L’histoire de l’homme qui avait confiance en lui

Il est amusant de constater que lorsque nous voulons nous lancer dans un quelconque projet, il y a toujours des gens dans notre entourage qui essaient de nous décourager.

Ce n’est pas forcément intentionnel, mais des petites remarques du genre :

– « Tu sais, sans vouloir te démoraliser, il y a beaucoup d’appelés, peu d’élus » ou encore « Tu crois vraiment que tu peux y arriver ? » –  peuvent devenir à la fin, franchement agaçantes.

Les propos de ces « briseurs de rêves » sont très insidieux parce qu’ils peuvent nous inciter à renoncer.

 

Or, si nous avons suffisamment confiance en nous et surtout si nous croyons en nos capacités, nous pouvons réaliser ce qui nous tient vraiment à cœur.

Le meilleur antidote est de passer à l’action, sans se soucier du « quand dira-t-on ».

Ce fut justement le cas d’un célèbre inventeur du XIX siècle.

Il était tellement obsédé par son travail qu’il vivait carrément dans son laboratoire.

Il avait l’intuition qu’il détenait une piste, quelque chose de révolutionnaire.

En fait, il avait découvert les moyens grâce auxquels une machine pouvait enregistrer et reproduire une voix humaine.

Très excité à l’idée de matérialiser son idée, il alla trouver un fabricant d’appareil.

Il lui donna les plans et divers croquis de son invention pour fabriquer un premier prototype prêt à l’emploi.

Le fabricant regarda les plans pendant un long moment puis dubitatif, il se risqua à dire :

– Ce que vous voulez est impossible à concevoir. Vous ne pourrez jamais faire fonctionner une telle chose.

L’inventeur lui demanda, perplexe :

– Qu’est-ce qui vous fait penser que ça ne fonctionnera pas ?

Le fabricant sûr de lui s’exclama  :

– Parce que… Parce que personne n’a jamais fabriqué une machine qui peut parler. Vous semblez pourtant quelqu’un d’intelligent. Vous risquez d’aller au-devant d’une grande désillusion.

L’inventeur aurait pu accepter le verdict et abandonner cette idée apparemment saugrenue « d’une machine parlante ».

Mais ce n’est pas ainsi que l’esprit de notre homme fonctionnait.

Puis, il persista malgré les tentatives de découragement de son interlocuteur.

– Nous verrons bien. Allez-y et construisez l’appareil exactement selon mes indications sur le plan.

Si en effet, il s’avère que c’est un échec, laissez-moi endosser le costume du perdant, lança l’inventeur sur un air de défi.

Le fabricant s’exécuta et lorsque l’appareil fut achevé, à sa grande surprise, il fonctionna au premier essai.

– C’est… C’est incroyable, s’écria-t-il, bluffé par le résultat obtenu de l’invention.

L’inventeur en question se nommait Thomas Edison.

Il venait de créer le premier phonographe, l’ancêtre de nos baladeurs MP3.

Il avait surtout compris une chose essentielle :

La personne qui mise sur ses idées et ses projets en ayant confiance en elle-même possède une longueur d’avance par rapport à ceux qui renoncent et baissent les bras aux premiers obstacles.

Il n’existe pas de formule magique, mais nous pouvons certainement affirmer que le succès ne vient pas récompenser la personne qui se sous-estime par manque de confiance en soi.

Il favorise vraiment la personne qui sait ce qu’elle veut, qui est déterminée à l’obtenir et qui bannit de son vocabulaire le mot « impossible ».

 

Ainsi Thomas Edison fut reconnu comme l’un des inventeurs américains les plus importants et les plus prolifiques, revendiquant le nombre record de 1 093 brevets dont celui entre-autre de l’ampoule électrique et du téléphone.

Pionnier de l’électricité, il fut également le fondateur du premier empire industriel mondial connu encore aujourd’hui sous le nom de General Electric.

 

À l’instar d’un Thomas Edison, nous pouvons choisir d’avoir confiance en nous.

Parce que nos seules limitations sont celles que nous avons nous-mêmes mises en place dans notre esprit.

 

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Domptez votre peur

Nous avons tous eu un moment donné, peur de tenter de nouvelles choses, peur de mal faire ou encore peur de faire simplement un choix…

Mais qu’est-ce que la peur ?

Paralysante en cas de panique, c’est une émotion destinée à préserver nos vies en nous alertant du danger.

Mais elle peut aussi se révéler un puissant moteur quand elle est domptée.

Alors, commençons par l’accepter plutôt que de la redouter.

Et considérons la comme un signal de prudence.

C’est l’occasion de marquer un temps d’arrêt afin d’étudier la situation avant de prendre une décision ou de passer à l’action.

 

Dépassez-la pour faire les bons choix

 

Réflex primaire de survie, la peur est censée nous donner l’énergie de fuir devant un danger ou de lutter contre un adversaire.

