5 façons pratiques pour se motiver à finir ce que l’on a commencé

Princess of the North

Il doit y avoir une bonne raison pour laquelle trop de personnes commencent un projet ou une tâche, et à un certain moment, finissent par abandonner.

Vous connaissez sûrement le désir brûlant du début. Le problème, c’est qu’à un moment ou un autre, on commence à se sentir débordé, frustré ou stressé. C’est le point de rupture où la motivation commence à décliner, et où l’on pense abandonner.

 

L’enthousiasme à achever ce que l’on commence faiblit toujours. Cela fait partie de la nature humaine. Nous avons tendance à baisser les bras lorsqu’on perd goût au projet, ou tout simplement lorsqu’on n’a plus aucune idée sur la prochaine étape à suivre.

Pour ne plus tomber dans cette catégorie de personnes qui bloquent au niveau de la frustration, il existe 5 moyens qui peuvent vous tenir motivés à terminer ce que vous avez commencé. Avec la bonne humeur en prime !

1 – Utilisez l’effet boule de neige à votre avantage

Pourquoi vouloir vous parler d’effet boule de neige quand je vous parle de motivation ? Simplement parce que ça traite d’ « élan » ou de « dynamique ». Pratiquement, cherchez la partie du projet qui vous intéresse ou vous amuse le plus, et débutez de ce côté-là.

Lorsque vous finirez cette partie facilement et rapidement, votre enthousiasme va rebondir. Cela crée un élan que vous allez utiliser pour poursuivre le travail.

Peu importe le type de tâche que vous allez choisir, ce qui importe le plus c’est le sentiment d’accomplissement que vous récoltez.

2  – Divisez le projet en de petites tâches plus simples

Lorsque vous vous attaquez à un gros projet, la raison principale pour laquelle vous abandonnez c’est que vous ne savez plus où donner de la tête. Vous n’avez plus une vision claire de la prochaine étape à suivre.

Pour rester motivé, essayez de partitionner le projet en de petites portions plus gérables.

Quels sont les avantages ?

Premièrement, le projet semblera moins ennuyeux. Ensuite, lorsque vous complétez chaque portion l’une après l’autre, vous aurez un sentiment de satisfaction. Il n’y a rien de mieux pour votre moral.

Mais avant de passer à la prochaine tâche, n’oubliez pas de vous récompenser avec un petit cadeau. Cela vous motivera davantage à compléter la tâche suivante.

3 – Créez un mantra et un rituel

C’est probablement l’astuce la plus simple pour vous motiver. Si votre projet est par exemple de finir votre maison, vous pouvez utiliser un mantra du genre : « la maison de mes rêves ». Le mantra en lui-même n’est pas si important que cela. C’est l’émotion que vous obtenez d’elle qui compte.

Si votre but est de perdre du poids, ce n’est pas facile de perdre les mauvaises habitudes que vous avez accumulées depuis. C’est plus efficace de créer un rituel pour renforcer votre nouveau style de vie. Vous pouvez par exemple écrire un petit journal où vous écrirez pourquoi c’est important pour vous de perdre du poids. Une autre idée est de regarder une image qui représente le corps de vos rêves tous les matins, au réveil.

4 – Sachez où vous allez

Si le fait d’être concentré sur sa tâche est une chose, avoir une direction bien précise en tête en est une autre. Un manque de clarté sur la direction que prend votre projet provoque forcément une baisse de motivation. Si l’on n’a aucune idée de la prochaine action à prendre, on succombe toujours à la tentation de remettre au lendemain.

Voici quelques astuces pratiques : Vous savez qu’il existe des activités qui paient plus que d’autres. Identifiez alors celles qui sont les plus rentables. Faites ensuite un plan d’action qui se concentre sur elles.

5 – Soyez plus acteur que penseur

Pratiquez l’habitude de faire les choses, pas seulement d’y penser. Plus une idée demeure dans votre tête sans prendre des actions envers elle, plus elle devient faible. Après quelques jours, les détails seront flous. Après quelques semaines, ces détails s’évanouiront complètement.

Les idées à elles seules n’apportent pas le succès ou l’épanouissement. Les idées sont importantes, mais elles n’ont de valeur que si l’on agit sur elles. Une idée moyenne que vous avez mis en pratique possède plus de valeur qu’une idée brillante que vous avez « réservée pour un autre jour », pour la « bonne opportunité ». C’est une autre raison pour laquelle on ne termine jamais ce que l’on commence : nous ne prenons pas assez d’actions.

A partir d’aujourd’hui, faites en sorte que ces 5 astuces fassent partie intégrante de votre vie. Vous aurez la satisfaction d’accomplir plus en moins de temps qu’il n’en faut, et le plus important : vous le ferez avec enthousiasme.

A. Robbins a dit :

L’auteur à succès Anthony Robbins a écrit un jour : « Le succès est le fruit d’un bon jugement. Le jugement est le fruit de l’expérience. L’expérience est souvent le fruit d’erreurs de jugement. ».

