Le chauffeur de taxi et la grand-mère

Un chauffeur de taxi new yorkais raconte :

Je suis arrivé à l’adresse et j’ai klaxonné. Après avoir attendu quelques minutes, je klaxonne à nouveau. Comme il s’agissait de ma dernière course de la journée, je pensais partir, mais finalement je me suis stationné et puis je me suis dirigé vers la porte et j’ai toqué.

« Juste une minute », a répondu une voix de personne âgée. Je pouvais entendre quelque chose qui traînait sur le plancher.

Après une longue pause, la porte s’ouvrit. Une petite femme de 90 ans se tenait devant moi. Elle portait une robe imprimée et un chapeau à voilette, ressemblant à un personnage de film des années 1940.

À côté d’elle il y avait une petite valise en nylon. L’appartement semblait comme si personne n’avait vécu dedans depuis des années. Tout le mobilier était recouvert de draps.

Il n’y avait pas d’horloge sur les murs, pas de bibelot ni aucun ustensile sur les comptoirs. Dans un coin il y avait une boîte en carton remplie de photos et de verrerie.

« Pourriez-vous porter mon bagage jusqu’à la voiture? » dit-elle. J’ai porté la valise jusqu’à mon véhicule, puis suis retourné aider la femme.

Elle prit mon bras et nous avons marché lentement vers le bord du trottoir.

Elle n’arrêtait pas de me remercier pour ma gentillesse. « Ce n’est rien », je lui ai dit « J’essaie simplement de traiter mes passagers de la façon dont je voudrais que ma mère soit traitée. »

« Oh, tu es un bon garçon », dit-elle. Quand nous sommes arrivés dans la voiture, elle m’a donné une adresse, puis demanda: « Pouvez-vous passer par le centre-ville? »,

« Ce n’est pas le plus court chemin », répondis-je.

« Oh, cela ne me dérange pas », dit-elle. « Je ne suis pas pressé. Je me rends au centre de soins palliatifs. »

J’ai regardé dans le rétroviseur. Ses yeux scintillaient. « Je n’ai pas de famille » reprit-elle d’une voix douce. « Le docteur dit que je n’en ai plus pour très longtemps. » J’ai discrètement arrêté le compteur.

« Quelle route voudriez-vous que je prenne? » Demandai-je.

Pendant les deux heures qui ont suivi, nous avons roulé à travers la ville. Elle m’a montré le bâtiment où elle avait travaillé comme opérateur d’ascenseur.

Nous avons traversé le quartier où elle et son mari avaient vécu quand ils étaient jeunes mariés. Elle m’a fait arrêter devant d’un entrepôt de meubles qui était à l’époque une salle de bal où elle était allée danser lorsqu’elle était jeune fille.

Parfois, elle me demandait de ralentir en face d’un bâtiment particulier ou dans un coin et s’asseyait le regard perdu dans l’obscurité, sans rien dire.

Lorsque le soleil commença à rejoindre l’horizon, elle dit soudain: « Je suis fatiguée j’aimerai que nous y allions maintenant ».

Nous avons roulé en silence à l’adresse qu’elle m’avait donnée. C’était un petit édifice, comme une petite maison de convalescence, avec un portique pour rentrer dans une allée.

Deux infirmiers sont sortis et se sont dirigés vers le taxi. Ils étaient très attentionnés et surveillaient tous les mouvements de la vieille dame. Visiblement ils attendaient son arrivée.

J’ai ouvert le coffre et porté la petite valise jusqu’à la porte. La femme était déjà assise dans un fauteuil roulant.

« Combien vous dois-je? » M’a-t-elle demandé, en ouvrant son sac.

« Rien » lui dis-je.

« Vous devez gagner votre vie », répondit-elle.

« Il y aura d’autres passagers, » ai-je répondu.

Presque sans y penser, je me suis penché et lui ai donné une accolade. Elle me serra fort.

« Vous avez donné un petit moment de joie à une vieille dame », dit-elle. « Je vous remercie. »

Je lui serrai la main, et me retournai. Derrière moi, une porte a claqué, c’était le bruit d’une vie qui se termine.

Je n’ai pris aucun passager le reste de ma course. J’ai conduit sans but perdu dans mes pensées.

