Soyez simplement des gens intègres !

Soyez simplement des gens intègres !

Un roi vieillissant s’est réveillé un jour et s’est rendu compte qu’en mourant il n’aura pas de mâle (garçon) dans la famille royale pour le remplacer.
Il était le dernier garçon (mâle) dans la famille royale dans une culture où seulement un mâle pourrait succéder au trône , et il vieillissait.

Il a décidé que s’il ne peut pas donner naissance à un mâle il adopterait un fils qui alors pourrait prendre sa place, mais il a insisté qu’un tel fils adopté soit extraordinaire au sens réel du mot.
Il a donc lancé une compétition ouverte à tous les garçons de son royaume peu importe leur origine.
Dix garçons ont réussi à cette compétition jusqu’au sommet.
Il y avait peu pour séparer ces garçons quant à l’intelligence, les attributs physiques etc.
Le roi leur dit, ‘ j’ai une dernière épreuve et quiconque arrive à bout de cette dernière deviendra mon fils adoptif et héritier à mon trône .

Alors il dit : Ce royaume dépend uniquement de l’agriculture.
Donc le roi doit savoir comment cultiver des plantes.
Voici une graine de maïs pour chacun de vous.
Emportez-la à la maison, plantez-la et élevez-la pour trois semaines.
À la fin de trois semaines, nous verrons qui a fait le meilleur travail en cultivant la graine.
Cette personne sera mon héritier.

Les garçons ont pris leurs graines et sont rentrés pressés à la maison.
Ils ont eu chacun un pot à fleur et ont planté la graine dès leur rentrée à la maison..
Il y avait une énorme excitation dans le royaume puisque les gens attendaient avec souffle
de savoir qui sera destiné pour être leur prochain roi.

Dans une maison, le garçon et ses parents étaient presque navrés quand, après quelques jours de soin intense,la graine n’a pas poussé.
Il ne savait pas ce qui n’allait pas avec la sienne.
Il avait sélectionné le sol avec soin, il avait appliqué la bonne quantité et type d’engrais,
il avait été très obéissant dans l’arrosage avec les bons intervalles, il avait prié sur elle jour et nuit mais toujours sa graine s’était avérée improductive.

Quelques-uns de ses amis l’ont recommandé d’aller acheter une graine au marché et la planter.
Après tout, ‘ ils ont dit, ‘ comment est-ce que quelqu’un peut différencier une graine de maïs d’un autre ‘ ?
Mais ses parents qui lui avaient toujours appris la valeur de l’intégrité lui ont rappelé que si le roi voulait qu’ils plantent juste du maïs, il aurait demandé qu’ils aillent chercher leur propre graine. ‘
Si tu prends n’importe quelle autre graine différente de celle que le roi t’a donné cela serait malhonnête.
Peut-être nous ne sommes pas destinés pour le trône.
S’il en est ainsi, donc laisse, ne sois pas celui qui va tromper le roi ; lui disent-ils !

Le jour J arrive et les garçons reviennent au palais chacun d’eux fièrement exhibant un plant du maïs très fin.
C’était évident que les autres neuf garçons avaient eu grand succès avec leurs graines.

Le roi descend le long du rang où sont alignés les garçons passionnés et demande à chacun d’eux, c’ est ce qui est sorti de la graine que vous ai donnée ‘ ?

Et chaque garçon répondit, ‘ Oui, votre majesté ‘.

Et le roi fait un signe de la tête et descend le long de la ligne.
Le roi finalement arriva au dernier garçon au haut de la ligne.
Le garçon était secoué par la peur, il savait que le roi allait le jeter en prison pour avoir gaspillé sa graine.

Le roi demanda.: -Qu’est-ce que tu as fais avec la graine que je t’ai donnée ?

Je l’ai plantée et me suis occupé d’elle diligemment votre majesté, mais hélas elle n’a pas poussé dit le garçon en larmes quand la foule l’a hué.

Mais le roi a levé ses mains et signalé pour silence.
Alors il a dit, ‘ Mon peuple, voici votre prochain roi ‘.