Servez-vous de vos expériences passées pour apprendre, grandir et devenir une meilleure personne. À l’inverse, n’utilisez pas le passé comme excuse pour votre inaction ou inertie sous prétexte que vous ne voulez plus connaître l’échec. En fait, selon moi, l’échec n’existe pas. Ce que certains appellent échec, moi j’appelle plutôt cela un processus infini d’apprentissage. Pour chaque échec vécu vous devriez avoir tiré une leçon et au lieu de baisser les bras, vous devriez plutôt vous retrousser les manches et vous servir de votre expérience pour enfin connaître la réussite.

Certains sont paralysés par la peur et leurs difficultés passées en sont probablement la cause. Prenez le temps d’analyser le contexte dans le quel vous avez vécu ces difficultés, demandez-vous si vous auriez pu agir autrement, faites une rétrospective de votre attitude à ce moment et tentez de voir comment vous pouvez tourner à votre avantage la situation.

Si vous avez connu plus que votre lot de difficulté dans la vie, c’est probablement parce que le destin vous prépare pour une grande mission dont vous aurez besoin de toute cette sagesse et cette expérience que vous avez acquise durant vos épreuves.

Au lieu de passer beaucoup de temps à ressasser vos problèmes, vous devriez plutôt vous servir de ce que vous avez appris pour trouver des solutions. Au lieu de gaspiller vos énergies et votre temps à vous plaindre, au lieu de penser à toutes ces choses que vous auriez aimé voir ne pas se produire, mettez plutôt le focus sur ce que vous désirez voir se réaliser.

Si vous avez connu plusieurs échecs, c’est probablement aussi parce que vous avez également beaucoup vécu. Ceux qui connaissent des difficultés ou vivent des échecs c’est probablement parce qu’ils ont l’audace de vivre différentes expériences. Pour ma part, je préfère échouer en tentant quelque chose que de rester assis confortablement en chaussant mes pantoufles en béton, bien assis devant mon téléviseur. Je préfère tenter de nouvelles expériences et toujours apprendre, découvrir de nouveaux horizons, repousser mes limites que de mener une vie confortable, sécuritaire et médiocre.

Servez-vous de votre passé pour vous propulser au sommet de la réussite. Ne vous servez pas de votre passé comme excuse pour refuser de vous impliquer sous prétexte que vous aviez déjà tenté, mais sans succès. Cessez de vous plaindre par rapport à votre passé. Vos problèmes ne sont pas permanents et il existe une solution à tout. Aussi, ce n’est pas parce que vous avez vécu un problème qu’il surviendra à nouveau.

 

En fait, servez-vous du passé pour faire de votre avenir un futur heureux.

3 conseils pour entretenir votre mémoire

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1 – Mémorisation

Choisissez une citation qui vous plait pour ce qu’elle apporte de valorisant ou de compréhension sur la vie. Lisez-là à haute voix et mémorisez-là. Fixez-là dans votre esprit pendant une semaine en tâchant de l’intégrer totalement.

Cet exercice peut paraître simple, mais il l’est moins qu’il n’y paraît.
Parfois, même se rappeler quelques mots d’une phrase s’avère difficile. Surtout d’un jour à l’autre. C’est pourquoi je vous propose de la garder en mémoire pendant une semaine avant d’attaquer une autre citation à mémoriser.

2 – Méditation et concentration

Cet exercice est assez facile à réaliser, mais il réclame un minimum de tranquillité. Il vous faut donc trouver un endroit calme. Éteindre les téléphones et vous assurer que personne ne viendra vous déranger tout le temps que durera l’exercice.

Une fois que ces conditions sont remplies, vous devez prendre un texte de 5 lignes et faire en sorte de le mémoriser. Pour vous assurer que vous y arriviez dans de bonnes conditions, il va vous falloir travailler dans le calme et commencer par vous relaxer.

Prenez donc une position allongée, si possible sur le dos, les bras le long du corps et les jambes décroisées. Respirez calmement et cherchez à maintenir un compte égal de pulsations pour l’inspiration ou l’expiration. Concentrez-vous sur ce rythme. Supposons que vous comptiez 5 pulsations à l’inspiration, il vous faudra le même temps pour l’expiration. Faites cet exercice durant 10 minutes.

Il faut arriver à vous concentrer sur le rythme sans laisser votre esprit vagabonder sur d’autres choses. Cela n’a absolument rien de facile. Généralement, même pas au bout d’une minute, le sujet oublie qu’il doit compter et respire à nouveau normalement laissant son imagination le guider dans d’autres sphères.

Quand vous arrivez à faire l’exercice et à vous concentrer vraiment, vous pouvez vous consacrer à nouveau 10 minutes pour apprendre votre texte par coeur.
Si vous n’arrivez pas à le mémoriser le premier jour, n’insistez pas. Il ne faut en aucun cas que l’exercice devienne une source de tension. Préférez le remettre au lendemain.

Si vous parvenez à le faire dans sa totalité en seulement une semaine et à bien mémoriser les cinq lignes, c’est que votre mémoire est bonne. Si vous y arrivez en moins de temps, c’est que votre mémoire est excellente. Si vous dépassez le cap d’une semaine, alors il vous faut travailler davantage votre mémoire.

