L’histoire du cordon violet

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Un prof avait l’habitude, en fin d’études, de donner un cordon violet sur lequel on pouvait lire « Qui je suis fait toute la différence » imprimé en lettres dorées.

Il disait à chaque étudiant à cette occasion pourquoi il  l’appréciait et pourquoi le cours était différent grâce à lui.

Un jour, il a l’idée d’étudier l’effet de ce processus sur la  communauté et envoie ses étudiants remettre des cordons à ceux qu’ils connaissent et qui « font la différence ».

Il leur donne 3 cordons en leur demandant ceci :

« Remettez un cordon violet à la personne de votre choix en lui  disant pourquoi elle fait la différence pour vous, et donnez-lui  deux autres cordons pour qu’elle en remette un elle-même et ainsi  de suite. Faites-moi ensuite un compte-rendu des résultats. »

L’un des étudiant s’en va, et va le remettre à son patron  (car il travaillait à mi-temps) un gars assez grincheux, mais  qu’il appréciait.

« Je vous admire beaucoup pour tout ce que vous faites,  pour moi vous êtes un véritable génie créatif et un homme juste. Accepteriez-vous que j’accroche ce cordon violet à votre veste en témoignage de ma reconnaissance ? »

Le patron est surpris, mais répond  « Eh bien, euh, oui, bien  sûr… »

Le garçon continue « Et accepteriez-vous de prendre des 2 autres cordons violets pour les remettre à quelqu’un qui fait toute la différence pour vous, comme je viens de le faire ? C’est pour une enquête que nous menons à l’université. »

« D’accord »

Et voilà notre homme qui rentre chez lui le soir, son cordon  à la veste. Il dit bonsoir à son fils de 14 ans, et lui raconte :  « Il m’est arrivé un truc étonnant aujourd’hui. Un de mes employés m’a donné un cordon violet sur lequel il est écrit, tu peux le voir, « Qui je suis fait toute la différence ». Il m’en a donné un autre à remettre à quelqu’un qui compte beaucoup pour moi. La journée a été dure, mais en revenant je me suis dit qu’il y a  une personne, une seule, à qui j’aie envie de le remettre.

Tu vois, je t’engueule souvent parce que tu ne travailles pas  assez, que tu ne pense qu’à sortir avec tes copains et que ta chambre est un parfait foutoir… mais ce soir je voulais te dire  que tu es très important pour moi. Tu fais, avec ta mère, toute  la différence dans ma vie et j’aimerais que tu acceptes ce cordon  violet en témoignage de mon amour. Je ne te le dis pas assez, mais tu es un garçon formidable ! »

Il avait à peine fini que son fils se met à pleurer, pleurer, son corps tout entier secoué de sanglots.

Son père le prend dans ses bras et lui dit « Ca va, ça va…  est-ce que j’ai dit quelque chose qui t’a blessé ? »

« Non papa… mais.. snif… j’avais décidé de me suicider demain. J’avais tout planifié parce que j’étais certain ue tu  ne m’aimais pas malgré tous mes efforts pour te plaire.  Maintenant tout est changé… »

 

Si nous pouvions déclarer à ceux que nous côtoyons le plus souvent un peu d’affection seulement pour leur dire qu’il ne nous sont pas indifférents, ce serait un véritable cadeau. La formule employée ici est assez étrange : dites lui que pour vous « il fait la différence ». Cela signifie surtout, dites lui qu’il compte pour vous et que vous avez de l’affection pour lui. Il y a quelque chose de plus dans la déclaration d’un sentiment que dans le sentiment lui-même. C’est un sujet du bac : en quoi le fait de dire un sentiment est-il quelque chose de plus que d’exprimer un sentiment sans le dire. C’est donc toute la question de savoir ce que devient le sentiment quand il est exprimé. L’amour a-t-il besoin de se dire? L’amour pour être n’a besoin que de se donner. Il peut fort bien exister dans le silence et être de l’amour. Cependant l’amour qui se dit se partage, déclarer, c’est ouvrir à l’espace de la parole l’affection que l’on porte. L’inverse peut-être trompeur. Il ne suffit pas de « dire » je t’aime » pour que cela soit une preuve d’amour, mais quand on aime, le dire ne gâche rien, bien au contraire, cela ouvre au cœur l’espace de la communication.

