Je sais dormir quand le vent souffle la nuit

Un fermier, très mécontent du travail effectué par l’un de ses serviteurs s’en fut à la foire chercher un remplaçant.
Il y rencontra un jeune homme, un peu gauche à l’air simple.
– Alors jeune homme, lui dit le fermier, quel est votre nom ?
– Jean, Monsieur.
– Et que faites-vous dans la vie ?
– Je travaille comme valet de ferme.
– Quelles sont vos aptitudes ?
– Avec tout le respect que je vous dois, Monsieur, je sais dormir quand le vent souffle la nuit.
– Pardon ?
– Oui, je sais dormir quand le vent souffle la nuit.
– Ma foi jeune homme, répondit le fermier, cela n’est guère une réponse. La plupart de mes gens font cela très bien.
Le fermier continua donc ses recherches, mais ne trouva personne.

Plusieurs fois, il revit Jean et chaque fois celui-ci lui donnait la même réponse étrange : «Je sais dormir quand le vent souffle la nuit».

Tard dans l’après-midi, le fermier prit sa décision.
Trouvant que les yeux de Jean reflétaient l’honnêteté, il lui dit ceci : «Vous êtes certainement un drôle de numéro comme valet de ferme, mais je vous embauche. Nous verrons de quoi vous êtes capable.»

Jean travailla plusieurs semaines sans que l’on remarqua son travail. Ce qui n’est pas étonnant en soi car le travail bien fait passe souvent inaperçu.
C’est seulement quand quelque chose ne tourne pas rond que l’on y prête attention.

Puis une nuit, le vent commença à chasser devant lui d’énormes nuages. Il prit sa force dans les collines, traversa la forêt avec beaucoup de fracas, martela les bâtiments et donna contre les meules de foin, hurlant dans les cheminées.
Lorsque le fermier entendit le vent, il se dressa sur son lit ; il connaissait bien ce vent là.
Déjà plusieurs fois, celui-ci lui avait arraché les portes des étables, dispersé son foin et renversé ses poulaillers.
Il appela Jean qui dormait au grenier.
Il hurla plus fort que le vent, mais personne ne lui répondit.
Enfin, à grandes enjambées il monta le secouer. «Jean ! Jean ! Lève-toi.
La tempête va tout emporter.» Rien à faire, Jean dormait profondément.

Il sortit seul dans la tourmente s’attendant déjà au pire.

Et bien non, au contraire ;
il vit les portes de l’étable solidement barricadées, les chevaux liés, en sûreté, les fenêtres bloquées et le bétail sagement couché dans la crèche.
Il trouva également les meules de foin bien arrimées par des bâches attachées par des grosses cordes fixées sur des pieux enfoncés profondément en terre. La porcherie était intacte et les poulaillers en place malgré la tempête qui sévissait avec rage.
Alors il éclata de rire.
Il venait enfin de comprendre les paroles de Jean.
Le Maître nous a donné suffisamment de conseils nous permettant d’entrer dans son repos. Donc, heureux l’homme qui peut dire :
« J’ai appris à dormir quand le vent souffle la nuit. »

La facture

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Un soir, pendant que maman préparait le souper, son petit garçon arriva dans la cuisine et lui présenta un morceau de papier.

La mère, souriante, s’essuya les mains sur son tablier et commença à lire ce qui semblait être une liste :

  • Pour avoir tondu le gazon : 5€
  • Pour le nettoyage de ma chambre cette semaine : 1€
  • Pour avoir fait des courses cette semaine pour toi : 50 centimes
  • Pour avoir gardé mon petit frère pendant que tu étais au magasin : 2€
  • Pour mes bonnes notes à l’école : 5€
  • Pour avoir sorti les poubelles : 1€
  • Pour avoir passé l’aspirateur dans les escaliers : 2€
  • Total : 16,50€

Sa mère le regarda droit dans les yeux.
On pouvait voir, dans ses yeux étincelants, défiler une foule de souvenirs.
La maman prit alors à son tour un crayon, tourna la feuille et se mit à écrire au verso :

  • Pour t’avoir porté pendant 9 mois : c’est GRATUIT.
  • Pour toutes les nuits passées auprès de toi à te soigner ou te consoler : c’est GRATUIT.
  • Pour tout le temps, toutes les inquiétudes et toutes les larmes versées pour toi depuis ta naissance : c’est GRATUIT.
  • Pour tous les conseils, les connaissances transmises et le prix de tes études : c’est GRATUIT.
  • Pour tes jouets, ta nourriture, tes vêtements et même pour essuyer tes larmes et te moucher : c’est GRATUIT.
  • Total : si tu fais l’addition, le prix de mon amour pour toi est… GRATUIT.