Je n’ai pratiquement pas parlé le reste de la soirée. Que se serait-il passé si cette femme avait eu à faire à un chauffeur en colère, ou à quelqu’un d’impatient et pressé ? Et si j’avais refusé de prendre la course, ou avais klaxonné plusieurs fois, puis parti sans attendre ?

Après réflexion, je ne pense pas avoir fait quelque chose de plus important dans ma vie.

Nous sommes conditionnés à penser que nos vies tournent autour de grands moments. Mais les grands moments sont souvent des jolis petits instants auxquels nous ne prêtons pas assez attention.»

La hutte en feu

La hutte en feu

Le seul survivant d’un naufrage a été emporté par les vagues sur une petite île déserte. Tous les jours, il priait pour que quelqu’un vienne le sauver, et tous les jours il scrutait l’horizon pour entrevoir le moindre signe d’aide, mais personne ne venait jamais.

Il a donc décidé de se bâtir une petite hutte avec des arbres morts et des feuilles de palmier afin de se protéger contre les intempéries, les animaux, ainsi que pour mettre à l’abri les quelques possessions qu’il avait sauvées du naufrage.
Après une semaine de travail assidu, sa hutte était complétée finie et il en était très fier. Citadin de nature, notre homme n’était pas habitué de travailler de ses mains.

À la tombée du jour, quelques jours plus tard, alors qu’il revenait de chasser pour se procurer de la nourriture, il a trouvé sa petite hutte en feu. Déjà qu’il se sentait terriblement malchanceux de se retrouver seul, égaré sur une île déserte, encore fallait-il que le pire lui arrive. Il avait tout perdu dans cet incendie. Après le choc initial, le chagrin et bientôt la colère l’ont habité. Il s’est mis à genoux sur la plage et a crié : « Mon Dieu, comment peux-tu me faire ça ? » Complètement découragé et fatigué, il s’est mis à pleurer à chaudes larmes, et il s’est endormi ainsi sur la plage.

Très tôt, le lendemain matin, il a été réveillé par le bruit d’un bateau qui approchait de son île. Il était ainsi sauvé.

Arrivé sur le bateau, il a demandé au capitaine : « Comment saviez-vous que je me trouvais ici ? »
Le capitaine de lui répondre : « Nous avons vu votre signal de fumée. »

    A l’ccasion de l’anniversaire de la naissance du Prophète Mohammad (pbsl), un petit rappel de ce que des grands savants on dit sur lui !

Environ 600 années après le départ du prophète Issa (Jésus), comme Dieu n’avait envoyé aucun autre Messager sur terre, les gens étaient plongés dans l’obscurité. Ils avaient oublié Dieu. Ils avaient oublié les bonnes paroles prêchées par les Prophètes.

Ils fabriquaient des idoles et les adoraient. Ils adoraient aussi les arbres, la mer, le soleil, la lune etc…  Ils enterraient leurs filles vivantes et brûlaient vives les veuves. Bref, le monde était dans le plus grand égarement et dans la plus grande perdition.

On avait cessé d’adorer le Dieu Unique. Il était alors nécessaire qu’un Messager vienne de la part de dieu pour guider à nouveau l’humanité vers le chemin de la Vérité.

Voici quelques témoignages des grands savants du monde sur le Prophète Mohammad (Pbsl) :

« J’ai étudié cet homme merveilleux qui, à mon avis, est loin d’être un Antéchrist, et qui devrait être appelé le Sauveur de l’humanité. J’estime que si un homme comme lui devait exercer une hégémonie sur le monde moderne, il réussirait à résoudre ses problèmes de façon à lui apporter le bonheur et la paix. En parlant de la foi de Mohammad, j’ai prédit que cette dernière serait acceptée par l’Europe de demain comme elle est déjà acceptable par l’Europe d’aujourd’hui. »
(Georges Bernard Shaw Prix Nobel de Littérature en 1925 -The Guenuine Islam, Vol. 1, N° 8, 1936)

« Le Prophète Mohammad avait établi un document qui stipulait entre autres : les juifs et les chrétiens seront protégés de toutes insultes ou vexations, ils auront les mêmes droits que les musulmans à notre protection et services, en plus, ils pratiqueront leur religion aussi librement que les musulmans. »
(Huston Smith – Citations de son livre The World’s Religions – Ed. Harper Collins, 1991, p.256)

« Il était César et le Pape réunis en un seul être ; mais il était le Pape sans avoir les prétentions du Pape, et César sans avoir les légions de César : sans armée, sans garde du corps, sans palais, et sans revenu fixe ; s’il y a un homme qui a le droit de dire qu’il règne par la volonté divine, ce serait Mohammad, puisqu’il a tout le pouvoir sans en avoir les instruments ni les supports.» (Bosworth Smith Mohammad and Mohammadanism, Londres, 1874 ; p. 92).