Que ferais-tu dans cette situation ?

Une compagnie qui recrutait du personnel, à posé la question suivante a presque 200 candidats (autant des hommes que des femmes) et leur a demandé une réponse écrite:

De retour à la maison, dans ta voiture sport, en plein milieu d’une terrible tempête, tu passes devant un arrêt de bus et tu y vois 3 personnes :

a) Une dame âgée qui est gravement malade et que si elle n’arrive pas à l’hôpital à temps, elle mourra.

b) Un médecin, bon ami à toi, qui t’a sauvé la vie il y a quelques années.

c) L’être le plus beau que tu n’aies jamais eu la chance de rencontrer, la personne à qui tu as toujours rêvé et avec laquelle tu serais disposé à passer le reste de ta vie.

Comme ton auto est du genre sport, tu peux seulement amener un passager. Qu’est-ce que tu ferais?

Ceci est un problème de personnalité….. Réfléchis comme il faut :

a) La vie de la dame âgée est en jeu.

b) Le médecin qui t’a sauvé la vie, tu pourrais toujours le rétribuer d’une manière ou d’une autre.

c) Mais, comment ferais tu pour ne pas perdre cet amour parfait?

Des 200 candidats, seulement un à obtenu le travail et sa réponse tu la trouveras plus bas, mais avant réfléchis à ce que tu ferais si tu serais dans cette situation et ensuite, compare-la avec la réponse de l’unique personne qui à été engagée par l’entreprise.

Voici la réponse de la seule personne qui a fait un excellent choix :

«Je donne les clés de mon auto au médecin pour qu’il amène la dame âgée à l’hôpital et je reste pour attendre l’autobus avec la personne de mes rêves»…

Apprends à voir les problèmes et les situations difficiles d’un autre point de vue. Ainsi, tu commences par faire le nécessaire. Ensuite, tu fais ton possible et, de cette façon, tu feras l’impossible !

Chiots à vendre

petit chiot

Le gérant d’une boutique clouait une pancarte au-dessus de sa porte ou l’on pouvait lire : « Chiots à vendre ».

Les affiches ont la faculté d’attirer les enfants. Bientôt un petit garcon fut séduit par l’annonce, et demanda: «À quel prix vendez-vous ces chiots ?». Le propriétaire du magasin répondit:  «Autour de $30-$50».

Le petit garçon chercha dans sa poche et sorti de la monnaie… «J’ai $2.37, est-ce que je peux les regarder ?». Le propriétaire du magasin souri et siffla. Sa chienne, nommée Lady, courut hors du chenil, vers l’allée de son magasin, suivie par cinq petits chiots. Mais un des chiots restait loin derrière… Immédiatement, le petit garçon sélectionna le chiot boiteux qui reste en arrière. Il demanda: «De quoi souffre ce petit chien ?». L’homme expliqua qu’à sa naissance, le vétérinaire lui annonça que le chiot avait une malformation de la hanche qui le laisserait boiter pour le restant de sa vie.

Le petit garçon devint vraiment enthousiasmé et dit:   «C’est le chiot que je veux acheter !».

L’homme répondit «Non, vous ne voulez pas acheter ce petit chien, si vous le voulez vraiment, je vous le donne !!!».   Le petit garçon devint bouleversé.

Il regarda l’homme droit dans les yeux et dit: «Je ne veux pas que vous me le donniez». Il vaut tout autant que les autres chiens, et je vous paierai le prix plein. En fait je vous donnerai $2.37 maintenant et 50 cents chaque mois jusqu’à ce que j’aie fini de le payer.