3 – Les compléments nutritionnels

Certaines plantes et/ou compléments alimentaires vont aider à retrouver la mémoire. Voici donc une liste de plantes qui peut vous être utile.
A noter qu’aucun complément nutritionnel ne peut suffire à la dynamisation de votre activité cérébrale si vous ne faites pas des exercices de mémorisation.

– Le Ginkgo Biloba : c’est un arbre très ancien, peut-être le plus ancien qui résiste à tous les changements climatiques et bouleversements terrestres depuis que le monde est monde. On utilise ses feuilles depuis des siècles pour améliorer la circulation veineuse et notamment la circulation sanguine cérébrale. Très employé par la médecine chinoise pour lutter contre les problèmes de mémoire. Vous pouvez vous en procurer sous la forme de gélules en pharmacie ou en magasin bio.

– L’acérola : est un fruit exotique riche en vitamine C naturelle. On l’utilise comme antioxydant. Il aide à augmenter les défenses immunitaires et à protéger les cellules du cerveau des radicaux libres.

– Les omega 3 : l’huile de noix ou de chanvre par exemple, ainsi que les huiles de poissons (saumon, sardine, hareng, maquereau,etc…).
Des chercheurs de l’Université de Californie Los Angeles (UCLA) viennent de mettre en évidence que le DHA (Acide Docosahéxaénoique), un acide gras de la famille des oméga 3 trouvés en abondance dans le poisson, stimule la production d’une protéine anti-Alzheimer.

– L’huile de coco : elle aide le foie à synthétiser les gras cétones indispensables au bon fonctionnement des cellules du cerveau.
Les dernières recherches prouvent qu’une dose de 20 grammes (environ 20 ml ou 4 c. à thé) d’huile de coco par jour peut, non seulement protéger contre l’incidence de la maladie d’Alzheimer, mais aussi réellement inverser cette tendance

Je Ne Suis Pas Passionné Par Mon Travail, Quoi Faire ?

Travailler sans passion nous conduit vers deux problèmes. Le premier est le fait d’être constamment dans l’ennui et le second est le fait de ne pas être productif. L’improductivité nous plonge dans l’ennui et l’ennui nous rend improductif. La boucle est fermée et nous avons besoin de nous en sortir.

 

Lorsque vous n’avez aucune passion pour ce que vous faites, je vous suggère de quitter et de changer votre job. La passion est un sentiment qui suit la loi de tout ou rien. Autrement dit, soit vous êtes passionné soit vous ne l’êtes pas. Vous ne pouvez pas développer votre passion petit à petit. Soit vous êtes amoureux de votre travail soit vous êtes froid voire vous le détestez. Et si c’est le cas, la solution la plus efficace pour vous est de changer votre job.

Heureusement que le travail que vous exercez aujourd’hui n’est pas le seul et l’unique au monde. Il y a des milliers d’offres d’emplois et d’opportunités de carrières qui vous attendent ailleurs. Et comme vous avez pu décrocher et intégrer votre job actuel, vous pouvez intégrer d’autres. D’ailleurs, il est beaucoup plus facile de décrocher un job pour lequel nous sommes passionnés qu’un autre que nous n’aimons pas.

Voyons maintenant, qu’est ce que veut bien dire être passionné pour son travail. Il s’agit, en effet, d’aimer ce que vous faites et que vous ayez une grande envie d’innover ou de contribuer à un domaine particulier. Ce dernier peut être lié aux sciences pures, sciences sociales, le mangement, le commerce, la littérature, la communication, etc.

Quels sont les symptômes de la passion pour un travail ? Tout d’abord, vous ne sentez pas le temps passer. Ensuite, vous adorez raconter aux autres ce que vous faites avec une certaine fierté. Vous commencez aussi à chercher les personnes qui excellent dans votre domaine et comment ils ont pu atteindre leur niveau. Vous désirez être comme eux voire les dépasser. Aussi, vous commencez à avoir pleines d’idées pour avancer dans ce que vous faites et d’autres idées pour améliorer le domaine lui même. Vous finissez par sentir que vous êtes fait pour ce que vous faites et votre entourage le confirme.

Si vous n’avez aucun de ces symptômes, cela veut dire que vous n’avez pas encore eu le virus de la passion pour un métier ou pour un domaine. Il est donc temps de changer de cap et de chercher une expérience plus passionnante ailleurs.

Dans le cas contraire, rester dans un métier ou dans un travail pour lequel nous n’éprouvons aucune passion implique le fait de ne pas avoir de perspectives et d’objectifs. A part le sentiment d’être là pour gagner de l’argent, nous sentirons de l’ennui, nous aurons de la difficulté à se réveiller tous les matins et du coup notre performance baissera énormément.

Cette baisse de performance est souvent mal interprétée. Les personnes n’étant pas conscientes de leur manque de passion pour leur travail croient qu’elles sont tout simplement nulles, pas douées et non créatives. Le manque de confiance en soi et de l’estime de soi est de ce fait une conséquence naturelle.

Un des premiers bienfaits d’exercer un métier que nous aimons est le développement de notre personnalité. Une fois je fais ce que j’aime, je suis plus efficace, plus innovant et plus créatif. Je produis et je suis souvent fière de ce que je réalise. Ainsi, mon estime de moi-même et ma confiance en moi augmentent.