« La façon dont il accepta les persécutions dues à ses croyances, la haute moralité des hommes qui vécurent à ses côtés et qui le prirent pour guide, la grandeur de son œuvre ultime, tout cela ne fait que démontrer son intégrité fondamentale. La supposition selon laquelle Mohammad serait un imposteur soulève plus de problèmes qu’elle n’en résout. Cependant, aucune des grandes figures de l’histoire n’est si peu appréciée en Occident que le Prophète Mohammad » (W. Montgomery, Mohammad at Mecca, Oxford, 1953 ; p. 52).

« Certains lecteurs seront peut-être surpris de me voir placer Mohammad en tête des personnalités ayant exercé le plus d’influence dans le monde, et d’autres contesteront probablement mon choix. Cependant, Mohammad est le seul homme au monde qui ait réussi par excellence sur les deux plans : religieux et séculier. »
(Michael H., Hart The 100 : A Ranking of the Most Influential Persons in History, New York : Hart Publishing Company, Inc. 1978, p. 33).

« Et c’est une oeuvre immense, que Mohammad a accomplie, par le seul concept de l’Unique, il a soumis l’univers entier. »(Goethe, philosophe, Divan ouest oriental)

« Mohammad est réellement un personnage historique… Mohammad nous apparaît comme un homme doux, sensible, fidèle, exempt de haine. Ses affections étaient sincères, son caractère, en général, porte à la bienveillance » (Ernest Renan, écrivain, Etudes d’histoires religieuses)

« Quiconque ayant étudié la vie et la personnalité du grand prophète d’Arabie ne peut que ressentir de la vénération pour cet éminent prophète » (Annie Besant, historienne, La vie et les enseignements de Mahomet, 1932)

Ghandi a dit :  « beaucoup de gens ont embrassé l’Islam dans ces temps modernes, grâce à la simplicité du Prophète, son attachement vers les autres, son regard attentif envers sa promesse, sa dévotion intense, son intrépidité et sa confiance absolue et foi envers Dieu et sa propre mission. »

 

humour

Un prof. mange tout seul dans la cantine lorsqu’un étudiant s’assoit à sa table.

Le prof:
« Un oiseau et un cochon ne peuvent pas rester côte-à-côte »!
L’étudiant: « D’accord, alors moi je m’envole »

Le prof s’est trop énervé et a décidé de lui donner 0/20 au contrôle.
Le jour du contrôle, l’étudiant répond parfaitement à toutes les questions. Le prof lui demande:
– Imagine que t’es entrain de marcher sur un chemin et tu trouves 2 sacs: l’un est plein d’argent, et l’autre plein d’intelligence. Lequel prendras-tu ?

– L’étudiant: Le sac avec l’argent.

– Le prof: A ta place j’aurais pris le sac avec l’intelligence.

– L’étudiant: Les gens prennent ce qu’ils n’ont pas !

Le prof s’est encore beaucoup trop énervé et a pris la feuille de contrôle de l’étudiant et y écrit « connard ».

L’étudiant prend sa feuille, 2 minutes plus tard il revient vers le prof et lui dit:

– Monsieur, vous avez juste mis votre signature, mais vous n’avez pas mis de note.

L’écho

L’écho

Un père et son fils se promenaient en montagne. Soudain, le fils tombe, se fait mal et crie: “AAAhhhhhhhhhhh!!!”
A sa grande surprise, il entend une voix qui répète, dans la montagne : “AAAhhhhhhhhhhh!!!”

Curieux, il demande: “Qui es-tu?”
Il reçoit pour toute réponse: “Qui es-tu?”
Agacé par cette réponse, il crie: “Peureux!”
Et entend: “Peureux!”
Alors il regarde son père et demande:
“Qu’est-ce qui se passe, papa?”