Quand le fils eut terminé de lire ce que sa maman avait écrit, deux grosses larmes coulaient sur ses petites joues.
Le petit bonhomme regarda sa mère et lui dit : « Oh maman, comme je t’aime ! »
Alors, il prit le crayon et inscrivit sur sa facture en grosses lettres : « PAYÉ AU COMPLET »

petit test psychologique

C’est l’histoire d’une jeune fille. Aux funérailles de sa mère, elle aperçoit un jeune homme qu’elle ne connaissait pas. Elle le trouve fantastique, l’homme de ses rêves quoi. C’est le coup de foudre, elle en tombe éperdument amoureuse. Quelques jours plus tard, la jeune fille tue sa propre soeur.

Question : Pour quel motif a-t-elle tué sa soeur?

N’ALLEZ PAS TOUT DE SUITE plus bas pour lire la réponse. Réfléchissez d’abord à votre propre réponse à la question.

Réponse : Elle espérait que le gars se pointerait de nouveau aux funérailles.

Si vous avez répondu correctement à la question, vous pensez comme un psychopathe.

Ce test était utilisé par un célèbre psychologue américain pour savoir si une personne avait une mentalité d’assassin. Bon nombre de tueurs en série ont subi ce test et ont répondu correctement à la question. Si vous n’avez pas trouvé la bonne réponse – tant mieux pour vous.

La valeur du temps

Un jour, un homme revenant du travail très tard, fatigué et agacé trouva son fils de 5 ans, à l’entrée de la porte.
« Papa, je peux te poser une question ? » « Qu’est-ce que c’est? » répondit l’homme. « Papa, combien tu gagnes par heure ?  » « Ce n’est pas ton problème … Pourquoi une question pareille ? » répondit l’homme, d’une façon agressive.

Je veux juste savoir. S ‘ il te plaît combien tu gagnes par heure? » Tu sais quoi? Je gagne 12 € par heure! » « Ah! … » répondit le garçon, avec sa tête vers le bas. « Papa, prête-moi seulement 6 € … » Le père était furieux, « C’est pour cette raison que tu demandais cela ? …. Penses-tu que c’est comme ça que tu peux obtenir de l’argent pour acheter des jouets ? Vite au lit dans ta chambre. Je travaille durement chaque jour pour de tels enfantillages ? » Le garçon restant silencieux, entre dans sa chambre et ferme la porte.. L’homme assis devient de plus en plus nerveux sur les questions de l’enfant.

Comment ose-t-il poser ce genre de questions juste pour gagner de l’argent ?Une heure plus tard, l’homme se ressaisit et se dit : Peut-être qu’il avait vraiment besoin d’acheter quelque chose avec ces 6 € et après tout ce n’est pas dans ses habitudes.
L’homme alla à la chambre du gamin et ouvrit la porte. « Tu dors, mon fils ? » demanda l’homme … « Non papa, je suis éveillé», répondit le gamin … « Je pense que j’ai été trop dur avec toi mon fils… J’ai eu une journée très dure, à tel enseigne que je me suis déchargé sur toi. Voici les 6 € que tu as demandé. »
Le petit tout souriant s’écria …. « Oh, merci papa! » L’homme a vu que le gamin avait déjà de l’argent, et commença à se fâcher de nouveau.
Le garçon comptait son argent doucement, puis regarda son père. « Pourquoi voulais-tu plus d’argent si tu en avais déjà ? » « Papa, c’est parce que je n’en avais pas assez. », répondit le gamin. « Papa, maintenant j’ai 12 €. Puis-je acheter une heure de ton temps ? … S’il te plaît, arrive demain une heure avant à la maison … J’aimerais dîner avec toi. » Le père a été brisé. Il a mis ses bras autour de l’enfant et a demandé pardon…
C’est juste un petit rappel à tous ceux qui travaillent dur dans la vie.. Nous ne devons pas la laisser filer entre les doigts sans avoir passé un temps, ou une partie de ce temps avec ceux qui en ont vraiment le besoin, ceux qui sont proches de notre cœur.
N’oubliez pas de partager ces 12 € (la valeur de votre temps) avec quelqu’un que vous aimez. Si on meurt demain, la société pour laquelle nous travaillons, pourrait facilement nous remplacer dans les prochaines heures. Mais la famille et les amis que nous avons laissés eux ne peuvent pas.