Les gens ont été confus.
Pourquoi celui-là ‘ ? Beaucoup se sont demandés.
Comment est-ce qu’il peut être le bon choix ‘ ?
Le roi a pris sa place sur son trône avec le garçon à son côté et dit, j’ai donné à ces garçons des graines bouillies.
Cette épreuve n’était pas pour cultiver le maïs.
C’était l’épreuve de caractère ; une épreuve d’intégrité.
C’était l’épreuve ultime.
Si un roi doit avoir une qualité, ce serait celle d’être au-dessus de la malhonnêteté.
Seule ce garçon a réussi l’épreuve.
Une graine bouillie ne peut pas pousser!

Morale: La vérité finit toujours par éclater.

ACCEPTONS LES GENS TELS QU’ILS SONT

Deux jours avant Noël, un soldat est sur le
chemin du retour.
Arrivé à Sans Francisco, il téléphone à ses parents.

-« Papa, maman, me voici de retour. Mais j’ai une faveur à vous
demander. Je ramène un ami avec moi et j’aimerais bien qu’il vive avec nous… »- « Pas de problème fiston ! Nous avons hâte de faire sa connaissance! »

-« Mais je dois vous dire que c’est un blessé de guerre ; il a marché sur une mine et a perdu un bras et une jambe. Il est très désemparé et je voudrais qu’il vienne vivre avec moi. »

-« C’est une bien triste histoire fiston, nous pourrons sans doute trouver un endroit où il pourra demeurer après les fêtes. »

-« Non, maman, papa, je veux lui dire qu’il peut venir vivre avec nous ! Ce serait sans doute son plus beau cadeau de Noël. »

-« Tu ne sais pas ce que tu demandes, fiston ! Une personne si handicapée physiquement va devenir un poids trop lourd pour nous. Nous avons nos propres vies à vivre et nous ne pouvons pas permettre que quelqu’un vienne tout perturber ! Je pense que tu devrais t’en venir à la maison et oublier cette personne. Il trouvera certainement un moyen de s’en tirer…  »

Mais il n’a pu achever, son fils avait déjà raccroché.

Et les parents n’entendirent plus parler de lui…

Quelques jours plus tard, ils reçurent un appel de la police de
San Francisco. Leur fils était mort en tombant d’un édifice,
c’est du moins ce qu’on leur disait officiellement, car au fond,
la police croyait à un suicide.

Les parents prirent le premier vol pour San Francisco et se rendirent à la morgue pour identifier leur fils.

Oui… c’était bien leur fils ! Mais ils découvrirent en même temps, avec horreur, qu’il n’avait qu’un bras et une jambe.

Il nous arrive aussi d’agir comme ces parents; nous avons de la facilité à aimer les gens qui sont beaux et agréables, mais
il nous est beaucoup plus difficile d’aimer ceux qui
chambardent notre vie.

Trouvons la force d’accepter les gens tels qu’ils sont et d’être
plus compréhensifs avec ceux qui sont différents de nous.

Tous et chacun a droit à un moment de bonheur en cette période de réjouissances.

L’histoire de Teddy Stoddard

Ceci est le parfum de ma mère

Lorsque la Maîtresse se présenta devant la classe de 5ème, au premier jour de la reprise des cours et prononça à l’adresse des élèves des propos agréables dans lesquels elle les complimenta, elle les regarda et dit : « je vous adore, tous », comme font tous les enseignants et toutes les enseignantes. Mais au fond d’elle-même, elle exceptait un élève assis au premier rang et dénommé Teddy Studard.

 

Mme Thomson a déjà eu affaire à l’enfant Teddy, l’année précédente et remarqué qu’il ne jouait pas avec le reste de ses camarades, que ses vêtements étaient toujours sales et qu’il avait tout le temps besoin d’un bain. De surcroît, il paraissait renfrogné. Mme Thomson était arrivée au point de prendre un malin plaisir à corriger ses copies avec un stylo rouge à large bande d’écriture, à porter la lettre x en gras, et à écrire, pour finir, la mention : « a échoué », en haut de la feuille.