L’homme a contrecarré,  «Vous ne voulez pas acheter ce chiot? Vraiment !!. Il ne sera jamais capable de courir, de sauter et de jouer. Aimez d’autres chiots». Alors, le petit garçon s’est penché vers le bas, il a enroulé la manche de son pantalon et a montré une jambe malade, tordue estropiée, supportée par une grande tige de métal.

Il a regardé l’homme et a dit :

 

« Bien, je ne cours pas très bien et le petit chiot aura besoin de quelqu’un qui comprenne». L’homme mordait sa lèvre inférieure maintenant. Des larmes lui piquaient ses yeux…  Il a souri et a dit «Fils, j’espère et prie que chacun de ces chiots aura un propriétaire tel que toi».

DANS LA VIE, PEU IMPORTE QUI VOUS ÊTES, SI QUELQU’UN VOUS APPRECIE POUR CE QUE VOUS ÊTES, VOUS ACCEPTE, ET VOUS AIME INCONDITIONNELLEMENT. UN VRAI AMI EST CELUI QUI SE RAPPROCHE QUAND LE RESTE DU MONDE S’ELOIGNE…

l’amour…

La Richesse passa près de l’Amour dans un bateau luxueux et l’Amour lui dit : « Richesse, peux-tu m’emmener ? »

 

« Je ne le peux pas car j’ai beaucoup d’or et d’argent dans mon bateau et il n’y a pas de place pour toi. »

 

Alors l’Amour décida de demander à l’Orgueil qui passait dans un magnifique bateau : « Orgueil, je t’en prie, emmène moi. » « Je ne peux pas t’emmener, Amour, tu pourrais détruire la perfection qui règne dans mon bateau. »

 

Ensuite l’Amour demanda à la tristesse qui passait par là : « Tristesse, je t’en prie, emmène moi. » « Oh Amour » répondit la Tristesse « je suis si triste que j’ai besoin de rester seule. »

 

Ensuite la Bonne humeur passa devant l’Amour, mais elle était si heureuse qu’elle n’entendit pas qu’on l’appelait.

 

Soudain une voix dit : « Viens, Amour, je t’emmène avec moi. » C’était un vieillard qui l’avait appelé. L’Amour était si heureux et si rempli de joie, qu’il en oublia de lui demander son nom. Arrivés sur la terre ferme, le vieillard s’en alla.

 

L’Amour se rendit compte combien il lui était redevable et demanda au Savoir: « Savoir, peux tu me dire qui est celui qui m’a aidé ? » « C’est le Temps » répondit le Savoir »

 

« Le Temps ? », demanda l’Amour, « Pourquoi le Temps m’aurait-t’il aidé ? » Le Savoir plein de sagesse répondit :

 

« Parce que seul le Temps est capable de comprendre combien l’Amour est important dans la vie ».

Pourquoi la femme pleure-t-elle?


Un petit garçon demande à sa mère: « Pourquoi pleures-tu? »

« Parce que je suis une femme » lui répond-elle.

« Je ne comprends pas » dit-il.

Sa mère l’étreint et lui dit « Et jamais tu ne réussiras. »

Plus tard le petit garçon demanda à son père : « Pourquoi maman pleure-t-elle sans raison ? »

« Toutes les femmes pleurent sans raison » fut tout ce que son père pu lui dire.

Le petit garçon grandit et devint un homme, toujours se demandant pourquoi les femmes pleurent aussi facilement. Finalement il demanda à un sage!

Le sage lui fit signe:
« Quand Dieu a fait la femme, elle devait être spéciale. Ses épaules devaient être assez fortes pour porter le poids du monde; mais quand même assez douces pour être confortables ».