Le fait d’exercer une fonction que j’aime me permet aussi d’avoir des opportunités d’évolution. Dans plusieurs cas, les personnes qui éprouvent un grand plaisir dans leur métier finissent par développer leurs propres projets. Leur volonté d’aller loin et de faire toujours plus les pousse à vouloir dépasser leur entreprise actuelle. Enfin, faire ce que j’aime m’ouvre la voie vers la distinction.

Comme j’ai dis au début de cet article, faire un travail pour lequel je suis passionné implique le fait de quitter celui pour lequel je n’éprouve aucune passion. Ceci est, certes, une décision très difficile. Mais sachez tout de même que c’est un choix qui n’est douloureux que sur le court terme. Sur le long terme, ce changement sera sans doute très bénéfique. C’est le passage obligatoire vers l’épanouissement et la réussite professionnelle.

Sachez qu’il vaut mieux la douleur passagère du changement d’emploi que la souffrance permanente de l’ennui. Pour prendre ce genre de décision vous avez besoin du courage et d’une bonne planification.

Le besoin de reconnaissance

Pyramide de Maslow

Accomplissement personnel (morale, créativité, résolution des problèmes…).

Estime (confiance, respect des autres et par les autres, estime personnelle)

Besoins d’appartenance et affectif  (amour, amitié, intimité, famille, sexe).

Besoins de sécurité (du corps, de l’emploi, de la santé, de la propriété…).

Besoins physiologiques (respirer, boire, dormir, manger).

Eric BERNE, père de l’Analyse Transactionnelle a démontré que le besoin de reconnaissance sociale, est pour l’homme (animal social) un besoin aussi important que les besoins physiologiques.

Signes de reconnaissance: Ce sont des stimuli physiques, verbaux ou non verbaux, positifs ou négatifs, conditionnels ou inconditionnels, constructifs ou destructifs qui vont confirmer à l’individu son existence et sa place au sein de la société.
Besoin de reconnaissance: besoin d’être reconnu par les autres.

Imaginez un instant: Vous vous levez de bonne humeur et partez au travail. En chemin, vous croisez votre voisin, vous lui adressez un sourire et lui dites “bonjour”, il ne vous regarde pas, ne vous répond pas et continue son chemin comme si vous n’existiez pas. Votre réaction sans doute va être de vous dire ” Ah! Il est de mauvaise humeur…”.

Vous arrivez à votre travail, en passant dans le hall, vous dites “bonjour” à la standardiste ou hôtesse d’accueil avec qui vous avez l’habitude de blaguer. Elle ne vous répond pas et continue comme si de rien n’était et répond aux appels téléphoniques.Vous allez sans doute vous dire ” Décidément, tout le monde fait la gueule aujourd’hui”.

A votre bureau, vos collègues ne vous disent pas non plus bonjour, vous ignorent et ne répondent pas à vos blagues ou à vos sollicitations. Là, vous commencez à douter non plus des autres, mais de vous ” Mais, qu’est-ce que j’ai fait?”. Vous passez la journée sans échanges verbaux ou non verbaux (sourires, tape amicale sur l’épaule) la journée vous paraît une éternité.
Vous rentrez chez vous et décidez de vous confier à vos amis. Vous les appelez, ils ne répondent pas. Alors, vous leur laissez un message sur leur boîte mail, ils ne répondent pas…
Comment vous sentez-vous ? Toujours aussi heureux ?

Plus vous avez de l’estime ou de l’affection vis-à-vis d’une personne, si celle-ci ne répond pas à votre besoin de reconnaissance (positivement ou négativement), plus vous allez vous sentir blessé par un sentiment de rejet ou d’abandon et vous allez naturellement vous culpabiliser sur une attitude que vous auriez peut-être eu, justifiant ce manque de reconnaissance. Votre estime de vous va décroître pour laisser place à la tristesse, la colère.

D’une position initiale JE SUIS OK – LES AUTRES SONT OK (Aller de l’avant avec l’autre), vous passez dans une position JE NE SUIS PAS OK – LES AUTRES SONT OK ( Fuir l’autre).
Si cette situation de manque de reconnaissance perdure, que vos demandes d’explications sur vous, sur l’autre n’obtiennent de réponses,  que vos signes de reconnaissance restent sans réponse de la part de la personne à qui vous les envoyez, votre incompréhension et votre colère vont prendre le dessus.

De la position JE NE SUIS PAS OK – LES AUTRES SONT OK vous passez dans une position JE NE SUIS PAS OK – LES AUTRES NE SONT PAS OK (Etre dans l’impasse).

Vous avez dès lors deux choix possibles:
– Vous êtes convaincu que vous ne valez rien, ni les autres et vous vous enfoncer dans la dépression.
– Vous décidez d’être OK avec vous, de repartir de l’avant et considérant que l’autre N’EST PAS OK, vous vous débarrassez de lui en rompant le lien affectif qui vous lie. JE SUIS OK – LES AUTRES NE SONT PAS OK (Se débarrasser de l’autre).

