Le besoin de reconnaissance

Pyramide de Maslow

Accomplissement personnel (morale, créativité, résolution des problèmes…).

Estime (confiance, respect des autres et par les autres, estime personnelle)

Besoins d’appartenance et affectif  (amour, amitié, intimité, famille, sexe).

Besoins de sécurité (du corps, de l’emploi, de la santé, de la propriété…).

Besoins physiologiques (respirer, boire, dormir, manger).

Eric BERNE, père de l’Analyse Transactionnelle a démontré que le besoin de reconnaissance sociale, est pour l’homme (animal social) un besoin aussi important que les besoins physiologiques.

Signes de reconnaissance: Ce sont des stimuli physiques, verbaux ou non verbaux, positifs ou négatifs, conditionnels ou inconditionnels, constructifs ou destructifs qui vont confirmer à l’individu son existence et sa place au sein de la société.
Besoin de reconnaissance: besoin d’être reconnu par les autres.

Imaginez un instant: Vous vous levez de bonne humeur et partez au travail. En chemin, vous croisez votre voisin, vous lui adressez un sourire et lui dites “bonjour”, il ne vous regarde pas, ne vous répond pas et continue son chemin comme si vous n’existiez pas. Votre réaction sans doute va être de vous dire ” Ah! Il est de mauvaise humeur…”.

Vous arrivez à votre travail, en passant dans le hall, vous dites “bonjour” à la standardiste ou hôtesse d’accueil avec qui vous avez l’habitude de blaguer. Elle ne vous répond pas et continue comme si de rien n’était et répond aux appels téléphoniques.Vous allez sans doute vous dire ” Décidément, tout le monde fait la gueule aujourd’hui”.

A votre bureau, vos collègues ne vous disent pas non plus bonjour, vous ignorent et ne répondent pas à vos blagues ou à vos sollicitations. Là, vous commencez à douter non plus des autres, mais de vous ” Mais, qu’est-ce que j’ai fait?”. Vous passez la journée sans échanges verbaux ou non verbaux (sourires, tape amicale sur l’épaule) la journée vous paraît une éternité.
Vous rentrez chez vous et décidez de vous confier à vos amis. Vous les appelez, ils ne répondent pas. Alors, vous leur laissez un message sur leur boîte mail, ils ne répondent pas…
Comment vous sentez-vous ? Toujours aussi heureux ?

Plus vous avez de l’estime ou de l’affection vis-à-vis d’une personne, si celle-ci ne répond pas à votre besoin de reconnaissance (positivement ou négativement), plus vous allez vous sentir blessé par un sentiment de rejet ou d’abandon et vous allez naturellement vous culpabiliser sur une attitude que vous auriez peut-être eu, justifiant ce manque de reconnaissance. Votre estime de vous va décroître pour laisser place à la tristesse, la colère.

D’une position initiale JE SUIS OK – LES AUTRES SONT OK (Aller de l’avant avec l’autre), vous passez dans une position JE NE SUIS PAS OK – LES AUTRES SONT OK ( Fuir l’autre).
Si cette situation de manque de reconnaissance perdure, que vos demandes d’explications sur vous, sur l’autre n’obtiennent de réponses,  que vos signes de reconnaissance restent sans réponse de la part de la personne à qui vous les envoyez, votre incompréhension et votre colère vont prendre le dessus.

De la position JE NE SUIS PAS OK – LES AUTRES SONT OK vous passez dans une position JE NE SUIS PAS OK – LES AUTRES NE SONT PAS OK (Etre dans l’impasse).

Vous avez dès lors deux choix possibles:
– Vous êtes convaincu que vous ne valez rien, ni les autres et vous vous enfoncer dans la dépression.
– Vous décidez d’être OK avec vous, de repartir de l’avant et considérant que l’autre N’EST PAS OK, vous vous débarrassez de lui en rompant le lien affectif qui vous lie. JE SUIS OK – LES AUTRES NE SONT PAS OK (Se débarrasser de l’autre).

Votre estime de soi va remonter au fur et à mesure que vous vous sentez OK, et vous pourrez de nouveau passer dans votre position initiale JE SUIS OK – LES AUTRES SONT OK.

