Suis ta route

Allez, suis ta route, et surtout ne regarde pas en arrière..
Suis ton intuition et ton cœur, ils te permettront d’avancer..

Tu y trouveras des obstacles tout au long, tu trébucheras,
Tu tomberas, mais relève-toi,
et surtout ne regarde pas en arrière..

Tu dois te construire une base solide,
tu te tireras d’affaire..
Ne fais rien dans la colère, tu retomberais à nouveau..

Et pendant ton parcours fais-toi des amis,
Et chaque jour deviendra extraordinaire,
puisque cet ami te tiendra la main…
t’ouvrira son coeur

Si tu lâches prise, reprends courage,
mais surtout ne regarde pas en arrière..
Le chemin que tu laisses derrière toi est sûrement parsemé de chagrins et de désespoir,
Devant toi se trouve le soleil, le bonheur, mais surtout la Vie..

Chaque pierre que tu auras contournée dans ce chemin,
Deviendra une magnifique fleur,
Qui s’épanouira sur le bord de la route
Et dégagera le parfum de la fraternité et la douceur humaine

Sois tolérant et compréhensif, tu ne perdras pas l’équilibre..
Accepte-toi tel que tu es, ne te sous-estime pas…
Aime-toi…

Un pas de plus, suis ta route
mais surtout ne regarde pas en arrière
Essuie tes larmes, fais chanter ton cœur, souris à la Vie…
Ta rancœur disparaîtra et ton esprit s’apaisera,
Reprends courage , mais surtout poursuis ta route..

Ne te retourne pas et dis-toi que pour toi
et pour le monde entier,
ces moments difficiles et inévitables restent derrière,
que cette route devient le chemin du bonheur..

Que tu sèmeras à ton tour…
Regarde ces magnifiques rayons de soleil,
Ils sont pour toi !

Poursuis ta route…

Auteur inconnu

8 règles pour apprendre à dire non

8 règles pour apprendre à dire non

Dire non, ça s’apprend. Parce que votre handicap n’est pas insurmontable, voici huit conseils pour vous aider à vous affirmer progressivement.

Ecoutez-vous
Votre ami qui ne rend jamais ce qu’on lui prête vient encore vous demander s’il peut vous emprunter un DVD. Vous sentez alors monter en vous l’angoisse et la contrariété, car vous savez que si vous acceptez, vous ne récupérerez pas votre bien. Soyez donc attentive à ces sentiments qui vous envahissent, ils vous permettront de prendre la bonne décision. Si vous avez l’impression de vous sacrifier, d’aller contre votre volonté, vous devez refuser. De même, sachez quelles sont vos priorités et vos limites, et tenez-en compte avant d’accepter de rendre un service qui vous coûte.

Prenez votre temps
Ne vous précipitez pas pour répondre à votre interlocuteur. N’hésitez pas à prendre le temps de la réflexion. C’est un bon moyen de lui signifier que ce n’est pas gagné d’avance, que sa requête vous pose problème. Vous ne répondrez pas sous la pression et vous pourrez ainsi réfléchir calmement à votre réponse, au lieu d’accepter sur le champ parce que vous ne savez pas comment lui dire non.

Cessez de vous justifier
« Non, désolée, je ne peux pas venir dîner chez toi samedi, je crois que je couve une mauvaise grippe » : qui n’a jamais inventé une telle excuse pour éviter une soirée à laquelle on n’a pas envie d’aller ? Au risque de se mettre dans une situation délicate. Par peur de blesser l’autre, vous avez souvent tendance à vouloir justifier votre refus, comme si vous n’étiez pas convaincu de sa légitimité. C’est en quelque sorte une façon de plaider coupable, alors que vous êtes tout à fait en droit de dire non. Au lieu de mentir, ou de vous lancer dans des longs discours et de sombres explications, contentez-vous d’un simple « Non, je ne peux pas ».

Prenez du recul
Ne culpabilisez pas ! Ce n’est pas parce que vous déclinez une invitation que votre ami sera blessé. Peut-être un peu déçu à la rigueur. Tâchez donc de comprendre et d’analyser ce qui est réellement en jeu dans votre relation, au lieu de dramatiser et d’imaginer le pire. Prenez conscience que votre entourage ne va pas vous rejeter et vous critiquer parce que vous n’êtes pas à leur service. Sachez d’ailleurs que les personnes qui ne savent pas dire non ne sont pas mieux perçues que les autres, bien au contraire.