 

Dans l’école où exerçait Mme Thomson, il lui a été demandé de revoir les livrets scolaires précédents de chaque élève. Elle plaça le carnet de notes de Teddy en dernier. Alors qu’elle était en train de l’étudier, elle fut surprise par quelque chose : son maître, en première année primaire, avait mentionné ceci : « Teddy est un enfant intelligent, doué d’un caractère enjoué. Il accomplit son travail avec soin et attention, de façon méthodique. Il est aussi, pétri de qualités. »

 

En deuxième année, son instituteur avait écrit : « Teddy est un élève studieux, aimé par ses camarades de classe, mais il est troublé et inquiété par une maladie grave de sa mère qui a rendu la vie pénible, dure et fatigante à la maison.

 

Quant à son maître de troisième année, il avait écrit : « Le décès de sa mère l’a profondément affligé. Il a essayé de faire de son mieux et tenté le maximum d’efforts, mais son père est défaillant et la vie au logis risque de lui être préjudiciable si des mesures ne sont pas prises. »

 

En quatrième année, son maître avait écrit : « Teddy est un élève renfermé sur lui-même, il ne manifeste pas trop d’intérêt aux études, n’a pas beaucoup d’amis et parfois dort pendant le cours. »

 

A cet instant, Mme Thomson prit conscience du problème. Elle était confuse et eut honte d’elle-même et de la façon dont elle s’est comportée. Son trouble avait atteint son paroxysme lorsque les élèves lui offrirent des cadeaux, à l’occasion de son anniversaire : les paquets étaient ornés de beaux rubans et le papier était étincelant ! Seul Teddy faisait exception : le cadeau qu’il lui présenta ce jour là, était emballé de façon hideuse et désordonnée dans un papier de couleur terne arraché d’un sachet ayant contenu des articles d’épicerie. Mme Thomson eut mal en l’ouvrant. Certains élèves éclatèrent de rire lorsqu’elle retira du paquet un collier incomplet, composé de faux diamants et un flacon de parfum aux trois quarts vide. Mais les rires cessèrent subitement lorsqu’elle exprima sa grande admiration devant la beauté de ce collier qu’elle mit autour de son cou. Elle étala ensuite quelques gouttes de parfum sur son poignet. Ce jour là, Teddy ne rentra pas tout de suite à la maison après les cours : il attendit un peu, pour rencontrer Mme Thomson et lui dire : « vos effluves, aujourd’hui, sont semblables à ceux de ma mère ! ».

 

Lorsque les élèves rentrèrent chez eux, Mme Thomson éclata en sanglots. Elle pleura pendant une heure, au moins, parce que Teddy lui a offert le flacon de parfum que sa mère utilisait et a retrouvé chez sa Maîtresse les effluves de sa défunte mère.

 

Depuis ce jour là, elle n’enseigna plus seulement la lecture, l’écriture et le calcul aux élèves, mais toutes les matières. Elle accorda à Teddy une attention particulière. Lorsqu’elle le prit en charge, son esprit commença à retrouver son activité. A chaque fois qu’elle l’encourageait, sa réaction devenait plus rapide. A la fin de l’année, il était parmi ceux qui se distinguaient, il était celui qui faisait le plus, preuve d’intelligence et l’un des plus « chouchoutés » par la Maîtresse.

 

Une année passa. Mme Thomson trouva un jour devant sa porte un billet de l’élève Teddy, dans lequel il lui disait : « Vous êtes la meilleure institutrice rencontrée dans ma vie ». Six années s’écoulèrent sans qu’elle reçoive aucun courrier de sa part. Puis, un jour, il lui écrivit, lui faisant savoir qu’il avait terminé le cycle secondaire, qu’il était classé troisième dans son groupe et qu’elle restait toujours la meilleure enseignante rencontrée dans sa vie.

 

Quatre ans plus tard, elle reçut une autre correspondance dans laquelle il lui faisait savoir que « les choses se compliquent, qu’il réside à la faculté qu’il ne quitte plus et qu’il va bientôt faire partie de la promotion sortante de l’université avec le titre honorifique de major ». Il lui confirma encore qu’elle demeurait toujours pour lui l’enseignante préférée et la plus aimée.

