HISTOIRE D’UN HOMME INSATISFAIT DE SA FIANCÉE.

Avant, il aimait beaucoup sa fiancée, Puis avec le temps ses sentiments ont baissé, Il reconnait que la fille n’a pas changé, elle est restée la même comme à leur début, Elle a gardé sa même gentillesse, sa même droiture, sa même passion… « Elle est magnifique, mais je n’y arrive plus… Mon cœur a du mal à lui donner de l’affection… Je ne comprends pas pourquoi »

Ce jeune homme était sincère avec lui-même,
Il est parti en parler à un ami de son père, Car il était gêné d’en parler à son papa… L’ami de son père était quelqu’un d’ouvert et bon vivant, Quand il est arrivé, il l’a trouvé en train d’arroser son jardin,
Le jeune homme lui dit :« J’ai ce problème avec ma fiancée…Je n’arrive plus à lui donner de l’affection… Avant je l’aimais énormément, mais maintenant, je n’y arrive plus… Elle commence à sentir que je m’éloigne, et c’est une fille formidable »
L’ami de son père a gardé le silence un instant, puis lui demanda :
« Est-ce que tu connais beaucoup de filles ? »
Le jeune lui répondit :
« Oui, mais c’est juste de l’amitié »
L’homme lui demanda :
« Quand tu leur envoies des textos ou des messages sur facebook, ça ne dépasse jamais la ligne rouge ? »
Le jeune lui dit « Parfois on se dit des paroles gentilles, mais rien d’irrespectueux »
L’homme lui répondit « Ce qui t’arrive, arrive aussi à beaucoup de personnes fiancées ou mariées »
Le jeune lui demanda : « Et quelle est la solution ? »
L’homme lui répondit : « Pourquoi tu ne viendrais pas arroser le jardin avec moi? »
Le jeune lui répondit « En réalité, je suis venu vous parler de mes problèmes, ce n’est pas vraiment le moment… »
L’homme insista : « Prend juste ce tuyau d’arrosage »
Puis, il ouvrit le robinet, Le jeune ne comprenait pas… Mais cet homme avait une idée derrière la tête.
Pendant que le jeune arrosait le jardin, il est venu faire un trou dans le tuyau…Puis il a fait un deuxième trou…Puis une plus grande ouverture. Et une autre…
Puis, il lui a demandé : « Comment va l’eau de ton côté ? »
Le jeune lui a répondu : « Il y en a de moins en moins… Le débit faiblit »
L’homme lui a dit : « C’est normal, car j’ai fait des trous dans le tuyau »
Quelqu’un a compris son idée ?
À cause des trous, l’eau fuit dans tous les sens, alors au bout du tuyau, il n’y en a plus beaucoup qui arrive…

Le jeune jeta le tuyau en disant : « C’est bon j’ai compris »
Et vous, avez-vous aussi compris ?
Parfois on fait la même chose avec nos sentiments,
On fait des trous dans nos sentiments… Alors au lieu que l’amour et l’affection partent dans une seule direction, et pour la seule personne qui est censée recevoir nos nobles sentiments… On fait beaucoup de trous, Parfois par des rencontres, Parfois au téléphone, Parfois par sms, Parfois avec les collègues au travail, Parfois avec les camarades de classe,
Le résultat au bout d’un moment est que le débit des sentiments faiblit pour la personne avec qui on est en couple… C’est vrai que ce sont des trous minuscules… Des choses qu’on ne croit pas très graves… Mais le résultat est là.
C’est une idée pratique n’est ce pas ?
A tous les jeunes,
A toutes les personnes mariées,
A tous ceux qui sont fiancés,
A ceux qui vont bientôt se marier…
Ne faites pas de trous dans la capacité de votre cœur à donner de l’affection,
Dirigez-le dans une seule direction,
Et à ce moment vous n’aurez pas les mêmes problèmes que chez le jeune homme de l’histoire,
Au contraire vous trouverez que l’eau ou les sentiments vont dans la bonne direction,
Et à ce moment c’est sûr que tu auras un sourire d’espoir pour toi et ta femme ou ta fiancée.