Usez de tact
Dire non, c’est bien, à condition de trouver le ton et la forme adaptée. Un non sec, brutal, énoncé avec agressivité sera forcément mal pris par votre interlocuteur. Exprimez-vous avec diplomatie et empathie : « je désolée, mais je n’ai pas le choix ». Votre refus s’en trouvera ainsi adouci.

Tenez bon
Suite à votre refus, votre interlocuteur risque d’insister, de trouver mille et une bonnes raisons pour vous d’accepter. Ne vous laissez pas déstabiliser et influencer par ses contre-arguments. Soyez claire et ferme. Répétez votre refus aussi longtemps que nécessaire, sans chercher de nouvelles justifications. Il s’agit là de montrer que vous savez ce que vous voulez, et que vous êtes vous même convaincue de votre non.
Proposez une alternative
Si vous ne pouvez vous résoudre à dire non, cherchez une solution de substitution. Cela vous coûte d’emmener votre voisine chez le coiffeur mardi, alors que vous pourriez le faire sans problème mercredi ? Proposez-lui de décaler son rendez-vous au lendemain. Vous ne voulez pas passer votre samedi soir chez vos parents ? Invitez les plutôt à déjeuner le dimanche midi. Vous faites ainsi preuve de bonne volonté, cela vous épargnera les cas de conscience et autres scrupules.

N’abusez pas du non
Trop de non tue le non ! N’opposez pas systématiquement un refus sous prétexte que vous devez affirmer votre personnalité. Distinguez les situations où vous êtes en droit de dire non, et celles où refuser serait malvenu : par exemple lorsque votre collègue en instance de divorce vous demande de terminer son dossier en cours. Vous risqueriez de passer pour un individu égoïste et peu sympathique

Mon fils,

Le jour où tu trouveras que je suis devenue trop vieille, essaie d’avoir un peu de patience envers moi et essaie surtout de me comprendre, mon fils…

Si je répète la même chose des dizaines de fois,
ne m’interromps pas !
Écoute-moi !
Quand tu étais petit, tu voulais que je te lise la même histoire, soir après soir, jusqu’à ce que tu t’endormes.

Si je ne me lave plus aussi souvent sous la douche,
ne me réprimande pas et ne me dis pas que c’est une honte.
Souviens-toi combien de raisons je devais inventer
pour te faire prendre un bain quand tu étais petit.

En voyant mon ignorance vis-à-vis des nouvelles technologies,
ne te moque pas de moi, mais laisse-moi plutôt le temps
d’assimiler tout ça et de comprendre.

Je t’ai appris tant de choses… bien te tenir à table… bien t’habiller… bien te présenter… comment confronter les problèmes de la vie…
« Le jour où tu trouveras que je suis devenue trop vieille,
essaie d’avoir un peu de patience envers moi et essaie surtout de me comprendre. »

S’il m’arrive à l’occasion de manquer de mémoire
ou de ne pouvoir suivre une conversation…
laisse-moi le temps nécessaire pour me souvenir…
et si je n’y parviens pas, ne sois pas nerveux et arrogant…
car le plus important pour moi, c’est d’être avec toi et de pouvoir te parler.

Si je refuse de manger, ne me force pas !
Je sais très bien quand j’ai faim et quand je n’ai pas faim.

Quand mes pauvres jambes ne me permettront plus
de me déplacer comme avant…
…tends-moi les bras comme je tenais tes petites mains
pour t’apprendre à faire tes premiers pas.
Et quand un jour, je te dirai que je ne veux plus vivre…
que je veux mourir… ne te fâche pas…
car un jour, tu comprendras aussi à ton tour !

Essaie de comprendre qu’à mon âge, on ne vit plus vraiment.
On survit simplement.
Un jour, tu comprendras que malgré toutes mes erreurs,
j’ai toujours voulu ce qui était le mieux pour toi et que
je te préparais le terrain pour quand tu serais grand.

Tu ne dois pas te sentir triste, malheureux ou incompétent
face à ma vieillesse et à mon état.
Tu dois rester près de moi, essayer de comprendre
ce que je vis, faire de ton mieux comme je l’ai fait à ta naissance.

Aide-moi à marcher… aide-moi à terminer ma vie avec amour et patience.

La seule façon qu’il me reste pour t’en remercier, c’est un sourire et beaucoup d’amour pour toi.

Je t’aime… mon fils !