 

Quatre années encore passèrent. Il lui envoya une autre lettre dans laquelle il lui expliqua qu’après avoir obtenu son « master » il a décidé d’aller plus loin dans ses études. Il lui confirma, une fois encore qu’elle était toujours la meilleure et la plus aimée des enseignantes rencontrées durant sa vie. Sauf que, cette fois ci, son nom était devenu un peu plus long : « Docteur Théodore Studdard ».

 

Le récit ne s’arrête pas là. : elle reçut de lui une autre missive, un certain printemps, dans laquelle il disait : « qu’il avait fait la connaissance d’une jeune fille qu’il avait l’intention d’épouser et que sachant comme il l’en a déjà informée que son père est décédé depuis deux ans, il lui demande de venir prendre la place de sa mère lors de la cérémonie de mariage. » Mme Thomson donna son accord.

 

Le plus étonnant, est qu’elle s’est non seulement parée pour la circonstance, du même collier qu’il lui avait offert lors de son anniversaire il y a plusieurs années et qui était toujours amputé de plusieurs pierres, mais qu’elle a utilisé le même parfum qui lui a rappelé sa mère. Ils tombèrent l’un dans les bras de l’autre un bon moment. Puis, le Dr Studdard murmura à l’oreille de Mme Thomson : « Je vous remercie de m’avoir fait confiance, je vous remercie infiniment d’avoir fait en sorte que je me sente important et qu’il était possible que je fasse preuve d’excellence. »

 

Mme Thomson lui répondit, les yeux en larmes : « Tu te trompes, c’est toi qui m’a appris à être une maîtresse créative et différente : je ne savais pas enseigner avant de te rencontrer. »

  Teddy Studard est l’éminent Docteur, à la tête d’un service appelé « Centre Studard » spécialisé dans le traitement du cancer aux Etats Unis d’Amérique.

UN ÉLÉPHANT ET LES AVEUGLES

Il était Une fois, six aveugles vivaient dans un village. Un jour, ses habitants leur dirent : « Hé ! il y a un éléphant dans le village, aujourd’hui »
Ils n’avaient aucune idée de ce qu’était un éléphant. Ils décidèrent que, même s’ils n’étaient pas capables de le voir, ils allaient essayer de le sentir. Tous allèrent donc là où l’éléphant se trouvait et chacun le toucha.

« Hé ! L’éléphant est un pilier » dit le premier, en touchant sa jambe.
« Oh, non ! C’est comme une corde » dit le second, en touchant sa queue.
« Oh, non ! C’est comme la branche épaisse d’un arbre » dit le troisième, en touchant sa trompe.
« C’est comme un grand éventail » dit le quatrième, en touchant son oreille.
« C’est comme un mur énorme » dit le cinquième, en touchant son ventre.
« C’est comme une grosse pipe » dit le sixième, en touchant sa défense.

Ils commençaient à discuter, chacun d’eux insistait sur ce qu’il croyait exact. Ils semblaient ne pas s’entendre, lorsqu’un sage, qui passait par-là, les vit. Il s’arrêta et leur demanda « De quoi s’agit-il ? » Ils dirent : « Nous ne pouvons pas nous mettre d’accord pour dire à quoi ressemble l’éléphant » Chacun d’eux dit ce qu’il pensait à ce sujet. Le sage leur expliqua, calmement : « Vous avez tous dit vrai. La raison pour laquelle ce que chacun de vous affirme est différent, c’est parce que chacun a touché une partie différente de l’animal. Oui, l’éléphant à réellement les traits que vous avez tous décrits »
« Oh ! » dit chacun. Il n’y eut plus de discussion entre eux et ils furent tous heureux d’avoir dit la réalité.

La morale de cette histoire, c’est qu’il peut y avoir une part de vérité dans ce que quelqu’un dit. Parfois, nous pouvons voir cette vérité, et parfois non, parce qu’il peut, aussi, y avoir différentes perspectives sur lesquelles nous ne pouvons pas être d’accord. Plutôt que de discuter comme ces aveugles, nous devons dire « Peut- être que vous avez vos raisons ? » . De cette façon, nous ne nous perdrons pas en argumentations.

pot de mayonnaise

Pot de mayonnaise et du café

Il était une fois, un professeur de philosophie qui, devant sa classe, prit un grand pot de mayonnaise vide et sans dire un mot,commença à le remplir avec des balles de golf.