Prenez n’importe laquelle de vos relations et faites le constat suivant, elle ne peut être saine que dans la position où il y a un échange mutuel de reconnaissance et d’estime.

Vous avez aussi un autre genre de relation:
JE SUIS OK et LES AUTRES SONT OK, je vais de l’avant avec les autres.
Sauf que l’autre est OK avec vous tant que vous lui envoyer des signes de reconnaissance ce qui est normal mais vous vous apercevez que vous n’avez pas de signes de reconnaissance autre que la réponse de ceux que vous lui avez envoyé. Il prend, prend tant que vous l’admirez ou l’aimez.

Combien connaissent ce genre de relations?Je donne et ne reçois rien en retour…Dites vous que s’il n’y a pas un échange naturel de signes de reconnaissance, c’est tout simplement parce que l’autre est dans la position:

JE SUIS OK – LES AUTRES NE SONT PAS OK.
Inutile de perdre votre temps, votre énergie, votre estime de vous avec ce genre de personnes et continuez votre chemin pour vivre des relations sincères où le partage et l’échange existent dans une relation bilatérale et non unilatérale.

Relaxation : 8 méthodes pour se relaxer


1. Respirer

La respiration est l’un des meilleurs moyens pour se relaxer. Les sages expliquent qu’elle est le lien entre l’esprit et le corps. Ils enseignent que la qualité d’une vie dépend de la qualité de la respiration. Il s’agit d’une respiration profonde par le ventre. Pour le faire, il peut être plus facile de poser sa main sur son ventre.

2. Se concentrer sur son ventre

La concentration permet de libérer les tensions du corps. Il suffit de porter son attention sur le ventre. Au début, on peut le faire en baissant la tête pour regarder son ventre.

3. Être présent

« Dans presque toutes les méthodes d’harmonisation intérieure, il nous est demandé de nous concentrer. Il s’agit donc moins de faire le vide que d’être présent à quelque chose: à nos membres, à notre respiration, à nos idées, à des formules, à des sons ou à de la musique, à des consignes enregistrées sur cassette, à certains mouvements, à certaines sensations, à des images, à la flamme d’une bougie, à des objets, etc. (…) Dans le quotidien, la présence aux choses et aux êtres rend la vie beaucoup plus belle. » Jacques Lafleur, Relaxer. Des stratégies pour apprivoiser son stress, Éditions Logiques, 1998.

4. Masser ses muscles

Le massage permet de détendre les muscles. Il peut se pratiquer à deux ou seul. Il est possible de passer plus d’un heure pour masser doucement toutes les parties du corps.

5. Ecouter une musique zen

La musique douce est une bon moyen de se détendre. Ecouter « Zenradio » par exemple.

6. Adopter une position qui permet la détente ses muscles

« Quand on est stressé, tous nos muscles se contractent. On peut cependant les détendre, en partie, en prenant une posture qui ne nécessite pas de contraction. Les positions allongée et assise facilitant le relâchement de la plupart des muscles, on les utilise dans la majorité des méthodes de relaxation. » Dans « Relaxer », l’auteur suggère des positions tirées du yoga, du training autogène, de la sophrologie et de l’anti-gymnastique. Jacques Lafleur, Relaxer. Des stratégies pour apprivoiser son stress.

7. Penser à une scène relaxante

Fermer les yeux et se projeter dans un endroit calme que l’on connait ou pas. Cela peut être au bord d’un ruisseau. Regarder autours de soi. Ecouter le bruit du l’eau.

8. Pratiquer la méditation de contemplation

Il s’agit de regarder ses pensées apparaître et disparaître.

les gros cailloux

Un jour, un vieux professeur de l’École Nationale d’Administration Publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d’une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines.

Ce cours constituait l’un des 5 ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n’avait donc qu’une heure pour « faire passer sa matière ».

Debout, devant ce groupe d’élite (qui était prêt à noter tout ce que l’expert allait lui enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : « Nous allons réaliser une expérience ».

De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot de verre de plus de 4 litres qu’il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu’au bord et qu’il fut impossible d’y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : « Est-ce que ce pot est plein ? »

Tous répondirent : « Oui ».

Il attendit quelques secondes et ajouta : « Vraiment ? ».

Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s’infiltrèrent entre les cailloux… jusqu’au fond du pot.

Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et réitéra sa question :

« Est-ce que ce pot est plein ? ». Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège.

L’un d’eux répondît : « Probablement pas ! ».

« Bien ! » répondît le vieux prof.

Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table un sac de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il redemanda : « Est-ce que ce pot est plein ? ».

Cette fois, sans hésiter et en chœur, les brillants élèves répondirent :

« Non ! ».

« Bien ! » répondit le vieux prof.

Et comme s’y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d’eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu’à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda :

« Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ? »

Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit : « Cela démontre que même lorsque l’on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire ».

« Non » répondît le vieux prof. « Ce n’est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante :

« Si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite ».

Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de l’évidence de ces propos.

Le vieux prof leur dit alors : « Quels sont les gros cailloux dans votre vie ? Votre santé ? Votre famille ? Vos ami(e)s ? Réaliser vos rêves ? Faire ce que vous aimez ? Apprendre ? Défendre une cause ? Vous relaxer ? Prendre du temps pour vous ? Ou… tout autre chose ?

Ce qu’il faut retenir, c’est l’importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir… sa vie. Si on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n’aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie.

Alors, n’oubliez pas de vous poser à vous-même, la question :

« Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ? » Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie).

D’un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et quitta lentement la salle.

L’âne et le fermier

puit.jpg

Un jour, l’âne d’un fermier tomba dans un puits.

L’animal se mit à gémir inlassablement durant des heures et le fermier impuissant se demandait quoi faire.
Après réflexion, il décida que l’animal était vieux et que le puits devait disparaître de toute façon ; c’était trop compliqué et peu rentable pour lui de récupérer l’animal.
Le fermier demanda à ses voisins de lui venir en aide. Ils prirent tous une pelle et commencèrent à remplir le puits afin de le condamner.
L’âne réalisant ce qui se produisait se mit à crier de plus belle !
Puis, à la stupéfaction de chacun, il se tût.
Quelques pelletées plus tard, le fermier regarda dans le fond du puits et fut étonné de ce qu’il vit : à chaque pelletée de terre qui tombait sur l’âne, celui-ci faisait quelque chose que le fermier n’avait pas prévu : il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus. Les voisins du fermier, la tête baissée, continuaient à pelleter énergiquement bien décidés à en finir avec ce puits… Quelle ne fut pas leur surprise lorsqu’ils constatèrent que l’âne avait réussi à sortir du puits !
L’âne se mit à trotter et partit dans un pré …
Chaque évènement négatif de votre vie est semblable à ces pelletées de terre. Vous avez le choix de vous laisser « enterrer » par vos soucis et vos problèmes ou bien de vous secouer énergiquement et leur faire face.
Oui, même si le puits dans lequel vous êtes tombés vous semble profond, n’oubliez pas qu’il y a toujours un moyen de vous en sortir. Les ressources sont en vous ; ne baissez pas les bras.

Le garçon qui plantait des clous

Il était une fois un garçon avec un sale caractère. Son père lui donna un sachet de clous et lui dit d’en planter un dans la barrière du jardin chaque fois qu’il perdrait patience et se disputerait avec quelqu’un.

Le premier jour, il en planta 37 dans la barrière. Les semaines suivantes, il apprit à se contrôler, et le nombre de clous plantés dans la barrière diminua jour après jour : il avait découvert que c’était plus facile de se contrôler que de planter des clous.
Finalement, arriva un jour où le garçonne planta aucun clou dans la barrière. Alors il alla voir son père et il lui dit que pour ce jour il n’avait planté aucun clou.

Son père lui dit alors d’enlever un clou dans la barrière pour chaque jour où il n’aurait pas perdu patience.
Les jours passèrent et finalement le garçon put dire à son père qu’il avait enlevé tous les clous de la barrière.

Le père conduisit son fils devant la barrière et lui dit : « Mon fils, tu t’es bien comporté, mais regarde tous les trous dans la barrière. Elle ne sera jamais comme avant. Quand tu te disputes avec quelqu’un et que tu lui dis quelque chose de méchant, tu lui laisses une blessure comme celle-là.
Une blessure verbale fait aussi mal qu’une blessure physique. »

Comment vous libérer de vos croyances limitatives !

