Le corps de Pharaon épargné… le cadavre de Pharaon de nos jours

Dans son œuvre « Le Coran et la science moderne », le docteur Maurice Bucaille[[1]] a dévoilé la coïncidence entre ce qui est mentionné dans le noble Coran à propos du sort du Pharaon (à l’époque de Moïse) après sa noyade dans les flots et la réalité de la conservation de son cadavre jusqu’à nos jours afin d’être un signe pour l’univers. Allah (exalté soit-Il) dit- ce qui peut être traduit comme : « Nous allons aujourd’hui épargner ton corps, afin que tu deviennes un signe à tes successeurs. » (TSC[i], Yoûnous – (JONAS) : 92).

Le Dr. Bucaille affirme : « La version de la Torah à propos de l’Exode de l’Égypte du peuple juif en compagnie de Moïse (Paix sur lui) certifie incontestablement l’hypothèse selon laquelle Mineptah, le successeur de Ramsès II était le Pharaon d’Égypte à l’époque de Moïse (Paix sur lui). Aussi, les études médicales de la momie de Mineptah nous ont-elles permis d’avoir d’autres informations utiles quant aux causes probables du décès de ce pharaon. La Torah mentionne que le cadavre a été englouti dans la mer, sans dire plus de détails à propos de ce qu’il en est advenu plus tard. Quant au coran, lui, il confirme au verset précédent, que le cadavre de ce maudit pharaon sera repêché des eaux. L’analyse médicale octroyée à cette momie a décelé que ce cadavre n’est pas resté longtemps à l’eau étant donné qu’aucune lésion totale due à la stagnation durable dans l’eau n’a été observée »[[2]].

 Maurice Bucaille a dit ce qui suit : « Les résultats des enquêtes médicales sont venus appuyer l’hypothèse précédente. En 1975, au Caire, une petite lame du tissu musculaire a été prélevée, grâce à l’aide précieuse que le Dr. Michel Durigon a présentée. L’observation microscopique minutieuse témoigne de l’état de conservation totale même aux infimes particules disséquées des muscles, laquelle conservation totale, ne pourrait être concevable si le corps eut resté dans l’eau pendant quelque temps, ou même s’il eut resté longtemps en dehors de l’eau avant de subir les premières opérations d’embaument. Nous avons fait mieux et nous sommes intéressés par la recherche des causes probables de la mort de Pharaon.

Les études médico-légales de la momie ont eu lieu avec l’assistance de Ceccaldi, directeur du laboratoire de l’identité juridique à Paris et le professeur Durigon. Elles nous ont permis d’établir l’existence d’une cause de mort très rapide par plaie cranio-cérébrale ayant laissé une lacune de dimensions importantes au niveau de la voûte crânienne, conjointement avec d’autres lésions traumatiques. Toutefois ces constatations s’avéraient compatibles avec les récits des Écritures mentionnant que le Pharaon mourut lors du retour du flot» [[3]]Le Dr. Bucaille montre en quoi cet aspect est inimitable en annonçant : « A l’époque où le Coran fut révélé aux gens par le biais de Mohamed (Bénédiction et Paix sur lui), les cadavres de tous les pharaons desquels les gens à l’époque moderne ont douté qu’ils étaient en rapport avec l’Exode (doutes justifiés ou non) sont tous inhumés dans les cimetières de la vallée des rois à Thèbes à l’autre rive du Nil, juste en face de l’actuelle ville de Louxor.

 A l’époque de Mohamed (Bénédiction et Paix sur lui), tout était inconnu à ce propos. Ces cadavres ne furent découverts que vers la fin du XIXème siècle [[4]]

 Ainsi, le cadavre du Pharaon de Moïse, encore à découvert, constitue un témoignage concret sous forme de corps embaumé ayant connu Moïse (Paix sur lui), renié ses demandes et l’ayant chassé à sa fuite puis mort durant cette poursuite. Allah a conservé son cadavre de la lésion totale pour qu’il devienne un signe pour les  les gens, exactement comme le noble Coran  [5] a mentionné.

 Cette information historique à propos du sort du cadavre de Pharaon n’était en possession d’aucun être humain lors de la révélation du Coran, et même après sa révélation plusieurs siècles durant. Seulement, elle fut mentionnée dans le livre d’Allah il y a de cela 1400 ans auparavant.

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11 conseils pour mieux dormir

l’Institut national du sommeil et de la vigilance (INVS) en france recommande de réunir certaines conditions pour « préparer un sommeil de qualité :

Adopter des horaires de sommeil réguliers

  • Eviter des heures de coucher et de lever trop variables facilite le sommeil.
  • Se lever tous les jours à la même heure, même le week-end, permet de garder le même rythme de veille et de sommeil.

Se réveiller à son rythme

Le réveil doit être dynamique pour bien éveiller son corps : lumière forte, exercices d’étirement, petit déjeuner complet.