 

Ensuite, il demanda à ses élèves si le pot était plein.Les étudiants étaient d’accord pour dire que OUI.

 

Puis le professeur prit une boîte pleine de billes et la versa dans le pot de mayonnaise. Les billes comblèrent les espaces vides entre les balles de golf. Le prof redemanda aux étudiants si le pot était plein. Ils dirent à nouveau OUI.

 

Après, le professeur pris un sachet rempli de sable et le versa dans le pot de mayonnaise. Bien sûr, le sable remplit tous les espaces vides et le prof demanda à nouveau si le pot était plein. Les étudiants répondirent unanimement OUI.

 

Tout de suite après le prof ajouta deux tasses de café dans le contenu du pot de mayonnaise et effectivement le café combla les espaces entre les grains de sable. Les étudiants se sont alors mis à rire …

 

Ensuite le prof dit :« Je veux que vous réalisiez que le pot de mayonnaise représente la *vie*. Les balles de golf sont les choses importantes comme la religion, la famille,les enfants, la santé, tout ce qui passionne. Nos vies seraient quand même pleines si on perdait tout le reste et qu’il ne nous restait qu’elles.Les billes sont les autres choses qui comptent comme le travail, la maison, la voiture, etc… Le sable représente tout le reste, les petites choses de la vie. Si on avait versé le sable en premier, il n’y aurait eu de place pour rien d’autre, ni les billes ni les balles de golf. C’est la même chose dans la vie. Si on dépense toute notre énergie et tout notre temps pour les petites choses, nous n’aurons jamais de place pour les choses vraiment importantes. Faites attention aux choses qui sont cruciales pour votre bonheur. Jouer avec ses enfants, prendre le temps d’aller chez le médecin, dîner avec son conjoint, faire du sport ou pratiquer ses loisirs favoris. Il restera toujours du temps pour faire le ménage,réparer le robinet de la cuisine …Occupez-vous des balles de golf en premier,des choses qui importent vraiment. Établissez des priorités, le reste n’est que du sable.. »

 

Un des étudiants leva alors la main et demanda ce que représente le café. Le professeur sourit et dit :« C’est bien que tu demandes. C’était juste pour vous démontrer que même si vos vies peuvent paraître bien remplies, il y aura toujours de la place pour une tasse de café avec un ami. »

le vieil homme et son fils

Un vieil homme était assis avec son fils de 25 ans, dans le train.
Le train est sur le point de quitter la gare.
Tous les passagers viennent de s’installer sur leurs sièges.
Lorsque le train a démarré, le jeune homme afficha beaucoup de joie et plein de curiosité.

Il était assis sur le côté de la fenêtre.
Il sortit sa main et sentit l’air qui passa.
Il cria, « Papa vois-tu tous les arbres qui sont derrière ».
Le vieil homme sourit et admira les sentiments de son fils.
A côté du jeune homme un couple était assis et suit
la conversation entre le père et le fils.

Ils trouvaient un peu maladroit l’attitude de cet homme de 25 ans !
Ce vieil homme se comportait comme un petit enfant.
Tout à coup,le jeune homme cria, « Papa, tu vois l’étang
et les animaux? Les nuages sont en mouvement avec le train « .
Le couple regardait le jeune homme embarrassant.
Maintenant, il pleut et quelques gouttes d’eau touchent la main du jeune homme.
Joyeux, il ferma les yeux.

Il cria de nouveau: «Papa, il pleut, l’eau vient de me toucher, regarde papa « .
Alors, le couple ne pouvait pas s’empêcher de s’adresser au vieil homme :
« Pourquoi ne pas consulter le médecin et obtenir un traitement pour votre fils. »
Le vieil homme répondit,

« Oui, Nous sommes de retour de l’hôpital aujourd’hui
Mon fils a pu voir pour la première fois dans sa vie  »

Moral:

Ne pas tirer des conclusions avant de connaître tous les faits,
Pourquoi faire un jugement alors que l’on ne connais pas la raison de cette situation, Apprendre a comprendre est un bon début de sagesse !