Ma mère n’avait qu’un seul oeil. Je la détestais… Elle était
comme un fardeau. Elle cuisinait pour les élèves et les
professeurs, pour apporter son soutien à la famille.

Mais il y a eu ce jour, pendant que j’étais en primaire, ma mère
était venue me dire bonjour. J’étais si embarrassé. Comment
pouvait-elle me faire sa ? Je l’ai ignorée, et je lui ai jeté un
regard rempli de haine et je me suis enfui. Le lendemain, à
l’école, un de mes camarades m’a dit : « heeee, ta mère n’a qu’un
oeil !! « .

Je voulais me brûler tout entier.

Je voulais également que ma mère disparaisse !!

Donc je suis allé la voir ce jour, et je lui ai dit : « Si tu veux
que je ris un peu, pourquoi tu ne meurs pas ??? »

Ma mère n’a pas répondu…

Je n’ai pas eu le temps de penser, une seconde à ce que je disais,
parce que j’étais sous l’emprise de la colère. Je m’en moquais
éperdument de ses sentiments. Je voulais qu’elle s’en aille de
cette maison, je ne voulais plus d’elle. Ainsi j’ai étudié très
dur, et j’ai obtenu la chance d’aller à Singapour pour étudier.

Puis je me suis marié. Je me suis acheté moi-même, une maison. J’ai
eu des enfants.

J’étais heureux de ma vie, de mes enfants, et de tout ce que
j’avais. Jusqu’au jour où ma mère est venue me rendre visite. Elle
ne m’avait pas vu depuis de très nombreuses années, et n’avait ni
vu ses petits enfants. Quand elle est arrivée sur le pas de la
porte, mes enfants se sont moqués d’elle, et moi, je l’ai accusée
d’être venue sans être invitée !

Je lui ai hurlé : « Comment oses-tu venir chez moi, et faire peur à
mes enfants !! DEGAGE D’ICI, MAINTENANT !! » Et à cela, ma mère a
calmement répondu : « Oh, je suis désolée. J’ai dû me tromper de
maison. » et elle a disparu jusqu’à ce que je ne la voie plus.

Un jour, une lettre à propos d’une réunion scolaire, est venue à la
maison, à Singapour.

J’ai menti à ma femme prétextant un voyage touristique. Après la
réunion, je suis allé à la vieille cabane, simplement par
curiosité. Mes voisins m’ont dit qu’elle était morte.

Je n’ai pas versé une seule larme. Ils m’ont donné une lettre
qu’elle voulait que je lise :

« Mon cher fils, Je pense à toi tout le temps. Je suis désolé d’être
venue à Singapour et d’avoir fait peur à tes enfants. J’étais si
heureuse quand j’ai appris que tu venais ici pour la réunion
scolaire. Mais je ne pourrais pas me lever du lit cette fois ci,
pour venir te voir. Je suis désolée d’avoir été un fardeau constant
pour toi, pendant que tu grandissais. Tu vois….. quand tu étais
très petit, tu as eu un accident, et tu as perdu un oeil. En tant
que mère, je ne supportais pas de te voir grandir avec un seul
oeil. Alors je t’ai donné le mien. J’étais si heureuse de mon fils,
qui grandissait et qui voyait un tout nouveau monde pour moi, à ma
place, avec cet oeil.

Avec mon amour pour toi. »