Comment se libérer de ses croyances négatives

Vos croyances actuelles, qu’elles soient positives ou négatives, vraies ou fausses, se sont forgées sans effort et sans l’intervention de votre volonté. Vos habitudes, néfastes ou salutaires, se sont « construites » de la même façon, sans effort ! Vous devez donc employer le même processus pour créer de nouvelles croyances ou habitudes.

Il a été largement démontré que vouloir essayer d’employer l’effort ou la volonté pour changer les croyances, produit l’effet inverse.

 

  coche.jpg# Vos croyances peuvent faire échouer ou réussir votre vie !

C’est à prendre au sérieux !  Demandez-vous pourquoi il vous parfois faire « 100 fois » plus d’efforts que les autres dans un domaine particulier, alors que vous essayez d’agir avec toute votre bonne volonté ? Une simple croyance limitante peut faire obstacle à votre réussite, tout simplement, parce que vous l’avez mise sur un « piédestal  » de votre existence.

 

Emile COUE, petit pharmacien français qui a étonné le monde en 1920 grâce au « pouvoir de suggestion » affirmait: « Vos suggestions (buts idéaux) doivent être faites sans effort si vous voulez qu’elles soient efficaces »; et sa Loi de l’effet inverse énonçait:

« Lorsque la Volonté et l’Imagination entrent en conflit, l’Imagination gagne invariablement ».

 

coche.jpg# Comment utiliser le pouvoir de la pensée rationnelle

Notre mécanisme interne inconscient (ou ce que l’on nomme l’inconscient) est absolument impersonnel. Il fonctionne comme une machine et n’a pas de volonté bien définie.  L’inconscient essaie toujours de réagir conformément à nos croyances et à l’interprétation que l’on a de l’environnement. Il cherche toujours à nous donner les sentiments appropriés et à accomplir les buts que, consciemment, l’on se fixe.

Le subconscient fonctionne à partir des « données » que vous lui fournissez, sous différentes formes :

– d’idées,

– de pensées;

– de croyances volontaires ou subis)

– d’interprétations,

– d’opinions,

– de savoirs et de connaissances

– d’informations perçues

C’est  la pensée consciente qui est le « bouton de commande » de votre mécanisme inconscient. Ce fut par la pensée consciente, bien que peut-être irrationnelle et irréaliste, que l’appareil inconscient a développé ses « modèles » de réactions négatives et inappropriées; c’est par la pensée consciente et rationnelle que vous pouvez changer ces modèles de réactions automatiques.

 

coche.jpg# Comment se libérer de vos croyances limitantes ?

Prenez tout d’abord conscience que vous vous êtes imposé jusqu’à ce jour des LIMITES ! Celles-ci vous retiennent dans vos ambitions, vos projets. La période de l’enfance est souvent la « source » des vos limites personnelles. Par exemple, si dans votre famille, l’idée de l’argent était un sujet tabou, ou bien que la considération envers le monde de la finance était « mal perçue », il y a de fortes probabilités pour qu’aujourd’hui encore, vous éprouviez des difficultés pour joindre « les deux bouts ».

 

coche.jpg# Comment la loi psychologique du Pardon peut vous libérer

Un sentiment de culpabilité peut se créer dès lors ou vous avez « détecté » une croyance limitante et peut se faire jour. Ceci ne servirait à rien et serait improductif que d’en vouloir à votre éducation, vos aînés de vous avoir inculqué des limites mentales.

 

Le pardon est un bon compromis. D’une part, vous ne vous mentez pas sur la réalité d’un fait : vos croyances passées (imposées ou subies). D’autre part, vous vous pardonnez à vous-même, mais surtout à votre entourage (parents,, éducateurs. Apprenez à pardonner et il vous sera plus aisé d’accepter une nouvelle croyance. En faisant « place nette » dans votre esprit, vous laissez un espace plus sain à des croyances libératrices et épanouissantes.

coche.jpg# Les 2 croyances limitantes à détecter d’urgence !

Il y a en a plusieurs et il serait trop long de les énumérer ici. Néanmoins, on retrouve fréquemment les mêmes,  Voici celles qui reviennent de manière récurrente :

– « Je ne suis pas capable de … »

Cette croyance peut se formuler dans votre langage comme une croyance très forte. Vous finissez par intégrer cette idée. Elle peut devenir très vite un obstacle de taille dans tout ce que vous entreprenez.