Ta Maman

Recommencer

Recommencer

La vie est un éternel combat, il ne faut jamais baisser les bras.

Il faut avancer, progresser, vaincre nos peurs et recommencer.

La vie est faite d’obstacles, de chutes et parfois de désespoir, mais il faut s’accrocher et recommencer.

Il faut se battre pour ce que l’on croit, se battre pour ses convictions.

Se poser des questions. Aller jusqu’au bout de tous nos espoirs.

Se battre pour soi et pour les autres, ne jamais renoncer.

Essayer de voir la réalité.

Recommencer, sans regret, sans culpabiliser, ne rien se reprocher.

Se dire chaque jour, j’ai essayé, j’ai fait ce que j’ai pu.

Et toujours recommencer….

Comment aider une personne déprimée

Comment aider une personne déprimée

Tristesse persistante, irritabilité, fatigue, perte de confiance en soi… l’un de vos proches, membre de la famille ou ami est dépressif. Quelle attitude adopter face à ce malaise? Nos conseils pour le comprendre au mieux et l’aider à s’en sortir.

La dépression touche plus de 3 millions de personnes et affecte des personnes de tous âges, de tous milieux sociaux, avec des styles de vie très variés. Les raisons d’un état dépressif sont multiples mais se traduisent toujours de la même manière : morosité, anxiété, fatigue, dévalorisation de soi et sentiment de culpabilité, difficulté de sommeil, isolement, désintérêt global, pensées morbides voire envies suicidaires…

Le rôle de l’entourage
La dépression est une maladie qui se guérit. D’où l’intérêt d’identifier les causes du mal-être au plus tôt pour stopper la période de crise. Généralement, la dépression se soigne en faisant appel à un spécialiste de la santé mentale tel qu’un psychologue. Cependant il faut également faire appel à son médecin si une prescription d’antidépresseurs est nécessaire. Hormis cela, l’entourage du malade a aussi une fonction prépondérante dans le processus de guérison. Il aide le dépressif à accepter sa maladie et l’épaule au quotidien. Le plus difficile reste à le comprendre, le soutenir et lui apporter du réconfort sans toutefois le brusquer.

Les attitudes à adopter

• La souffrance doit être prise au sérieux : si un proche se confie à vous, ne banalisez pas sa souffrance. Bannissez les phrases telles que « ça passera, ce n’est qu’un cap difficile ». Se sentant incompris, il aura davantage tendance alors à s’isoler et à se dire que personne ne peut l’aider, ni vous, ni un médecin.

• L’encourager à se faire suivre médicalement : vous pouvez être utile en lui conseillant ou en l’aidant à trouver un spécialiste. Si votre proche a du mal à franchir le pas, vous pouvez aussi lui proposer de l’accompagner lors du premier rendez-vous.

• Apprenez à ne pas juger : Il est également impératif d’apprendre à ne pas porter de jugement et à ne pas le culpabiliser, même si vous ne comprenez pas les raisons de son malaise. Oubliez aussi toute forme de reproches, du genre. Et bien sûr, évitez les conseils et les leçons de morales sur ce qu’il devrait faire pour reprendre sa vie en main.

• Une écoute attentive : apprenez à faire preuve de douceur, de patience et d’écoute. Laissez la personne dépressive parler à cœur ouvert même s’il ressasse et ne semble pas vous écouter. Votre soutien sera d’un réconfort infini. Par contre, mettez un point d’honneur à ne pas trop l’infantiliser, au risque de le voir devenir totalement dépendant de vous.

• Restez positive : pour la personne dépressive, l’avenir est sombre. C’est à vous de lui changer les idées même si elle ne se montre pas réceptive. Parlez-lui de votre vie, de vos occupations, faites-lui partager vos moments de joie et montrez-lui le côté positif des choses. Et surtout, encouragez-le à garder espoir en lui disant que ça ira mieux demain…

• Poussez-le à entretenir une vie sociale : il est fréquent pour un dépressif de s’isoler totalement  et de bannir tout vie sociale. C’est donc à vous de l’encourager à sortir avec vous. Sans être trop directive, proposez-lui une balade, un ciné, un resto… S’il ne faut pas être trop autoritaire, sachez néanmoins vous montrer ferme. A la place de  « préfères-tu te promener ou rester à la maison ? », dites plutôt « allez, je t’emmène faire une balade ». Si le dépressif peut se montrer récalcitrant au début, il vous remerciera certainement plus tard.