Une fille aveugle se détestait tellement parce qu’elle était aveugle. Elle haïss…ait tout le monde sauf son ami un garçon. Il était toujours là pour elle.Un jour, elle lui dit: « Si seulement je pouvais voir le monde, je me marierais avec toi. »… Un jour, quelqu’un lui a fait le don de ses yeux, un donneur anonyme. Quand les bandages ont été enlevés, elle fût capable de tout voir incluant son ami le garçon.Il lui demanda: « Maintenant que tu peux voir le monde, te marieras-tu avec moi? »La fille le regarda et elle vit qu’il était aveugle aussi.La vue de ses paupières fermées la bouleversa. Elle ne s’attendait pas à ça. La pensée de le voir ainsi pour le reste de sa vie la mena à refuser de le marier. Son ami la quitta en pleurs et quelques jours plus tard lui écrivit une note qui disait : « Prends bien soin de tes yeux, ma chérie, car avant qu’ils deviennent les tiens, ils étaient les miens. »Voici comment le cerveau humain fonctionne souvent quand notre état change. Seulement très peu de personnes se rappellent ce qu’était la vie avant, et qui était toujours à leurs côtés dans les situations les plus difficiles et douloureuses…La vie est un CadeauAujourd’hui avant de dire un mot cruel — rappelle-toi de celui ou celle qui ne peut pas parler.Avant de te plaindre du goût de la nourriture — pensez à celui ou celle qui n’a rien à manger.Avant de te plaindre de ton mari ou de ta femme — pense à celui ou celle qui implore Dieu pour un compagnon ou compagne.Et quand tu es fatigué (e) et tu te plains de ton travail — pense à celui ou celle qui n’a pas d’emploi, la personne handicapée et ceux et celles qui aimeraient avoir un travail.Et quand les pensées déprimantes semblent t’abattre — mets un sourire sur ton visage et pense que : tu es en vie et tu es encore là

Attitude d’un gagnant

 

Sage rat :

Il était une fois un rat qui ne cesse d’apprendre tout autour de lui dans la forêt et sait beaucoup,

Puis un jour, les animaux de la forêt se sont réunis avec le lion, et le rat voulait enseigner à ses amis une leçon

Il a dit tout en confiance: Votre magisté, Excusez-moi,  je vous pris de me donner la parole et votre protection

Le lion dit: parle Brave rat,
Rat: Je peux vous tuer en un mois

Le lion se mit à rire en se moquant et dit: Toi, rat!
Rat: Oui! Donnez moi juste un délai d’un mois ..
Lion dit: OK, mais après un mois, je vais te tuer si tu arriveras pas à me tuer

Les jours passèrent dans la première semaine, le lion rit, mais il pouvait voir dans quelques-uns de ses rêves que le rat le tue, mais ne il ne donne pas grande importance à cela.

Passé la deuxième semaine et la peur commençait à gagner l’esprit du lion. La troisième semaine, la peur a longuement contrôlé les pensés du lion .. Et le même processus se répétait et le lion se demandait si le rat pouvait vraiment le tuer…

La quatrième semaine, le lion était très terrifié .. Les animaux sont entrés avec le rat sur le lion et grosse surprise!!! Il avait perdu son souffle ..

Moralité de l’histoire:
Le cerveau est comme un aimant, si vos pensées sont positives, il attire du positif et vice versa. Et ce que vous vivez aujourd’hui n’est que le résultat de vos actes passés. soyons donc positifs!!!


Le prix d’un miracle…

COMMENT LA FOI PURE ET SIMPLE D’UN ENFANT PEUT FAIRE S’ACCOMPLIR UN MIRACLE…

« C’est l’histoire vraie d’une fillette de huit ans, qui a beaucoup aimé et qui a cru que l’amour pouvait faire des merveilles.
Son petit frère, qu’elle adorait, se mourait d’une tumeur au cerveau. Et ses parents, qui n’étaient pas riches, avaient tout fait pour le sauver. Toutes leurs petites économies y étaient passées, et ils avaient dû changer de maison pour payer les factures d’hôpitaux ; rentrant un jour, épuisé, de ces tournées qui se terminaient toujours par un échec, le papa s’affala sur une chaise et dit à sa femme qui avait les larmes aux yeux : « Tu sais, chérie, je crois que c’est fini. Nous avons tout fait et nous sommes ruinés… Il y aurait peut-être une opération très chère qui pourrait le sauver. Mais c’est hors de prix et personne n’est prêt à nous avancer l’argent… »Et se rapprochant de sa femme, il ajouta, d’une voix qui commençait à s’enrouer : « Oui, c’est fini, tu sais. Seul un miracle pourrait le sauver. »