– « Je n’ai pas le droit de… (réussir, bien gagner ma vie, changer de métier, être heureux(se)… »

Sans doute la croyance la plus pernicieuse et très courante. Vos origines familiales peuvent en être la « source ». Tant que vous ne vous « donnez pas le droit de… » vos efforts seront inutiles.

 

coche.jpg# Les Solutions pour changer de croyances !

Fort heureusement, des solutions existent ! Plusieurs pistes se présentent quand on veut modifier ses croyances limitantes.

 Les Bains de lectures : Au lieu de demeurer « formaté » dans des convictions limitantes, incitez-vous à lire la vie de celles et ceux qui n’adoptent pas les mêmes croyances que vous.Essayez de comprendre « POURQUOI » elles pensent, agissent, perçoivent différemment de vous. Vous constaterez qu’ils sont capable d’obtenir de très bons résultats, là où vous pensiez que vos croyances étaient « solides comme fer ».

 

Faites des expériences nouvelles : C’est dans l’immobilisme que l’on renforce nos croyances. C’est face aux changements que l’on parvient à « ébranler l’édifice » de nos croyances. Parfois, de nouvelles perspectives, des expériences différentes nous font entrevoir que nos convictions ne sont pas aussi « solides » que l’on pensait jusqu’ici.

 

Les messages subliminaux : S’ils sont personnalisés, ils peuvent offrir de belles perspectives de changements en douceur. Le principe est d’employer des messages audio personnalisés et de les enregistrer – sous le seuil de la conscience -. Une musique agréable est là pour couvrir les messages personnalisés. Par une écoute régulière, les messages vont finir par « cheminer » dans les couches profondes de votre personnalité. Vous noterez que vous modifiez peu à peu votre croyance négative.

 

L’hypnose : Technique efficace par excellence. La condition est l’adhésion de la personne à l’idée de changer sa croyance. La prise de conscience par la personne intéressée est la base de la solution. Quand le constat est fait qu’une croyance limitante est l’origine du problème, la séance peut avoir lieu. Des séances personnalisées d’hypnose peuvent être enregistrée et ainsi, par une écoute régulière, agir en profondeur.

Dans les deux dernières techniques (subliminale et hypnose), se rappeler que la répétition fait la force de la suggestion. Une suggestion entendue et réitérée, répétée devient à terme une nouvelle croyance.

 

La PNL : Dans un but bien précis, qui consiste à intégrer de nouvelles croyances positives, libératrices par des métaphores par exemple, les changements peuvent être très fructueux. L’emploi de métaphores est sans doute, plus puissant que l’on voudrait le penser. On se surprend souvent à s’exprimer ainsi :

« Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt » (idée absurde car sans fondement).

 » Je gagnerai ma vie à la sueur de mon front » (faux, les personnes qui gagnent bien leur vie, ne travaillent pas plus que les autres, mais plus intelligemment. Ces phrases font partie de notre jargon et ne portent pas préjudice à notre conscience, SAUF, si on se les approprie comme croyances.

Une chose est  sûre, c’est que la prise en compte d’un bilan de vos croyances peut faire de votre vie un succès ou un échec. Pensez-y !

Le secret de la vie

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Un journaliste occidental demanda un jour au Mahatma Gandhi : « Pouvez vous me donner le secret de votre vie en trois mots ? » Gandhi, vous le savez, n’a jamais failli à un défi. « Trois mots ? » répondit-il. « Bien sûr : Renoncez et profitez ! ».

Si vous voulez vraiment profiter de la vie, signifiait-il, renoncez à toutes vos exigences personnelles.

Le Bouddha, qui n’a pratiquement jamais parlé de lui-même, admit un jour calmement : « Je suis le plus heureux des mortels. Personne n’est plus heureux que je ne le suis ».

Il s’agit de la joie pour laquelle chacun d’entre nous est venu au monde. Non pas les plaisirs futiles, non pas les joies étincelantes ou les bijouteries fantaisies, mais un trésor hors de prix : celui dissimulé au plus profond de nos coeurs.

Le détachement libère non seulement de la joie mais est aussi le secret de la santé. Il est la meilleure assurance médicale au monde, et pas seulement parce qu’il peut nous libérer des habitudes physiques qui sappent notre vitalité.

