8 règles pour apprendre à dire non

8 règles pour apprendre à dire non

Dire non, ça s’apprend. Parce que votre handicap n’est pas insurmontable, voici huit conseils pour vous aider à vous affirmer progressivement.

Ecoutez-vous
Votre ami qui ne rend jamais ce qu’on lui prête vient encore vous demander s’il peut vous emprunter un DVD. Vous sentez alors monter en vous l’angoisse et la contrariété, car vous savez que si vous acceptez, vous ne récupérerez pas votre bien. Soyez donc attentive à ces sentiments qui vous envahissent, ils vous permettront de prendre la bonne décision. Si vous avez l’impression de vous sacrifier, d’aller contre votre volonté, vous devez refuser. De même, sachez quelles sont vos priorités et vos limites, et tenez-en compte avant d’accepter de rendre un service qui vous coûte.

Prenez votre temps
Ne vous précipitez pas pour répondre à votre interlocuteur. N’hésitez pas à prendre le temps de la réflexion. C’est un bon moyen de lui signifier que ce n’est pas gagné d’avance, que sa requête vous pose problème. Vous ne répondrez pas sous la pression et vous pourrez ainsi réfléchir calmement à votre réponse, au lieu d’accepter sur le champ parce que vous ne savez pas comment lui dire non.

Cessez de vous justifier
« Non, désolée, je ne peux pas venir dîner chez toi samedi, je crois que je couve une mauvaise grippe » : qui n’a jamais inventé une telle excuse pour éviter une soirée à laquelle on n’a pas envie d’aller ? Au risque de se mettre dans une situation délicate. Par peur de blesser l’autre, vous avez souvent tendance à vouloir justifier votre refus, comme si vous n’étiez pas convaincu de sa légitimité. C’est en quelque sorte une façon de plaider coupable, alors que vous êtes tout à fait en droit de dire non. Au lieu de mentir, ou de vous lancer dans des longs discours et de sombres explications, contentez-vous d’un simple « Non, je ne peux pas ».

Prenez du recul
Ne culpabilisez pas ! Ce n’est pas parce que vous déclinez une invitation que votre ami sera blessé. Peut-être un peu déçu à la rigueur. Tâchez donc de comprendre et d’analyser ce qui est réellement en jeu dans votre relation, au lieu de dramatiser et d’imaginer le pire. Prenez conscience que votre entourage ne va pas vous rejeter et vous critiquer parce que vous n’êtes pas à leur service. Sachez d’ailleurs que les personnes qui ne savent pas dire non ne sont pas mieux perçues que les autres, bien au contraire.

Usez de tact
Dire non, c’est bien, à condition de trouver le ton et la forme adaptée. Un non sec, brutal, énoncé avec agressivité sera forcément mal pris par votre interlocuteur. Exprimez-vous avec diplomatie et empathie : « je désolée, mais je n’ai pas le choix ». Votre refus s’en trouvera ainsi adouci.

Tenez bon
Suite à votre refus, votre interlocuteur risque d’insister, de trouver mille et une bonnes raisons pour vous d’accepter. Ne vous laissez pas déstabiliser et influencer par ses contre-arguments. Soyez claire et ferme. Répétez votre refus aussi longtemps que nécessaire, sans chercher de nouvelles justifications. Il s’agit là de montrer que vous savez ce que vous voulez, et que vous êtes vous même convaincue de votre non.
Proposez une alternative
Si vous ne pouvez vous résoudre à dire non, cherchez une solution de substitution. Cela vous coûte d’emmener votre voisine chez le coiffeur mardi, alors que vous pourriez le faire sans problème mercredi ? Proposez-lui de décaler son rendez-vous au lendemain. Vous ne voulez pas passer votre samedi soir chez vos parents ? Invitez les plutôt à déjeuner le dimanche midi. Vous faites ainsi preuve de bonne volonté, cela vous épargnera les cas de conscience et autres scrupules.