Votre estime de soi va remonter au fur et à mesure que vous vous sentez OK, et vous pourrez de nouveau passer dans votre position initiale JE SUIS OK – LES AUTRES SONT OK.

Prenez n’importe laquelle de vos relations et faites le constat suivant, elle ne peut être saine que dans la position où il y a un échange mutuel de reconnaissance et d’estime.

Vous avez aussi un autre genre de relation:
JE SUIS OK et LES AUTRES SONT OK, je vais de l’avant avec les autres.
Sauf que l’autre est OK avec vous tant que vous lui envoyer des signes de reconnaissance ce qui est normal mais vous vous apercevez que vous n’avez pas de signes de reconnaissance autre que la réponse de ceux que vous lui avez envoyé. Il prend, prend tant que vous l’admirez ou l’aimez.

Combien connaissent ce genre de relations?Je donne et ne reçois rien en retour…Dites vous que s’il n’y a pas un échange naturel de signes de reconnaissance, c’est tout simplement parce que l’autre est dans la position:

JE SUIS OK – LES AUTRES NE SONT PAS OK.
Inutile de perdre votre temps, votre énergie, votre estime de vous avec ce genre de personnes et continuez votre chemin pour vivre des relations sincères où le partage et l’échange existent dans une relation bilatérale et non unilatérale.

Relaxation : 8 méthodes pour se relaxer


1. Respirer

La respiration est l’un des meilleurs moyens pour se relaxer. Les sages expliquent qu’elle est le lien entre l’esprit et le corps. Ils enseignent que la qualité d’une vie dépend de la qualité de la respiration. Il s’agit d’une respiration profonde par le ventre. Pour le faire, il peut être plus facile de poser sa main sur son ventre.

2. Se concentrer sur son ventre

La concentration permet de libérer les tensions du corps. Il suffit de porter son attention sur le ventre. Au début, on peut le faire en baissant la tête pour regarder son ventre.

3. Être présent

« Dans presque toutes les méthodes d’harmonisation intérieure, il nous est demandé de nous concentrer. Il s’agit donc moins de faire le vide que d’être présent à quelque chose: à nos membres, à notre respiration, à nos idées, à des formules, à des sons ou à de la musique, à des consignes enregistrées sur cassette, à certains mouvements, à certaines sensations, à des images, à la flamme d’une bougie, à des objets, etc. (…) Dans le quotidien, la présence aux choses et aux êtres rend la vie beaucoup plus belle. » Jacques Lafleur, Relaxer. Des stratégies pour apprivoiser son stress, Éditions Logiques, 1998.

4. Masser ses muscles

Le massage permet de détendre les muscles. Il peut se pratiquer à deux ou seul. Il est possible de passer plus d’un heure pour masser doucement toutes les parties du corps.

5. Ecouter une musique zen

La musique douce est une bon moyen de se détendre. Ecouter « Zenradio » par exemple.

6. Adopter une position qui permet la détente ses muscles

« Quand on est stressé, tous nos muscles se contractent. On peut cependant les détendre, en partie, en prenant une posture qui ne nécessite pas de contraction. Les positions allongée et assise facilitant le relâchement de la plupart des muscles, on les utilise dans la majorité des méthodes de relaxation. » Dans « Relaxer », l’auteur suggère des positions tirées du yoga, du training autogène, de la sophrologie et de l’anti-gymnastique. Jacques Lafleur, Relaxer. Des stratégies pour apprivoiser son stress.

7. Penser à une scène relaxante

Fermer les yeux et se projeter dans un endroit calme que l’on connait ou pas. Cela peut être au bord d’un ruisseau. Regarder autours de soi. Ecouter le bruit du l’eau.

8. Pratiquer la méditation de contemplation

Il s’agit de regarder ses pensées apparaître et disparaître.

Comment vous libérer de vos croyances limitatives !

Comment se libérer de ses croyances négatives

Vos croyances actuelles, qu’elles soient positives ou négatives, vraies ou fausses, se sont forgées sans effort et sans l’intervention de votre volonté. Vos habitudes, néfastes ou salutaires, se sont « construites » de la même façon, sans effort ! Vous devez donc employer le même processus pour créer de nouvelles croyances ou habitudes.

Il a été largement démontré que vouloir essayer d’employer l’effort ou la volonté pour changer les croyances, produit l’effet inverse.

 

  coche.jpg# Vos croyances peuvent faire échouer ou réussir votre vie !

C’est à prendre au sérieux !  Demandez-vous pourquoi il vous parfois faire « 100 fois » plus d’efforts que les autres dans un domaine particulier, alors que vous essayez d’agir avec toute votre bonne volonté ? Une simple croyance limitante peut faire obstacle à votre réussite, tout simplement, parce que vous l’avez mise sur un « piédestal  » de votre existence.

 

Emile COUE, petit pharmacien français qui a étonné le monde en 1920 grâce au « pouvoir de suggestion » affirmait: « Vos suggestions (buts idéaux) doivent être faites sans effort si vous voulez qu’elles soient efficaces »; et sa Loi de l’effet inverse énonçait:

« Lorsque la Volonté et l’Imagination entrent en conflit, l’Imagination gagne invariablement ».

