Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant bien haut un billet de 20 euros Il demande aux gens : « Qui aimerait avoir ce billet ? »
Les mains commencent à se lever alors il dit « Je vais donner ce billet de 20 euros à quelqu’un d’entre vous mais avant laissez mo faire quelque chose avec »
Il chiffonne alors le billet avec force et i demande
« Est-ce que vous voulez toujours de ce billet? »
Les mains continuent à se lever « Bon, d’accord, mais que se passera-t-il s je fais cela ? »
Il jette le billet froissé par terre et saute à pied joints dessus, l’écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du plancher.
Ensuite il demande : « Qui veut encore avoir ce billet? »
Les mains ce leverent toutes encore une fois!
« Mes amis, vous venez d’apprendre une leçon… Peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur n’a pas changé, il vaut toujours 20 euros.
Plusieurs fois dans votre vie vous serez froissés, rejetés, souillés par les gens ou par les événements. Vous aurez l’impression que vous ne valez plus rien mais en réalité votre valeur n’aura pas changé aux yeux des gens qui vous aiment!
La valeur d’une personne ne tient pas à ce que l’on a fait ou pa et surtt pa o apparences, vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs car votre valeur intrinsèque est toujours intacte…
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Le porteur d’eau
« En Inde, un porteur d’eau avait deux grands seaux accrochés chacun à une extrémité de la perche qu’il portait sur les épaules. Un des seaux était fendu, et alors que l’autre seau, intact, livrait toujours sa pleine ration d’eau au terme de la longue marche entre le ruisseau et la maison du maître, le seau fendu n’arrivait qu’à moitié plein.
Quotidiennement pendant deux années entières, le porteur ne livrait qu’un seau et demi d’eau à la maison de son maître. Le seau intact était fier de lui, mais le seau fendu était malheureux, honteux de n’être capable d’accomplir que la moitié de ce pour quoi il était fait. Un jour, près du ruisseau, après deux ans de ce qu’il considérait comme un échec amer, le seau fendu s’adressa au porteur d’eau.
‘J’ai honte de moi et je veux te présenter mes excuses.’ ‘Pourquoi ? De quoi as-tu honte ?’ demanda le porteur d’eau. ‘Depuis deux ans, j’ai seulement été capable de livrer la moitié de ma charge à cause de cette fente à mon côté, qui fait fuir l’eau tout le long du trajet vers la maison de ton maître. À cause de mes défauts, tu as dû faire tout ce travail et tu n’as pas obtenu tout le mérite correspondant à tes efforts.’ dit le seau.
Rempli de compassion, le porteur d’eau répondit : ‘En retournant à la maison du maître, je veux que tu voies les fleurs magnifiques qui bordent le chemin.’ Effectivement, tandis qu’ils remontaient la colline, le vieux seau fendu remarqua le chaud soleil brillant sur une quantité de fleurs sauvages sur le bord du chemin, et cela lui remonta un peu le moral. Mais à l’arrivée il se sentit encore mécontent parce qu’il avait laissé fuir la moitié de son contenu et donc, une fois encore, il s’excusa auprès du porteur d’eau pour son échec.
Le porteur d’eau lui répondit : ‘N’as-tu pas remarqué qu’il y avait des fleurs uniquement de ton côté du chemin, et pas de l’autre côté ? C’est parce que depuis le début je savais que tu étais fendu. J’en ai pris mon parti et j’ai semé des graines de fleurs de ton côté. Ainsi, chaque jour en revenant du ruisseau, tu les as arrosées. Depuis deux ans j’ai pu cueillir ces fleurs merveilleuses pour décorer la table de mon maître. Sans toi, exactement tel que tu es, il n’y aurait jamais eu cette beauté pour orner sa maison. »
La leçon de l’huître perlière
Comment l’huître perlière s’y prend-elle pour fabriquer une perle ?