N’abusez pas du non
Trop de non tue le non ! N’opposez pas systématiquement un refus sous prétexte que vous devez affirmer votre personnalité. Distinguez les situations où vous êtes en droit de dire non, et celles où refuser serait malvenu : par exemple lorsque votre collègue en instance de divorce vous demande de terminer son dossier en cours. Vous risqueriez de passer pour un individu égoïste et peu sympathique

Un homme avait vu une photo de rose sur un catalogue, il commanda le rosier et l’arrosa régulièrement.
Un jour, alors qu’il l’examinait, il vit qu’un beau bourgeon allait fleurir sous peu, mais il se piqua aux épines sur la tige.
« Comment une si belle fleur peut elle provenir d’un plant si mauvais et épineux? »
Attristé par cette pensée et en colère, il arrêta d’arroser la rose et avant qu’elle ne soit éclose, elle mourut.

Ainsi en est-il de beaucoup de gens.
A l’intérieur de chaque âme il y a une rose.
Les qualités implantées en chacun à la naissance croissent parmi les épines des erreurs.
Nous regardons et ne voyons bien souvent que les épines, les défauts.
Nous désespérons, pensant que rien de bon ne peut sortir de nous ou des autres.
Nous négligeons d’arroser ce qu’il y a de bon en nous ou en eux, par la foi, les compliments, la gentillesse, le temps passé…et les résultats ne sont jamais atteints.
Beaucoup avortent leurs talents avant qu’ils ne soient éclos parce qu’ils se croient imparfaits en se comparant à ceux qui sont déjà fleuris.

Certaines personnes ne voient pas la rose à l’intérieur d’elles et d’autres jardiniers d’amour peuvent leur expliquer et leur montrer.

Un des plus grands dons qu’une personne possède est d’être capable de passer par- dessus les épines et de trouver la rose en elle et chez l’autre.

S’accepter imparfait et accepter les erreurs des autres, tout en reconnaissant la noblesse de l’âme.
Séparer l’amour indéfectible de l’être (la rose) et la vision de leurs actions.

Si nous montrons la rose, chacun peut conquérir les épines.
Alors seulement nous fleurirons plusieurs fois.

Prendre soin de soi

Prendre soin de soi,

C’est établir un lien étroit avec la source de vie en moi.

C’est travailller à mon amélioration, et développer mon appréciation!

C’est cultiver l’acceptation et faire confiance à mes intuitions.

Prendre soin de moi, c’est m’offrir une place de choix.

C’est bouger et me reposer, c’est me gater et me dorloter.

C’est me sortir et bien me nourrir, c’est d’avoir du plaisir et d’en rire!

Par dessus tout,

Prendre soin de soi, c’est etre « moi » et non etre ce que les autres voudraient que je sois!

Le chauffeur de taxi et la grand-mère

Un chauffeur de taxi new yorkais raconte :

Je suis arrivé à l’adresse et j’ai klaxonné. Après avoir attendu quelques minutes, je klaxonne à nouveau. Comme il s’agissait de ma dernière course de la journée, je pensais partir, mais finalement je me suis stationné et puis je me suis dirigé vers la porte et j’ai toqué.

« Juste une minute », a répondu une voix de personne âgée. Je pouvais entendre quelque chose qui traînait sur le plancher.

Après une longue pause, la porte s’ouvrit. Une petite femme de 90 ans se tenait devant moi. Elle portait une robe imprimée et un chapeau à voilette, ressemblant à un personnage de film des années 1940.

À côté d’elle il y avait une petite valise en nylon. L’appartement semblait comme si personne n’avait vécu dedans depuis des années. Tout le mobilier était recouvert de draps.

Il n’y avait pas d’horloge sur les murs, pas de bibelot ni aucun ustensile sur les comptoirs. Dans un coin il y avait une boîte en carton remplie de photos et de verrerie.

« Pourriez-vous porter mon bagage jusqu’à la voiture? » dit-elle. J’ai porté la valise jusqu’à mon véhicule, puis suis retourné aider la femme.

Elle prit mon bras et nous avons marché lentement vers le bord du trottoir.