Tournez votre regard vers l’intérieur

    • Il était une fois une vieille dame qui avait laissé tomber son aiguille à coudre.
      Pendant qu’elle la cherchait dans son jardin, un homme qui passait l’aida dans ses recherches.
      Après quelque temps, ils n’avaient toujours pas retrouvé l’aiguille.

      L’homme demanda à la vieille dame l’endroit exact où elle avait laissé tomber l’aiguille.
       » Oh, je l’ai laissé tomber à l’intérieur de la maison « , répondit-elle.

      Étonné, il lui demanda pourquoi diable la cherchait-elle dans le jardin car, bien sûr, elle ne la trouverait jamais ! Elle répondit qu’il faisait trop sombre dans sa maison, et que c’était la raison pour laquelle elle cherchait dehors, où il faisait plus clair.

      La plupart d’entre nous sont comme cette vieille femme – nous cherchons notre bonheur perdu à l’extérieur de nous-même.

      Nous avons le sentiment qu’il fait clair à l’extérieur, et que c’est là que se situe toute action ! Mais le bonheur ne peut pas être trouvé là.

      Il peut être trouvé dans le calme et la tranquillité à l’intérieur de nous-même.

      Le bonheur est notre condition naturelle et la méditation notre état d’esprit naturel. C’est à nous de découvrir ce qui est déjà à l’intérieur de nous.

Apprécier ce que l’on a !

Un jour, le père d’une très riche famille amène son fils à la campagne pour lui montrer comment les gens pauvres vivent.

Ils y passent quelques jours sur la ferme d’une famille qui n’a pas beaucoup à leur offrir.

Au retour, le père demande à son fils :

–  » as-tu aimé ton séjour?  »
–  » C’était fantastique, papa !  »
– « As-tu vu comment les gens pauvres vivent?  » demande encore le père.
– « Ah oui!  » Répond le fils
–  » Alors qu’as-tu appris? »
Le fils lui répond  » J’ai vu que nous n’avions qu’un chien alors qu’ils en ont quatre.
Nous avons une piscine qui fait la moitié du jardin et ils ont une grande crique.
Nous avons des lanternes dans notre jardin et eux ont des étoiles partout dans le ciel.
Nous avons une immense galerie à l’avant et eux ont l’horizon.
Nous avons un domaine mais eux ont des champs à perte de vue.
Nous avons des serviteurs alors qu’eux servent les autres.
Nous achetons nos denrées et eux les cultivent.
Nous avons des murs autour de la propriété pour nous protéger. Eux ont des amis qui les protègent.  »
Le père en resta muet.
Le fils rajouta:

–  » Merci Papa de m’avoir montrer tout ce que nous n’avons pas « .
Trop souvent nous oublions ce qui nous est acquis pour nous morfondre sur ce que nous n’avons pas.
Ce qui est un objet sans valeur pour un peut très bien être un trésor pour un autre.

Ce n’est qu’une question de perspective.
C’est à se demander ce qui arriverait si nous avions de la gratitude pour tout ce que nous avons au lieu d’en vouloir toujours plus.
Apprenez à apprécier ce que vous « avez ».

Retrouvez vos yeux et votre cœur d’enfant et voyez combien il est important d’apprécier ce que vous avez plutôt que de vous soucier de ce que vous ne possédez pas.

Bryan Anderson et la vieille dame

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Bryan roulait sur une route quasi déserte lorsqu’il vit une Mercedes en panne sur le côté de la route. Malgré  la faible lumière du jour, il aperçut la conductrice, une vieille dame qui avait l’air complètement affolée.

Il s’arrêta devant la  Mercedes, sortit de sa vieille Pontiac et se dirigea vers la pauvre dame désespérée. Malgré le sourire qui se dessinait sur son visage, il sentit combien elle était effrayée. Depuis le temps qu’elle attendait, personne ne s’était arrêté. Est- ce que ce jeune homme, allait-il lui faire du mal?

Il pouvait voir qu’elle était effrayée, debout dans le froid, près de sa voiture. Elle grelottait, la peur tout autant que le froid lui donnaient la chair de poule . Bryan perçut sa peur.