Mais quand elle s’exprime de manière trop intense, qu’elle vire à la panique, cette émotion nous paralyse.

Nous devons pourtant la contrôler avant de la laisser nous contrôler.

Toutefois, la peur n’est pas toujours mauvaise conseillère.

Elle peut aussi, pour peu qu’on sache s’en faire une alliée, se révéler un puissant moteur pour l’action.

À condition d’apprendre à la reconnaître, puis de l’apprivoiser.

Comment pouvons-nous surmonter nos peurs ?

En lui faisant fermement face et en se demandant : « peur de quoi ? ».

Par cette seule question, nous commençons par analyser la situation que nous affrontons.

C’est un procédé qui semble pourtant simple mais réellement efficace.

En choisissant de l’exprimer, nous sommes ainsi sur le chemin de la raison qui nous fera contourner l’obstacle émotionnel qu’est la peur.

Nous éviterons surtout de se laisser submerger par l’angoisse, plus diffuse et difficile à combattre.

 

Analysez vos inquiétudes avec sincérité et authenticité

 

L’étape suivante consiste à considérer le problème sous tous les angles.

Quels sont les risques ?

Peut-il y avoir une autre façon d’agir ?

Quels sont les problèmes que nous pouvons rencontrer ?

Possédons-nous toutes les informations, tous les chiffres et tous les faits nécessaires ?

Quelles ont été les réactions d’autres personnes en de pareilles situations et quelles furent leurs résultats ?

Vous l’aurez compris, gérer sa peur, c’est d’abord prendre du recul plutôt que de céder à la panique.

Ensuite, agir immédiatement car la procrastination mène à un plus grand doute et à une plus grande inquiétude.

Franklin D. Roosevelt dû gérer de nombreuses crises durant ses quatre mandats dont celle de la deuxième guerre mondiale.

Lorsque des décisions importantes s’imposaient, il faisait face à son appréhension avec l’attitude suivante :

« Rien n’est autant à craindre que la crainte elle-même. »

 

Sachez reconnaître vos peurs

 

Selon Napoléon Hill, il existe six peurs essentielles :

la peur de la pauvreté, de la critique, de la maladie, peur de perdre l’amour, peur de la vieillesse et de la mort.

Les trois premières peurs sont à l’origine de presque tous les tourments.

Toutes ces angoisses ne sont certainement pas une fatalité.

Au contraire, la peur est un état d’esprit qui peut se contrôler et se diriger.

Aussi, pour la dépasser, rappelons-nous le but à atteindre et concentrons-nous sur les étapes pour y parvenir.

Un chirurgien racontait le poids d’une terrible pression avant une opération délicate.

Et pour cause, il avait la vie de son patient entre ses mains.

Il procéda en se focalisant sur les actions concrètes à mener : arrêter l’hémorragie, nettoyer la plaie et mettre la personne à l’abri…

La peur est le plus grand des obstacles qui barre la route à la réussite.

Or la personne qui a du succès est disposée à prendre des risques quand une logique inébranlable montre qu’ils sont nécessaires.

Malheureusement, les gens laissent bien souvent la peur gouverner leurs décisions et toutes leurs actions.

Ils n’aspirent qu’à une seule chose, la sécurité.

Bridant ainsi leur créativité, ils n’osent pas révéler leur véritable talent, rongés par l’incertitude.

La meilleure façon de gérer nos incertitudes ?

Aller de l’avant !

 

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Exercice en PNL : Se concentrer sur ce que vous voulez

Vous pouvez obtenir très rapidement des résultats positifs en vous concentrant sur ce que vous voulez…
Définir ce que vous voulez, façonnez vous un avenir irrésistiblement attirant et allez de l’avant pour obtenir vos objectifs.
Avoir une idée très précise de ce que vous voulez vous aidera à ne pas rester prisonnier de ce que vous ne voulez pas.

1) Penser SMART :

