la machine defaillante

L’usine de savon

il s’agit d’une marque de savon qui rencontrait un grand succès, et qui rapportait beaucoup d’argent,
Puis d’un seul coup, les ventes ont commencé à chuter…
Et la réputation de la marque devenait mauvaise,
Le directeur de l’usine a paniqué, puis il a ramené des experts pour analyser…
Ils ont découvert la cause du problème :
« La marque a une mauvaise réputation dans le marché, les gens disent que tu es un escroc »
« Mais je ne suis pas un escroc ! Pourquoi ils disent ca ? »
Il y’a un défaut dans la machine qui met le savon dans les boites,
Certaines boites arrivent vides chez le consommateur…
La machine se rate, et quand les boites arrivent vides chez les gens, ils disent « Ce sont des arnaqueurs, ils nous vendent des boites de savon, on paye de l’argent, et à l’arrivée les boites sont vides »
Le directeur a commencé à réaliser que la marque avait une mauvaise réputation à cause d’un défaut technique dans la machine,
Que faire ?
Il a rassemblé ses ingénieurs qui lui ont dit : « La solution c’est de ramener une machine à rayons laser, pour contrôler les boites avant qu’elles sortent de l’usine, et détecter celles qui sont vides »
Il a demandé « Et combien va nous couter cette machine ? »
Ils lui ont dit « 200.000 dollars »
Aie… Payer une machine à 200 mille dollars rien que pour vérifier si les boites sont pleines…
Le directeur n’avait pas vraiment le choix,
C’était soit ca, soit il perdait tout…
Il a commencé à se préparer, quand un ouvrier est venu frapper à la porte de son bureau,
C’est l’employé modeste qui place les cartons dans les camions qui vont les transporter,
Il a dit au directeur « Nous n’avons pas besoin d’acheter une machine à 200.000 dollars…
J’ai besoin juste de 100 dollars »
Le directeur lui a répondu « 100 dollars seulement ? Pourquoi faire ? »
L’employé lui a dit « Je sais ce que je dis, donnez-moi juste 100 dollars »
Le directeur lui a donné 100 dollars, et le problème était résolu !
Qu’a fait cet employé ?
Il a fait une chose très simple :
Les boites de savon passent sur le tapis roulant,
Il a acheté un ventilateur,
Comme ca les boites vides vont s’envoler à cause du vent,
Et seules les boites pleines iront jusqu’au bout…
Il a donc posé le ventilateur devant la machine, et toutes les boites vides s’envolaient,
Et celles qui passaient étaient uniquement celles qui sont pleines…
Sans avoir besoin de dépenser 200.000 dollars ni de rayons laser.

Cette histoire nous apprend deux choses :

1- Ne sous estime jamais les gens qui travaillent en bas,
Ne sous estime jamais tes enfants,
Ne sous estime jamais l’idée de quelqu’un de modeste, en disant qu’il ne comprend pas… Et que tu as fait venir les meilleurs experts du monde…
Les gens qui font un travail manuel comprennent mieux parfois que ceux qui sont en haut…

2- Si tu as une idée, n’aies jamais peur de la proposer en disant que tu es trop petit…
Et que personne ne va t’écouter, Ne soyez jamais gênés par vos idées !

Juste pour promouvoir les belles valeurs, faire du bien autour de soi peut aussi apporter du bonheur, les plus grands nous ont donnés l’exemple, rien ne nous empêche de le reproduire, il n’y a pas besoin d’être riche, d’avoir un gros carnet d’adresse ou des connaissances particulières.  Il y toujours dans notre cercle de connaissance, des gens, parfois très proches, qui ont besoin d’un coup de pouce, ou parfois simplement d’un regard et d’un sourire.

Méditez celle-là et regardez autour de vous, qui sait…. Parfois il suffit de peu.

Un jour, en montant dans un train
Gandhi perdit une chaussure
qui tomba sur la voie ferrée.
Il fut incapable de la récupérer,
le train commençait à avancer.

Au grand étonnement
de ses compagnons de voyage,
Gandhi enleva son autre chaussure
et la lança près de celle qu’il venait de perdre.

À un passager qui lui demanda
pourquoi il avait fait cela,
Gandhi répondit en souriant:

« Le pauvre homme qui trouvera
ma chaussure sur la voie ferrée
trouvera la deuxième juste à côté
et aura donc une paire de chaussures
qu’il pourra utiliser. »
Histoire Véridique ..

 

La Rolls-Royce

Avant de partir en voyage pour affaires, un homme d’affaire se rend en Rolls-Royce jusqu’à une banque New Yorkaise et demande un prêt court terme immédiat de 5000 $.