Tout d’abord, c’est un grain de sable qui est tombé dans sa coquille
et ce grain de sable est une difficulté pour l’huître, il l’irrite.
» Ah, se dit-elle, comment m’en débarrasser ?
Il me gratte, il me démange, que faire? »
Et la voilà qui commence à réfléchir; elle se concentre, elle médite,
elle demande conseil, jusqu’au jour où elle comprend que jamais
elle n’arrivera à éliminer ce grain de sable, mais qu’elle peut
l’envelopper de façon à ce qu’il devienne lisse, poli, velouté.
Et quand elle y a réussi, elle est heureuse, elle se dit:
» Ah, j’ai vaincu une difficulté ! »
Depuis des milliers d’années, l’huître perlière instruit l’humanité,
mais les humains n’ont pas compris la leçon.
Et quelle est cette leçon?
Que si nous arrivions à envelopper nos difficultés et tout ce qui nous
contrarie dans une matière lumineuse, douce, irisée, nous aurions des
richesses inouïes. Voilà ce qu’il faut comprendre.
Alors, désormais, au lieu de vous plaindre et de rester là à vous ronger
sans rien faire, travaillez à sécréter cette matière spéciale qui peut
envelopper vos difficultés. Quand vous vous trouvez devant un
évènement pénible, une personne insupportable, réjouissez-vous
en disant :
» Merci la vie, quelle chance, encore un grain de sable,
voilà une nouvelle perle en perspective ! »
Si vous comprenez cette image de l’huître perlière,
vous aurez du travail pour toute votre vie. »
Le bol de bois
Un vieil homme fragile s’en alla demeurer avec son fils, sa belle-fille, et son petit-fils de quatre ans. Les mains du vieil homme tremblaient, sa vue était embrouillée et sa démarche chancelante.
La famille était attablée ensemble pour le repas. Mais la main tremblante de grand-père et sa mauvaise vue rendaient le repas peu agréable. Les pois roulaient par terre, lorsqu’il prenait son verre, le lait se renversait sur la nappe.
Ce qui vint à tomber sur les nerfs du fils et de la belle-fille. « On doit faire quelque chose avec grand-père » dit le fils. Nous en avons assez du lait renversé, des bruits lorsqu’il mange et de ramasser la nourriture sur le plancher » Alors, le fils et sa femme montèrent une petite table dans le coin.
C’est là que grand-père ira manger pendant que le reste de la famille sera à la grande table. De plus, puisque que grand-père a cassé quelques assiettes, dorénavant il mangera dans un bol en bois.
Lorsque la famille regardait dans le coin, quelques fois ils pouvaient voir une larme sur les joues de grand-père qui était assis tout seul. En dépit de cela, les seuls mots que le couple avaient pour grand-père exprimaient la colère et les reproches lorsqu’il échappait une fourchette ou renversait sa nourriture par terre. Le jeune de quatre ans regardait tout cela en silence.
Un soir avant le souper, le père remarqua son fils qui jouait dans son atelier et il nota des copeaux de bois sur le plancher. Il demanda gentiment: « Qu’est tu en train de fabriquer ? » Aussi gentiment le fils répondit : « Ah ! Je fais un bol en bois pour toi et maman pour manger lorsque je serai grand ! »
Les parents furent tellement surpris par ces paroles qu ils étaient incapable de parler. Et puis, quelques larmes coulèrent sur leurs joues. Ils ne disaient rien mais ils savaient quoi faire.
Ce soir là, le fils pris grand-père par la main et l’amena gentiment à la table familiale. Pour le reste de ces jours, il mangea ses repas avec la famille et le fils et sa femme ne se troublaient plus lorsque grand-père échappait une fourchette, renversait son lait ou salissait la nappe.