Il est TRÈS IMPORTANT de bien formuler vos objectifs. Ils doivent être Spécifique, mesurable, approprié, réalisable, temporel. Pour cela, il faut penser SMART :
Énoncez votre objectif de façon positive : L’objectif ne doit pas être flou (Exemple : “Je veux plus d’argent”. Si vous trouvez un billet de 10€ par terre, vous aurez réalisé votre objectif. Il vaux mieux se dire “Je veux gagner 5.000 € par mois”). L’objectif ne doit pas être négatif (Exemple : Je ne veux pas rester dans mon entreprise). Au lieu de penser “Je ne veux pas ça…”, demandez vous plutôt “Qu’est-ce que je veux à la place ?”.
Votre Objectif émane-t-il d’une initiative personnelle ? Est-il bien établi et sous votre contrôle ? Demandez vous si vous le faites bien pour vous et non pour quelqu’un d’autre. Le résultat ne dépend-il que de vous ?
Vérification : Quand saurez-vous que vous avez réalisé votre objectif et obtenu le résultat souhaité ? Que ferez-vous quand vous l’aurez obtenu ? Qu’allez vous voir, entendre, sentir lorsque vous l’aurez obtenu ? Utilisez votre représentation sensorielle pour sentir ce qui fonctionne ou ne fonctionne pas.
Définir clairement le contexte : Ou, quand, comment ?
Ressources nécessaires : Identifiez ce dont vous avez besoin (personnes, connaissances…). De quelles ressources disposez-vous à ce jour ? Quelles sont les ressources que vous allez devoir acquérir ? Imaginez ce qui se passerais si vous aviez les ressources nécessaires, cela va vous permettre de passer à l’action.
Résultat souhaité : Formulez clairement le résultat que vous souhaitez.
Vérifiez l’écologie de votre objectif : Le résultat est-il en adéquation avec les aspects de votre vie ? Dans quel véritable but voulez vous ceci ? Qu’allez vous perdre ou gagner en l’obtenant ? Que se passera-t-il si vous l’aurez ? Que se passera-t-il si vous ne l’avez pas ?
Premier pas : Le changement ne se produit pas de façon soudaine. Faites le premier pas, puis les suivants et laissez vous le temps…
Flexibilité : Faites preuve de flexibilité. Si quelque chose ne fonctionne pas, essayez autrement. Changez de comportement, d’attitude, d’état d’esprit, pour obtenir ce que vous voulez.
SI VOUS FAITES TOUJOURS CE QUE VOUS AVEZ TOUJOURS FAIT, VOUS OBTIENDREZ TOUJOURS CE QUE VOUS AVEZ TOUJOURS OBTENU.

2) Procédure pour identifier et réaliser vos objectifs :

Achetez vous un beau cahier avec des intercalaires.
Sur la première page, définissez des domaines sur lesquels vous voulez vous fixer des objectifs : Carrière professionnelle, finances et argent, amis et famille, relations, développement personnel et apprentissage, loisirs et détente, religion et environnement… Vous pouvez inventer vos propres domaines qui vous tiennent à cœur. Classez les par priorité.
Sur la deuxième page dessinez votre “roue de la vie”
Graduez chaque domaine et 0 à 10 et évaluez vous. Indiquez la date, et garder quelques pages pour refaire votre roue de la vie plus tard.
Sur les pages suivantes, inscrivez un domaine par intercalaire (classez les par priorité).
Réfléchissez à plusieurs objectifs (court, moyen long terme – simples, plus complexes) par domaine.
Écrivez vos objectifs : Appliquez la méthode SMART expliquée plus haut, point par point, pour bien formuler vos objectifs et les résultats escomptés. Classez vos objectifs par priorité, échéances (date de début, date de fin).
Tous les soirs, jetez un coup d’œil à vos rêves et dressez la liste de ce que vous avez réalisé dans la journée, de ce que vous allez faire demain. Savourez l’accomplissement de vos objectifs, cochez ceux réalisés et ESTIMEZ-VOUS HEUREUX…
Foncez, croyez en vous et en vos capacités…

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Pensée positive: 6 façons simples d’améliorer un mauvais jour

Ne laissez pas une mauvaise matinée gâcher votre journée entière. Utilisez ces astuces mentales pour changer votre élan :

1. Rappelez-vous que le passé n’est pas égal à l’avenir.
Il n’y a pas une telle chose comme un « période de malchance ». La raison pour laquelle les gens croient de telles absurdités, c’est que le cerveau humain crée des modèles d’événements aléatoires et se souvient des événements qui correspondent à la tendance.
2. Pratiquez l’auto prédiction.
Si vous croyez que le reste de votre journée sera autant de défis que ce qui est déjà arrivé, alors rassurez-vous: Vous allez finir par faire quelque chose (ou dire) quelque chose qui va assurer que votre prédiction se réalise.
3. Changez votre seuil de «mauvais» au «bon».
Décider que une bonne journée est un jour que vous êtes au dessus du sol. De même, décider que dans un mauvais jour, c’est quand quelqu’un vole votre voiture, et qu’il a conduit vers l’océan. Ces types de définitions rendent facile d’être heureux et difficile d’être triste.
4. Améliorez la composition chimique de votre corps.
Votre corps et votre cerveau sont dans une boucle de rétroaction: Une mauvaise humeur vous rend fatigué, ce qui rend votre humeur pire, et ainsi de suite. Interrompre ce problème en se levant et bouger. Faites une promenade ou de manger quelque chose de sain.
5. Concentrez-vous sur ce qui va bien.
La principale raison que vous êtes convaincu que c’est une mauvaise journée, c’est que vous vous concentrez sur le problème et pas la solution. Cependant, pour tout ce qui va mal, il y a probablement des dizaines de choses vont bien. Faire une liste, et l’afficher où elle est visible.
6. Attendez-vous quelque chose de merveilleux.
Tout comme une attitude de pessimisme qui vous fait voir plus de problèmes, voir l’avenir avec un sentiment d’émerveillement qui vous rend sensible à toutes sortes de choses merveilleuses qui se passent, dès maintenant, partout autour de vous.