Le guichetier lui demande des garanties pour lui accorder le prêt. Alors l’homme d’affaire lui donne les clefs de la Rolls en gage. La Rolls est alors conduite dans le parking souterrain de la banque, et l’homme d’affaire empoche ses 5000 $.

Deux semaines plus tard, l’homme d’affaire rentre d’Europe, demande au guichetier à rembourser son prêt et à récupérer sa Rolls. Le guichetier lui répond : – Ça fera 5000 $ de capital et 15.40 $ d’intérêts.

L’homme d’affaire prend son chéquier, remplit le montant, donne le chèque et s’en va avec ses clefs. À ce moment là, le guichetier l’interpelle : – Monsieur, monsieur, avant que vous ne partiez, pouvez-vous m’expliquer une petite chose? J’ai découvert pendant que vous étiez parti que vous êtes milliardaire. Comment se fait-il que vous ayez eu besoin d’emprunter 5000 $?

Et l’homme d’affaire répond avec un sourire : – Comment pourrais-je trouver ailleurs à New York un parking gardé pour garer ma Rolls pendant 15 jours et ne payer que 15.40 $?

Auteur inconnu

Dans le ventre d’une mère,

Deux bébé discutent.
– Bébé 1 : Et toi, tu crois à la vie après l’accouchement ?
– Bébé 2 : Bien sûr. C’est évident que la vie après l’accouchement existe. Nous sommes ici pour devenir forts et nous préparer pour ce qui nous attend après.
– Bébé 1: Pffff… tout ça, c’est insensé. Il n’y a rien après l’accouchement ! A quoi ressemblerait une vie hors du ventre ?
– Bébé 2 : Eh bien, il y a beaucoup d’histoires à propos de « l’autre côté »… On dit que, là-bas, il y a beaucoup de lumière, beaucoup de joie et d’émotions, des milliers de choses à vivre… Par exemple, il paraît que là-bas on va manger avec notre bouche.
– Bébé 1 : Mais c’est n’importe quoi ! Nous avons notre cordon ombilical et c’est ça qui nous nourrit. Tout le monde le sait. On ne se nourrit pas par la bouche ! Et, bien sûr, il n’y a jamais eu de revenant de cette autre vie… donc, tout ça, ce sont des histoires de personnes naïves. La vie se termine tout simplement à l’accouchement. C’est comme ça, il faut l’accepter.
– Bébé 2 : Et bien, permet moi de penser autrement. C’est sûr, je ne sais pas exactement à quoi cette vie après l’accouchement va ressembler, et je ne pourrais rien te prouver. Mais j’aime croire que, dans la vie qui vient, nous verrons notre maman et elle prendra soin de nous.
Bébé 1 : « Maman » ? Tu veux dire que tu crois en « maman » ??? Ah ! Et où se trouve-t-elle ?
Bébé 2 : Mais partout, tu vois bien ! Elle est partout, autour de nous ! Nous sommes faits d’elle et c’est grâce à elle que nous vivons. Sans elle, nous ne serions pas là.
Bébé 1 : C’est absurde ! Je n’ai jamais vu aucune maman donc c’est évident qu’elle n’existe pas.
Bébé 2 : Je ne suis pas d’accord, ça c’est ton point de vue. Car, parfois lorsque tout devient calme, on peut entendre quand elle chante… On peut sentir quand elle caresse notre monde… Je suis certain que notre Vraie vie va commencer après l’accouchement…

Un orateur parle du pouvoir de la pensée positive et des mots.

Un participant lève la main :

– Ce n’est pas parce que je vais dire bonheur, bonheur, bonheur ! que je vais me sentir mieux, ni parce que je dis malheur, malheur, malheur ! que je me sentirai moins bien : ce ne sont que des mots, les mots sont en eux-mêmes sans pouvoir…
L’orateur :

– Taisez-vous espèce d’idiot, vous êtes incapable de comprendre quoi que ce soit !

Le participant, comme paralysé, change de couleur et s’apprête à faire une répartie cinglante :

– Pour qui vous prenez-vous espèce de…

L’orateur lève la main :

– Je vous prie de m’excuser. Je ne voulais pas vous blesser. Je vous prie d’accepter mes excuses les plus humbles.

Le participant se calme.

L’assemblée murmure, il y a des mouvements dans la salle.

L’orateur :

– Vous avez la réponse à la question que vous vous posiez :
– Quelques mots ont déclenché chez vous une grande colère.

– D’autres mots vous ont calmé.

– Comprenez-vous mieux le pouvoir des mots ?