Le détachement est un don de la longévité. Se libérer des enchevêtrements émotionels compulsifs, est la meilleure assurance contre le stress. Plus encore, en ouvrant une fenêtre sur une vue plus complète, plus imposante de la vie, que celle dictée par son intérêt propre, le détachement apporte un objectif. Sans raison d’être, l’être humain dépérit et meurt intérieurement.

Aussi paradoxale que cela puisse paraître, c’est le détachement qui nous permet de nous lancer corps et âme dans une tâche qui en vaut la peine, sans jamais être déprimé, abattu, ou épuisé – jusque dans les derniers jours de notre existence.

La plupart des gens qui travaillent dur, par exemple rapportent du travail chez eux, aboyant comme un caniche à leurs pieds. Le détachement nous donne la capacité de nous concentrer entièrement une fois au travail, et de le lâcher complètement lorsque nous traversons le pas de la porte.

Un employé détaché est un employé sur qui on peut compter, un employé en harmonie. Et lorsque vous êtes capable de lâcher votre travail complètement à la fin de la journée, vous arrivez chez vous prêt à donner tout votre amour à votre famille et vos amis. Le Mahatma Gandhi a travaillé 15 heures par jour, pendant 50 ans. Quand on lui demandait : « Ne voulez vous pas de vacances M. Gandhi ? », il répondait calmement : « Je suis toujours en vacances ». Ce n’était pas là de la désinvolture ; il en pensait chaque mot.

Ne vous contentez donc pas de deux semaines en juillet ou bien de deux semaines de ski en janvier. Vous méritez 365 jours de vacances, et c’est justement ce que vous apporte le détachement.


La hache volée

Lao Tseu raconte qu’un paysan, un jour, perdit sa hache. Il la chercha dans sa maison, mais vainement. Il aperçut alors un de ses voisins, qui passait par là en détournant son regard, et le soupçonna aussitôt de lui avoir volé sa hache.

L’homme en effet, avait tout du comportement d’un voleur de hache. Son visage, son air, son attitude, ses gestes, les paroles qu’il prononçait, tout à n’en point douter, un voleur de hache.

Le paysan était sur le point de le dénoncer, de l’accuser publiquement et de le trainer devant un juge … quand il trouva sa hache qui était tombée derrière des broussailles non loin de là.

Quand il revit son voisin, celui-ci ne présentait plus le moindre indice qui pût évoquer en lui un voleur de hache.

 

Face à certaines difficultés ou contrariétés, vous pouvez interpréter de façon erronée un évènement imprévu jusqu’à être tentée d’accuser sans preuve quelqu’un d’autre. Lorsqu’il y a incertitude sur le coupable, prenez du recul et essayez surtout de dédramatiser la situation. Ne laissez pas votre inquiétude ou votre nervosité vous pousser à trouver absolument le responsable de ce qui vous arrive. C’est dans le calme que les réponses à vos questions apparaitront. Il faut savoir être patient.

L’estime de soi

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Qu’est-ce que l’estime de soi ? C’est tout simplement le résultat du regard que vous portez sur vous-même. Cela concerne votre apparence physique, votre réussite sociale, votre vie affective … tous les domaines qui touchent votre vie.

L’estime de soi se construit au fil du temps aux contacts des autres. Ceci commence dès l’enfance par les messages véhiculés par les parents, les professeurs, etc. … Un entourage qui encourage, félicite et transmet des messages positifs permettra de développer une bonne estime de soi. A l’inverse des messages destructeurs comme des critiques constantes auront tendance à vous donner  une image négative de vous-même.