Le père sourit et répond:

“Mon fils, écoute bien, maintenant.”
Et il crie vers la montagne: “Je t’admire!”
La voix répond: “Je t’admire!”
Il crie encore: “Tu es un champion!”
La voix répond: “Tu es un champion!”
Le garçon est surpris mais ne comprends toujours pas.

Alors le père explique :

“Les gens le nomment ECHO, mais c’est en fait la VIE. Cela te renvoie tout ce que tu dis ou fais. Notre vie est simplement le reflet de nos actions. Si tu veux plus d’amour dans le monde, commence par en avoir plus dans ton coeur. Si tu veux que ton équipe soit plus performante, commence par être plus performant. Cela marche pour tout dans notre vie. La vie te rendra tout ce que tu lui donneras.”

Votre vie n’est pas une coincidence : c’est le reflet de ce que vous pensez et faites !

Les 4 femmes

 

Il était une fois un riche commerçant qui avait 4 femmes.

La 4ème femme, C’est celle qu’il aimait le plus. Il l’ornait avec de luxueuses robes et la traitait avec délicatesse. Il prenait grand soin d’elle et ne lui offrait que le meilleur.

La 3ème femme, elle aussi il l’aimait beaucoup Il était très fier d’elle et voulait toujours la mettre en valeur auprès de ses amis. Cependant, le commerçant craignait toujours le fait qu’elle puisse partir avec un autre homme.

Il aimait aussi sa 2ème femme. C’était une personne très prévenante, toujours patiente et elle était la confidente du commerçant. Chaque fois qu’il rencontrait des problèmes, il se tournait vers elle et elle l’aidait toujours à s’en sortir.

La 1ère femme était une partenaire très loyale, elle avait aussi bien contribuée à maintenir ses richesses qu’à prendre grand soin de sa maison. Pourtant, le commerçant ne l’aimait pas beaucoup alors qu’elle, l’aimait profondément. Il lui prêtait à peine attention.

 

Un jour, le commerçant tomba malade. Il avait le pressentiment qu’il allait mourir bientôt. Il pensa à sa luxueuse vie et se disait, « maintenant j’ai 4 femmes, mais quand je mourrais, je serai seul, quel solitaire je serai ! »

Il demanda donc à sa 4ème femme : « Je t’aime le plus, je t’ai doté des plus fins habits et pris grand soin de toi. Maintenant que je meurs, voudras-tu me suivre pour me tenir compagnie ? »    –  « Nulle part ! »    Répondit la 4ème femme. Et elle s’en alla sans un autre mot. La réponse coupa le coeur du commerçant comme un couteau tranchant.

Le triste commerçant demanda alors à sa 3ème femme : « Je t’ai beaucoup aimé toute ma vie. Maintenant que je meurs, voudras-tu me suivre et me tenir compagnie? »   –   « Non ! »    Répondit la 3ème femme. « La vie est si belle ici ! Je me remarierais quand tu mourras ! » Le coeur du commerçant se brisa.

Alors il demanda à sa 2ème femme : « Je me suis toujours tourné vers toi et tu m’as toujours aidé. Maintenant j’ai à nouveau besoin de ton aide. Quand je mourrais, est ce que tu me suivras et tu me tiendras compagnie? »  – « Je suis désolée, je ne peux pas t’aider ! » Répondit la 2ème femme. « Dans le meilleur des cas, je ne peux que t’accompagner vers la tombe » La réponse tomba comme du tonnerre et le commerçant fût dévasté.

Alors appela une voix : « J’irai avec toi, je te suivrai là où tu iras ».

Le commerçant leva les yeux, ce fut sa 1ère femme. Elle était si maigre, comme si elle souffrait de malnutrition. Très touché, le commerçant disait : « J’aurais du prendre beaucoup mieux soin de toi pendant que je pouvais! » …

 

Réellement « nous avons tous 4 femmes » dans notre vie !

La 4ème femme, c’est « notre corps », nous nous donnons tant de mal pour prendre soin de lui, il sera detruit quand nous mourrons.

Notre 3ème femme c’est nos biens et nos richesses. Quand nous mourrons, Ils iront à d’autres.

La 2ème femme, c’est notre famille et nos amis. Très proche de nous comme ils l’avaient été durant notre vie, le mieux qu’ils puissent pour nous c’est de nous accompagner à la tombe.