« Il lui a donné une force intérieure pour endurer les naissances et les rejets qui viennent souvent de ses enfants. »

« Il lui a donné la force pour lui permettre de continuer quand tout le monde abandonne et prendre soin de sa famille en dépit de la maladie et de la fatigue, sans se plaindre. »

« Il lui a donné la sensibilité pour aimer ses enfants dans n’importe quelle
circonstance quand ces derniers l’ont blessée très durement. »

« Il lui a donné la force de supporter son mari dans ses défauts. »

« Il lui a donné la sagesse de savoir qu’un bon époux ne blesse jamais sa femme, mais que quelques fois il teste sa force et sa détermination à demeurer à ses côtés sans faiblir. »

« Et finalement Il lui a donné une larme à verser. Cela est exclusivement à son usage personnel quand elle en ressent le besoin. »

« Tu vois mon fils, la beauté d’une femme n’est pas dans les vêtements qu’elle porte, ni dans son visage, ou dans la façon de se coiffer les cheveux. La beauté d’une femme réside dans ses yeux.

C’est la porte d’entrée de son coeur, la place où l’amour réside. Et c’est souvent par ses larmes que tu vois passer son coeur. »

Est-ce que la vitesse à laquelle nous vivons nous fait passer à côté de grandes choses ?

Joshua Bell joue du violon dans le métro de Washington

Par un froid matin de janvier, un homme assis à une station de métro de Washington DC a commencé à jouer du violon. Il a joué six morceaux de Bach pendant environ 45 minutes. Pendant ce temps, comme c’était l’heure de pointe, il a été calculé que des milliers de personnes sont passées par la gare, la plupart d’entre elles en route vers leur travail.

Trois minutes se sont écoulées et un homme d’âge moyen a remarqué qu’un musicien jouait. Il a ralenti son rythme, a arrêté pendant quelques secondes, puis se précipita pour respecter son horaire.

Une minute plus tard, le violoniste a reçu son premier dollar : une femme jeta de l’argent dans l’étui de son violon et, sans s’arrêter, a continué son chemin.

Quelques minutes plus tard, quelqu’un s’adossa au mur pour l’écouter, mais l’homme a regardé sa montre et a repris sa marche. Il est clair qu’il était en retard au travail.

Celui qui a apporté le plus d’attention à la prestation musicale fut un petit garçon de 3 ans. Sa mère l’a tiré vers elle, mais le garçon s’est arrêté pour regarder le violoniste.

Enfin, la mère a tiré plus fort et l’enfant a continué à marcher en tournant la tête tout le temps. Cette action a été répétée par plusieurs autres enfants. Tous les parents, sans exception, les forcèrent à aller de l’avant.

Durant les 45 minutes que le musicien a jouées, seulement 6 personnes se sont arrêtées et sont restées à l’écouter pendant un certain temps. Environ 20 lui ont donné l’argent, mais ont continué à marcher à leur rythme. Il a recueilli 32 $. Quand il finit de jouer et que le silence se fit, personne ne le remarqua. Personne n’applaudit, ni n’exprima quelque reconnaissance que ce soit.

Personne ne savait cela, mais le violoniste était Joshua Bell, l’un des meilleurs musiciens au monde. Il a joué l’un des morceaux les plus difficiles jamais écrits, avec un violon une valeur de 3,5 millions de dollars.

Deux jours avant sa prestation dans le métro, Joshua Bell joua à guichets fermés dans un théâtre de Boston où un siège coûtait en moyenne 100 $.

C’est une histoire vraie. Joshua Bell joua effectivement incognito dans la station de métro

Cet événement a été organisé par le Washington Post dans le cadre d’une expérience sur la perception, les goûts et les priorités des gens. L’énoncé était: dans un environnement commun à une heure inappropriée sommes-nous en mesure de percevoir la beauté?

Nous arrêtons-nous pour l’apprécier? Savons-nous reconnaître le talent dans un contexte inattendu?