Elle n’arrêtait pas de me remercier pour ma gentillesse. « Ce n’est rien », je lui ai dit « J’essaie simplement de traiter mes passagers de la façon dont je voudrais que ma mère soit traitée. »

« Oh, tu es un bon garçon », dit-elle. Quand nous sommes arrivés dans la voiture, elle m’a donné une adresse, puis demanda: « Pouvez-vous passer par le centre-ville? »,

« Ce n’est pas le plus court chemin », répondis-je.

« Oh, cela ne me dérange pas », dit-elle. « Je ne suis pas pressé. Je me rends au centre de soins palliatifs. »

J’ai regardé dans le rétroviseur. Ses yeux scintillaient. « Je n’ai pas de famille » reprit-elle d’une voix douce. « Le docteur dit que je n’en ai plus pour très longtemps. » J’ai discrètement arrêté le compteur.

« Quelle route voudriez-vous que je prenne? » Demandai-je.

Pendant les deux heures qui ont suivi, nous avons roulé à travers la ville. Elle m’a montré le bâtiment où elle avait travaillé comme opérateur d’ascenseur.

Nous avons traversé le quartier où elle et son mari avaient vécu quand ils étaient jeunes mariés. Elle m’a fait arrêter devant d’un entrepôt de meubles qui était à l’époque une salle de bal où elle était allée danser lorsqu’elle était jeune fille.

Parfois, elle me demandait de ralentir en face d’un bâtiment particulier ou dans un coin et s’asseyait le regard perdu dans l’obscurité, sans rien dire.

Lorsque le soleil commença à rejoindre l’horizon, elle dit soudain: « Je suis fatiguée j’aimerai que nous y allions maintenant ».

Nous avons roulé en silence à l’adresse qu’elle m’avait donnée. C’était un petit édifice, comme une petite maison de convalescence, avec un portique pour rentrer dans une allée.

Deux infirmiers sont sortis et se sont dirigés vers le taxi. Ils étaient très attentionnés et surveillaient tous les mouvements de la vieille dame. Visiblement ils attendaient son arrivée.

J’ai ouvert le coffre et porté la petite valise jusqu’à la porte. La femme était déjà assise dans un fauteuil roulant.

« Combien vous dois-je? » M’a-t-elle demandé, en ouvrant son sac.

« Rien » lui dis-je.

« Vous devez gagner votre vie », répondit-elle.

« Il y aura d’autres passagers, » ai-je répondu.

Presque sans y penser, je me suis penché et lui ai donné une accolade. Elle me serra fort.

« Vous avez donné un petit moment de joie à une vieille dame », dit-elle. « Je vous remercie. »

Je lui serrai la main, et me retournai. Derrière moi, une porte a claqué, c’était le bruit d’une vie qui se termine.

Je n’ai pris aucun passager le reste de ma course. J’ai conduit sans but perdu dans mes pensées.

Je n’ai pratiquement pas parlé le reste de la soirée. Que se serait-il passé si cette femme avait eu à faire à un chauffeur en colère, ou à quelqu’un d’impatient et pressé ? Et si j’avais refusé de prendre la course, ou avais klaxonné plusieurs fois, puis parti sans attendre ?

Après réflexion, je ne pense pas avoir fait quelque chose de plus important dans ma vie.

Nous sommes conditionnés à penser que nos vies tournent autour de grands moments. Mais les grands moments sont souvent des jolis petits instants auxquels nous ne prêtons pas assez attention.»

Mes erreurs m’ont fait avancer, mes regrets m’ont beaucoup appris, mes douleurs m’ont rendu plus fort, je n’ai pas changé ni oublié, j’ai juste avancé…

Mon fils,

Le jour où tu trouveras que je suis devenue trop vieille, essaie d’avoir un peu de patience envers moi et essaie surtout de me comprendre, mon fils…

Si je répète la même chose des dizaines de fois,
ne m’interromps pas !
Écoute-moi !
Quand tu étais petit, tu voulais que je te lise la même histoire, soir après soir, jusqu’à ce que tu t’endormes.

Si je ne me lave plus aussi souvent sous la douche,
ne me réprimande pas et ne me dis pas que c’est une honte.
Souviens-toi combien de raisons je devais inventer
pour te faire prendre un bain quand tu étais petit.