Sachez aussi vous protéger
Épauler une personne déprimée, c’est aussi se protéger de lui-même. Le dépressif a tendance à s’emparer de l’attitude positive de la personne qui le réconforte, risquant alors de le détruire « psychiquement ». Il convient donc d’apprendre à se protéger de cette « contagion ». Aider une personne déprimée est souvent fatiguant moralement et physiquement. Pensez donc à prendre soin de vous et à vous offrir quelques moments de répit et de détente.

toutefois n’oubliez pas de conseiller la personne déprimée de se rapprocher de dieu à travers la prière et la patience qui constituent la vie et la perfection du cœur, car sur le plan psychologique, les bienfaits de la prière sont innombrables; en priant, l’être humain se soumet à Dieu qui est capable de faire toute chose et toute chose ne peut se passer de Lui, et arrive conformément à ce qu’il a prescrit et à sa volonté. Ce sentiment enveloppe la vie de l’être humain dans un climat de sérénité psychique l’aidant à vivre en bonne santé physique, avec un bien être mental et avec une quiétude sensorielle.

le Prophète (pbsl) demandait souvent à Dieu de le protéger contre les soucis et la tristesse et disait : « O mon seigneur, je cherche refuge auprès de Toi contre les soucis et la tristesse, l’impuissance et la paresse, la lâcheté et l’avarice ».

 

Allah swt dit : « Ô les croyants ! Cherchez secours dans l’endurance et la Salat. Car Allah est avec ceux qui sont endurants. ».153) puis « Nous vous éprouverons par un peu de peur, de faim et de diminution de biens, de personnes et de fruits. Et fais la bonne annonce aux endurants »

un petit rien

Un petit rien, c’est dire bonjour
A la voisine et aux amis.
C’est presque rien et c’est facile,
Cela rend la vie plus jolie.

Un petit rien, c’est dire merci
A celui qui vous rend service.
C’est presque rien, un petit mot de courtoisie
Qui rend heureux celui à qui il est dit.

Un petit rien, c’est un sourire
A distribuer sur son chemin.
C’est presque rien, mais c’est beaucoup.
Cela rend heureux et c’est contagieux.

Un petit rien, c’est dire je t’aime
A la personne que l’on aime.
C’est presque rien, c’est important
L’amour s’entretient chaque jour.

Ces petits riens sont peu de choses,
Mais ils illuminent la journée
Ils donnent envie de partager le bonheur
Et cela, ça n’a pas de prix

Guide de santé

1. Bois beaucoup d’eau
2. Prends un déjeuner de roi, un dîner de prince et un souper de mendiant.
3. Mange plus de nourriture qui pousse dans les arbres et plantes et mange moins de nourritures manufacturées.
4. Vis avec les 3 E : Énergie, Enthousiasme et Empathie.
5. Trouve un peu de temps pour méditer.
6. Joue plus souvent.
7. Lis plus de livres que tu en as lus l’année dernière.
8. Assieds-toi, en silence, au moins 10 minutes par jour
9. Dors durant 7 heures au moins.
10.Prends des marches quotidiennes de 10 à 30 minutes et en marchant, souris.

Personnalité:

11.Ne compare pas ta vie à celle des autres. Tu n’as aucune idée à quoi ressemble leur vie.
12.Évite les pensées négatives ou les choses dont tu ne peux contrôler. Investis plutôt ton énergie dans le moment présent.
13.N’en fais pas trop. Connais tes limites.
14.Ne te prends pas trop au sérieux, personne d’autre ne te prend au sérieux.
15.Ne perds pas ta précieuse énergie en commérage.
16.Rêve plus souvent éveillé.
17.L’envie est une perte de temps. Tu as déjà tout ce dont tu as besoin.
18.Oublie les problèmes du passé. Ne remémore pas aux autres les erreurs du passé. Ça ruine votre bonheur présent.
19.La vie est trop courte pour la gaspiller à détester.
20.Fais la paix avec ton passé afin qu’il ne ruine pas le présent.
21.Personne n’est en charge de ton bonheur sauf toi.
22.Prends conscience que la vie est une école et que tu y es pour apprendre. Les problèmes font simplement partie de ton curriculum qui apparaît et disparaît comme la classe d’algèbre, mais les leçons que tu apprendras seront pour la vie.
23.Souriez et riez le plus souvent possible.
24.Tu n’as pas à gagner chaque dispute. Accepte d’être en désaccord.

