bonsoir chers bouquineurs je viens de terminer le bouquin « l homme qui veut etre heureux » de Laurent Gounelle, je me permet de partager avec vs quelque extraits que j ai trouvé extraordinaire :
« Quand on croit quelque
chose sur soi, que ce soit en positif ou en négatif, on se comporte
d’une manière qui reflète cette chose. On la démontre aux autres en
permanence, et même si c’était à l’origine une création de l’esprit,
cela devient la réalité pour les autres, puis pour soi »
« Quand on est convaincu d’une chose, elle devient la réalité, notre
réalité. »
« Nous avons tous développé des croyances sur nous, sur les autres,
sur nos relations aux autres, sur le monde qui nous entoure, sur à
peu près tout, depuis notre capacité de réussir nos études jusqu’à
l’éducation de nos enfants, en passant par notre évolution
professionnelle et nos relations conjugales. Chacun de nous porte en
lui une constellation de croyances. Elles sont innombrables et
dirigent notre vie. »
« Votre peur provient d’une confusion, d’un amalgame entre le rejet
d’une demande et le rejet d’une personne. Ce n’est pas parce que
l’on décline une requête de votre part que l’on ne vous aime pas ou
que l’on n’a pas de considération pour vous »
« Quand on apprend à aller vers les autres pour
leur demander ce dont on a besoin, c’est tout un univers qui s’offre à
nous. La vie, c’est s’ouvrir aux autres, pas se refermer sur soi. Tout ce
qui permet de se connecter aux autres est positif. »
« On fait un grand pas dans la vie quand on cesse de généraliser ce
qui concerne les autres, et que l’on considère chacun
individuellement, même s’il fait de toute façon partie d’un tout qui le
dépasse, l’humanité et, même au-delà, l’univers »
« Une vie réussie est une vie que l’on a menée conformément à ses
souhaits, en agissant toujours en accord avec ses valeurs, en donnant
le meilleur de soi-même dans ce que l’on fait, en restant en harmonie
avec qui l’on est, et, si possible, une vie qui nous a donné l’occasion
de nous dépasser, de nous consacrer à autre chose qu’à nous-mêmes
et d’apporter quelque chose à l’humanité, même très humblement,
même si c’est infime. Une petite plume d’oiseau confiée au vent. Un
sourire pour les autres. »