Après la pluie

Une fleur naissante était soumise à une pluie froide, cinglante, désagréable qui chargeait ses pétales d’un fardeau trop lourd. Instant après instant, cette fleur, aux pétales refermées pour ne pas les abîmer, maudissait cette pluie lorsqu’un jour elle s’aperçut du silence.
En effet, plus aucune goutte ne frappait à sa porte et le plus curieux, c’est que repliée sur elle-même, elle était incapable de savoir depuis quand la pluie avait cessée, une heure, un jour, une semaine. Elle avait été trop enfermée dans ses pensées, son incapacité à faire taire cette pluie, à l’injustice qu’elle ressentait devant cette impuissance.
Alors maintenant ce silence soudain l’étonnait, elle avait bien senti une certaine chaleur qui commençait à l’envelopper mais elle avait cru qu’elle venait d’elle-même, de l’agacement, de l’échauffement qui était le sien à ne pouvoir agir pour faire cesser cette pluie. Maintenant qu’elle prend conscience de cette chaleur extérieure, elle ose déployer doucement ses pétales pour apercevoir un soleil radieux.
Celui-ci l’éblouit tout d’abord et petit à petit, le regard s’habitua, elle commença à distinguer les alentours, les couleurs, les odeurs, les saveurs de la vie renaissante. Elle s’aperçut également du phénomène curieux que sa vision lui paraissait bien plus haute qu’avant cette pluie longue, bien trop longue.
Elle comprit alors que loin de lui nuire, la pluie pendant tout ce temps où elle était repliée sur elle-même, cette pluie avait irrigué la terre. Elle l’avait ainsi nourrie et lui avait donné toutes les ressources nécessaires pour que, elle la fleur, puisse se développer et s’épanouir pour être prête quand le soleil reviendrait.
Bien qu’impatiente, ce temps lui avait été nécessaire pour se nourrir des ressources qui lui étaient offertes. Elle ne les avait pas totalement perçues mais les avait naturellement intégrées. Ici, maintenant, elle se sent prête pour les regarder, les voir, les accepter et les utiliser pleinement…

SI le moment n’est pas encore venu, un peu de patience et cultivez les ressources du temps présent, le soleil arrive…

Cette histoire vient vous parler d’un homme qui est le père de 4 garçons.

Il voulait apprendre à ses fils à ne point juger précipitamment.

Pour cela il les envoya faire une enquête personnelle pendant laquelle ils devaient se rendre à une distance lointaine et aller chacun observer un poirier.

Le premier fils partirait en hiver, le second au printemps, le troisième en été et le benjamin en automne.

Quand tous furent partis et revenus, il les rassembla et leur demanda de lui décrire ce qu’ils avaient vu.

Le premier fils dit que l’arbre était noir, affreux, tout plié et que ses branches étaient tordues.

Le second dit : « Non, il était couvert de pousses vertes et plein de belles promesses ».

Le troisième avait un point de vue bien différent : « il était plein de fleurs agréables à sentir et je l’ai trouvé majestueux, c’était l’arbre le plus gracieux que je n’avais jamais vu ».

Le benjamin secoua sa tête pour leur faire remarquer que son observation n’était pas du tout la même : « les fruits étaient tous murs, lourds de leur jus, plein d’engagements et d’espoirs ».

Le brave homme leur dit alors : « mes fils vous avez tous raison. Eh oui, vous êtes tous allés voir ce poirier à une saison différente et chacun d’entre vous a vu une seule période de la vie de cet arbre ».

Il leur dit aussi : « vous ne pouvez pas juger un arbre en seulement une saison, ni un être humain sur une impression. L’essence de ce qu’ils sont en réalité ne peut être connue en seulement une petite partie de vie, car il y a les joies, les peines, les regrets, etc. Ils peuvent seulement être appréciés que bien plus tard dans leur existence.

Si vous abandonnez en hiver alors vous manquez inévitablement la promesse du printemps, la beauté de l’été et l’accomplissement de l’automne.

Ne laissez pas le chagrin d’une saison détruire toute la joie de ce qui est encore à venir. Ne jugez pas la vie à cause d’un passage difficile.

Persévérez et n’évitez pas les chemins caillouteux qui se présentent à vous car, soyez-en sûrs, l’avenir est plein de promesses parce que tout change éternellement.

Vivez simplement, aimez généreusement, prenez soin de vous et des autres grandement.

Parlez poliment, respectueusement et gentiment puis laissez le reste à Dieu et à la Source.

Le bonheur vous garde doux et en beauté, les expériences vous fortifient et les larmes vous rendent humain.

Une mère rentre dans la chambre de sa fille qu’elle trouve vide. Sur le lit une lettre.