Société

25.Téléphone à tes amis plus souvent ou envoie leur des courriels.
26.A chaque jour, donne quelque chose de bien à quelqu’un.
27.Pardonne autant que possible.
28.Passe du temps avec des gens plus âgés que 75 ans et plus jeunes que 6 ans.
29.Essaie de faire sourire au moins trois personnes quotidiennement.
30.Ce que les gens pensent de toi ce n’est pas de tes affaires.
31.Ton travail ne prendra pas soin de toi lorsque tu seras malade. Tes amis oui. Garde le contact.

Vie:

32.Agis bien!
33.Débarrasse-toi de tout ce qui n’est pas utile, garde ce qui est beau ou joyeux.
34.La nature guérit tout.
35.Qu’il s’agisse d’une situation bonne ou mauvaise, elle va changer…
36.Peu importe comment tu te sens, lève-toi, habille-toi et présente-toi.
37.Le meilleur est encore à venir.
38.Quand tu te réveilles le matin, remercie d’être en vie.
39.Ton fort intérieur est toujours heureux. Donc, sois heureux.

Le dernier et non le moindre:

40.Fais suivre ceci aux gens que tu apprécies et que tu aimes.

5 étapes à suivre pour résoudre un problème

Les problèmes sont partout, sous différentes formes et aspects, c’est une réalité que presque tout le monde rencontre. Il peut donc être intéressant d’adopter une méthodologie d’approche des problèmes adaptable à toutes situations, afin de les aborder de manière plus stratégique et plus efficace. Cet article est inspiré directement d’un cours de Stratégie dispensé par M. Guy Dejean à l’ISC Paris.

 

Identification du problème

Avant toute chose il est important de bien identifier votre problème, il ne faut pas se contenter de rester en surface et penser que l’on a tout compris dès le premier coup d’oeil. Il faut creuser, chercher, définir le véritable problème qui peut parfois être dissimulé.

Décomposition du problème

Une fois que le problème est bien identifié, vous devez réfléchir à sa décomposition afin de pouvoir agir efficacement sur chacune des parties par la suite. Le problème que vous cherchez à régler doit forcément être décomposable, à partir du moment où il implique plusieurs variables vous pouvez les isoler.

Élagage de la boîte à outils conceptuelle

Vous avez identifier précisément et décomposer en plusieurs parties le problème, c’est donc le moment de jeter un oeil aux outils que vous allez pouvoir utiliser pour résoudre ce problème. Avant de se lancer dans le chantier de résolution il est important de réfléchir à ce que l’on va utiliser lors de cette résolution et de vérifier que cela est pertinent.

Reformulation du problème

Vous avez presque toutes les cartes en mains, maintenant que vous en savez plus sur le problème en question il peut être judicieux de le reformuler afin qu’il soit plus explicite, plus concret.

Définition le plan d’action

Il reste une dernière étape avant de se lancer dans la résolution du problème : la définition du plan de travail. Comme quasiment tous les travaux important, il est nécessaire d’établir un plan qui va guider l’ensemble du raisonnement de résolution. Ce plan va devenir un repère important pour juger de l’avancement du travail.

Cette méthodologie réside en 5 points principaux et peut être appliquée dans quasiment l’ensemble des problématiques. Il est possible d’adopter ce raisonnement dans la vie professionnelle mais également dans la vie courante dès lors que l’on rencontre un problème, un blocage.

Les gestes de la vie privée décryptés

 

Ils véhiculent nos émotions, nos sentiments, nos intentions aussi. Philippe Turchet, synergologue, et Joseph Messinger, psychologue, tous deux spécialistes du genre, s’appliquent à traduire ces «mouchards» du corps et de l’esprit. En nous apportant des éclairages non dénués d’humour…

1/ Les index amoureux

Coudes en appui, doigts croisés, index collés l’un contre l’autre perpendiculairement à la bouche : ce geste peut revêtir trois significations, pour Joseph Messinger.

– Votre interlocuteur est coincé, à court d’arguments, il se demande comment il va se sortir d’une embarrassante situation.

– Attention, si votre interlocuteur est une femme. Ce geste est alors une véritable invitation (certes inconsciente) à la parade amoureuse. Il signifie que le désir est de la partie. D’où sa dénomination des  » index amoureux  » ! La porte n’est qu’entrouverte, elle peut se refermer de manière intempestive.