Pratiquer un exercice physique en journée

  • Pratiquer un exercice physique régulier dans la journée favorise l’endormissement.
  • Mieux vaut éviter de pratiquer un exercice physique en soirée, en particulier avant d’aller dormir.

Faire une courte sieste en début d’après-midi

  • En fermant les yeux 5 à 20 minutes en relâchant le corps, le sommeil vient rapidement si le besoin est là.
  • Une sieste permet de maintenir la vigilance le reste de la journée.

Eviter les excitants après 15 heures

  • Café, thé, cola, et vitamine C retardent l’endormissement et augmentent les réveils nocturnes.
  • Eviter l’alcool et le tabac le soir. La nicotine retarde l’endormissement, augmente les réveils nocturnes et rend le sommeil plus léger.
  • L’alcool favorise l’instabilité du sommeil avec des éveils nocturnes fréquents. De plus, c’est un facteur aggravant des problèmes respiratoires nocturnes, comme l’apnée ou les ronflements.

Eviter les somnifères

Ils sont à prendre sur avis médical uniquement.

Faire un dîner léger, au moins 2 heures avant le coucher

  • Privilégier les aliments à base de glucides lents (pommes de terre, riz, pain, pâtes), qui favorisent le sommeil car ils permettent une meilleure régulation des apports tout au long de la nuit.

Les produits laitiers sont égale ment conseillés le soir.

  • Eviter les fritures et les graisses cuites.
  • Ne pas sauter le repas du soir sous peine de risquer une fringale en seconde moitié de nuit.

Se ménager un environnement favorable au sommeil

  • Maintenir une température dans la chambre aux alentours 18°C et bien l’aérer.
  • Faire l’obscurité dans la chambre, qui favorise le sommeil profond.
  • L’hormone du sommeil, la mélatonine, est secrétée dans l’obscurité.
  • Prendre soin de sa literie et la changer régulièrement.
  • Le lit doit être un espace exclusivement réservé au sommeil, à l’exception de l’activité sexuelle.

Favoriser les activités calmes et la relaxation en fin de journée

  • Eviter un travail intellectuel juste avant le sommeil.
  • La lumière vive, le travail ou les jeux sur ordinateur entraînent des difficultés d’endormissement.
  • Au moins 30 minutes avant le sommeil, réserver une période de calme et de relaxation.
  • Instaurer son propre rituel d’endormissement permet de s’endormir en douceur, naturellement.

Se coucher dès les premiers signaux de sommeil

  • Bâillements, paupières lourdes, yeux qui piquent, clignements des yeux sont signes qu’il est temps d’aller dormir.
  • Inutile de les anticiper, mais une fois ces signaux ressentis, il ne faut pas tarder à se coucher, sinon l’envie de dormir passe au bout d’une quinzaine de minutes et ne reviendra qu’au prochain cycle, 90 minutes plus tard.

Les formes d’intelligence de Gardner

Le Dr. Howard Gardner, professeur en éducation à l’Université Harvard, fait depuis de nombreuses années de la recherche sur le développement des capacités cognitives de l’être humain. Il est en rupture avec la théorie commune traditionnelle qui repose sur deux croyances fondamentales : la capacité de connaissance est déterminée et l’intelligence des individus peut être décrite adéquatement en la quantifiant (QI).

La définition de Gardner de l’intelligence humaine fait ressortir la nature multiculturelle de sa théorie. Voici les huit formes de l’intelligence qu’il propose (pour le moment)…

1. L’intelligence logico-mathématique

On la reconnaît par : une force dans les habiletés en résolution de problèmes et en mathématiques. Celui ou celle qui la possède pose les questions «pourquoi» et «comment», veut raisonner sur les choses, veut savoir «ce qui arrivera ensuite» et pense de façon «séquentielle». 

Pistes pour en favoriser l’expression : travailler à l’ordinateur, programmer, classer des objets, pratiquer les sciences et la lecture, aimer les discussions et l’exploration, résoudre des mystères, jouer avec des mots, déchiffrer des codes, visiter des musées, résoudre des énigmes, proposer des problèmes qui nécessitent la réflexion et des activités de calcul.

Hubert Reeves est un bon exemple de ce type d’intelligence.

2. L’intelligence spatiale

On la reconnaît par : une puissante imagination. Celui ou celle qui la possède aime : concevoir, dessiner, lire des graphiques, élaborer des affiches, faire des casse-têtes représentant des images ainsi que des labyrinthes, organiser l’espace, les objets et les surfaces. Il/elle a besoin d’images pour comprendre. 

Pistes pour en favoriser l’expression : pratiquer l’art et les sports, créer des diagrammes d’organisation d’idées, monter des vidéos et des films, construire des cartes et des chartes, faire du théâtre, pratiquer la planche à voile, la sculpture, le patin à roulettes, la danse, la bicyclette, la conduite et la peinture.

Leonard de Vinci est un bon exemple de ce type d’intelligence.