 

Pourquoi certaines personnes s’évanouissent à la vue du sang ?

La vue du sang peut être particulièrement dérangeante pour certaines personnes qui vont  rapidement se sentir mal voire même s’évanouir. Une réaction qui est liée à une réponse un peu excessive de l’organisme face à ce qu’il détecte comme une menace. 

En effet, perdre du sang est un véritable danger pour l’organisme. Si le risque est bien évidemment plus ou moins important en fonction de la quantité, la vue du sang est donc perçue par le corps comme une menace réelle qui doit nécessiter une adaptation rapide : l’organisme va donc chercher à limiter au maximum les pertes. Pour cela, il fait appel au système nerveux autonome et plus précisément au système nerveux parasympathique. C’est celui-ci qui s’occupe de toutes les activités involontaires et réflexes de l’organisme telles que la respiration, les battements du cœur, les sécrétions gastriques, etc.
Cerveau en manque d’oxygène
Face à la perte de sang, ce système va mettre l’organisme dans un état lui permettant d’économiser ce précieux liquide : le rythme cardiaque ralentit, la respiration se fait moins rapide et la pression artérielle diminue. Ceci a pour effet de réduire l’apport d’oxygène au cerveau qui cause alors l’apparition des symptômes si cette réponse est importante ou prolongée. C’est ce qu’on appelle un malaise vagal qui peut s’avérer plutôt impressionnant en casd’évanouissement.
Comment Réagir pour réduire le malaise à la vue du sang ?
Certains moyens peuvent permettre de limiter le malaise et d’éviter l’évanouissement :
Prendre l’air ou aérer la pièce peut parfois permettre de « changer les idées », d’oublierla vue du sang et de réduire les symptômes.
Contracter les muscles notamment des jambes peut aussi être une bonne idée afin de rétablir une circulation sanguine plus normale. En revanche, si le malaise est déjà avancé, mieux vaut s’asseoir ou s’allonger les jambes surélevées afin deréoxygéner correctement le cerveau.

 

LES TECHNIQUES DE VENTE/LES TECHNIQUES COMMERCIALES

LES TECHNIQUES DE VENTE/LES TECHNIQUES COMMERCIALES

Il existe un très grand nombre de techniques de vente. Afin de ne pas se perdre et afin de réussir dans la vente, il faut garder à l’esprit l’objectif d’une vente : fournir à une personne ou une entreprise un produit ou un service qui lui sera profitable en concluant un accord commercial gagnant-gagnant.

Si vous gardez en tête cet objectif, vous vous rendrez compte que ce qui est important, c’est d’une part vos qualités humaines et relationnelles et d’autre part votre compétence dans votre domaine d’activité. La vente et les techniques de vente se résument à cela et à rien d’autre.

LES QUALITES HUMAINES

1. Soyez honnête
Soyez toujours honnête avec votre client. Fournissez-lui ce que vous lui avez promis, pas un produit ou un service de moindre qualité. La vente est basé sur la confiance, le mensonge et la tromperie détruisent immédiatement la confiance.

Si vous vous rendez compte que votre produit ne sera pas profitable à votre client, faites-le-lui savoir. Ou si vous vous rendez compte que votre entreprise ne sait pas faire ce que le client demande, dites-le-lui. De la même manière, si vous estimez que la qualité de votre produit n’est pas à la hauteur, allez voir votre patron et voyez avec lui comment l’améliorer. Vous devez être vous-même absolument certain que le produit que vous vendez est un produit de valeur.

Ne vous livrez pas à des pratiques malhonnêtes ou frauduleuses. Si vous le faites, vous allez peut-être en tirer un profit immédiat, mais tôt ou tard, cela vous portera préjudice, soyez-en sûr. Donc soyez en toute occasion d’une grande honnêteté.

2. Soyez vrai
Dites la vérité. Si vous avez fait une erreur, dites-le. Si vous ne savez pas, dites-le. Personne ne fait confiance à quelqu’un qui cherche à dissimuler la vérité.

3. Soyez digne de confiance
Quand vous promettez quelque chose, fournissez-le, même si vous devez bouger ciel et terre.

4. Soyez sincèrement intéressé par votre client
Vous devez avoir envie de lui rendre service, de l’aider, de lui faciliter la vie ou son travail. Ce qui compte s’est votre client, pas vous, votre chiffre ou votre commission.

Autre chose : si vous n’avez pas envie d’aller voir vos clients ou si cela vous fatigue, pourquoi y allez-vous ? Soyez honnête avec vous-même et avec vos clients. Décidez que vous avez envie et ayez réellement envie d’aller les voir sinon changez de métier.

Les meilleurs vendeurs sont passionnés : ils aiment leur métier, ils aiment rencontrer des gens, ils apprécient leurs clients, ils sont passionnés par leurs produits, ils sont convaincus de la valeur et de l’utilité de ceux-ci. Cet enthousiasme est l’une de leur plus grande force.