La petite fille, dans un coin de la pièce, suivait avec intensité cette conversation entre papa et maman. Elle ne saisissait pas tout car ils parlaient parfois à voix basse, mais elle savait que c’était la vie de son petit frère. « Seul un miracle pourrait le sauver. »

Elle grava ce mot qu’elle ne comprenait pas dans sa petite tête et s’esquiva de la pièce sans faire de bruit. Elle alla dans sa petite chambre, prit sa tirelire cachée dans un coin, vida les pièces sur son lit et les compta soigneusement : un dollar et onze cents. Elle referma la petite boîte, la mit dans sa poche, et quitta la maison sans faire de bruit. Elle se dirigea vers la pharmacie la plus proche. Lorsque son tour vint, elle s’approcha du comptoir, se hissa sur la pointe des pieds et devant le pharmacien étonné, elle aligna ses petites pièces sur le comptoir.

« Qu’est-ce que c’est que tout ça ? Qu’est-ce que tu veux ma petite ? »
— C’est pour mon petit frère, André, Monsieur le pharmacien. Il est très, très malade et je viens acheter un miracle.
— Que racontes-tu ? dit le pharmacien.
— Il s’appelle André, et il a un gros bouton qui lui pousse dans la tête, et papa a dit à maman que c’était fini et qu’il fallait un miracle pour le sauver. Vous savez, je l’aime beaucoup ; c’est pour ça que je suis venue : pour acheter un miracle.

Le pharmacien répondit, avec un petit sourire attristé :
— Tu sais, ma petite, nous ne vendons pas de miracles ici…
— Mais vous savez, si ce n’est pas assez, je vais essayer de ramasser un peu plus d’argent, ça coûte combien un miracle ? »

Il y avait, dans la pharmacie, un monsieur grand et bien habillé, qui écoutait cette étrange conversation. Il se rapprocha de la petite, qui était en train de ramasser ses petites pièces, et avait les larmes aux yeux.

« Pourquoi pleures-tu ma petite ? Qu’est-ce qui se passe ?
— Monsieur le pharmacien ne veut pas me vendre un mlracle et me dire combien ça coûte… C’est pour mon petit frère André, qui est très malade. Maman a dit qu’il faudrait une opération, mais papa a dit qu’on ne pouvait pas payer ça (ça coûte trop cher) et qu’il faudrait un miracle pour le sauver. C’est pour ça que j’ai porté tout ce que j’avais.
— Combien as-tu ?
— Un dollar et onze cents… mais vous savez, murmura-t-elle d’une voix à peine audible, je peux trouver un peu plus.
Le monsieur sourit :
— Bon, tu sais, je ne crois pas que ce soit nécessaire ; un dollar et onze cents, c’est exactement le prix d’un miracle pour ton petit frère ! »

Il prit la somme dans une main, et dans son autre main, saisit doucement la petite main de la fillette :
« Amène-moi chez toi, petite. Je voudrais voir ton petit frère et aussi papa et maman, et voir avec eux si je puis trouver le petit miracle dont vous avez besoin. »
Et la petite fille et le grand monsieur partirent doucement, main dans la main.

Le monsieur bien habillé n’était autre que le Dr Carlton Amstrong, le grand chirurgien de neuro-surgery. Il opéra l’enfant et André rentra à la maison quelques semaines plus tard complètement guéri.

« Cette opération, murmura la maman, est un vrai miracle. Je me demande combien cela aurait pu coûter… »

La petite fille sourit sans rien dire. Elle savait, elle, combien le miracle avait coûté… un dollar et onze cents… plus, bien sûr, l’amour et la foi d’une enfant. »

Histoire qui s’est authentiquement déroulée en Inde, et rapportée par le Père Ceyrac (in « Mes racines sont dans le Ciel », Éd. Presses de la Renaissance, 2004).
Le Père Ceyrac conclut cette anecdote bouleversante avec cet hymne de la Liturgie des Heures :

Si l’espérance t’a fait marcher
plus loin que ta peur,
Tu auras les yeux levés.
Alors tu pourras voir
jusqu’au soleil de Dieu.