La 1ère femme, quelque chose que nous ne pouvons pas voir, c’est notre âme.

Souvent négligée, oubliée,  dans notre quête de biens matériels et de plaisirs insatiables.

Parfumé, embellis par le bien et les bonnes actions, ou laide et nauséabonde par les péchés et mauvaises actions, c’est la seule qui nous suivra réellement là où nous irons.

C’est peut-être une bonne idée de l’éduquer, la cultiver et la fortifier maintenant, plutôt que d’attendre jusqu’à ce que nous soyons sur notre lit de mort pour le regretter. Non ?

Réaliser l’Amour

Fonds D'écran Couple

« Quand je suis rentré ce soir-là, et que ma femme a servi le dîner, je lui tenais la main et dit: J’ai quelque chose à vous dire. Elle s’assit et mangea tranquillement. Encore une fois j’ai observé la douleur dans ses yeux.

Tout à coup, je ne savais pas comment ouvrir ma bouche. Mais je devais lui dire ce que je pensais. « Je veux divorcer ». J’ai soulevé le sujet calmement. Elle ne semblait pas être ennuyé par mes paroles, bien au contraire elle me demanda doucement : pourquoi?

J’ai évité la question. Cela la mit en colère. Elle a jeté les couverts et me cria : tu n’es pas un homme! Cette nuit-là, on ne s’est pas parlé l’un l’autre. Elle pleurait. Je savais qu’elle voulait savoir ce qui était arrivé à notre mariage. Mais je ne pouvais lui donner une réponse satisfaisante, elle avait perdu mon cœur, car il s’était tourné vers Jane. Je ne l’aimais pas du tout, j’avais juste pitié d’elle!

Avec un profond sentiment de culpabilité, j’ai rédigé une lettre de divorce, qui stipulait qu’elle pouvait avoir notre maison, notre voiture, et 30% du capital de ma société. Elle la regarda, puis la déchira en mille morceaux. La femme qui avait passé dix ans de sa vie avec moi était devenue une étrangère. J’étais désolé pour elle et pour la perte de temps, de ressources et d’énergie, mais je ne pouvais pas reprendre ce que j’avais dit car j’aimais Jane chèrement. Enfin, elle a crié haut et fort en face de moi, et c’est ce que je m’attendais à voir. Pour moi son cri était en fait une sorte de libération. L’idée d’un divorce qui m’avait obsédée pendant plusieurs semaines semblait être plus ferme et plus clair maintenant.

Le lendemain, je suis rentré très tard et l’ai trouvée entrain d’écrire quelque chose à la table. Je n’ai pas pris le souper, mais je suis allé directement au lit et m’endormi très vite parce que j’étais fatigué après une journée bien remplie avec Jane. Lorsque je me suis réveillé, elle était toujours là au bureau. Je n’y ai pas prêté attention, je me suis retourné et ai encore dormi.

Dans la matinée, elle a présenté ses conditions de divorce: elle ne voulait rien de moi, mais elle avait besoin d’un mois de préavis avant le divorce. Elle a demandé que, dans cette période d’un mois nous aurons tous deux à lutter pour vivre une vie aussi normale que possible. Ses raisons sont simples: notre fils aura ses examens dans un mois, et elle ne voulait pas lui perturber le morale par notre mariage brisé.

Ce fut agréable pour moi. Mais elle avait quelque chose de plus, elle m’a demandé de me rappeler comment je l’avais transporté dans la chambre nuptiale le jour de notre mariage. Elle a demandé que tous les jours pendant la durée du mois, je l’emmène hors de notre chambre à la porte chaque matin. Je croyais qu’elle devenait folle. Afin de rendre nos derniers jours d’ensemble agréables, j’ai accepté sa demande bizarre.

J’ai parlé à Jane des conditions de divorce de ma femme. . Elle éclata de rire, et trouva cela absurde : « Peu importe les méthodes qu’elle appliquera, elle doit faire face au divorce », dit-elle avec mépris.