LES QUALITES RELATIONNELLES

5. Soyez attentif
Répondez aux questions de votre client. Acceptez et comprenez ses objections. Ecoutez-le quand il vous parle, comprenez ce qu’il vous dit. Soyez avec lui, pas dans des pensées comme essayer d’imaginer ce qu’il va dire et préparer mentalement votre réponse. Si votre interlocuteur doit prendre quelques secondes pour faire un rapide calcul mental ou réfléchir à ce que vous venez de lui dire, laissez-lui ces quelques secondes, n’essayer pas de « boucher » ce vide.

Etre attentif c’est aussi ne pas être trop technique si votre interlocuteur n’est pas un technicien ou un ingénieur ou s’il n’est tout simplement pas intéressé par la technique.

6. Soyez à l’aise
Etre totalement à l’aise vous permettra d’être totalement attentif.

Comment être à l’aise :
– En étant parfaitement préparé et en connaissant parfaitement vos produits. Plus vous serez préparé et plus vous connaîtrez vos produits, plus vous aurez confiance en vous et plus vous serez à l’aise. L’autre bénéfice d’être bien préparé est que votre discours sera plus clair et vous communiquerez mieux et sans hésitation.

– En étant honnête. Si vous n’avez rien à cacher, vous serez plus ouvert et plus à l’aise. En étant honnête vous gagnerez en confiance en vous, vous serez également plus disponible pour votre interlocuteur.

– En étant réellement intéressé par votre interlocuteur. Vous êtes assis en face votre client pour lui apporter quelque chose, pour l’aider. La seule chose qui est importante, c’est votre client, pas vous ou vos objectifs. Il vous a fait venir ou il a accepté de vous recevoir pour que vous lui apportiez une plus-value, donc présentez-lui ce qu’il veut. Ne mettez pas votre attention sur vous, sur comment vous devriez vous exprimer, vous tenir, etc. intéressez-vous plutôt à votre client.

7. Ne coupez pas votre interlocuteur, laissez-le finir
Il arrive que ce que dit notre interlocuteur nous fasse penser à quelque chose ou provoque en nous des réactions. Nous avons alors tendance à vouloir exprimer cette pensée ou cette réaction immédiatement et à couper notre interlocuteur sans lui laisser le temps de finir de dire ce qu’il avait à dire. Votre interlocuteur peut trouver cela désagréable ou même impoli. Cela peut lui donner l’impression que ce qu’il a à dire est moins important que ce que vous dites. Si vous êtes réellement intéressé par ce que dit votre interlocuteur et si vous considérez que ce qu’il dit est important, vous ne couperez pas votre interlocuteur et vous le laisserez finir.

8. Ecoutez et comprenez votre interlocuteur
Ecoutez votre interlocuteur, acceptez ce qu’il a à vous dire, comprenez-le et faites lui savoir que vous l’avez compris. Vous pouvez par exemple lui dire : « Je comprends ». Vous devriez savoir et pouvoir vous mettre à la place de votre client et réellement le comprendre.

Ce n’est pas parce que vous l’écoutez ou vous lui avez fait savoir que vous avez entendu et compris ce qu’il a dit que vous êtes d’accord avec lui. Il s’agit là de deux choses différentes. Vous pouvez comprendre quelqu’un, comprendre ce qu’il dit, comprendre son point de vue sans pour autant partager ses idées.

Répondez à ses questions, ne les ignorez pas ou ne les évitez pas, même si elles sont gênantes.

Prenez note des froncements de sourcils, des hésitations, des airs dubitatifs, des airs perplexes, des manifestations d’incompréhension et clarifiez-les. Vous pouvez demander s’il y a quelque chose qui le gêne, avec lequel il n’est pas d’accord, qu’il n’a pas compris, etc. et remédiez-y.

9. Soyez amical
Cela semble évident mais vous devez également être amical. Aimez-vous fréquenter des personnes désagréables ou peu aimables ? Non. Eh bien, vos clients sont comme vous.

LA COMPETENCE ET L’EFFICACITE

10. Soyez compétent

Connaissez vos produits, leurs caractéristiques, leurs avantages, ce qu’ils apportent, comment s’en servir, comment ils fonctionnent, etc.

Connaissez votre marché, la concurrence, les différentes offres, les domaines adjacents à votre métier, etc.

Créez un argumentaire de vente ou s’il en existe déjà un, étudiez-le jusqu’à ce que vous le connaissiez parfaitement.

Connaissez et exercez-vous aux étapes de la vente. Apprenez à mener un entretien de vente. Découvrez quelles sont les meilleures approches pour votre secteur d’activité, mettez-les au point, testez-les, améliorez-les.