Un jour, un roi convoqua ses trois ministres et demanda à chacun de prendre un sac et d’aller le remplir des fruits et cultures du jardin du château et il leur demanda de ne pas demander d’aide ni de déléguer cette mission. Les ministres s’étonnèrent de cette mission mais s’exécutèrent.

Le premier d’entre eux tenait a gagner la « bénédiction » du roi et remplit son sac de tous et des meilleurs fruits et cultures

Le deuxième ministre était convaincu que le roi se fichait de ces cultures et n’en avait pas besoin et se contenta de remplir doucement son sac en y mettant les mures et les pas mures

Enfin, le troisième ministre s’est dit que le roi n’allais même pas
vérifier le contenu du sac et se contenta de le remplir brindilles et de feuilles d’arbres.

Le lendemain, convoqua les trois ministres accompagnés de leurs sacs.

Une fois réunis, le roi ordonna a ses soldats d’emprisonner ses trois ministre chacun a part avec son sac pendant trois mois dans un endroit ou personne ne peut accéder et qu’on leur interdise l’eau et la nourriture

Le premier ministre mangea les fruits qu’il a récolté jusqu’à se qu’il finit sa peine

Le deuxième ministre vit les trois mois dans la gène et le manque ne se nourrissant que parmi les quelques cultures et fruits mangeables qu’il a récolté

Et le troisième ministre mourut de faim avant la fin de sa peine

***
Maintenant pose-toi la question : à quel ministre tu ressemble?
Dis toi que tu es dans le jardin de la vie, tu as encore la liberté de récolter des bonnes œuvres ou des mauvaises, mais demain quand Le Roi des roi ordonnera qu’on t’emprisonne seul dans cette prison sombre et étroite qu’est ta tombe, ne crois-tu pas que ça ne sera que tes bonnes œuvres faites dans la vie ici-bas qui vont t’être utiles ??

Aujourd’hui est le premier jour de ce qui reste de ta vie…

Alors veille a faire de bonnes œuvres sur terre afin d’en récolter les bénéfices dans l’au-delà parce que le regret ne servira à rien la-bas ….

Un vieux charpentier s’apprêtait à prendre sa retraite.

Il dit à son patron qu’il souhaitait abandonner la construction et se consacrer à sa famille.

Sa petite retraite lui permettait de vivre agréablement, à condition de faire attention.

Son patron fut désolé de voir un si bon travailleur
le quitter et lui demanda, comme un service personnel, s’il
pouvait construire une dernière maison.

Le charpentier répondit oui,
mais on pouvait voir que le cœur n’y était plus.
Il utilisait des matériaux inférieurs et les finitions
laissaient à désirer.
Dommage de finir sa carrière de cette façon!

Lorsque le charpentier finit son travail et
que le constructeur vint pour inspecter la maison,
il remit la clef de la porte principale à son employé.

« Cette maison est à toi », dit-il,
« en reconnaissance pour toutes ces années de bonne collaboration ».

Quel choc! Quelle honte!
Si seulement il avait su qu’il construisait une maison
qu’il allait lui-même habiter…
il l’aurait faite bien différemment.
Il allait devoir vivre dans
la maison qu’il avait construite sans amour, sans âme.

Il en va de même pour nous tous.
Nous construisons trop souvent nos vies de manière distraite,
sans amour. Pour certaines choses importantes
nous ne donnons pas le meilleur de nous-mêmes.

Ensuite nous sommes choqués de nous rendre compte
que nous avons à vivre dans la maison que nous avons construite.

Si nous y avions pensé plus tôt,
nous l’aurions construite différemment.

Pensez à vous comme à un charpentier.
Pensez à vos vies comme à votre maison.
A chaque fois que vous donnez un coup de marteau,
plantez un clou, érigez un mur… construisez avec sagesse.