Ma femme et moi n’avions pas eu de contact de corps depuis que mon intention de divorce a été explicitement exprimée. Donc quand je l’ai portée le premier jour, nous avons tous deux paru maladroits. Notre fils applaudit derrière nous disant : « papa tient maman dans ses bras. » Ses paroles m’ont apporté un sentiment de douleur. De la chambre au salon, puis à la porte, j’ai marché plus de dix mètres avec elle dans mes bras. Elle ferma les yeux et dit doucement, ne dis rien à notre fils au sujet du divorce. J’ai hoché la tête, me sentant quelque peu bouleversé. Je l’ai posée devant la porte. Elle est allée à attendre le bus pour aller au travail. J’ai conduit seul et partis au bureau.

Le deuxième jour, nous l’avons fait beaucoup plus facilement. Elle se pencha sur ma poitrine. Je pouvais sentir le parfum de son chemisier. J’ai réalisé que je n’avais pas regardé cette femme attentivement pendant une longue période. J’ai réalisé qu’elle n’était pas jeune non plus. Il y avait des fines rides sur son visage, ses cheveux grisonnaient! Notre mariage avait fait des ravages sur elle. Pendant une minute, je me suis demandé ce que j’avais fait d’elle.

Le quatrième jour, quand je l’ai soulevée, j’ai senti au retour un sentiment d’intimité. Ce fut la femme qui avait donné dix ans de sa vie pour moi. Le cinquième jour, et le sixième, j’ai compris que notre sentiment d’intimité renoué était croissant. Je n’ai rien dit à Jane à ce sujet. Il est devenu plus facile de la porter au fur et mesure que le mois s’écoulait. Peut-être que la séance d’entraînement quotidienne m’a rendu plus fort.

Et un matin, elle se mit à chercher quoi porter. Elle a essayé pas mal quelques robes mais ne pouvait pas trouver une qui la convienne. Puis elle soupira : « toutes mes robes ont grandi ». J’ai soudain réalisé qu’elle avait tellement maigri, c’était la raison pour laquelle je pouvais la porter plus facilement.

Tout à coup, cela m’a frappé … elle avait enduré tant de douleur et d’amertume dans son cœur. Inconsciemment, j’ai tendu la main et toucha sa tête.

Notre fils est venu en ce moment et dit: Papa, il est temps de porter maman. Pour lui, voyant son père portant sa mère était devenue une partie essentielle de sa vie. Ma femme fit un geste à notre fils de venir plus près et le serra étroitement. Je tournais mon visage parce que j’avais peur, je pourrais changer d’avis à la dernière minute. Je l’ai alors prise dans mes bras, marchant de la chambre, à travers le salon, dans le couloir. Elle mit doucement et naturellement ses mains autour de mon cou. Je l’ai serrée contre moi. C’était comme le jour de notre mariage.

Mais son poids beaucoup plus léger m’a rendu triste. Le dernier jour, lorsque je l’ai tenue dans mes bras, je pouvais à peine bouger d’un pas. Notre fils était allé à l’école. Je l’ai tenue fermement et lui dit: Je n’avais pas remarqué que notre vie manquait d’intimité. J’ai conduit et suis allé au bureau …. J’ai sauté de la voiture rapidement sans verrouiller la porte. J’avais peur qu’il soit tard pour moi de changer d’avis … Je pris les escaliers. Jane ouvrit la porte et je lui ai dit, Désolé, Jane, je ne veux plus de divorce.

Elle me regarda, étonnée, puis toucha mon front : « As-tu de la fièvre? » Dit-elle. J’ai enlevé sa main de ma tête : « Désolé, Jane », je dis, « je ne vais pas divorcer. Ma vie conjugale était ennuyeuse sans doute parce qu’elle et moi n’avions pas valorisé les détails de nos vies, et non parce que nous ne nous aimions plus. Maintenant je me rends compte que depuis que je l’ai amenée à mon domicile le jour de notre mariage, je suis censé la garder jusqu’à ce que la mort nous sépare ». Jane semblait soudainement se réveiller. Elle m’a donné une claque forte puis claqua la porte et fondit en larmes. Je descendis et m’en allais. À la boutique de fleurs sur le chemin, j’ai commandé un bouquet de fleurs pour ma femme. La vendeuse m’a demandé ce qu’elle pouvait écrire sur la carte. J’ai souri et j’ai écrit : Je te porterais chaque matin jusqu’à ce que la mort nous sépare.