Le linge sale

Un jeune couple venait de s’installer dans un nouveau quartier…
Le lendemain matin, au moment où le couple prenait le petit déjeuner, la femme aperçut leur voisine qui étendait son linge .
…Quel linge sale! dit elle. Elle ne sait pas laver.
Peut-être a-t-elle besoin d’un nouveau savon pour mieux faire sa lessive….
Son mari regarda la scène mais garda le silence.
C’était le même commentaire chaque fois que la voisine séchait son linge…

Après un mois, la femme fut surprise de voir un matin que le linge de sa voisine était bien propre et elle dit à son mari :
Regarde! Elle a enfin appris à laver son linge maintenant. Qui le lui a enseigné ?
Le mari répondit:
Personne… Je me suis levé tôt ce matin et j’ai lavé les vitres de notre fenêtre !

Moralité :
Parfois tout dépend de la propreté de la fenêtre à travers laquelle nous observons les faits…
Avant de critiquer, il faudrait peut-être vérifier d’abord la qualité de notre regard. Alors, nous pourrions voir avec clarté, la limpidité du cœur des autres.

Le Paquet de biscuits

Une jeune femme attendait l’heure de son vol dans un grand aéroport..
Puisqu’elle aurait à attendre plusieurs heures elle décida de s’acheter un bon livre.
Elle acheta aussi un paquet de biscuits.

Elle s’assit dans un bon fauteuil dans la salle VIP de l’aéroport pour se reposer et lire en paix.
A coté du fauteuil ou se trouvait le paquet de biscuits , un homme ouvrit son magazine et se mit à lire.
Lorsqu ‘elle prit un premier biscuit , l’homme fit de même .Elle se sentait irritée par ce comportement , mais elle ne dit rien , se contentant de penser : « Quel effronté, j’ai envie de lui donner une bonne raclée ! »

A chaque biscuit qu’elle prenait, l’homme en prenait un aussi.
Cela la mettait dans tous ses états , mais elle ne voulait pas faire une scène
Lorsqu’il ne resta qu’un seul biscuit, elle pensa « Et que va t-il faire maintenant, cet abruti de profiteur ? »

L’homme prit le dernier biscuit , le brisa en deux et lui en remit la moitié.
Ah, mais là; c’était trop!
Elle était hors d’elle !
Elle prit son livre et ses affaires, et sortit en trombe pour se rendre au guichet d’embarquement.
Lorsqu’elle prit son siège dans l’avion,……. elle ouvrit son sac à main pour prendre ses verres de lecture, et , à sa grande surprise, elle y découvrit … son paquet de biscuits, intact et non-ouvert !

Elle se sentit tellement MAL !!!Elle réalisait combien elle s’était trompée…
Elle avait oublié qu ‘elle avait mis son paquet de biscuits dans son sac à main
L’homme avait partagé ses biscuits avec elle sans aucune rancune ni appréhension …pendant qu’elle était si choquée, pensant qu’elle avait partagé ses biscuits avec lui..et maintenant, elle n’aurait plus la chance de l’expliquer ou de s’excuser…

Les quatre bougies

Les quatre bougies brûlaient lentement.
L’ambiance était tellement silencieuse qu’on pouvait entendre leur conversation.

La première dit :
« Je suis la Paix !

Cependant personne n’arrive à me maintenir allumée.
Je crois que je vais m’éteindre. »
Sa flamme diminua rapidement, et elle s’éteignit complètement.

La deuxième dit :
 »Je suis la Foi !
Dorénavant je ne suis plus indispensable, cela n’a pas de sens que je reste allumée plus longtemps. »
Quand elle eut fini de parler, une brise souffla sur elle et l’éteignit.

Triste, la troisième bougie se manifesta à son tour :
 »Je suis l’Amour !
Je n’ai pas de force pour rester allumée. Les personnes me laissent de côté et ne comprennent pas mon importance. Elles oublient même d’aimer ceux qui sont proches d’eux. »
Et, sans plus attendre, elle s’éteignit.

Soudain un enfant entre et voit les trois bougies éteintes.
 »Pourquoi êtes-vous éteintes ?
Vous deviez être allumées jusqu’à la fin. »
En disant cela, l’enfant commença à pleurer.

Alors, la quatrième bougie parla :
 »N’aie pas peur, tant que j’ai ma flamme nous pourrons allumer les autres bougies,
je suis l’Espérance ! »

Avec des yeux brillants, l’enfant prit la bougie de l’Espérance et alluma les autres.

Que l’Espérance ne s’éteigne jamais en nos cœurs et que chacun de nous puisse être l’outil nécessaire pour maintenir l’Espérance, la Foi, la Paix et l’Amour!

L’aide

« Un homme tomba dans un trou et se fit très mal. Un Cartésien se pencha et lui dit : Vous n’êtes pas rationnel, vous auriez dû voir ce trou.

Un Spiritualiste le vit et dit : Vous avez dû commettre quelque péché.

Un Scientifique calcula la profondeur du trou.

Un Journaliste l’interviewa sur ses douleurs.