En voyant mon ignorance vis-à-vis des nouvelles technologies,
ne te moque pas de moi, mais laisse-moi plutôt le temps
d’assimiler tout ça et de comprendre.

Je t’ai appris tant de choses… bien te tenir à table… bien t’habiller… bien te présenter… comment confronter les problèmes de la vie…
« Le jour où tu trouveras que je suis devenue trop vieille,
essaie d’avoir un peu de patience envers moi et essaie surtout de me comprendre. »

S’il m’arrive à l’occasion de manquer de mémoire
ou de ne pouvoir suivre une conversation…
laisse-moi le temps nécessaire pour me souvenir…
et si je n’y parviens pas, ne sois pas nerveux et arrogant…
car le plus important pour moi, c’est d’être avec toi et de pouvoir te parler.

Si je refuse de manger, ne me force pas !
Je sais très bien quand j’ai faim et quand je n’ai pas faim.

Quand mes pauvres jambes ne me permettront plus
de me déplacer comme avant…
…tends-moi les bras comme je tenais tes petites mains
pour t’apprendre à faire tes premiers pas.
Et quand un jour, je te dirai que je ne veux plus vivre…
que je veux mourir… ne te fâche pas…
car un jour, tu comprendras aussi à ton tour !

Essaie de comprendre qu’à mon âge, on ne vit plus vraiment.
On survit simplement.
Un jour, tu comprendras que malgré toutes mes erreurs,
j’ai toujours voulu ce qui était le mieux pour toi et que
je te préparais le terrain pour quand tu serais grand.

Tu ne dois pas te sentir triste, malheureux ou incompétent
face à ma vieillesse et à mon état.
Tu dois rester près de moi, essayer de comprendre
ce que je vis, faire de ton mieux comme je l’ai fait à ta naissance.

Aide-moi à marcher… aide-moi à terminer ma vie avec amour et patience.

La seule façon qu’il me reste pour t’en remercier, c’est un sourire et beaucoup d’amour pour toi.

Je t’aime… mon fils !

Ta Maman

Recommencer

Recommencer

La vie est un éternel combat, il ne faut jamais baisser les bras.

Il faut avancer, progresser, vaincre nos peurs et recommencer.

La vie est faite d’obstacles, de chutes et parfois de désespoir, mais il faut s’accrocher et recommencer.

Il faut se battre pour ce que l’on croit, se battre pour ses convictions.

Se poser des questions. Aller jusqu’au bout de tous nos espoirs.

Se battre pour soi et pour les autres, ne jamais renoncer.

Essayer de voir la réalité.

Recommencer, sans regret, sans culpabiliser, ne rien se reprocher.

Se dire chaque jour, j’ai essayé, j’ai fait ce que j’ai pu.

Et toujours recommencer….

C’est TA VIE

C’est TA VIE. Fais ce que tu aimes, et fais le souvent. Si tu n’aimes pas quelque chose CHANGE-LE.

Si tu n’aimes pas ton travail, DÉMISSIONNE.

Si tu n’as pas assez de temps, alors arrête de regarder la TV.

Si tu cherches l’amour de ta vie, arrête ; il te trouvera de lui-même dès lors que tu commenceras à faire les choses que tu aimes.

Arrête de tout analyser, toutes les émotions sont belles.

La vie est SIMPLE. Lorsque tu manges, apprécie chaque bouchée.

Ouvre ton esprit, tes bras et ton coeur aux choses nouvelles et aux autres, nous sommes tous unis dans nos différences.

Demande à la prochaine personne que tu vois quelle est sa passion, et partage tes rêves avec elle.

VOYAGE souvent, te perdre t’ aidera à te trouver.

Certaines opportunités n’apparaissent qu’une fois, alors SAISIS-LES.

La vie est faite de rencontres, de créations, et de choses que tu crées avec d’autres personnes alors SORS et commence à CREER.

LA VIE EST COURTE. Vis tes rêves et de ta passion !

Tout ce qui paraît au-dessus de tes forces n’est pas forcément impossible ; mais tout ce qui est possible à l’homme ne peut être au-dessus de tes forces.

Marc-Aurèlet