Ce soir je suis arrivé à la maison, des fleurs dans mes mains, un sourire sur mon visage. Je montais les escaliers, mais seulement, hélas, pour trouver ma femme dans le lit, morte. Ma femme avait été lutté contre le cancer depuis des mois et j’ai été tellement occupé avec Jane, que je n’ai même pas remarqué. Elle savait qu’elle allait mourir bientôt et elle a voulu me sauver de la réaction négative de notre fils, au cas où nous aurions divorcé. Du moins, aux yeux de notre fils – je suis un mari aimant … .

Les petits détails de votre vie sont ce qui importe vraiment dans une relation. Ce n’est pas la maison, la voiture, la propriété, l’argent à la banque. Ceux-ci créent un environnement propice pour le bonheur mais ne peut pas donner le bonheur en eux-mêmes.

Donc, trouver du temps pour être l’ami de votre conjoint et de faire ces petites choses pour l’autre qui construisent l’intimité. Faire un vrai mariage heureux!

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Si vous le faites, vous venez peut-être de sauver un mariage. Beaucoup d’échecs de la vie sont dus au fait que les gens ne se rendent pas compte à quel point ils étaient près du succès au moment où ils ont abandonné. ♥

Une vieille légende indienne raconte qu’un brave trouva un jour un oeuf d’aigle et le déposa dans le nid d’une « poule de prairie ». L’aiglon vit le jour au milieu d’une portée de poussins de prairie et grandit avec eux.
Toute sa vie l’aigle fit ce qu’une poule de prairie fait normalement. Il chercha dans la terre des insectes et de la nourriture. Il caqueta de la même façon qu’une poule de prairie. Et lorsqu’il volait, c’était dans un nuage de plumes et sur quelques mètres à peine.
Après tout, c’est ainsi que les poules de prairie sont censées voler.
Les années passèrent. Et l’aigle devint très vieux. Un jour, il vit un oiseau magnifique planer dans un ciel sans nuage. S’élevant avec grâce, il profitait des courants ascendants, faisant à peine bouger ses magnifiques ailes dorées.
« Quel oiseau splendide! » dit notre aigle à ses voisins.
« Qu’est-ce que c’est ? »
« C’est un Aigle, le roi des oiseaux, » caqueta sa voisine. Mais il ne sert à rien d’y penser à deux fois. Tu ne seras jamais un aigle. »
Ainsi l’aigle n’y pensa jamais à deux fois.
Il mourut en pensant qu’il était une poule de prairie.
Sommes-nous tous des poules de prairie ?
Je le crois sincèrement.
Dans tous les domaines, nous nous limitons nous-mêmes sans le savoir.
Pour ceux qui croient en Dieu, c’est une injure à notre créateur, qui nous a fait à son image. Pour ceux qui n’y croient pas, c’est un gâchis que rien ne justifie.
L’idée c’est de vous rappeler, jour après jour, combien vous avez de talents en vous qui ne demandent qu’à être exploités.

Faîtes sortir ce que vous avez de meilleur au fond de vous! Ne faîtes surtout pas comme celui qui avait un trésor au fond de lui et qui en l’ayant ignoré, n’a laissé aucune trace de son passage sur terre, il a vécu « inconnu » tellement que sur sa tombe on a écrit : « il a vécu 70ans mais il est mort à 25ans, tellement sa vie a stagné à cet âge, il avait beaucoup d’ambtions mais il manquait d’efforts et de travail, il a vécu inconnu, il est mort inconnu… »

Conservez un esprit ouvert pour apprendre et vous dépasser

Un jeune homme veut apprendre à être zen. Il lit tous les livres qu’il trouve sur le sujet. Ensuite, il écoute tous les grands maîtres qu’il juge comme étant très connaissant dans le domaine. Finalement, il demande un rendez-vous avec l’un d’entre eux.

Lorsqu’il le rencontre, le jeune homme lui dit tout ce qu’il a retenu et compris de ses lectures, lui dit ce qu’il a retenu des conférences. Le maître l’écoute patiemment. Après quelque temps, lorsque le jeune homme à terminer de parler il lui propose de prendre le thé.

Le maître zen débute la cérémonie traditionnelle du thé sous l’attention de l’étudiant. Lorsqu’il sert le thé il ne dit rien et commence à remplir la tasse de l’étudiant et continue de verser le thé même après qu’elle soit pleine. Le jeune homme interloqué le regarde avec attention.