 

coche.jpg# Comment utiliser le pouvoir de la pensée rationnelle

Notre mécanisme interne inconscient (ou ce que l’on nomme l’inconscient) est absolument impersonnel. Il fonctionne comme une machine et n’a pas de volonté bien définie.  L’inconscient essaie toujours de réagir conformément à nos croyances et à l’interprétation que l’on a de l’environnement. Il cherche toujours à nous donner les sentiments appropriés et à accomplir les buts que, consciemment, l’on se fixe.

Le subconscient fonctionne à partir des « données » que vous lui fournissez, sous différentes formes :

– d’idées,

– de pensées;

– de croyances volontaires ou subis)

– d’interprétations,

– d’opinions,

– de savoirs et de connaissances

– d’informations perçues

C’est  la pensée consciente qui est le « bouton de commande » de votre mécanisme inconscient. Ce fut par la pensée consciente, bien que peut-être irrationnelle et irréaliste, que l’appareil inconscient a développé ses « modèles » de réactions négatives et inappropriées; c’est par la pensée consciente et rationnelle que vous pouvez changer ces modèles de réactions automatiques.

 

coche.jpg# Comment se libérer de vos croyances limitantes ?

Prenez tout d’abord conscience que vous vous êtes imposé jusqu’à ce jour des LIMITES ! Celles-ci vous retiennent dans vos ambitions, vos projets. La période de l’enfance est souvent la « source » des vos limites personnelles. Par exemple, si dans votre famille, l’idée de l’argent était un sujet tabou, ou bien que la considération envers le monde de la finance était « mal perçue », il y a de fortes probabilités pour qu’aujourd’hui encore, vous éprouviez des difficultés pour joindre « les deux bouts ».

 

coche.jpg# Comment la loi psychologique du Pardon peut vous libérer

Un sentiment de culpabilité peut se créer dès lors ou vous avez « détecté » une croyance limitante et peut se faire jour. Ceci ne servirait à rien et serait improductif que d’en vouloir à votre éducation, vos aînés de vous avoir inculqué des limites mentales.

 

Le pardon est un bon compromis. D’une part, vous ne vous mentez pas sur la réalité d’un fait : vos croyances passées (imposées ou subies). D’autre part, vous vous pardonnez à vous-même, mais surtout à votre entourage (parents,, éducateurs. Apprenez à pardonner et il vous sera plus aisé d’accepter une nouvelle croyance. En faisant « place nette » dans votre esprit, vous laissez un espace plus sain à des croyances libératrices et épanouissantes.

coche.jpg# Les 2 croyances limitantes à détecter d’urgence !

Il y a en a plusieurs et il serait trop long de les énumérer ici. Néanmoins, on retrouve fréquemment les mêmes,  Voici celles qui reviennent de manière récurrente :

– « Je ne suis pas capable de … »

Cette croyance peut se formuler dans votre langage comme une croyance très forte. Vous finissez par intégrer cette idée. Elle peut devenir très vite un obstacle de taille dans tout ce que vous entreprenez.

– « Je n’ai pas le droit de… (réussir, bien gagner ma vie, changer de métier, être heureux(se)… »

Sans doute la croyance la plus pernicieuse et très courante. Vos origines familiales peuvent en être la « source ». Tant que vous ne vous « donnez pas le droit de… » vos efforts seront inutiles.

 

coche.jpg# Les Solutions pour changer de croyances !

Fort heureusement, des solutions existent ! Plusieurs pistes se présentent quand on veut modifier ses croyances limitantes.

 Les Bains de lectures : Au lieu de demeurer « formaté » dans des convictions limitantes, incitez-vous à lire la vie de celles et ceux qui n’adoptent pas les mêmes croyances que vous.Essayez de comprendre « POURQUOI » elles pensent, agissent, perçoivent différemment de vous. Vous constaterez qu’ils sont capable d’obtenir de très bons résultats, là où vous pensiez que vos croyances étaient « solides comme fer ».

 

Faites des expériences nouvelles : C’est dans l’immobilisme que l’on renforce nos croyances. C’est face aux changements que l’on parvient à « ébranler l’édifice » de nos croyances. Parfois, de nouvelles perspectives, des expériences différentes nous font entrevoir que nos convictions ne sont pas aussi « solides » que l’on pensait jusqu’ici.

 

Les messages subliminaux : S’ils sont personnalisés, ils peuvent offrir de belles perspectives de changements en douceur. Le principe est d’employer des messages audio personnalisés et de les enregistrer – sous le seuil de la conscience -. Une musique agréable est là pour couvrir les messages personnalisés. Par une écoute régulière, les messages vont finir par « cheminer » dans les couches profondes de votre personnalité. Vous noterez que vous modifiez peu à peu votre croyance négative.

 

L’hypnose : Technique efficace par excellence. La condition est l’adhésion de la personne à l’idée de changer sa croyance. La prise de conscience par la personne intéressée est la base de la solution. Quand le constat est fait qu’une croyance limitante est l’origine du problème, la séance peut avoir lieu. Des séances personnalisées d’hypnose peuvent être enregistrée et ainsi, par une écoute régulière, agir en profondeur.