Maman chérie,

Je suis désolée de devoir te dire que j’ai quitté la maison pour aller vivre avec mon copain. Il est l’amour de ma vie. Tu devrais le voir, il est tellement mignon avec tous ses tattoos et son piercing et sa super moto. Mais ce n’est pas tout ma petite maman chérie. Je suis enfin enceinte et Abdoul dit que nous aurons une vie superbe dans sa caravane en plein milieu des bois. Il veut beaucoup d’enfants avec moi, c’est mon rêve aussi. Je me suis enfin rendu compte que la marijuana est bonne pour la santé et soulage les maux. Nous allons en cultiver et en donner à nos copains lorsqu’ils seront à court d’héroine et de cocaïne pour qu’ils ne souffrent pas. Entre-temps, j’espère que la science trouvera un remède contre le sida pour qu’Abdoul aille mieux. Il le mérite vraiment tu sais.

Ne te fais pas de soucis pour moi maman, j’ai déjà 13 ans, je peux faire attention à moi toute seule et le peu d’expérience qui me manque, Abdoul peut le compenser avec ses 44 ans. J’espère pouvoir te rendre visite très bientôt pour que tu puisses faire la connaissance de tes petits enfants. Mais d’abord je vais avec Abdoul chez ses parents en caravane pour que nous puissions nous marier. Comme ça, ce sera plus facile pour lui pour son permis de séjour.

Ta fille qui t’aime.

PS : Je te raconte des idioties maman, je suis chez les voisins ! Je voulais juste te dire qu’il y a des choses bien pire dans la vie que le bulletin scolaire que tu trouveras sur ta table de nuit. Je t’aime

La fable du casseur de cailloux

Cette fable, que vous connaissez peut-être, nous vient de l’écrivain et poète Charles Peguy (1873-1914).

 

Sur la route vers son pèlerinage à Chartres, Charles Péguy voit un type fatigué, abattu, suant, qui casse des cailloux.

 

Il s’approche de lui et lui demande:

 

– Que faites-vous, Monsieur ?

– vous voyez bien, je casse des cailloux, c’est dur, j’ai mal au dos, j’ai soif, j’ai faim.Je fais un sous métier, je suis un sous homme .

 

Il continue son chemin, et voit un peu plus loin un autre homme qui casse les cailloux; lui n’a pas l’air aussi mal que le précédent:

 

– Monsieur, qu’est ce que vous faites ?

– Eh bien, je gagne ma vie. Je casse des cailloux, je n’ai pas trouvé d’autre métier pour nourrir ma famille, je suis bien content d’avoir celui là .

 

 

Péguy poursuit sa route et s’approche d’un troisième casseur de cailloux, qui estsouriant et radieux. Ses yeux brillent :

 

– Moi, Monsieur, dit-il, je bâtis une cathédrale.

 

 

Moralité de cette fable ?

Allez, vous avez compris: quand on a une cathédrale dans la tête, on ne casse pas les cailloux de la même manière.

 

L’envie de performance n’existe que dans la représentation. C’est toujours le fruit d’une élaboration. On doit la travailler, cette envie, la faire mûrir. Ce n’est pas quelque chose que l’on peut décréter pour les autres. On doit la construire dans le temps et dans l’échange.

 

C’est pourquoi le chemin qui mène à la performance opérationnelle, c’est à dire la façon d’impliquer et d’associer les collaborateurs de votre entreprise, et de leur donner envie, est le point déterminant de la réussite de votre projet.

Les jumeaux

Voici une histoire concernant deux jumeaux identiques.

L’un était un éternel optimiste. « Tout marche comme sur des roulettes », avait-il l’habitude de dire.
Son frère jumeau, lui, était un pessimiste triste et sans espoir. Inquiets, les parents des jumeaux consultèrent un psychologue.

Le psychologue proposa aux parents un plan d’action destiné à équilibrer la personnalité des jumeaux: « Le jour de leur anniversaire, emmenez-les dans des pièces séparées lorsqu’ils ouvriront leurs présents. Donnez au pessimiste les plus beaux jouets que vous pouvez vous permettre et donnez à l’optimiste une boîte de fumier. »

Les parents suivirent le conseil du psychologue et observèrent attentivement les résultats.

Lorsqu’ils s’approchèrent de la pièce où le jumeau pessimiste avait déballé ses présents, ils l’entendirent clairement se plaindre:

« Je n’aime pas la couleur de cet ordinateur…Je parie que cette calculatrice ne fonctionnera pas longtemps…Je n’aime pas ce jeu…Je connais quelqu’un qui a une plus grosse voiture que celle-ci…

Puis, les parents traversèrent sans bruit le couloir et espionnèrent le jumeau optimiste qui se trouvait dans l’autre pièce. Il jetait gaiement du fumier dans les airs.
Il riait.

« J’ai deviné! Derrière tout ce fumier doit sûrement se trouver un poney! »