3. L’intelligence interpersonnelle

On la reconnaît par : de grandes habiletés dans les relations interpersonnelles. Celui ou celle qui la possède aime parler et influencer, est habituellement le/la leader d’un groupe ou l’organisateur/organisatrice, communique bien, est habile en résolution de conflits, a une bonne écoute, est habile à négocier et est persuasif/persuasive. 

Pistes pour en favoriser l’expression : se faire des amis facilement, préférer les situations gagnant/gagnant, mener les discussions, pratiquer l’enseignement par les pairs et la collaboration, diriger les projets, conseiller les amis, comprendre les préoccupations des autres, manifester de l’empathie.

René Lévesque est un bon exemple de ce type d’intelligence.

4. L’intelligence corporelle-kinesthésique

On la reconnaît par : le désir de bouger, la tendance à être en mouvement constant ou à s’impliquée activement pour être bien. Celui ou celle qui la possède a besoin de se lever, de bouger, de toucher et de prendre les choses dans ses mains. 

Pistes pour en favoriser l’expression : s’étirer, faire des jeux de rôles et des jeux dramatiques, faire de l’exercice, du théâtre, faire de l’artisanat, planifier des événements extérieurs, danser, jouer et faire du sport.

Margie Gillis est un bon exemple de ce type d’intelligence.

5. L’intelligence verbo-linguistique

On la reconnaît par : l’amour du langage et de la parole. Celui ou celle qui la possède parle constamment, a une bonne mémoire des dates et des noms, aime raconter des histoires, aime écouter des histoires, aime la diversité des voix et se rappelle des histoires drôles. 

Pistes pour en favoriser l’expression : faire des présentations, aimer argumenter et persuader, faire des discours, jouer des rôles, dialoguer, écrire, faire des comptes-rendus, amorcer la conversation, écouter des enregistrements, lire des livres où il y a des dialogues.

Gilles Vigneault est un bon exemple de ce type d’intelligence.

6. L’intelligence intrapersonnelle

On la reconnaît par : l’amour de la solitude. Celui ou celle qui la possède aime réfléchir, a une bonne compréhension de ses forces et de ses faiblesses, est habile dans la définition d’objectifs et se sent bien lorsqu’il/elle est seul(e). 

Pistes pour en favoriser l’expression : écrire un journal, relaxer, apprendre sur soi-même, pratiquer des exercices de concentration, réfléchir, méditer, se réserver des temps de solitude.

Gandhi est un bon exemple de ce type d’intelligence.

7. L’intelligence musicale-rythmique

On la reconnaît par : le plaisir de faire de la musique, des sons ou des rythmes. Celui ou celle qui la possède aime fredonner, battre le rythme et parfois chanter. 

Pistes pour en favoriser l’expression : garder le rythme, assister à des concerts, utiliser une musique de fond lors de la pratique de d’autres activités, chanter, faire de la musique, écrire des chansons, se donner des slogans d’équipe, utiliser et jouer d’instruments de musique.

Paul McCartney est un bon exemple de ce type d’intelligence.

8. L’intelligence naturaliste

On la reconnaît par : l’habileté à organiser, sélectionner, regrouper, lister. 

Pistes pour en favoriser l’expression : concevoir des systèmes, structurer des idées, poser des questions, mettre les choses en ordre, regrouper les gens (selon les styles d’apprentissage, les intelligences multiples), jardiner, concevoir des décorations intérieures, faire de la recherche scientifique, enseigner, administrer, enquêter, entraîner, faire un travail d’enquête, explorer et faire des remue-méninges.

Charles Darwin est un bon exemple de ce type d’intelligence.

« Tout le monde est un génie. Mais si on juge un poisson sur sa capacité à grimper à un arbre, il passera sa vie à croire qu’il est stupide. »
Einstein

صديقى المسيحى رساله لك من الله يقول سبحانه وتعالى لك
:

{يَا أَهْلَ الْكِتَابِ لاَ تَغْلُواْ فِي دِينِكُمْ وَلاَ تَقُولُواْ عَلَى اللّهِ إِلاَّ الْحَقِّ إِنَّمَا

الْمَسِيحُ عِيسَى ابْنُ مَرْيَمَ رَسُولُ اللّهِ وَكَلِمَتُهُ أَلْقَاهَا إِلَى مَرْيَمَ وَرُوحٌ

مِّنْهُ فَآمِنُواْ بِاللّهِ وَرُسُلِهِ وَلاَ تَقُولُواْ ثَلاَثَةٌ انتَهُواْ خَيْراً لَّكُمْ إِنَّمَا اللّهُ إِلَـهٌ

وَاحِدٌ سُبْحَانَهُ أَن يَكُونَ لَهُ وَلَدٌ لَّهُ مَا فِي السَّمَاوَات وَمَا فِي الأَرْضِ

وَكَفَى بِاللّهِ وَكِيلاً }النساء171