Devenez un pro dans votre domaine. Formez-vous, étudiez, écoutez, renseignez-vous, apprenez, visitez, etc. Vous devez arriver au stade où vous pouvez donner rapidement un jugement fiable sur n’importe quelle situation qui touche votre métier.

En faisant cela vous allez devenir un conseiller et un expert reconnu dans votre métier. Et vous allez voir, ce sont les clients qui vont commencer à vous appeler pour vous demander conseil.

11. Soyez performant

1. Spécialisez-vous
Il est toujours plus porteur d’être le leader même si c’est sur un marché de niche car vous pourrez annoncer à votre client que vous êtes leader sur son secteur d’activité (si vous vendez des solutions informatiques, devenez pour commencer le leader des solutions informatiques pour les médecins par exemple). Si vous êtes spécialisé, cela veut dire que vous connaissez parfaitement le domaine en question, vous serez alors considéré comme un expert et il vous sera plus facile de vendre. A partir de cette position d’expert et de leader dans un domaine, vous pourrez ensuite vous développer sur d’autres marchés.

2. Les avantages compétitifs
Plus vos produits ou vos services ont des avantages les différenciant de la concurrence, plus il vous sera facile de vendre. Les exemples ne manquent pas : Apple et son iphone pour n’en citer qu’un.

3. Un produit supérieur aux attentes
Vendre un produit ou un service meilleur que celui de la concurrence est une bonne chose, mais vendre un produit ou un service supérieur à celui auquel votre client s’attend est une stratégie gagnante. C’est ce qui a fait le succès de l’iphone quand il est sorti, il était supérieur à l’idée que l’on se faisait d’un smartphone.

4. Le premier service/produit
Il est toujours plus facile de vendre à un client qui vous connaît déjà, qui a expérimenté la valeur de vos produits. Une stratégie efficace est de proposer un premier produit ou service gratuit ou moins onéreux ou encore un premier contrat moins volumineux afin que le client puisse juger par lui-même de ce que vous faites.

5. Votre temps est précieux.
Il vaut mieux faire 5 rendez-vous et en signer 2 que 10 et n’en signer qu’un. Pour cela vous devriez prendre un peu de temps pour localiser les actions les plus rentables :

– Vous devriez analyser votre clientèle (dans le B to B : taille de vos entreprises clientes, leur secteur d’activité, leur emplacement géographique, etc.). Vous devriez analyser la typologie de vos meilleurs clients en chiffre d’affaire et en rentabilité et vous concentrer sur ce type de clients.

– Vous devriez analyser vos ventes : quel était la fonction de votre interlocuteur quand vous avez vendu, quel était la fonction de votre interlocuteur quand vous n’avez pas vendu, comment s’est passé le processus de vente quand vous avez vendu et pas vendu, avez-vous fait des remises ou pas, avez-vous approché votre prospect ou était-ce lui qui était venu vous voir, quels arguments ont fonctionné, etc.

– Vous devriez choisir les appels d’offre auxquelles répondre en commençant par celles qui sont sur votre cœur de métier. Sinon vous allez vous épuiser puis perdre le moral à cause de la quantité de refus. Travaillez en premier ce qui est payant, faites le reste ensuite.

Les bienfaits du rire sur la santé

 

 

Le rire apporte de nombreux bienfaits à l’être humain, tant au niveau physiologique qu’au niveau psychologique ou même relationnel. En voici quelques uns :

Antidote au stress : Le rire est un des remèdes les plus efficaces, économiques et faciles à administrer contre le stress. Le rire assure une bonne oxygénation du sang, favorise la circulation sanguine, est un puissant relaxant musculaire. Grâce au rire, l’hypothalamus (à la base du cerveau) sécrète des endorphines, hormones à propriétés antalgiques qui réduisent les excès d’adrénaline et de cortisol générés par le stress.

Réduit l’anxiété, les états dépressifs, les insomnies : De nombreuses personnes souffrant de migraines, d’anxiété, d’insomnie ou de dépression ont constaté une amélioration de leur état. La plupart d’entre elles ont pu réduire le recours à la médication.

Renforce le système immunitaire : Le système immunitaire joue un rôle très important dans le maintien d’une bonne santé et la lutte contre les infections, les allergies et de nombreux cancers. Des études menées par des psycho-neuro-immunologistes ont démontré que des émotions négatives comme l’anxiété, la dépression ou la colère affaiblissent le système immunitaire du corps, et partant, réduisent sa résistance aux infections. Selon le Dr. Lee S. Berk de l’Université de Loma Linda (Californie, USA), le rire contribue à accroître le taux d’anticorps. Les chercheurs ont trouvé, qu’au terme d’une thérapie par le rire, il y a un accroissement d’anticorps (Immunoglobuline A) dans les muqueuses du nez et des voies respiratoires, ces anticorps étant reconnus pour leur capacité protectrice contre les virus, les bactéries et autres micro-organismes. Les effets positifs du rire sur le système immunitaire contribuent également à renforcer la résistance des personnes souffrant d’un cancer.