Si parfois vous avez des craintes, rassurez-vous ; reprenez confiance en vous. Il faut accepter  ses points faibles et vous rappeler que personne n’est parfait. Dites-vous que vous faites de votre mieux et qu’autour de vous des gens vous apprécient.  Pardonnez-vous si vous commettez des erreurs. Mettez en évidence tous les aspects positifs de ce que vous faites. Renoncez au perfectionnisme et osez être fier de vous-même. Candide Moix auteur du livre « Petite philosophie du bonheur pour temps de crise » écrit : « Nous avons tous des qualités, des talents, des aptitudes. Il faut les repérer et les mettre en valeur tout au long de notre vie. »

 

Retenez également le message de la psychothérapeute Virginia Satir qui disait  :

« Dans tout l’univers, il n’y a pas une autre personne qui soit exactement semblable à moi. Je suis moi et tout ce que je suis est unique. Je suis responsable de moi-même, j’ai tout ce qu’il me faut ici et maintenant pour vivre pleinement. Je peux choisir de manifester le meilleur de moi-même, je peux choisir d’aimer, d’être compétent, de trouver un sens à ma vie et un ordre à l’univers, je peux choisir de me développer, de croître et de vivre en harmonie avec moi-même, les autres et Dieu.
Je suis digne d’être accepté et aimé exactement comme je suis, ici et maintenant. Je m’aime et je m’accepte, je décide de vivre pleinement dès aujourd’hui. »

Avoir une bonne estime de vous-même est une des sources de votre bonheur.

داوا مرضاكم بالصدقة

‏Photo : قصة جميلة||كان هناك شاب أمة فى غيبوبه في المستشفى وأدخلت للعناية المركزة وفى يوم من الأيام صارحه الأطباء بأن حال والدته ميؤوس منها وأنها في اى لحظه تفارق الحياة وخرج من عند أمه هائما على وجهه وفى طريق عودته لزيارة والدته مرة أخرى وقف في محطة البنزين وهو ينتظر العامل ليضع البنزين في سيارته رأى تحت قطعة الكرتون قطه قد ولدت قطا صغاراً وهم لا يستطيعون المشي فتسائل من يأتي لهم بالطعام وهم في هذه الحال ...فدخل للبقالة واشترى علبة تونة وفتح العلبة وضعها للقط الصغار وانصرف للمستشفي وعندما وصل إلى العناية مكان تنويم أمه لم يجدها على السرير فوقع ما بيده فاسترجع وسأل الممرضة: أين أمي ؟؟ فقالت: تحسنت حالتها فأخرجناها للغرفة المجاورة فذهب اليها فوجدها قد أفاقت من غيبوبتها فسلم عليها وسألها فقالت: أنها رأت وهى مغمى عليها قطة وأولادها رافعين أيديهم يدعون الله لها فتعجب الشاب!!فسبحان من وسعة رحمته كل شيءسبحان الله دفع البلاءداوا مرضاكم بالصدقةهذه فقط علبة تونة والرسول صل الله عليه وسلمقال: اتقوا النار ولو بشق تمرهقال تعالى: (وإن من شيء إلا يسبح بحمده ولكن لا تفقهون تسبيحهم)‏

قصة جميلة
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كان هناك شاب أمة فى غيبوبه في المستشفى وأدخلت للعناية المركزة وفى يوم من الأيام صارحه الأطباء بأن حال والدته ميؤوس منها وأنها في اى لحظه تفارق الحياة وخرج من عند أمه هائما على وجهه وفى طريق عودته لزيارة والدته مرة أخرى وقف في محطة البنزين وهو ينتظر العامل ليضع البنزين في سيارته رأى تحت قطعة الكرتون قطه قد ولدت قطا صغاراً وهم لا يستطيعون المشي فتسائل من يأتي لهم بالطعام وهم في هذه الحال …فدخل للبقالة واشترى علبة تونة وفتح العلبة وضعها للقط الصغار وانصرف للمستشفي

وعندما وصل إلى العناية مكان تنويم أمه لم يجدها على السرير فوقع ما بيده فاسترجع وسأل الممرضة: أين أمي ؟؟

فقالت: تحسنت حالتها فأخرجناها للغرفة المجاورة فذهب اليها فوجدها قد أفاقت من غيبوبتها فسلم عليها وسألها فقالت: أنها رأت وهى مغمى عليها قطة وأولادها رافعين أيديهم يدعون الله لها فتعجب الشاب

فسبحان من وسعة رحمته كل شيء
سبحان الله دفع البلاء
داوا مرضاكم بالصدقة
هذه فقط علبة تونة والرسول صل الله عليه وسلم
قال: اتقوا النار ولو بشق تمره

(قال تعالى: (وإن من شيء إلا يسبح بحمده ولكن لا تفقهون تسبيحهم