Un Yogi lui dit: Ce trou est seulement dans ta tête, comme ta douleur.

Un Médecin lui lança deux comprimés d’aspirine.

Une Infirmière s’assit sur le bord et pleura avec lui.

Un Thérapeute l’incita à trouver les raisons pour lesquelles ses parents le préparèrent à tomber dans le trou.

Une Pratiquante de la pensée positive l’exhorta : Quand on veut, on peut !

Un Optimiste lui dit : Vous auriez pu vous casser une jambe.

Un Pessimiste ajouta : Et ça risque d’empirer.

Puis un enfant passa, et lui tendit la main… »

Trois Vieillards

Un jour, une femme sort de sa maison et voit trois vieillards avec de longues barbes blanches, assis devant chez elle. Elle ne les reconnaît pas. Elle leur dit « Je ne pense pas que je vous connaisse, mais vous devez avoir faim, s’il vous plaît entrez et je vous donnerai quelque chose à manger. »
 » Est-ce que les enfants de la maison sont là ? » ont-ils demandé. « Non, ils sont sortis. » leur répondit-elle. « Alors nous ne pouvons pas entrer », ont-ils répondu.

En fin d’après-midi lorsque les enfants reviennent de l’école, la femme raconte son aventure avec les trois hommes aux gamins. « Va leur dire que nous sommes à la maison et invite-les à entrer ! » dirent-ils à leur mère. La femme sort et invite les hommes à entrer dans la maison. « Nous n’entrons jamais ensemble dans une maison, » ont-ils répondu.

Un des vieillards explique : « Son nom est Richesse, » dit-il en indiquant un de ses amis et, en indiquant l’autre, « Lui c’est Succès et moi je suis Amour. » Il a alors ajouté, « Retourne à la maison et discute avec ta famille pour savoir lequel d’entre nous vous voulez dans votre maison. »
La femme retourne à la maison et dit à sa famille ce qui avait été dit. « Comme c’est étrange ! », s’exclament les enfants. « Puisque c’est le cas, nous allons inviter Richesse! La mère n’est pas d’accord. « Pourquoi n’inviterions-nous pas Succès ? Votre père en aurait bien besoin dans ses affaires… La plus petite, qui suce encore son pouce, s’exprime à son tour:  »Veux mamours, veux mamours… »

Les parents fondent devant tant de câlinerie enfantine et la mère invite Amour à entrer…Amour se lève et commence à marcher vers la maison. Les deux autres se lèvent aussi et le suivent. Étonnée, la femme demande à Richesse et Succès : « J’ai seulement invité Amour. Pourquoi venez-vous aussi? »
Les vieillards lui répondent ensemble : « Si vous aviez invité Richesse ou Succès les deux autres d’entre nous serions restés dehors, mais puisque vous avez invité « Amour », partout où il va, nous allons avec lui, puisque partout où il y a de l’Amour, il y a aussi de la Richesse et du « Succès »

Leçon de persévérance

As-tu déjà observé l’attitude des oiseaux face à l’adversité ?

Pendant des jours et des jours, ils font leur nid, recueillant des matériaux parfois ramenés de très loin.

Lorsqu’ils ont terminé et sont prêts à déposer les oeufs, il arrive souvent que le nid soit détruit et envoyé au sol par les intempéries, par un humain ou un quelconque animal.

Que fait l’oiseau ? Il paralyse et abandonne la tâche ?En aucune façon… Il recommence encore et encore jusqu’à ce que les premiers oeufs apparaissent dans le nid.

Parfois, très souvent, avant que naissent les oisillons, un animal, un enfant ou une tempête, détruit une fois de plus le nid, mais cette fois avec son précieux contenu.

Cela fait mal de recommencer à zéro, même ainsi, l’oiseau ne se tait jamais, ni ne recule, il continue de chanter et de construire, construisant et chantant.

As-tu parfois le sentiment que ta vie, ton travail, ta famille ne sont pas ce que tu avais rêvé ?

As-tu parfois envie de dire  » assez, l’effort n’en vaut pas la peine. C’est trop pour moi !  »

Es-tu fatigué de recommencer, du gaspillage de la lutte quotidienne, de la confiance trahie, des buts manqués quand tu étais sur le point d’y arriver ?

La vie frappe ainsi parfois, mais ne te rends jamais. Dis une prière, mets ton espoir en avant et fonce.

Ne te préoccupe pas si dans la bataille, tu reçois une blessure, il faut s’y attendre. Réunis les morceaux de ton espérance, reconstruis-la et fonce de nouveau.

Peu importe ce qui se passe, ne faiblis pas, va de l’avant.

La vie est un défi constant mais cela vaut la peine de l’accepter et surtout n’arrête jamais de chanter.