L’une des conclusions possibles de cette expérience pourrait être: si nous n’avons pas un moment pour nous arrêter et écouter un des meilleurs musiciens au monde jouant la meilleure musique jamais écrite, combien d’autres choses manquons-nous ?

le médecin

un médecin est entré à l’hôpital dans la hâte après avoir été appelé pour une chirurgie urgente. Il a répondu à l’appel, a changé dès que possible ses vêtements et est allé directement au bloc de chirurgie. Là, Il trouve le père du garçon qui fait des va-et-vient dans le hall.

En voyant le médecin arriver, le papa hurla : « Pourquoi avez-vous pris tout ce temps pour venir ? Vous ne savez pas que la vie de mon fils est en danger ? Vous n’avez pas le sens des responsabilités ? »

Le médecin sourit et dit : « Je suis désolé, je n’étais pas dans l’hôpital et je suis venu le plus rapidement possible après avoir reçu l’appel… Et maintenant, je souhaite que vous vous calmiez pour que je puisse faire mon travail ».

« Me calmer ? Et si c’était votre fils, vous calmeriez-vous ? Si votre propre fils meurt maintenant que ferez-vous ? » dit le père avec colère.

Le médecin sourit encore et répondit : « Je dirai… De la poussière nous sommes venus et épousseter nous retournerons, béni soit le nom de Dieu. Les médecins ne peuvent pas prolonger des vies. Allez et intercédez pour votre fils, nous ferons de notre mieux par la grâce de Dieu ».

« Donner conseil quand nous ne sommes pas concernés, c’est si facile », murmura le père.

La chirurgie a pris quelques heures après lesquelles le médecin sortit heureux. « Merci Dieu ! Votre fils est épargné. Si vous avez n’importe quelle question, demandez à l’infirmière ! »

« Pourquoi est-il si arrogant ? Il ne pouvait pas attendre quelques minutes pour que je me renseigne sur l’état de mon fils ? », a commenté le père en voyant l’infirmière après que le médecin soit parti.

L’infirmière répondit, les larmes descendant son visage : « Son fils est mort hier dans un accident de la route, il était à l’enterrement quand nous l’avons appelé pour la chirurgie de votre fils. Et maintenant qu’il a épargné la vie de votre fils, il est parti courir pour finir l’enterrement de son fils »..

Moralité : Ne JAMAIS JUGER PERSONNE parce que vous ne savez pas ce qu’elle traverse en ce moment.

La soupe de cailloux

Pendant une grande famine du moyen-âge, un homme arriva dans un petit village.

On lui dit “Passez votre chemin, Monsieur il n’y a rien à manger ici”.  Les habitants cachaient leurs réserves de nourriture et ne voulaient pas les partager.

“Oh mais je ne demande rien à manger, j’invite tous ceux qui le veulent à manger de la bonne soupe ce soir”.

Et, joignant le geste à la parole, il découvrit un grand chaudron. Il demanda un coup de main pour le sortir de son chariot. Il était incroyablement lourd.

“Il y a tout ce qu’il faut là-dedans dit-il, j’ai juste besoin d’eau”.

On lui apporta de l’eau et il l’installa au-dessus d’un grand feu.

La nouvelle fit bientôt le tour du village.

Tout le monde regardait de derrière sa fenêtre.

L’homme demanda: “Savez-vous qui pourrait nous donner un peu de choux? C’est tellement meilleur avec des choux!”

Un jardinier s’avança: il avait un choux qu’il avait caché. Il le donna volontiers  pour avoir autant de soupe qu’il en voulait.

“Maintenant, si nous avions un morceau de bœuf salé, cela ferait une soupe de roi!”

Le boucher s’exécuta, trouvant un morceau de bœuf salé qu’il avait dans sa réserve.

Oignons, patates, carottes, champignons… il continua à “améliorer” ainsi sa soupe
magique.

Quand vint l’heure de la déguster, elle était délicieuse et tout le monde en eut
le ventre plein.