Le thé se verse maintenant par dessus les bords de la tasse et se déverse sur la table. Le maître continue de verser.

Le jeune homme commence à être agité.

Le thé va par-dessus la tasse, tombe sur la table et puis sur le plancher. Mais le maître continue à le verser.

C’est trop pour le jeune homme. Finalement, il ne peut se contenir plus longtemps. Il ordonne : Arrêtez! Arrêtez de verser!

Le maître cesse de verser, regarde le jeune homme mais ne dit rien.

Le jeune homme dit : La tasse est pleine, plus rien ne peut y entrer!

Le maître répond : comment pourrait-on faire pour mettre plus de thé à l’intérieur?

Le jeune homme répond rapidement : Nous devons la vider

Le maître laisse la tasse de côté. Il demande au jeune homme de s’asseoir et lui offre le thé.

Lorsqu’il boit le thé le maître lui dit : Comme cette tasse, ta pensée est pleine de tes propres opinions et perceptions. Comment peux-tu y ajouter quelque chose si ta tasse n’est pas vide?

Nous pouvons éprouver cela dans notre vie. Il faut garder notre esprit ouvert pour voir les opportunités qui nous permettront de performer davantage. Pour trouver les clés et les réponses à nos questionnements.

Mais comme le jeune homme nous sommes pleins de nos croyances et de nos insécurités. Nous sommes si persuadés de ces dernières que nous en pouvons nous en défaire. Cela nous rend inconfortable.

Nous rejetons plusieurs chances qui se présentent à nous seulement parce que nous sommes fermées à celles-ci. Nous ne sommes pas ouvert aux nouvelles idées qui pourraient pourtant nous propulser vers une plus grande réussite.

Cela arrive è tous les âges. Nous sommes coupables de rejeter les idées nouvelles au nom de nos certitudes. Par exemple, il y a fort longtemps nous avons rejeté le fait que les astres tournent autour du soleil et pourtant c’était une très grande découverte.

Nous nous moquons des idées nouvelles mais pourtant elles peuvent changer et bouleverser le sort de l’humanité.

Soyez de nature généreuse et accueillez les nouveautés comme des chances. Ne recommettez pas les erreurs du passez et ne laissez pas passer ces informations par manque d’ouverture d’esprit. Ne vous mettez pas d’oeillères.

Bien! Je crois que vous comprenez de quelle vérité je parle et que vous en avez pris note.

Cela est le point principal.

C’est important d’avoir un esprit ouvert et de bien analyser des données avant de les mettre à la poubelle. Oui les personnes gagneraient à être plus curieuse et cela les aiderait à résoudre leurs problèmes.

Souvenez-vous! La vie est une série de leçons. Si vous les apprenez pas vous devrez les apprendre à vos dépend un jour.

Colère et Amour

Alors qu’un homme nettoyait sa nouvelle voiture,
son fils de 4 ans ramassa un caillou
et fit des graffitis sur la voiture.

Dans un excès de colère,
sans même regarder ce que représentaient les graffitis,
l’homme prit la main de son fils
et la frappa plusieurs fois ;

sans se rendre compte
qu’il frappait avec une clé à molette.A l’hôpital, le garçon perdit tous ses doigts,
à cause des multiples fractures
dont ils étaient victimes.Quand le garçon vit son père tout triste,
(à cause de sa blessure), il demanda :
« Papa, quand est-ce-que mes doigts vont repousser ? »L’homme fut très secoué par la question
et resta sans voix.
Il repartit vers sa voiture
et la cogna plusieurs fois.
Dépité par ses propres actions,
il s’assit devant la voiture.
Alors il vit ce que son fils
avait gribouillé sur sa voiture et lut :

« JE T’AIME PAPA ! »

La colère et l’amour n’ont pas de limites.
Choisis toujours cette dernière pour avoir une belle vie.

Les choses sont créées pour être utilisées
et les personnes pour être aimées.

Mais le problème dans le monde d’aujourd’hui
est que les personnes sont utilisées
et les choses elles, sont aimées.

Essayons de garder toujours ceci à l’esprit :

« Les choses sont créées pour être utilisées,
tandis que les personnes elles, sont créées pour être aimées. »