Dans les deux dernières techniques (subliminale et hypnose), se rappeler que la répétition fait la force de la suggestion. Une suggestion entendue et réitérée, répétée devient à terme une nouvelle croyance.

 

La PNL : Dans un but bien précis, qui consiste à intégrer de nouvelles croyances positives, libératrices par des métaphores par exemple, les changements peuvent être très fructueux. L’emploi de métaphores est sans doute, plus puissant que l’on voudrait le penser. On se surprend souvent à s’exprimer ainsi :

« Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt » (idée absurde car sans fondement).

 » Je gagnerai ma vie à la sueur de mon front » (faux, les personnes qui gagnent bien leur vie, ne travaillent pas plus que les autres, mais plus intelligemment. Ces phrases font partie de notre jargon et ne portent pas préjudice à notre conscience, SAUF, si on se les approprie comme croyances.

Une chose est  sûre, c’est que la prise en compte d’un bilan de vos croyances peut faire de votre vie un succès ou un échec. Pensez-y !

Le secret de la vie

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Un journaliste occidental demanda un jour au Mahatma Gandhi : « Pouvez vous me donner le secret de votre vie en trois mots ? » Gandhi, vous le savez, n’a jamais failli à un défi. « Trois mots ? » répondit-il. « Bien sûr : Renoncez et profitez ! ».

Si vous voulez vraiment profiter de la vie, signifiait-il, renoncez à toutes vos exigences personnelles.

Le Bouddha, qui n’a pratiquement jamais parlé de lui-même, admit un jour calmement : « Je suis le plus heureux des mortels. Personne n’est plus heureux que je ne le suis ».

Il s’agit de la joie pour laquelle chacun d’entre nous est venu au monde. Non pas les plaisirs futiles, non pas les joies étincelantes ou les bijouteries fantaisies, mais un trésor hors de prix : celui dissimulé au plus profond de nos coeurs.

Le détachement libère non seulement de la joie mais est aussi le secret de la santé. Il est la meilleure assurance médicale au monde, et pas seulement parce qu’il peut nous libérer des habitudes physiques qui sappent notre vitalité.

Le détachement est un don de la longévité. Se libérer des enchevêtrements émotionels compulsifs, est la meilleure assurance contre le stress. Plus encore, en ouvrant une fenêtre sur une vue plus complète, plus imposante de la vie, que celle dictée par son intérêt propre, le détachement apporte un objectif. Sans raison d’être, l’être humain dépérit et meurt intérieurement.

Aussi paradoxale que cela puisse paraître, c’est le détachement qui nous permet de nous lancer corps et âme dans une tâche qui en vaut la peine, sans jamais être déprimé, abattu, ou épuisé – jusque dans les derniers jours de notre existence.

La plupart des gens qui travaillent dur, par exemple rapportent du travail chez eux, aboyant comme un caniche à leurs pieds. Le détachement nous donne la capacité de nous concentrer entièrement une fois au travail, et de le lâcher complètement lorsque nous traversons le pas de la porte.

Un employé détaché est un employé sur qui on peut compter, un employé en harmonie. Et lorsque vous êtes capable de lâcher votre travail complètement à la fin de la journée, vous arrivez chez vous prêt à donner tout votre amour à votre famille et vos amis. Le Mahatma Gandhi a travaillé 15 heures par jour, pendant 50 ans. Quand on lui demandait : « Ne voulez vous pas de vacances M. Gandhi ? », il répondait calmement : « Je suis toujours en vacances ». Ce n’était pas là de la désinvolture ; il en pensait chaque mot.

Ne vous contentez donc pas de deux semaines en juillet ou bien de deux semaines de ski en janvier. Vous méritez 365 jours de vacances, et c’est justement ce que vous apporte le détachement.


L’estime de soi

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Qu’est-ce que l’estime de soi ? C’est tout simplement le résultat du regard que vous portez sur vous-même. Cela concerne votre apparence physique, votre réussite sociale, votre vie affective … tous les domaines qui touchent votre vie.

L’estime de soi se construit au fil du temps aux contacts des autres. Ceci commence dès l’enfance par les messages véhiculés par les parents, les professeurs, etc. … Un entourage qui encourage, félicite et transmet des messages positifs permettra de développer une bonne estime de soi. A l’inverse des messages destructeurs comme des critiques constantes auront tendance à vous donner  une image négative de vous-même.