Et ALLAH a dit:
وَقَضَى رَبُّكَ أَلاَّ تَعْبُدُواْ إِلاَّ إِيَّاهُ وَبِالْوَالِدَيْنِ إِحْسَاناً إِمَّا يَبْلُغَنَّ عِندَكَ الْكِبَرَ أَحَدُهُمَا أَوْ كِلاَهُمَا فَلاَ تَقُل لَّهُمَا أُفٍّ وَلاَ تَنْهَرْهُمَا وَقُل لَّهُمَا قَوْلاً كَرِيماً
Et ton Seigneur a décrété : »N’adorez que Lui et marquez de la bonté envers les père et mère : si l’un d’eux ou tous deux doivent atteindre la vieillesse auprès de toi; alors ne leur dis point : « Fi ! »* et ne les brusque pas, mais adresse-leur des paroles respectueuses. »
Sourate 17 – Verset 23]
Allah a dit :
وَاخْفِضْ لَهُمَا جَنَاحَ الذُّلِّ مِنَ الرَّحْمَةِ وَقُل رَّبِّ ارْحَمْهُمَا كَمَا رَبَّيَانِي صَغِيراً
« Et par miséricorde; abaisse pour eux l’aile de l’humilité; et dis : mon Seigneur, fais-leur; à tous deux; miséricorde comme ils m’ont élevé tout petit”. (Sourate Al-Isra’, verset 24)
Une jeune fille aveugle
Une jeune fille aveugle se détestait tellement à cause de son handicap. Elle haïssait tout le monde sauf un garçon qui était son ami.
Il était toujours là pour elle.
Un jour, elle lui dit « Si seulement je pouvais voir le monde, je me marierais avec toi. »
Un jour, quelqu’un lui a fait don de ses yeux, un donneur anonyme.
Quand les bandages furent enlevés, elle pouvait tout voir, ainsi que son ami.
Il lui dit, «Maintenant que tu peux voir le monde, veux-tu m’épouser ?»
La fille le regarda et vit qu’il était aveugle.
La vue de ses paupières fermées la bouleversa.
Elle ne s’attendait pas à ça.
La pensée de le voir ainsi pour le reste de sa vie ne lui plut pas et elle refusa de l’épouser.
Son ami la quitta en pleurs.
Quelques jours plus tard, il lui fit parvenir une note qui disait :
«Prends bien soin de tes yeux, ma chérie, car avant qu’ils deviennent les tiens, ils étaient miens.»
Moralité ?????
Très peu de personnes se rappellent de leur passé et des amis qui les ont soutenus dans les situations difficiles et douloureuses.
La vie est un Cadeau
Aujourd’hui, avant de dire un mot cruel Rappelez-vous de ceux qui sont muets.
Avant de vous plaindre du goût de la nourriture Pensez à ceux qui n’ont rien à manger.
Avant de vous plaindre de votre conjoint, de lui faire des infidélités pensez à ceux qui aimeraient tant avoir un compagnon
Avant de vous plaindre de la vie pensez à ceux qui sont morts trop tôt.
Avant de pleurnicher sur le trajet ou vous devez conduire pensez à ceux qui le font à pied.
Quand vous êtes fatigués et vous plaignez de votre travail pensez à ceux qui cherchent un emploi.
Quand des pensées déprimantes semblent vous abattre, faites un effort pour sourire et dites-vous :
Je suis en vie, donc tout est encore possible.
L’histoire de L’amour, de la Richesse, et du Succès
Un jour, une femme sort de sa maison et voit trois vieillards avec de longues barbes blanches, assis devant chez elle. Elle ne les reconnaît pas.
Elle leur dit : Je ne pense pas que je vous connaisse, mais vous devez avoir faim, s’il vous plaît, entrez et je vous donnerai quelque chose à manger.
Est-ce que les enfants de la maison sont là ? demandent-ils.
Non, ils sont sortis leur répond-elle. Alors nous ne pouvons pas entrer.
En fin d’après-midi, lorsque les enfants reviennent de l’école, la femme leur raconte son aventure avec les trois hommes.