– Reste le troisième cas de figure : celui de l’opportuniste qui se demande comment il va tirer profit de votre immense naïveté. A bon entendeur…

2/ Les poches du mensonge

Mains dans les poches en position debout ? Une attitude courante pour Philippe Turchet, qu’il ne faut pas forcément vouloir interpréter. En revanche, le moment précis où la personne effectue ce geste est très parlant. « Si vous posez une question à votre interlocuteur et qu’il vous répond en glissant les mains dans ses poches, n’ayez qu’une confiance mitigée dans sa réponse! »

Mains dans les poches en position assise ? « La personne n’a aucune volonté de participer à l’échange et/ou préfère garder ses pensées cachées au fond de ses poches histoire de ne pas se livrer.  » Et de conclure : « Les mains sont la partie visible du cerveau, alors lorsqu’on les cache sciemment… »

3/ Le cou du signe

« Si l’on se réfère au langage symbolique du corps, le cou ainsi que la nuque et la gorge abritent le siège de la confiance en soi. » Joseph Messinger précise même que « la partie concernée se situe exactement au niveau des sept dernières cervicales ». Pour l’auteur, « les douleurs qui affectent cette zone, les mains qui s’y posent ou encore la chaîne qui l’entoure sont les signes d’une altération de votre confiance, l’apparition d’une anxiété plus ou moins importante, ou encore, que votre interlocuteur se détourne de vos propos ». Par exemple : je suis en difficulté, je passe ma main à la base du cou dans un mouvement mécanique. C’est le geste typique de l’angoisse qui monte, qui monte…

4/ Un doigt de moustache

Philippe Turchet voit dans ce geste l’expression d’une pudeur et d’une réserve qui « amène l’individu à mettre sa main sur la bouche afin de poser une distance vis-à-vis de son inter locuteur ». Pour le synergologue, « il serait intéressant d’observer comment cette main va bouger. Est-ce que l’index va se dresser, présageant d’un désaccord, ou, au contraire, le doigt va-t-il s’éloigner de l’espace de la bouche, traduisant une réelle ouverture ». Quoi qu’il en soit, la main fermée est signe de légère tension. Paradoxalement, le fait que ce soit la main droite qui vienne se poser sur le visage indique un climat détendu. « En revanche, être droitier ou gaucher n’a pas d’incidence sur ce type d’attitude corporelle. »

5/ Le rire pince-nez

Neuf types de gestes différents peuvent être distingués lorsqu’une personne se touche la zone du nez. Celui qui consiste à se pincer les narines est symptomatique d’une situation perçue comme problématique. » Pour Philippe Turchet, rire n’est – apparemment – pas toujours l’expression d’un sentiment joyeux. Loin s’en faut, surtout lorsqu’il s’accompagne de… grattage : « Ce geste appelé micro-démangeaison est très commun. L’individu rencontre un problème mais ne sait pas comment le gérer. » Dans son ouvrage Le Langage universel du corps, on apprend que les – fameuses – micro-démangeaisons apparaissent toujours dans des situations embarras santes qui génèrent des contradictions intérieures, tels que s’interdire ce dont on a envie, censurer nos paroles, voire nos attitudes… En revanche, « il est attesté que le simple fait de se gratter pacifie les humeurs.

6/ Les pieds de Narcisse

Debout, la jambe droite croise la gauche et son pied repose sur la pointe. Pas de doute pour Joseph Messinger,c’est la posture égotique par excellence : « Je suis moi, donc, j’existe. » Une attitude propre à ceux et celles qui ne se préoccupent pas des autres ; leurs amis, leurs voisins, leurs interlocuteurs. « Le pied reposant sur la pointe est une gestuelle fréquente chez la personne qui dissocie l’être du paraître et passe son temps à fausser les règles du jeu. Les apparences tiennent lieu de vérité à l’usage de son entourage. Le risque ? Finir par se mentir à soi-même. C’est la posture du paraître. Mais attention « à ne pas disparaître à force de se contenter de paraître!