Exercice physique salutaire : Une séance de rire de 20 minutes apporte autant de vitalité et de sensation de bien-être qu’une séance d’aérobic ou de jogging, et cela sans transpirer. Selon le Dr. William Fry de l’Université de Standford (Californie – USA), une minute de rire équivaut à 10 minutes d’avirons. Le rire sollicite de nombreux muscles et provoque un massage des organes internes, particulièrement au niveau de l’abdomen.

Réduit la tension artérielle et les problèmes cardiaques :Des expériences ont montré une nette diminution de la pression artérielle après 10 minutes d’une séance de rire. Le rire améliore la circulation du sang et l’oxygénation du muscle cardiaque, réduisant ainsi le risque de formation d’un caillot.

Atténue la douleur : Le rire provoque la sécrétion d’endorphines dans le corps. Les propriétés antalgiques de ces hormones réduisent immédiatement la douleur. Un excellent témoignage des vertus du rire dans un processus de guérison est le livre « La volonté de guérir » de Norman Cousins, ancien rédacteur en chef du Saturday Review et victime à l’âge de 40 ans d’une forme de rhumatisme incurable et très douloureuse : la spondylarthrite ankylosante. Quand les anti-douleurs ne pouvaient plus l’aider, il s’est tourné vers une thérapie par le rire qui atténuait la douleur et l’a de surcroît complètement guéri.

Accroît la confiance en soi et une vision positive des choses : Les séances de rire permettent aux personnes manquant de confiance en elles de vaincre leur timidité et de mieux se sentir dans leur peau. Au travers des exercices pratiqués en groupe, les participants s’affranchissent de leurs inhibitions, deviennent plus sociables et plus extraverties. Au départ, certaines personnes peuvent être hésitantes à rejoindre un groupe de rire par peur du ridicule. Une fois cette étape franchie, elles prennent plaisir à participer aux séances, viennent avec des suggestions, et développent ainsi leur personnalité et leurs qualités de leadership. En outre, ces séances influencent de façon positive la vision de la vie et développe la capacité de rire tout au long de long la journée.

Développe les relations interpersonnelles : « Le rire est le chemin le plus direct entre deux personnes » disait Charlie Chaplin. Rire en groupe crée un sentiment de communauté et favorise l’ouverture aux autres. Le fait de « s’exposer » en train de rire à d’autres personnes renforcent les liens d’amitié. Il est significatif de constater qu’il est possible et même particulièrement agréable de rire avec des personnes de tous âges, de toutes origines, de toutes cultures,… Le rire abat les barrières et permet de se faire rapidement de nouveaux amis.

Les contre-indications au rire

Il y a peu de contre-indications au fait de participer à une séance de rire.
Les femmes enceintes, les personnes asthmatiques ou ayant un problème cardiaque, consulteront toutefois leur médecin traitant avant de participer aux séances. En effet, certains exercices peuvent provoquer une hyper-oxygénation ou une pression sur la paroi abdominale contre-indiquée dans certains cas.

Les éléments qui doivent composer le petit-déjeuner:

Pour être équilibré, le petit-déjeuner doit comporter :

Une boisson : eau, café, thé, lait, au choix. Le sommeil déshydrate, nous éliminons de l’eau en respirant, en transpirant et en évacuant les déchets du métabolisme dans les urines.

Un produit à base de céréales : tartines de pain, biscottes, céréales prêtes à consommer, par exemple. Grâce à leurs glucides, les produits à base de céréales fournissent l’énergie dont le corps a besoin pour bien commencer la journée.

Un produit laitier : lait, yaourt, fromage blanc, fromage allégé, le choix est vaste. Ce produit apporte le calcium indispensable à la santé des os, mais également des protéines et des vitamines (A, D et B) essentielles à l’entretien de notre organisme.

Un fruit : il fournit les fibres essentielles à notre transit intestinal, de la vitamine C et des sels minéraux indispensables à notre vitalité. Choisissez-le de préférence frais, pour profiter au mieux de ses qualités nutritionnelles. Néanmoins, vous pouvez le boire en jus, mais il sera moins riche en fibres.

Un peu de matières grasses et de sucre. Quelques noisettes de beurre, riche en vitamine A, et quelques cuillères de miel ou de confiture permettent de concilier équilibre alimentaire et plaisir.

Source: eurekasante.fr

Pourquoi l’alliance se porte sur l’annulaire ?

L’annulaire est le quatrième doigt de la main. On l’appelle annulaire, car c’est le doigt sur lequel on porte le plus souvent les anneaux et les bagues, et notamment l’alliance, le symbole du mariage.

Mais pourquoi l’alliance se porte-t-elle sur l’annulaire ?

Pour répondre à cette question, on se tourne vers l’Asie, où il y a une belle et convaincante explication donnée par les chinois.