Va leur dire que nous sommes à la maison et invite-les à entrer ‘! Disent-ils à leur mère. La femme sort et invite les hommes à entrer dans la maison.
Nous n’entrons jamais ensemble dans une maison ‘, répondent-ils. Un des vieillards explique :
Son nom est ‘Richesse’, dit-il en indiquant un de ses amis et, en indiquant l’autre, lui c’est ‘Succès’, et moi je suis ‘Amour ».
Il ajoute alors, Retourne à la maison et discute avec ta famille pour savoir lequel d’entre nous vous voulez dans votre maison ‘. La femme retourne à la maison et rapporte à sa famille ce qui avait été dit.
Comme c’est étrange ‘! S’exclament les enfants. Puisque c’est le cas, nous allons inviter Richesse.
La mère n’était pas d’accord.
Pourquoi n’inviterions- nous pas Succès ? Votre père en aurait bien besoin dans ses affaires…’
La plus petite, Raffie, qui suçait encore son pouce, s’exprime à son tour :
Veux mamours, veux mamours…. ‘
Les parents fondent devant tant de câlinerie enfantine et la mère sort inviter ‘Amour’ à entrer…
Amour’ se lève et commence à marcher vers la maison.
Les deux autres se lèvent aussi et le suivent. Etonnée, la femme demande à ‘Richesse’ et ‘Succès’:
J’ai seulement invité ‘Amour’. Pourquoi venez-vous aussi?
Les vieillards lui répondent ensemble :
Si vous aviez invité ‘Richesse’ ou ‘Succès’, les deux autres d’entre nous seraient restés dehors, mais vous avez invité ‘Amour’ et partout où il va, nous allons avec lui, puisque partout où il y a de l’Amour, il y a aussi de la Richesse et du Succès’
Où il y a de la douleur, je te souhaite la paix,
Où il y a le doute en toi, je te souhaite une confiance renouvelée
Où il y a la fatigue ou l’épuisement, je te souhaite la compréhension, la patience et la force…
Où il y a la crainte, je te souhaite l’amour et le courage.
LA VALEUR D’UNE PERSONNE SE MESURE TOUJOURS AU BONHEUR QU’ELLE DONNE AUX AUTRES.
Dieu existe-t-il?
Un professeur universitaire a défié ses étudiants avec cette question : « Est-ce que Dieu a créé tout ce qui existe ? »
Un étudiant a bravement répondu : »Oui, Il l’a fait ! »
Le professeur a alors répliqué : « si Dieu a tout créé, Il a donc aussi créé le mal puisque le mal existe et selon le principe de nos travaux qui définissent ce que nous sommes, alors Dieu est mauvais. »
L’étudiant est resté silencieux devant une telle réponse…
Le professeur était tout à fait heureux de lui-même et il se vantait aux étudiants qu’il avait prouvé encore une fois que la foi en Dieu était un mythe.
Un autre étudiant a levé sa main et dit : »Puis-je vous poser une question professeur ? »
« Bien sûr » répondi le professeur.
L’étudiant a répliqué : « Professeur, le froid existe-t-il ? »
« Quel genre de question est-ce, cela ? Bien sûr qu’il existe. Vous n’avez jamais eu froid ? » interrogea le professeur.