Et l’homme passa au village suivant…

 

Morale de l’histoire :

Ce que l’on ne peut pas faire seul, on peut le réaliser à plusieurs. Et en participant, en partageant ce qu’on a avec les autres, loin de s’appauvrir, on s’enrichit.

Le père, l’enfant et l’âne

Un jour, un enfant pose une question à son père :

– Dis papa, quel est le secret pour être heureux ?

 

Ne sachant que répondre à cette interrogation, le père propose à son fils de le suivre. Ils sortent de la maison, le père sur le vieil âne et le fils suivant à pied. Les gens du village accusent :

– Son père est un père indigne ! Il monte son âne quand son fils le suit à pied !

– Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison, dit le père.

 

Le lendemain ils sortent de nouveau, mais cette fois le père installe son fils sur l’âne et l’accompagne en tenant la bride. Les voisins disent alors :

– En voilà un fils indigne : il ne respecte pas encore son vieux père et le laisse aller à pied !

– Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison, dit le père.

 

Le jour suivant ils s’installent tous les deux sur l’âne puis quittent la maison. Les villageois critiquent à nouveau le père et le fils :

– Ils ne respectent pas leur bête à la surcharger ainsi !

– Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.

 

Le jour suivant, ils partirent en portant eux-mêmes leurs affaires, l’âne trottinant derrière eux. Cette fois les gens du village y trouvèrent encore à redire :

– Voilà qu’ils portent eux-mêmes leurs bagages maintenant ! C’est le monde à l’envers !

– Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.

 

Arrivés à la maison, le père dit à son fils :

– Tu me demandais l’autre jour le secret du bonheur. Peu importe ce que tu fais, il y aura toujours quelqu’un pour y trouver à redire.

FAIS CE QUE TU AIMES ET TU SERAS HEUREUX !!

Les cinq qualités du crayon

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Le petit garçon observait son grand-père en train d’écrire une lettre. A un moment donné, il demanda : « Est-ce que tu racontes une histoire qui nous est arrivée ? Et est-ce que par hasard cette histoire parle de moi ? »

Le grand-père arrêta d’écrire, sourit, et dit à son petit-fils : « Oui, ça parle de toi, c’est vrai. Mais le crayon dont je me sers est plus important que les mots que j’écris. J’espère que tu lui ressembleras quand tu seras grand ? »

Le garçon examina l’objet avec curiosité, mais ne lui trouva rien de particulier. « C’est un crayon comme tous les crayons que j’ai vu dans ma vie ! »

« Tout est dans la façon de regarder les choses. Ce crayon recèle cinq qualités qui, si tu parviens à les posséder pour toi-même, feront de toi un être en paix avec le monde. »

« Première qualité : tu peux faire de grandes choses, mais tu ne dois jamais oublier qu’il existe une main qui guide nos pas. Cette main nous l’appelons Dieu. Et il doit toujours pouvoir la diriger selon sa volonté. »

« Seconde qualité : de temps en temps, il me faut arrêter d’écrire pour utiliser un taille-crayon. Cela fait un peu souffrir le crayon, mais il en sort plus affûté. Ainsi faut-il que tu apprennes à endurer certaines douleurs, car elles feront de toi une meilleure personne.»

« Troisième qualité : le crayon te laisse toujours la possibilité d’utiliser une gomme pour effacer ce qui ne va pas. Tu dois comprendre que d’effacer quelque chose que l’on a fait n’est pas nécessairement mal, et que ça peutêtre quelque chose d’important pour rester sur le droit chemin.

« Quatrième qualité : ce qui importe vraiment dans ce crayon, ce n’est pas le bois ou la forme extérieure, ce qui compte c’est la mine à l’intérieur. Alors, fait bien attention, toujours, à ce qui se passe en toi. »

« Enfin, cinquième qualité du crayon : il laisse toujours une trace. De la même façon, sache que tout ce que tu feras dans ta vie laissera des traces et qu’il faut essayer d’être conscient de chacun de tes actes.