7/ L’échec chevillé

En synergologie et pour Joseph Messinger : « La cheville droite est le siège de l’échec. » Facile d’imaginer – ensuite – ce que présage la position de l’individu sur cette image… « Quant à la cheville gauche, elle est l’un des sièges de la frustration. » Prises dans leur ensemble, ces parties de notre anatomie sont révélateur de notre motivation comme de ses contraires ; refoulement et aptitude à la défaite, en fonction de la façon dont on les positionne. « Le croisement des chevilles sous un siège et non dans le prolongement du bassin exprime le ressenti et le climat mental de l’individu. Les croiser sous une chaise en solitaire dans un endroit public indique un fort sentiment de malaise ou une volonté de retrait par rapport aux inconnus qui vous entourent. »

8/ De guingois pour voir droit

Lorsqu’une personne se tient transversalement sur un fauteuil, comme c’est le cas sur cette image, elle transgresse les codes traditionnels de la communication via une posture originale, donc décalée. » Une position courante chez nos ados et qui exaspère bien des parents. Philippe Turchet nous rassure : « La personne le fait pour plusieurs raisons: soit c’est dans sa personnalité de montrer qu’elle est différente des autres. C’est -encore- une invitation à glisser d’un cadre formel vers une relation plus informelle avec son partenaire ou interlocuteur. » Si c’est le cas, il est fort probable que sa main gauche se déplace vers le haut du corps et soit glissée dans les cheveux, par exemple. Mais le plus souvent, cette façon de se tenir est propre à l’individu qui cherche à porter un regard différent sur un problème afin d’y apporter la réponse qui lui semble adéquate. « Elle bouge sur sa chaise comme elle bouge dans sa tête, histoire d’aborder les choses autrement.

 

Fruits et légumes : forme et utilité; pharmacie divine !!

Les chercheurs  spécialisés dans le corps et la nourriture ont  signalé que chaque fruit et sa  forme ou plante ou légume  désignent les avantages et les bienfaits  pour  nos  membres… Voici quelques exemples :

1/ Une carotte coupée en tranches ressemble à l’oeil humain. La pupille, l’iris et les lignes de rayonnement ressemblent exactement à l’oeil humain… Et OUI, la science prouve maintenant que les carottes augmentent considérablement le flux de sang vers les yeux.

2/ Une tomate a quatre chambres et est rouge. Le coeur est rouge et a quatre chambres. Toutes les recherches montrent que les tomates sont en effet un aliment pur pour le coeur et le sang.

3/ Les raisins s’accrochent en une forme qui est celle du coeur. Chaque grain de raisin ressemble à un globule sanguin et toutes les recherches aujourd’hui montrent que les raisins sont également un aliment fortement vitalisant pour le coeur et le sang.

4/ Une noix ressemble à un petit cerveau, avec un hémisphère gauche et droit, cerveaux supérieurs et cervelets inférieurs. Même les rides ou les plis sont sur la noix juste comme le neo-cortex. Nous savons maintenant que les noix aident à développer plus de 3 douzaines de neurone-émetteurs pour la fonction du cerveau.

5/ Les haricots blancs et rouges guérissent réellement et aident à maintenir la fonction du rein et oui, ils ressemblent exactement aux reins humains.

6/ Les oignons ressemblent aux cellules du corps. La recherche d’aujourd’hui prouve que les oignons aident à éliminer les déchets de toutes les cellules du corps. Ils font même produire des larmes qui nettoient les couches épithéliales des yeux.
Un compagnon, l’ail, aide aussi à éliminer les déchets et les radicaux libres du corps et est aussi un bactéricide puissant. On lui attribue les propriétés suivantes : anti-athérosclérose, anticoagulant, antibiotique, anti-hypertenseur et anti-tumoral.

 De plus…

*L’aubergine, les avocats et les poires visent la santé et la fonction de l’utérus et du cervix de la femme – ils ressemblent justement à ces organes. La recherche d’aujourd’hui prouve que lorsqu’une femme mange un avocat par semaine, cela équilibre les hormones, élimine l’excès de poids après une naissance et prévient les cancers du col de l’utérus. Et à quel point cela est profond?…. Il faut exactement 9 mois pour cultiver un avocat de la fleur au fruit mûr.
Il y a plus de 14 000 constituants nutritifs chimiques photolytiques dans chacune de ces aliments (la science moderne en a seulement étudié et nommé environ 141 d’entre eux).

*Les figues sont pleines de graines et s’accrochent par deux quand elles se développent. Les figues augmentent la mobilité du sperme et augmentent les nombres de cellules du sperme pour surmonter la stérilité masculine.

*Les pamplemousses, les oranges et autres agrumes ressemblent justement aux glandes mammaires et aident réellement à la santé des seins et du mouvement de la lymphe dans et hors des seins.

*Les patates douces ressemblent au pancréas et équilibrent réellement l’index glycémique des diabétiques.