Dans cette explication chacun de vos doigts représentera une ou plusieurs personnes :

 

  • Le Pouce représente vos parents.
  • L’Index (second doigt) représente vos frères et sœurs.
  • Le Majeur vous représente (c’est celui du milieu).
  • L’Annulaire représente votre partenaire.
  • L’Auriculaire (le plus petit) représente vos enfants.

Tout d’abord, coller vos mains paume contre paume, ensuite plier les doigts du milieu pour les mettre dos à dos.

Les extrémités des 3 autres doigts et du pouce sont ouvertes et collées, comme le montre la photo

➽ Maintenant, essayez de séparer vos pouces (vos parents).
Ils vont s’ouvrir, parce que vos parents ne sont pas destinés à vivre avec vous tout au long de votre vie, et doivent vous quitter tôt ou tard.
Recoller vos Pouces.

➽ Séparer vos Index (vos frères et sœurs).
Ils vont aussi s’ouvrir, parce que vos frères et sœurs auront leurs propresfamilles et leurs propres vies.
Recoller vos Index.

➽ Essayer de séparer vos petits doigts (vos enfants).
Ils s’ouvrent aussi, parce qu’un jour vos enfants vont grandir, se marier, s’installer dans leur propre maison et gérer leur vie.
Recoller vos Index.

❤ Enfin,  essayer de séparer vos annulaires (votre femme).
Vous allez être surpris, car vous n’y arriverez pas. Le mari et la femme sontréunis par un lien sacré et doivent rester ensemble toute leur vie pour le meilleur et le pire.

Quelle belle théorie chinoise de l’amour !

Thomas Edison : 8 mots-clés ou attitudes pour innover

Avec 1093 inventions à son actif et quelque 200 brevets représentatifs, Thomas Edison (1847-1931) est l’archétype de l’innovateur. Innovateur et entrepreneur : l’entreprise qu’il créa en 1889 – General Electric – figure encore aujourd’hui parmi les ténors de l’innovation.

Quels conseils voudrait-il nous donner ?

1. Courage

La première invention et le premier brevet (1868) d’Edison – un système d’enregistrement électrique de votes – était techniquement abouti mais fut un échec commercial. Mais il croyait en l’électricité, continua ses recherches, essaya différentes choses – beaucoup de choses – et finit par mettre au point sa plus grande invention: l’ampoule électrique.

2. Prototypage

La meilleure façon de connaître la valeur réelle d’une idée est de la tester, de la transformer en prototype. Le prototype permet de passer rapidement de l’imagination au plus ou moins concret tout en limitant les coûts et les risques.

3. Essais – Erreurs

Indépendamment de son issue – heureuse ou malheureuse – une expérience a toujours un résultat positif à savoir un apport de connaissances. Connaissances qui ne sont pleinement utiles que si elles sont analysées, mémorisées, utilisées, etc.

En d’autres mots, il ne faut surtout pas se détourner des erreurs quitte à emboîter le pas à Edison en entretenant une véritable culture de l’erreur.

4. Problèmes

Si les erreurs mises à jour lors des expériences sont des enseignements, les problèmes en sont autant d’autres. Pour Edison, la créativité ne démarre pas en formulant des solutions mais en identifiant des problèmes. Par exemple, il portait grand intérêt aux griefs formulés par les clients et s’en servait pour procéder à des améliorations (innovation incrémentale).

5. Imperfections = Opportunités

Une des équations préférées d’Edison : problème = opportunité.

Sa principale stratégie consistait à rebondir sur des solutions ou technologies existantes en identifiant leurs points faibles et en tentant d’y apporter des réponses innovantes. Deux cas parmi les plus connus : Edison n’a inventé ni le téléphone, ni le télégraphe ; il a par contre fortement amélioré ces deux technologies.

6. Mémoire (et notes)

Une bonne mémoire, de l’avis d’Edison, est nécessaire pour innover ; elle permet notamment de croiser des idées. Cependant, il ne faisait que partiellement confiance à sa mémoire. La recette d’Edison : des dizaines de carnets de notes disséminés dans son atelier, son bureau, etc ; tous ses collaborateurs étant priés de faire de même.

Ceci précisé, il préférait de loin les images et les schémas aux mots qu’il qualifiait parfois de « hiéroglyphes » (ndr : sans doute en raison de sa dyslexie).

7. Standardisation

Parmi les nombreux facteurs ou vecteurs de succès d’Edison : la standardisation.

Il fut un pionnier en la matière en instaurant un « bureau des standards » dans son entreprise. Ce bureau avait pour mission d’imposer des normes aux départements (internes) et de collecter les avis, les attentes des autres parties prenantes pour définir les meilleures pratiques.

8. Travail

C’est maintenant démontré : la créativité découle de la productivité. Edison confirma pleinement la règle au moins de deux manières. Par une citation célèbre : « le génie c’est 1% d’inspiration et 99% de transpiration » (« Genius is 1 percent inspiration and 99 percent perspiration« ) et par un travail sans relâche (sur différents projets simultanés).