Si parfois vous avez des craintes, rassurez-vous ; reprenez confiance en vous. Il faut accepter  ses points faibles et vous rappeler que personne n’est parfait. Dites-vous que vous faites de votre mieux et qu’autour de vous des gens vous apprécient.  Pardonnez-vous si vous commettez des erreurs. Mettez en évidence tous les aspects positifs de ce que vous faites. Renoncez au perfectionnisme et osez être fier de vous-même. Candide Moix auteur du livre « Petite philosophie du bonheur pour temps de crise » écrit : « Nous avons tous des qualités, des talents, des aptitudes. Il faut les repérer et les mettre en valeur tout au long de notre vie. »

 

Retenez également le message de la psychothérapeute Virginia Satir qui disait  :

« Dans tout l’univers, il n’y a pas une autre personne qui soit exactement semblable à moi. Je suis moi et tout ce que je suis est unique. Je suis responsable de moi-même, j’ai tout ce qu’il me faut ici et maintenant pour vivre pleinement. Je peux choisir de manifester le meilleur de moi-même, je peux choisir d’aimer, d’être compétent, de trouver un sens à ma vie et un ordre à l’univers, je peux choisir de me développer, de croître et de vivre en harmonie avec moi-même, les autres et Dieu.
Je suis digne d’être accepté et aimé exactement comme je suis, ici et maintenant. Je m’aime et je m’accepte, je décide de vivre pleinement dès aujourd’hui. »

Avoir une bonne estime de vous-même est une des sources de votre bonheur.

Comment réussir à devenir une personne influente ?

1.Une personne influente….doit être un exemple d’intégrité et de droiture.
Quel que soit votre réputation actuelle, engagez-vous dès aujourd’hui, à faire table rase du passé, et à travailler pour devenir une personne de qualité, honnête, fiable, traitant les autres comme vous aimeriez que l’on vous traite.

Développez votre force de caractère, en faisant un point d’honneur de finir tout ce que vous commencez et en disant la vérité.

L’intégrité est le premier pas à faire pour attirer la considération et le respect de la part de tous, amis ou ennemis.

2.Une personne influente….doit prendre soins d’autrui.

Entretenez un climat de sécurité et de respect autour de vous, en restant toujours positif et optimiste.

Choisissez régulièrement des personnes à encourager et à aider sincèrement ; soyez à l’écoute des autres, vous rappelant que vous avez deux oreilles et une seule bouche, ce qui doit vous amener à moins parler et à écouter deux fois plus.

Cette attitude vous permettra rapidement d’être apprécier de tous et renforcera votre influence sur autrui.

3.Une personne influente….favorise le développement d’autrui.

Rechercher autour de vous des personnes dont la philosophie de vie se rapproche de la vôtre ou dont vous présumer détenir un potentiel en sommeil, et jouer un rôle positif auprès d’eux en partageant votre expérience et vos talents pour les aider à progresser.

En aidant toutes les personnes que vous pourrez à réaliser leur potentiel, vous augmenterez leur chance de réussir tout ce qu’ils entreprendront. Vous deviendrez ainsi un « mentor » recherché et respecté.

4.Une personne influente…est un véritable navigateur !

Un leader est celui qui voit mieux, plus loin et avant les autres. Sur les bateaux d’autrefois, le rôle du navigateur était de déterminer la destination, de tracer la route à suivre, de prévoir et de rectifier la trajectoire si nécessaire.

Devenez à la fois le gouvernail, la boussole et le guide que les gens ont besoin pour se retrouver et avancer sur le chemin de leur vie.

Si vous agissez de cette manière dans votre vie de tous les jours, envers tous ceux qui le souhaite, votre influence grandira car vous deviendrez de plus en plus incontournable.

5.Une personne influente….crée des liens durables.

En gardant le désir de toujours communiquer, d’aider les gens à grandir, tout en ayant un objectif de vie, appliquez ces 9 conseils de communication pour renforcer les liens avec les gens que vous voulez influencer :

·Ne tenez jamais rien ni personne pour acquis ;

·Soyez fermement convaincu de pouvoir faire la différence par votre attitude ;

·Faites le premier pas ;

·Rechercher toujours un terrain d’entente ;

·Acceptez les différences de personnalité et respectez-les ;

·Trouvez ce qui importe dans la vie de chacun ;

·Communiquez ce que vous avez dans le cœur ;

·Partagez vos expériences ;

·Allez de l’avant, ne stagnez pas dans vos relations.

6.Une personne influente….sait déléguer la tâche.

Déléguer, c’est comme enseigner ; cela semble facile, mais ça ne l’est pas ! Les deux qualités qu’il vous faudra pour cela sont l’humilité et la confiance.

Prenez conscience que vous n’êtes pas la seule personne sur terre à savoir effectuer telle ou telle tâche (sauf si vous avez un « S » rouge sur la poitrine et que vous vous changez dans des cabines téléphoniques….).

Faites confiance à la personne que vous aurez choisie en manifestant le « lâcher prise ».

La considération que vous manifesterez ainsi envers autrui rejaillira sur vous et votre influence ne s’en portera que mieux.

7.Une personne influente….sait générer d’autres personnes influentes.

Nous pourrions dire que c’est le dernier niveau à atteindre, la consécration de votre démarche : générer d’autres personnes influentes.

Pour cela, vous devez développez, au maximum, votre propre potentiel de leader, en vous fixant un programme personnel de croissance, en lisant des livres et des magazines de développement personnel, pendant au moins les trois prochains mois.

Trouvez ensuite une personne avec du potentiel, et, à partir du moment où il souhaite devenir à son tour un mentor pour quelqu’un d’autre, aidez-le à atteindre ce but.

Même si ces 7 trucs méritent un approfondissement certain, la mise en pratique de ceux-ci ne pourra que vous être bénéfique, à vous et à votre entourage.