Il y a de grandes chances pour que ce soit la seule vie
que vous construirez de cette façon.
Même s’il ne vous restait qu’un seul jour à vivre,
ce jour mériterait d’être vécu dans l’obéissance, le bien être et le respect de vous-même.

Il y a une plaque sur le mur de cette maison imaginaire qui dit
« La vie est un projet que vous bâtissez vous-même ».

Qui peut le dire plus clairement?
Votre vie d’aujourd’hui est le résultat de vos attitudes et de vos choix passés.
Votre vie de demain sera le résultat
des attitudes et des choix que vous faites… aujourd’hui!

Lors d’un examen de physique, il y avait la question suivante : « Comment mesurer la hauteur d’un gratte-ciel avec un baromètre ? La réponse attendue devait expliquer que l’on doit mesurer la pression en bas de l’immeuble et celle d’en haut. Une réponse a énervé le professeur de physique qui corrigeait les copies de l’examen et le poussa à mettre un zéro sans même continuer de corriger le reste des réponses. Cette réponse disait : « J’attache le baromètre à un fil et je le descend du haut de la tour. » Le professeur était fâché, car c’était une méthode primitive. L’étudiant demanda réparation, car sa réponse était juste. Un comité fut nommé pour juger de l’affaire. Il décida que la réponse était 100 pour cent vrai, mais ne prouvait pas que l’étudiant connaissait la physique, ils lui donnèrent une deuxième chance de passer son examen et ils lui reposèrent la même question à l’orale, l’étudiant leur dit : « J’ai plusieurs réponses, toutes vraies, mais je ne sais pas laquelle choisir. On peut jeter le baromètre du gratte ciel et mesurer le temps qu’il met pour arriver au sol et en suivant la loi de la gravité on connaîtra le résultat. S’il y a du soleil, on mesure la longueur de l’ombre du baromètre et celle du gratte-ciel et en utilisant la règle de trois, on peut avoir la hauteur. Pour nous faciliter la vie, la meilleure solution serait d’offrir le baromètre au gardien et de lui demander quelle est la hauteur de l’immeuble. Si on veut se compliquer la vie, on mesure la pression atmosphérique sur le toit et en bas de l’immeuble. Le comité attendait cette dernière réponse tandis que l’élève trouvait que c’était la plus mauvaise. L’étudiant était Niels Bohr (1885 – 1962, né à Copenhague, au Danemark.) qui fut prix Nobel de physique en 1922.

Moralité de l’histoire : pour résoudre un problème, il n’y a pas forcément qu’une méthode. On ne doit pas imposer une façon de penser.

Un mari est allé se plaindre d’un défaut de sa femme à un homme pieux.

Ce dernier lui demanda :

-Qui lave ton linge ?
-Ma femme, répondit -il.
Qui prépare ton repas ?
-Ma femme, répondit -il.
Qui veille sur ta maison et tes biens ?
-Ma femme, répondit -il.
Qui a quitté ses parents et sa famille pour être la compagne de ta vie ?
-Ma femme, répondit -il.
Qui te console quand tu es dans la tristesse et la peine ?
-Ma femme, répondit -il.
Qui s’occupe de toi quand tu es malade ?
-Ma femme, répondit -il.

-Ta femme te demande-t-elle un salaire ou une rétribution pour tous ces services ?
-Non.

-Tu lui as trouvé un défaut, mais tu n’as pas vu toutes ses qualités ?!

C’est l’histoire d’un jeune homme qui percuta une vieille dame dans la rue avec sa bicyclette. Au lieu de lui présenter ses excuses et de l’aider à se relever, il se mit à rire et continua sa route. La pauvre femme le regarda s’éloigner et l’appela : « un instant mon garçon, vous venez de faire tomber quelque chose. » Il fit demi-tour rapidement et se mit à chercher sans rien trouver… « Ne vous fatiguez pas à chercher. Ce que vous venez de perdre et que vous ne retrouverez jamais, continua-t-elle : votre humanité. » La vie ne vaut rien si elle est dépourvue de respect, de savoir-vivre et d’empathie.