien établi et sous votre contrôle ? Demandez vous si vous le faites bien pour vous et non pour quelqu’un d’autre. Le résultat ne dépend-il que de vous ?
Vérification : Quand saurez-vous que vous avez réalisé votre objectif et obtenu le résultat souhaité ? Que ferez-vous quand vous l’aurez obtenu ? Qu’allez vous voir, entendre, sentir lorsque vous l’aurez obtenu ? Utilisez votre représentation sensorielle pour sentir ce qui fonctionne ou ne fonctionne pas.
Définir clairement le contexte : Ou, quand, comment ?
Ressources nécessaires : Identifiez ce dont vous avez besoin (personnes, connaissances…). De quelles ressources disposez-vous à ce jour ? Quelles sont les ressources que vous allez devoir acquérir ? Imaginez ce qui se passerais si vous aviez les ressources nécessaires, cela va vous permettre de passer à l’action.
Résultat souhaité : Formulez clairement le résultat que vous souhaitez.
Vérifiez l’écologie de votre objectif : Le résultat est-il en adéquation avec les aspects de votre vie ? Dans quel véritable but voulez vous ceci ? Qu’allez vous perdre ou gagner en l’obtenant ? Que se passera-t-il si vous l’aurez ? Que se passera-t-il si vous ne l’avez pas ?
Premier pas : Le changement ne se produit pas de façon soudaine. Faites le premier pas, puis les suivants et laissez vous le temps…
Flexibilité : Faites preuve de flexibilité. Si quelque chose ne fonctionne pas, essayez autrement. Changez de comportement, d’attitude, d’état d’esprit, pour obtenir ce que vous voulez.
SI VOUS FAITES TOUJOURS CE QUE VOUS AVEZ TOUJOURS FAIT, VOUS OBTIENDREZ TOUJOURS CE QUE VOUS AVEZ TOUJOURS OBTENU.
2) Procédure pour identifier et réaliser vos objectifs :
Achetez vous un beau cahier avec des intercalaires.
Sur la première page, définissez des domaines sur lesquels vous voulez vous fixer des objectifs : Carrière professionnelle, finances et argent, amis et famille, relations, développement personnel et apprentissage, loisirs et détente, religion et environnement… Vous pouvez inventer vos propres domaines qui vous tiennent à cœur. Classez les par priorité.
Sur la deuxième page dessinez votre “roue de la vie”
Graduez chaque domaine et 0 à 10 et évaluez vous. Indiquez la date, et garder quelques pages pour refaire votre roue de la vie plus tard.
Sur les pages suivantes, inscrivez un domaine par intercalaire (classez les par priorité).
Réfléchissez à plusieurs objectifs (court, moyen long terme – simples, plus complexes) par domaine.
Écrivez vos objectifs : Appliquez la méthode SMART expliquée plus haut, point par point, pour bien formuler vos objectifs et les résultats escomptés. Classez vos objectifs par priorité, échéances (date de début, date de fin).
Tous les soirs, jetez un coup d’œil à vos rêves et dressez la liste de ce que vous avez réalisé dans la journée, de ce que vous allez faire demain. Savourez l’accomplissement de vos objectifs, cochez ceux réalisés et ESTIMEZ-VOUS HEUREUX…
Foncez, croyez en vous et en vos capacités…