Le jeune homme répondi : « En fait monsieur, le froid n’existe pas. Selon la loi de physique, ce que nous considérons le froid, est en réalité l’absence de chaleur. Tout individu ou tout objet possède ou transmet de l’énergie. La chaleur est produite par un corps ou par une matière qui transmet de l’énergie. Le zéro Absolu (-273°C) est l’absence totale de chaleur ; toute la matière devient inerte et incapable de réagir à cette température. Le Froid n’existe pas. Nous avons créé ce mot pour décrire ce que nous ressentons si nous n’avons aucune chaleur. »
il continua : « Professeur, l’obscurité existe-t-elle ? »
Le professeur a répondu : « Bien sûr qu’elle existe ! »
L’étudiant poursuivi : « Vous avez encore tort Monsieur, l’obscurité n’existe pas non plus. L’obscurité est en réalité l’absence de lumière. Nous pouvons étudier la Lumière, mais pas l’obscurité. En fait, nous pouvons utiliser le prisme de Newton pour fragmenter la lumière blanche en plusieurs couleurs et étudier les diverses longueurs d’onde de chaque couleur. Vous ne pouvez pas mesurer l’obscurité. Un simple rayon de lumière peut faire irruption dans un monde d’obscurité et l’illuminer. Comment pouvez-vous savoir l’espace qu’occupe l’obscurité ? Vous mesurez la quantité de lumière présente. N’est-ce pas vrai ? L’obscurité est un terme utilisé par l’homme pour décrire ce qui arrive quand il n’y a pas de lumière. »
Finalement, le jeune homme a demandé au professeur : « Monsieur, le mal existe-t-il ? »
Maintenant incertain, le professeur répondi : » Bien sûr comme je l’ai déjà dit. Nous le voyons chaque jour. C’est dans les exemples quotidiens de l’inhumanité de l’homme envers l’homme. C’est dans la multitude des crimes et des violences partout dans le monde. Ces manifestations ne sont rien d’autre que du mal ! »
L’étudiant reprit : « le Mal n’existe pas Monsieur, ou au moins il n’existe pas de lui-même. Le Mal est simplement l’absence de Dieu. Il est comme l’obscurité et le froid, un mot que l’homme a créé pour décrire l’absence de Dieu. Dieu n’a pas créé le mal. Le Mal n’est pas comme la foi, ou l’amour qui existe tout comme la lumière et la chaleur. Le Mal est le résultat de ce qui arrive quand l’homme n’a pas l’amour de Dieu dans son coeur. Il est comme le froid qui vient quand il n’y a aucune chaleur ou l’obscurité qui vient quand il n’y a aucune lumière. »
Le professeur s’est assis.
Le nom du jeune homme ? … Albert Einstein .
« Un peu de science éloigne de Dieu, mais beaucoup y ramène »
Comment faire face au mépris des gens avec calme
« Près de Tokyo vivait un grand samouraï, déjà âgé, qui se
consacrait désormais à enseigner le bouddhisme Zen aux jeunes.
Malgré son âge, on murmurait qu’il était encore capable
d’affronter n’importe quel adversaire.
Un jour arriva un guerrier réputé pour son manque total de scrupules.
Il était célèbre pour sa technique de provocation :
il attendait que son adversaire fasse le premier mouvement.
Doué d’une intelligence rare pour profiter des erreurs commises,
il contre-attaquait avec la rapidité de l’éclair. Ce jeune et
impatient guerrier n’avait jamais perdu un combat.
Comme il connaissait la réputation du samouraï, il était venu pour le vaincre et accroître sa gloire.
Tous les étudiants étaient opposés à cette idée, mais le vieux Maître accepta le défi.
Il se réunirent tous sur une place de la ville et le jeune guerrier commença à insulter le « vieux Maître ».
Il lui lança des pierres, lui cracha au visage, cria toutes les offenses connues – y compris à ses ancêtres.
Pendant des heures, il fit tout pour le provoquer, mais le vieux resta impassible.
A la tombée de la nuit, se sentant épuisé et humilié, l’impétueux guerrier se retira.
Dépités d’avoir vu le Maître accepter autant d’insultes et
de provocations, les élèves questionnèrent le Maître :
– Comment avez-vous pu supporter une telle indignité ?
– Pourquoi ne vous êtes-vous pas servi de votresabre, même sachant que vous alliez perdre le combat,
au lieu d’exhiber votre lâcheté devant nous tous ?
– Si quelqu’un vous tend un cadeau et que vous ne
l’acceptez pas, à qui appartient le cadeau ? Demanda le samouraï.