«Je vais vous aider Madame, dit-il, allez-vous asseoir dans la voiture où il fait un peu plus chaud…  Mon nom est Bryan Anderson».

Il constata qu’elle avait une crevaison; mais en raison de son âge avancé, elle ne pouvait rien faire toute seule.

Bryan s’accroupit, regarda sous la voiture pour voir comment placer le cric, frotta ses mains pour se réchauffer les doigts et se mit au travail. Elle vit qu’en remplaçant le pneu, il s’était sali et blessé à une main.

Pendant qu’ il resserrait les  écrous, elle abaissa sa vitre et commença à lui adresser la parole. Elle lui expliqua qu’elle était de St Louis et était juste de passage. Elle ne pouvait pas assez le remercier pour son aide.

Bryan souriait en refermant le coffre. La dame lui demanda combien elle lui devait. Elle lui dit que son prix n’avait pas d’importance tellement avait eu peur, s’étant  imaginée des choses affreuses auxquelles elle avait été exposée s’il ne s’était pas arrêté.

Bryan lui répondit qu’il n’avait pas à être payé. Ceci n’était pas un travail pour lui. Il n’avait fait qu’aider quelqu’un dans le besoin.  Dieu seul savait combien de fois des gens l’avaient aidé dans le passé.  Il menait  son existence de cette manière et il ne lui venait pas à l’esprit d’agir autrement. Il lui  dit que si elle voulait vraiment le payer de retour, la prochaine fois qu’elle verrait quelqu’un dans le besoin, elle devrait donner à cette personne l’assistance nécessaire; et il conclut, ‘ Souvenez-vous de moi’

Il attendit qu’elle démarrât son véhicule pour s’en aller. C’était une belle journée froide, la vie n’était pas facile pour lui en ce moment, mais il se sentait bien en prenant le chemin de la maison.

A quelques kilomètres de là, la vieille dame trouva un restaurant. Elle y entra pour se réchauffer et prendre une bouchée avant de continuer sa route.

C’était un restaurant modeste devant lequel se trouvaient deux vieilles pompes à essence .La serveuse l’accueillit et lui offrit une serviette propre pour assécher ses cheveux mouillés.

Elle avait un gentil sourire malgré le fait qu’elle était debout toute la journée.  La vieille dame remarqua que la serveuse était enceinte d’environ huit mois mais que ni l’effort ni le travail ne lui enlevaient sa bonne humeur !

La vieille se demanda comment une personne avec si peu pouvait être si généreuse envers une étrangère.

Aussitôt, elle se souvint de Bryan. Quand elle  finit son repas, elle paya avec un billet de 100$ . La serveuse alla vite chercher la monnaie. Mais la dame se faufila dehors, quittant avant que la serveuse ne soit de retour. Lorsque la serveuse revint, elle se demanda où la cliente pouvait bien se trouver.

Elle remarqua alors une note sur la serviette de table. Des larmes coulèrent de ses yeux quand elle lut ce que la vieille lui avait écrit : « Vous ne me devez rien. Je suis aussi passée par là. Quelqu’un m’a aidée à m’en sortir comme je le fais pour vous. Si vous voulez réellement me payer de retour, voici ce qu’il faut faire : ne permettez pas à cette chaîne d’amour de prendre fin avec vous.»

Et sous la serviette de table, il y avait quatre autres billets de 100 $. He bien ! Même s’ il y avait des tables à nettoyer, des boîtes de sucre à remplir , la serveuse  décida de le faire un autre jour. Elle rentra chez elle,  et en se mettant au lit , elle pensa à l’argent et à ce que la vieille lui avait écrit. Comment la dame aurait–elle pu savoir qu’ elle et son mari en avaient besoin ? Avec un bébé le mois suivant, cela s’annonçait très dur. Elle savait combien son mari était inquiet et en se glissant près de lui, elle lui donna un doux baiser et chuchota  doucement à son oreille : « Tout ira bien. Je t ‘aime, Bryan Anderson. »

Il y a un vieux dicton qui dit « UN BIENFAIT N’EST JAMAIS PERDU », les mains ouvertes finissent par attraper quelque chose.