> A celui qui a essayé de le donner, répondit un des disciples.
> Cela vaut aussi pour l’envie, la rage et les insultes,
dit le Maître.
> Lorsqu’elles ne sont pas acceptées, elles appartiennent
toujours à celui qui les porte dans son coeur. »
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« Quand on vous injurie, on vous
agresse verbalement, on vous méprise,
la meilleure arme est d’ignorer
comme si vous n’entendez rien,
ne voyez rien de son auteur.
Il sera déstabilisé et recevra
comme un « boomerang » ses paroles
en plein figure. »
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Très belle leçon de vie !
« Il était une fois quatre individus qu’on appelait
Tout le monde – Quelqu’un – Chacun – et Personne.
Il y avait un important travail à faire,
Et on a demandé à Tout le monde de le faire.
Tout le monde était persuadé que Quelqu’un le ferait.
Chacun pouvait l’avoir fait, mais en réalité Personne ne le fit.
Quelqu’un se fâcha car c’était le travail de Tout le monde !
Tout le monde pensa que Chacun pouvait le faire
Et Personne ne doutait que Quelqu’un le ferait…
En fin de compte, Tout le monde fit des reproches à Chacun
Parce que Personne n’avait fait ce que Quelqu’un aurait pu faire.
*** MORALITÉ ***
Sans vouloir le reprocher à Tout le monde,
Il serait bon que Chacun
Fasse ce qu’il doit sans nourrir l’espoir
Que Quelqu’un le fera à sa place…
Car l’expérience montre que
Là où on attend Quelqu’un,
Généralement on ne trouve Personne ! »
LA CORDE INVISIBLE
Un paysan se rend au marché avec 3 de ses ânes pour vendre sa récolte.
La ville est loin, au moins trois jours de marche. Le premier soir, il s’arrête pour bivouaquer à proximité de la maison d’un vieil ermite. Au moment d’attacher son troisième âne, il réalise qu’il lui manque une corde.
… – Il faut absolument que j’attache mon âne se dit-il, sinon demain, il se sera sauvé dans la montagne !
Après avoir solidement attaché les 2 autres, Il monte sur son âne et se dirige vers la maison du vieil ermite. Arrivé, il demande au vieil homme s’il n’aurait pas une corde à lui donner. L’ermite ne possède rien car il a depuis
longtemps fait voeux de pauvreté et n’a donc pas la moindre corde. Il s’adressa alors au paysan et lui dit :
– Retournes à ton campement et comme chaque jour fait le geste de passer une corde autour du cou de ton âne et n’oublie pas de faire comme si tu l’attachais à un arbre. Et n’ayant pas d’autre solution, le paysan fait exactement ce que lui conseille le vieil homme.
Le lendemain dès qu’il se réveille, le premier regard du paysan est pour son âne. Il est soulagé de voir qu’Il est toujours là !
Après avoir chargé les 3 ânes, il décide de se mettre en route, mais là surprise, le troisième âne, celui qui n’avait pas été attaché pendant la nuit refusait de bouger. Le paysan a beau tirer sur son âne, le pousser, rien n’y fait.
L’âne refuse de bouger d’un pouce.
Désespéré, le paysan retourne voir l’ermite et lui raconte sa mésaventure.
– As-tu pensé à enlever la corde ? lui demanda l’ermite ?
– Mais il n’y a pas de corde ! répondit le paysan.
– Pour toi non, mais pour l’âne…il y a une corde
Le paysan retourne au campement et d’un ample mouvement, il mime le geste de retirer la corde du cou de l’âne et de l’arbre. L’âne le suit alors sans aucune résistance.
Ne nous moquons pas de cet âne ! Nous oublions que nous sommes également prisonniers de nos manières habitudes de penser, de ressentir, de faire, ou parfois même, esclaves de nos croyances !
Demandez-vous
quelle corde invisible vous empêche de progresser vers la réalisation de vos objectifs ?